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Compte rendu des conventions hors subvention

Mme Pucéat.- Donc il s’agit ici uniquement de prendre acte du compte rendu de ces contrats et conventions hors subvention, à moins que vous n’ayez des questions également sur ce point.

Nous n’avons pas, en tout cas, de questions qui sont remontées en amont.

Le Conseil d’administration prend acte.

Donc il reste le Point C « Questions diverses », s’il y en a.

Point C : Questions diverses

Le Président.- Est-ce qu’il y a des questions ?

Mme Cénac.- C’est une question diverse que je remets souvent… enfin, dans la partie des questions diverses, mais les personnes qui sont contractuelles et

qui attendent la mise en place du groupe de travail par rapport aux grilles de rémunération… enfin, qui… comme toutes et tous souffrent des conditions particulières liées à la crise sanitaire qui font qu’il y a urgence à… Même si cela n’aboutit pas tout de suite, mais au moins à commencer les discussions pour voir ce qu’il est possible de faire par rapport à ces grilles de salaire pour les personnels contractuels, les CDD et les CDI.

Et puis donc le deuxième point par rapport aux annonces qu’on écoutait en ouverture de CA sur la rentrée du deuxième semestre.

On ne sait pas grand-chose sur les… enfin, quels sont les publics étudiants qu’on va pouvoir accueillir, etc.

Mais je voulais aussi ajouter, en plus des annonces qui sont faites dans la presse, il y a quand même aussi un certain nombre d’étudiants qui ont des concours à passer avec des épreuves orales qui sont assez spécifiques.

Ce serait bien de pouvoir voir ces étudiants en vrai et les entraîner aux épreuves orales qui sont aux concours à la fin de l’année, donc… Voilà.

Ce n’est pas forcément des gros effectifs.

Est-ce que ce sera possible de les faire revenir sur site avant l’intégralité de tous les étudiants pour les préparer à ces épreuves spécifiques ou pas ?

Le Président.- Pour les salariés et les contractuels, on va faire au plus vite.

Enfin, voilà. Donc désolé mais, effectivement, on n’a pas beaucoup avancé sur ce terrain-là.

Sur la rentrée, pour l’instant,… Enfin, là, pour le coup, la journée a été bien occupée, on ne sait pas du tout comment cela va être suivi d’effet… Comment la prise de parole de la ministre va être suivie d’effet. Quand ? À quel moment ? Est-ce qu’on aura des instructions nouvelles demain ? Le 3 au soir ? Le 4 au matin ? Peut-être le 31 ? On ne sait pas. Voilà.

Donc, là, je n’ai aucune réponse possible à donner.

Les étudiants qui se préparent à un oral, c’est vrai que… Enfin, cela, c’est une question, pour l’instant, qu’on n’a pas vraiment évoquée, mais c’est vrai qu’être en situation, cela n’a rien à voir avec un oral par Teams. Cela, c’est sûr ! C’est évident.

Donc, est-ce qu’on peut faire rentrer cette préparation, cet exercice dans la catégorie des enseignements à caractère pratique ? Cela se plaide. On peut…

Mme Cénac.- Ce n’est pas rémunéré, à l’heure actuelle, en TP, mais si c’est...

Le Président.- Non... Oui, mais attention, ce sont bien des enseignements à caractère pratique, si bien qu’on peut faire des cours de théâtre, on peut faire des cours de chant, on peut… Mais ce n’est pas des TP à proprement parler. Enfin… En tout cas, ce n’est pas la même chose qu’un TP en biologie.

Et c’est bien des enseignements à caractère pratique qui sont… Enfin, oui, on peut avoir un programme pédagogique théâtral ou musical par Teams, d’accord.

OK. Mais bon, le son et puis le jeu, etc. C’est catastrophique. Enfin, ce n’est pas pareil.

Donc, il y a eu, au-delà des TP, des enseignements qui ont été autorisés par le Recteur de région et qui concernaient notamment des enseignements artistiques.

Cela, je l’ai su.

Donc moi, pour les étudiants qui préparent, par exemple, une épreuve orale, qui se préparent à des concours sous forme d’épreuve orale, etc. D’autant plus que quand on les prépare, on les prépare… Enfin, je veux dire pour des galops d’essai.

Là, on peut imaginer qu’on puisse obtenir…

Je ne prends pas la décision parce que ce n’est pas moi qui la prends, c’est le Recteur de région. En tout cas, on peut soumettre au Recteur de région l’autorisation de les accueillir de manière tout à fait exceptionnelle parce qu’ils se préparent à des épreuves qui nécessitent évidemment la confrontation in situ et en présentiel.

Mme Pucéat.- Peut-être que, du coup, on pourrait faire redescendre l’information auprès des directeurs de composantes pour qu’ils fassent l’appel sur le terrain pour savoir si…

Le Président.- Oui. Si cela intéresse ou…

Mme Pucéat.- Qui est concerné et qui…

Le Président.- …qui cela intéresse et…

Mme Pucéat.- Et puis refaire une demande groupée au niveau de l’uB.

Le Président.- Oui. On pourra voir cela. Je ne sais pas si Karen est encore avec nous.

Je ne sais pas si cela a été fait, je n’en sais rien, peut-être, mais…

M. Le Moyne.- Si.

Le Président.- Si. Cela a été fait ? M. Le Moyne.- Oui. Oui.

Le Président.- D’accord.

M. Le Moyne.- De façon… Comment cela s’appelle ? Par précaution en tout cas, Karen a demandé aux directeurs de composantes de remonter une liste d’enseignements qui avaient besoin, par leur caractère pratique, de présentiel bien que les directives ne soient pas claires. Et donc, là, c’est de la responsabilité de chaque composante de remonter…

Le Président.- Alors, oui. Cela, oui. Alors, oui effectivement, mais peut-être pas sous…

Mme Pucéat.- Peut-être spécifier que…

Le Président.- …tu vois, peut-être pas avec l’éclairage prépa concours, prépa au grand oral, etc.

M. Le Moyne.- Cela me semble évident, mais bon.

Le Président.- Oui. OK.

En tout cas, pour la rentrée, on va se mettre en éveil pendant les fêtes - n’est-ce pas ?-, histoire de débrancher.

Non, mais on verra. On verra… On réagira de la manière la plus rapide et la plus utile.

Je ne suis pas certain qu’il y ait une nécessité absolue de se précipiter sur ce qui va arriver pendant les vacances pour régler la question de la semaine du 4 au 11.

Franchement, je ne crois pas. Ce serait, à mon avis, même contre-productif.

En revanche, au 4 janvier, on sera évidemment sur le pont, peut-être probablement un peu avant.

De toute façon, il est prévu, comme je le disais ce matin, une réunion avec les directeurs des composantes dès le début de la semaine pour informer, pour voir ce qu’on fait, comment on fait, etc., et avec une mise en œuvre, à mon avis, plutôt sur le 11 janvier que sur le 4.

Mme Pucéat.- En fonction de la situation épidémique après les fêtes de toute façon, c’est susceptible d’être remis en cause de la même manière le 10 janvier.

Le Président.- Cela explose partout en Europe. En Suisse, ils ont des taux d’incidence rapportés à 100 000 plus élevés qu’en France. En Suède, alors que la Suède était citée en exemple, c’est plus encore.

Alors, mon propos n’a pas pour but de défendre le gouvernement, mais quelle que soit la stratégie adoptée, parce que, là, on a un panel de stratégies extrêmement diversifié, manifestement, à un moment ou à un autre, cela explose.

En Allemagne, cela marchait très bien, ça y est, c’est parti. En Suisse, c’est en train de monter. Le Danemark pareil. Enfin, bon... Partout. Partout.

Alors, il y a des endroits où on est peut-être plus négligent, cela explose davantage. Par exemple, aux Etats-Unis, en ce moment, et le Brésil, qui sont quand même dans des situations catastrophiques.

Il ne semble guère que la Chine échappe…

C’était une petite blague de fin de CA. D’accord ?

En revanche, l’Afrique, elle y échappe beaucoup plus et, à mon avis, ils sont sans doute plus sérieux.

Donc voilà.

Sur ce, s’il n’y a pas d’autres questions diverses, on va pouvoir clore ce long CA de fin d’année.

Ah pardon ! Si !

M. Le Moyne.- Excusez-moi, mais une petite dernière, mais cela me semble vraiment capital.

Les écoles internes de l’université de Bourgogne et de l’université de Franche-Comté, au sein de la COMUE, ont un statut défavorable vis-à-vis des écoles dites « externes » qui, elles, sont membres fondateurs de la COMUE et donc ont accès à des prérogatives de gouvernance, via le conseil des membres, que les écoles internes, de fait, n’ont pas.

Dans la précédente mandature et au cours des mandats d’administration provisoire, un accord de consortium permettait à l’ensemble des écoles d’être représentées, au sein de la gouvernance de la COMUE, par un vice-président.