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Annexe 3 : Définition du sujet âgé (selon les critères de Fried)

I. ANALYSE DESCRIPTIVE DE LA POPULATION ET DES CAS

D’INFECTIONS URINAIRES : ... 10 A. Caractéristiques de la population d’étude ... 10 1. Age : ... 10 2. Sexe : ... 11 3. Les antécédents des patients : ... 12 4. Signes fonctionnels à l’arrivée aux urgences ... 13 B. Données cliniques à l’admission : ... 14 1. Score de Glasgow (GCS) : (annexe 2) ... 14 2. Tension artérielle à l’arrivée aux urgences... 15 3. Le Poids : ... 16 4. Fréquence cardiaque : ... 17

5. Fréquence respiratoire : ... 18 6. Patients en sepsis : ... 19 7. Glycémie capillaire à l’arrivée aux urgences : ... 20 C. Examen clinique : ... 21 1. Signes physiques : ... 21 2. Bandelette urinaire : ... 22 E. Examens complémentaires : ... 23 1. Bilan sanguin standard : ... 23 a. Leucocytose : ... 23 b. Hémoglobine : ... 23 c. Protéine C réactive (CRP) : ... 24 d. Présence ou non d’une insuffisance rénale : ... 24 2. L’échographie rénale : ... 25 a. Calcul au niveau des voies urinaires : ... 25 b. Collection péri-rénale : ... 26 c. Hypertrophie bénigne de la prostate ... 27 3. Examen cytobactériologique des urines : ... 28 a. Examen direct : ... 28 b. Culture : ... 30

b.1) Répartition des germes responsables de l’infection urinaire selon le sexe : ... 31 b.2) Répartition des germes responsables de l’infection urinaire selon

c. Antibiogramme : ... 34 c.1) Amoxicilline+ Acide Clavulanique : ... 34 c.2) Cefixime ... 36 c.3) Ceftriaxone : ... 37 c.4) Norfloxaine... 38 c.5) Ofloxacine ... 39 c.6) Trimethoprime-sulfaméthoxazole ... 40 4. Diagnostic retenu : ... 41 5. Traitement de l’infection urinaire : ... 42 a. Cystites simples : ... 42 a.1) Antibiothérapie probabiliste reçue : ... 42 a.2) Prescripteurs : ... 43 b. Cystites comliquées : ... 44 b.1) Antibiothérapie probabiliste reçue : ... 44 b.2) Prescripteurs ... 44 c. PNA non compliquées non graves : ... 46 c.1 Antibiothérapie probabiliste reçue : ... 46 c.2) prescripteurs : ... 47 d. PNA simples ou à risque de complications avec signes de gravité : ... 48 d.1) Antibiothérapie probabiliste :... 48 d.2) prescripteurs : ... 48

DISCUSSION ... 49 I. GENERALITES : ... 50 A. Epidémiologie ... 50 B. Terminologie : ... 51 1. Colonisation urinaire : ... 51 2. Infection urinaire : ... 51 2.1 Infections urinaires simples ... 52 2.2 Infections urinaires à risque de complication ... 52 2.3 Infections urinaires graves... 53 II. DIAGNOSTIC DE L’INFECTION URINAIRE : ... 55 A. Clinique ... 55 1.. Interrogatoire: ... 55 2) Signes fonctionnels : ... 55 3. Signes physiques : ... 57 B. Outils diagnostiques de l’infection urinaire ... 57 1. Bandelettes réactives chimiques : ... 57 1.1 Conditions de prélèvement : ... 58 1.2 Interprétation : ... 58 1.3 Performances diagnostiques de la BU : ... 59 1.4 Indications de la BU dans le diagnostic d'IU ... 60 2. Examen cytobacteriologique des urines (ECBU) : ... 61 2.1Conditions de prélèvement : ... 61 2.2 Conditions de transport et de conservation : ... 61 2.3 Interprétation de l'ECBU : ... 62

2.4 Examen direct : ... 62 2.5 Culture : ... 64 III. TRAITEMENT DE L’INFECTION URINAIRE : ... 67 A. Nouvelles recommandations thérapeutiques : ... 67 1. Cystites ... 67 a) Cystites simples ... 67 b) Cystites recidivantes ... 68 c) Cystites Compliquées ... 69 2. Pyelonephrites aigues ... 70 a) Pyelonephrites aigues simples ou compliquees sans signe de gravite ... 70 b) Pyelonephrites aigues simples ou a risque de complications avec signes de gravite ... 72 3. Infections urinaires masculines ... 72 a) Infections urinaires masculines sans signe de gravite ... 72 B. Apports des nouvelles recommandations de la SPILF 2015 : ... 74 1) Pour les cystites simples : ... 74 2. Pour les cystites compliquées, le traitement n’a pas été modifié. ... 74 3. Pour les PNA non graves, il est possible de mettre un traitement d’une durée de 7 jours en cas de traitement complet par B-lactamine parentérale. ... 74 4. En cas de PNA non grave à EBLSE, le traitement de relais s’effectue par : .. 74 5. Pour les PNA graves : ... 74

V. RESISTANCE AUX ANTIBIOTIQUES : ... 77 1) Modalités de résistance aux antibiotiques : ... 77 2) Profil de résistance d’Escherichia coli aux antibiotiques dans les infections urinaires : ... 81

2.1Amoxicilline : ... 82 2.2Amoxicilline + acide clavulanique ... 82 2.3Pivmécillinam : ... 83 2.4 Céphalosporines de troisième génération (C3G): ... 83 2.5Triméthoprime-sulfaméthoxazole (TMP-SMX) :... 84 2.6Quinolones : ... 84 2.7 .Fosfomycine-trométamol (MONURIL): ... 85 2.8 Nitrofurantoïne (FURADANTINE): ... 86 2.9 Aminosides : ... 86 VI. DISCUSSION DES RESULTATS DE L’ETUDE : ... 87 1. Caractéristiques Sociodémographiques de la population étudiée ... 87 2. Comorbidités et facteurs de risque des infections urinaires ... 88 3. Signes fonctionnels : ... 89 4. Signes physiques : ... 89

a) Constantes : Score de Glasgow, poids, Fréquence cardiaque, Tension

artérielle, fréquence respiratoire, Glycémie capillaire : ... 89 b) Examen clinique : ... 90 c) Bandelette urinaire :... 90 5. Conformité des examens complémentaires :... 91 6. Epidémiologie bactérienne : ... 91 a) Résistance de l’Escherichia Coli aux différents antibiotiques : ... 92

b) Taux de résistance de Klebsiella pneumonae : ... 93 c) Résistance du Pseudomonas aeroginosa aux antibiotiques : ... 93 d) Résistance du staphylocoque aureus aux antibiotiques : ... 94 7. Conformité des prescriptions thérapeutiques : ... 95 a) Cystites simples : ... 95 b) Cystites compliquées : ... 96 c) PNA non compliquée non grave ou à risque de complications ou avec signes de gravité:... 96 LIMITES DE L’ETUDE ... 98 LIMTES DE L’ETUDE : ... 99 1. ECBU polybactériens : ... 99 2. BANDELETTE URINAIRE : ... 99 3. ADAPTATION DE L’ANTIBIOTHERAPIE : ... 99 LIMITES METHODOLOGIQUES DE L’ETUDE :... 100 1. Etude monocentrique : ... 100 2. Les nouvelles recommandations de la SPILF 2015 : ... 100

CONCLUSION ... 101 RESUMES ... 103 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ... 116

Le profil épidémiologique des infections urinaires au service des urgences médico-chirurgicales de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V Rabat : Etude prospective à propos d’une série de 100 patients

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Le profil épidémiologique des infections urinaires au service des urgences médico-chirurgicales de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V Rabat : Etude prospective à propos d’une série de 100 patients

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Les infections urinaires sont un motif fréquent de consultation et de prescription au service des urgences; Elles représentent le deuxième site d’infection bactérienne après l’appareil respiratoire [1].

Le micro-organisme le plus fréquent est l’Escherichia.Coli il est retrouvé dans 70% à 90%des cas, viennent ensuite d’une façon minoritaire, le proteus mirabilis, le staphylococcus aureus et la klebsiella pneumonae

L’infection urinaire pose beaucoup de problèmes diagnostiques vu ses aspects polymorphes, mais également des problèmes thérapeutiques vu l’évolution de la résistance des bactéries responsables aux antibiotiques et l’apparition des bactéries multirésistantes, ce qui expose à des impasses thérapeutiques, d’où le renouvellement fréquent des protocoles.

La découverte des antibiotiques (ATB) a permis depuis une cinquantaine d’années l'une des plus grandes avancées de la médecine. En France, en ville comme à l'hôpital, la consommation des ATB est une des plus élevées au monde et le coût induit n’est pas négligeable.

Une prescription inadaptée d’antibiotiques peut avoir des répercussions sur l’augmentation de la morbidité et de la mortalité, de la durée de séjour, de la charge de soins, des coûts d'hospitalisation, sans oublier les sélections/émergences de résistances à l'origine d'échecs thérapeutiques, de surinfections ou de portages occultes sources de transmissions croisées et de diffusion de la résistance.

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En juin 2008, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a définit une classification des infections urinaires et a proposé pour la première fois l’antibiothérapie adaptée en première et deuxième intention, en précisant la molécule, la posologie et la durée du traitement [2].

Par ailleurs, du fait du contexte d’urgence et de la surcharge de travail, le bon usage des antibiotiques est particulièrement difficile à appliquer dans les services d’accueil des urgences (SAU), sans oublier la difficulté à obtenir les résultats bactériologiques qui se font à posteriori. Ceci montre la complexité, dans le contexte d’urgence, du diagnostic des infections, notamment les infections urinaires (IU).

En 2015 la société de pathologie infectieuse en langue française (SPILF) a définit les dernières recommandations, basées sur des données réactualisées, pour une prise en charge optimale des infections urinaires communautaires. Outre l’efficacité et la tolérance, les critères de choix des antibiotiques incluent l'effet collatéral sur le microbiote intestinal (réservoir des bactéries résistantes) en conformité avec le rapport de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) sur la caractérisation des antibiotiques considérés comme critiques [2].

En tant que premiers prescripteurs aux urgences, nous nous sommes donc intéressés dans notre étude à la prescription des antibiotiques aux urgences et spécifiquement dans les cas d’infections urinaires et nous avons analysé nos pratiques quotidiennes concernant la prise en charge de ces dernières en référence aux recommandations internationales [3].

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