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V-3.1.1: Les résistances au changement, axes d’analyse 1 & 2: Comparaison des postures globales Débutants vs Confirmés

Pour identifier niveaux et origines éventuelles des résistances, nous avons établi deux diagrammes pour chaque groupe de population.

- Le premier de ces diagrammes vise à « mesurer » la réticence globale du groupe à partir du critère que nous avons établi selon les 2 premiers indices de perception de compatibilité de l’invention d’E. Rogers.

- Le second nous permet d’identifier la typologie d’origine des résistances en examinant chaque sous-critère sans pondération.

Graphique 2 : Compara

La lecture de ces diagra population présentent une Cette tendance semble lié attachement aux formes en public de référents actions Il est à noter que la popul critère relatif à la comp tableaux suivants). Pour les deux groupes de pratiques jouent en faveu l’avantage relatif perçu et Nous nous intéresserons d notre attention sur les para Pour effectuer cette analy confirmés, établi un ens corrélations entre les pa tableau 11, chap. V-1.1.2)

raison des degrés et catégories de résistance en confirmés (F. Bernard, 2013)

grammes nous permet de constater que les une tendance à l’adhésion plus marquée du c

liée à une plus grande capacité de déviance s en place de la part des confirmés (L’influence ons innovantes est sans doute à considérer). pulation de débutants marque un indice de légè

patibilité identitaire (notée compatibilité pe de population, si l’attachement aux formes et l eur de l’adhésion, cette tendance est des plus re et la capacité de déviance.

s donc particulièrement à la population de déb aramètres semblant avoir une influence sur ces alyse nous avions pour chaque groupe de popul

nsemble de graphiques permettant de visua paramètres de populations, les pratiques ou .2) par rapport à nos 8 critères de résistance.

entre débutants et

les deux groupes de côté des confirmés. nce et un plus faible nce de la nature de ce gère résistance par le personnelle dans les t la compatibilité des s relatives concernant ébutants et porterons es trois critères. pulation, débutants et ualiser d’éventuelles u les postures (voir

Dans chaque graphique, la réticence croit vers la droite

Réticence globale par critère « Roger » pondér Réticence globale par la moyenne des critère Réticence relative au critère d’avantage relat Réticence relative aux seuls critères de compatibilité Réticence relative au critère de compatibilité personnell Réticence relative au critère de compatibilité de pratiqu Réticence relative au critère d’attachement aux forme Réticence relative au critère de capacité de dévianc

Analyse de pratiques vs Formes

Dans tous ces graphiques, la tendance globale indique l’inté nuage de points permet de cor l’indice de réticence.

Nous nous concentrerons uniq globaux par calcul exposé préc En plus des pistes identifiées p l’ensemble des graphiques pou Un éventuel effet de la discip qu’examiné au cas par cas. Pour les critères définis, les gra Ceux pouvant représenter des liés par des flèches.

Illustration 17 : Nomencla

paramèt

- Pour la réticence relativ

- Pour la réticence relativ

Les grap de para répartit significa 1 0 . c o n st . d e re ss o u rc es 1 1 . A tt . D e p ar ta ge 1 2 . A tt . D e d if fu si o n 2 1 . & 2 2 a ct iv it és d ’a n al ys e 2 5 . â ge 2 6 . C 2 i2 e 2 6 . N iv ea u d ’é tu d e 2 6 . D is ci p lin e Im p lic at io n in st it u ti o n n e lle Im p lic at io n s o ci al e Im p lic at io n W eb pondéré s critères age relatif patibilités rsonnelle pratique ux formes déviance

la résistance apparait croissante en abscisse, intérêt éventuel du graphique. L’examen de la orroborer ou d’infirmer un lien d’influence du niquement sur les critères racines dont dépende récédemment (Cf : tableau 10, chap V-1.1.2) s par la première approche globale, il conviendr

ur déceler d’éventuels cas de compensations. cipline d’origine (paramètre non linéarisable) n

graphes pouvant correspondre à une tendance s es tendances qui se compensent pour un critè

clature des graphiques croisant critères de rési ètres de population (F. Bernard, 2013)

ative à l’attachement aux formes

ative aux critères d’avantage relatif

Les graphes pouvant représenter des effets de paramètre se compensant présentent des répartition de points trop dispersés pour être significatives. Im p lic at io n W eb A ge n t A u te u r A ct eu r C2i2e vs Formes e, une droite de la répartition du du paramètre sur ndent les critères

ndra d’examiner, e) ne pourra être

e sont encadrés itère donné sont

Partage de production vs avantage relatif Niveau d’étude vs avantage relatif C2i2e vs compatibilité personnelle

Les répartitions de points l’activité d’analyse de p d’identifier de lien. - Pour la réticence re Analyse de pratiques vs avantage relatif Posture d’acteur vs avantage relatif Implication institutionnelle vs compatibilité personnelle

nts des graphes reflétant l’influence des attitu pratique et celle de la posture d’acteur, n

L’allure de la répartition de l’influence du ni elle laisser supposer une tendance de baisse d l’augmentation de ce niveau d’étude ? Même si cette tendance est la plus marquée paramètres, la dispersion reste trop importa quoi que ce soit. Nous ne pouvons conclure à et admettrons que son effet sur la percept relatif soit complété par le cumul de paramètres.

e relative au critère de compatibilité personnelle Pas d’interpréta à l’influence d C2i2e ou du d institutionnelle. itudes de partage, de , ne permettent pas

niveau d’étude peut- e de la réticence avec

ée de l’ensemble des ortante pour affirmer e à sa prépondérance, eption de l’avantage e ceux des autres

elle

étation possible quant de la certification degré d’implication

Analyse de pratique vs

deviance C2i2

Avantage relatif

Disciplines d’origine vs critè

- Pour la réticence relativ

- Concernant les effets po

La plupart des disciplines appa Il apparait toutefois des postu perçu et la compatibilité de pr de l’éducation et Sciences natu Ces constats sont à tempérer au Quatorze enseignants issus de naturelles.

C2i2e vs déviance

Compatibilité de pratiques Déviance

e vs critères de résistance

ative au critère de capacité de déviance

Pas d’interprétation poss l’influence de l’activité pratique ou de la certificat

s possibles de la discipline d’origine sur les diffé

paraissent comme neutres sur les 3 critères. stures d’adhésion plus marquées suivant l’av pratiques pour les enseignants issus des forma aturelles.

r aux effectifs respectifs :

des Sciences de l’éducation contre trois issus

ossible quant à té d’analyse de cation C2i2e. ifférents critères ’avantage relatif ations Sciences

Partages deb. S.E. vs déviance

Pour ce groupe particul débutants issus des l’éducation :

Le graphe suivant, n catégoriser ses résistan comparer à l’ensemble débutants.

Nous constatons qu d’avantage relatif perçu pa double de celui de enseignants débutants. Le point de résistanc compatibilité identitaire ( déplacé vers la capacité de Les points d’adhésion obs l’attachement aux for compatibilité des pratiq moins marqués.

Il y a peut être « d’installation » plus p métier d’enseignant, un forte aux formes de ce réticence plus grande à r des routines de travail con Si on examine de plus p déviance, on trouve des te sur l’ensemble de la popul

Degrés et catégories de rési de débutants issu des scienc culier d’enseignants es Sciences de nous permet de tances, et de les le du groupe de que l’indicateur par ce groupe est le e l’ensemble des ance relatif à la e (personnelle) s’est de déviance. bservés en rapport à formes et à la atiques sont aussi

e là une trace précoce dans le une adhésion plus ce métier et une à remettre en cause

onstruites depuis plus longtemps.

s près le point de réticence relatif à l’indicate tendances plus marquées des effets des paramè pulation.

L’attitude de partage de production

Il semble que plus les usages en place dons, plus la réticence est élevée envers le d Ce résultat paradoxal peut être lié à l’attache interpersonnelles directes inhérentes aux p ainsi qu’aux rémunérations symboliques faire l’objet. ésistances du groupe ences de l’éducation ateur de capacité de mètres déjà examinés correspondent aux e dispositif.

chement aux relations x pratiques en usage dont elles peuvent

Analyse de pratiques deb. S.E. vs déviance

C2i2e deb. S.E. vs déviance Conc inver est im Co un d’a

L’analyse plus poussée de ce personnes met en lumière un professionnel et de l’analyse l’éducation.

En effet, les résultats tendra dispositif plus dans le champ commun, de diffusion de trava les stades de formations initi formation C2i2e par un volet a et de partage en ligne.

Toutefois, aucune tendance m critères de résistance choisis n interrogés. Si ces tendances ex d’enquête plus importante pou considérer que si une rétic l’innovation, celle-ci peut être considérer pour envisager de la

ncernant les activités d’analyse de pratique, la erse, plus elles sont en usage, moins l’indice important.

Concernant le C2i2e, la dispersion des points une conclusion tranchée, mais laisse présager d d’adhésion croissante avec le niveau de certifica

ce dernier groupe, même s’il n’est composé qu une singularité vis-à-vis des pratiques socia

yse praxéologique des anciens étudiants de draient à montrer une reconnaissance des p mp des analyses de pratiques que dans celu avaux. Il s’agit sans doute là d’une voie à enco itiales. Il serait sans doute aussi pertinent de et axé spécifiquement sur les pratiques de trava

marquée de relation entre les paramètres o s ne semblent particulièrement émerger pour l’

existent, elles auraient sans doute nécessité u pour apparaître de façon tangible. Nous en res ticence existe concernant la compatibilité re multifactorielle et que tous les champs la com e la réduire. , la tendance est ice de résistance ts ne permet pas r d’une tendance fication que de quatorze ciales en milieu de Sciences de possibilités du elui de mise en ncourager depuis de compléter la avail collaboratif observés et les r l’ensemble des é une population resterons donc à é personnelle à composant sont à

V-3.1.2 : L Le dépouillement des répo précédemment, de qualifi les comparer aux requis in l’ensemble de graphiques *De par le faible échantill qualification ne prétend p refléter au mieux les élém système dans le cadre défi

Illustration 18 : Usages pr Le principe d’analyse étan présentent pas d’unité. To respectée dans les tablea institutionnels et préconisa

V-3.1.2.1 : Caract Elle est estimée par la pr données définies précédem d’implication des débutan - Champ professionnel (qu - Champ social (qui peut ou non)

- Champ numérique (qui p Il s’agira donc d’évaluer typologie des usages.

Graphique 3 : Implication

L’analyse des besoins, axes 3 et 4:

éponses du questionnaire nous permet, suivant lifier* les usages et implications des débutants s institutionnels et préconisations Web pour le c

es suivant.

tillonnage d’enquêtés (40 débutants et 12 confir pas établir de taxonomie généralisable, mais éments qui devront être pris en compte pour le

éfini par l’enquête.

professionnels et sociaux (F. Bernard, 2013)

étant basé sur les comparaisons, les échelles so Toutefois l'homogénéité d’échelle de mesure es leaux et entre ceux comparant usage de la

isations Web 2.0.

actérisation des populations

prise en compte coefficientée et pondérée de t demment (Chap. V-1). Ce graphique permet de tants et confirmés dans les trois champs d’usage (qui peut intégrer des usages sociaux et numériq

ut intégrer des usages personnels ou professio i peut intégrer des usages personnels ou profess uer l’expression des postures d’usages sans t

on d’usages Débutants/Confirmés (F. Bernard,

nt les critères définis ts et confirmés et de e connectivisme dans nfirmés), ce travail de is tente seulement de le développement du sont arbitraires et ne est scrupuleusement la population, requis

e toutes les réponses de comparer le degré ges suivants: ériques) sionnels, numériques essionnels). s tenir compte de la d, 2013)

- Débutant vs Confirmés Les postures d’implication app Martin et les confirmés de la m L’implication est répartie de fa On retrouve cette homogénéité

Graphique 4 : Typologies d’usa Un échantillon de p d’examiner l'influence de l’anc d’auteur. Cette hypothèse est découlant des besoins analysés D’autre part, le systè intéressant de comparer ces r population de confirmés non résultats d’implication numér résistance globalement exprim montrer que les “pionniers” po

- Institution vs Numériqu Un point de divergence des o préconisations Web 2.0 porte s Le pic d’implication requis p usages induits par les possibili pratiques d'acteur/auteur étant système connectiviste. Elles on usages Web 2.0, tant sur le pla Web 1.0 aurait sans doute pr numérique moins élevée).

és

pparaissent très proches entre les débutants en a mission innovation premier degré de Guadelou

façon équilibrée sur les trois champs. ité dans la typologie des usages:

usages Débutants/Confirmés (F. Bernard, 2013)

population plus important nous permett ancienneté dans les transitions de postures d’ag est à mettre en relation avec les évolutions sés ci-après.

stème étudié visant un public non spécialis s résultats avec ceux qui auraient été obtenus on profilés actions innovantes. Il est fort pro érique et sociale soient surestimés. Toutef rimée par les confirmés de la cellule innovat possibles correspondraient à leur profil.

ique

s objectifs d’implication ente les requis institu e sur le champ des usages numériques.

pour les usages Web 2.0 peut être lié au bas ilités techniques offertes de collaboration et pu ant une des conditions attenantes à la mise e ont une influence majeure sur l’implication re plan numérique que social (le tracé corresponda présenté un déficit d’implication social et un

en poste à Saint- loupe.

13)

ettrait peut-être ’agent vers celle ns d’implication

alisé, il eut été us auprès d’une robable que les tefois, la faible vation tendent à itutionnels et les basculement des publication. Ces en œuvre d’un requise dans les ndant aux usages une implication

L’implication requise pa passage au Web 2. Au delà des visées d’impl divergence des pratiques a

Graphique 5 : Typologies

Bien qu’archétypales, ces orientations données aux compatibilité aux usages sociaux se fait sur des pos posture d’acteur au détr préconisent l’inverse) Cette estimation étant ba ruptures dans le contexte l’historique des politique attenant au numérique. Correspondant à un beso sont présentées comme u numérique requise par l’i enseignants devraient don être plus favorables à des

- Population vs Ins Sur les champs des usage apparaissent légèrement e ces deux critères corres déséquilibre de besoins. Sur le champ des usage implication supérieure a Web2.0.

par l’institution est bien moindre que celle plication, l’analyse comparée des typologies d s attendues

es des usages Institution/Web 2.0 (F. Bernard, 2

es deux typologies montrent (dans notre grille aux usages des enseignants ne vont pas da

es Web2.0 et que le recoupement sur les imp ostures radicalement opposées (Les usages We étriment de celle d’agent, alors que les req

basée sur les textes en vigueur, il est importa te évoqué en revue de littérature, notamment e ues d'éducation et leur évolution en cours, soin identifié par les instances, ces nouvelles une priorité de la politique éducative en Fra l’institution et les orientations des usages du onc se rapprocher de celles préconisées par le es fonctionnements connectivistes.

Institution et Web 2.0

ages professionnels et sociaux, les implication t en deçà des requis et préconisations. Le mod respondant à une définition idéalisée, cela ages numériques, les deux populations laisse

aux requis institutionnels, mais en deçà d

le préconisée par le s d’usage montre une

, 2013)

lle d’analyse) que les dans le sens d’une mplications d’usages eb2.0 privilégient la requis institutionnels

rtant de replacer ces nt en ce qui concerne dans les domaines les lignes de fracture rance. L’implication du numérique par les r le Web 2.0 et donc

ions de la population ode de définition de ne traduit pas un issent apparaître une à des préconisations

Le contexte d’orientation poli hausse des requis, un doub compléter le besoin d’origine f Ces deux besoins concomitan usages collaboratifs ou sociaux Les nouveaux usages escom pratiques connectivistes, qu’à d’auteur dans la professionnali

V-3.1.2 Dans cette partie, nous nou identifiées et questionnées et le

- Concernant l’usage du mail (Q La seule divergence observa un déficit d’usage de leur boite par les professeurs confirmés. se manifestant pas chez les déb peut pas conclure à un besoin à formation des enseignants o des usages institutionnels. La totalité des enquêtés utilis une boite mail, il n’y a pa particulier pour la compatibilit

- Concernant l’usage des rése (Q8.3 et Q9.4) :

Autour de 70% de chaque p utilise, mais l’usage lié à la pro très minoritaire (5% parmi l 8,5% parmi les confirmés). En termes de besoin, cette situ problème vis-à-vis de l’app principes Web2.0. L’écart cons analysé suivant deux points de

* Identitaire: les usage la séparation de leur (professionnelle, sociale sociale virtuelle) sont en r transfert de ces outils priv sphère professionnelle. De par de la rencontre avec le Guadeloupe, cette hypothèse n négligée, il semble y avoi population un fort attachemen d’usage social caché pour leq frontière suffisante.

*Fonctionnelle: Les re l’usage de ce type d’outils, s’i

olitique déjà évoqué laissant présager un réaj uble besoin d’origine institutionnel devrait e fonctionnel au Web2.0 en lumière.

tants devraient justifier la mise en place de fo aux associés à la transition au Web2.0,

mptés devraient participer autant à la mise celle de situations propices au développeme alisation des enseignants.

.2.2 : Les besoins liés aux formes de pratique ous attacherons à estimer les écarts entre t les requis institutionnels ou préconisations We

il (Q8.1 et 8.2) : vable concerne oite académique s. Ce déficit ne débutants, on ne in à combler par ou adaptation lisant au moins pas de besoin ilité Web2.0. seaux sociaux population les profession reste i les débutants, ituation pose un application des onstaté peut être de vues:

gers, attachés à urs identités individuelle, résistance au rivés vers leur par les contenus les NPS de e ne saurait être oir dans cette ent à une forme

equel l’anonymat numérique relatif pourrait ne

requis institutionnels ne mentionnant pas de f s’ils ne sont pas officiels, ils se trouveraient n

éajustement à la ait logiquement formations aux ise en place de ment de postures ues e des pratiques Web2.0

t ne pas être une

e façon explicite naturellement à

la marge de l’usage profe observé auprès de la popu Dans ce dernier cas, ce principes Web2.0 qui con que des confirmés.

L’usage de réseaux socia connectiviste, la réponse requis institutionnels ver sociaux d’Internet. Cela enseignants, tout en insi sociétales de ces usages:

Compétence 8 “... s'im responsable des réseaux n éventuels”

- Concernant les usages d et diffusion de contenus Q8.6, Q9.5, Q11. et Q12. Moins de 9% des interro un blog ou un site Web(Q La participation à des f distinction de thématique privée ou professionnell 15% des débutants cont confirmés (Q8.5)

Aucun des interrogés ne un Wiki (Q8.6)

Ces résultats sont à c pratiques sociales des in pratiques n’intègrent pas don ou d’échange de prod publication et de diffusion Pourtant, il apparaît q participent à des échang contre 50% des confirmés bien que non hégémoni considérées comme coura jamais l’objet de publicati Considérant qu'environ déclarent utiliser des app contenus en ligne (Q professionnelles, se pose tensions sur les trois axe usages personnels; Web2.0/Cadre institutionn Toutefois, il faudra cons outils est régulièrement Proxy des établissements passante de connexions limitées. De plus la

ofessionnel. Cette hypothèse est elle compatib pulation de confirmés ?

e serait ainsi l’écart entre la prescription ins constituerait un besoin s’exprimant autant du

ciaux étant un impératif à la mise en place se au besoin se traduirait nécessairement par vers l’intégration d’un usage social non maî va dans le sens d’imposer la certification nsistant dans le référentiel de compétence su

'impliquer dans l'éducation à un usage ci x numériques ouverts sur l'internet et à leurs

s de publication s (Q8.4, Q8.5, 2.b.3) : rrogés tiennent (Q8.4) s forums (sans ue, qu’elle soit elle) concerne ontre 17% des ne contribue à

considérer au regard des interrogés. En effet, si ces pas des fonctionnements de roduction, l’usage d’outils de ion ne se justifie pas.

que 75% des débutants nges d’ordre professionnels és (Q12.b.3). Ces pratiques, oniques, peuvent donc être rantes. Elles ne font pourtant ation internet(Q11).

on 70% des interrogés pplications de diffusion de (Q9.5), à des fins non se à nouveau la question des axes: usages professionnels; dichotomie principes