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Les œuvres de la maîtrise

Dans le document Faire voir l'absence (Page 44-65)

Chapitre 2. Manifestation de l’ambiguïté et du dualisme dans mes œuvres

2.2 Les œuvres de la maîtrise

« Le seul vrai voyage de découverte ne consiste pas à découvrir de nouveaux endroits, mais à regarder avec de nouveaux yeux »76 Proust

Je me suis posé la question sur la portion à donner à voir — de la coupure d’un corps provoquée par les bords de l’image. La plupart des corps n’apparaissent que partiellement, se réduisant à quelques fragments, ce qui engendre des effets mystérieux chez le spectateur. J’ai essayé, par différents procédés, d’établir un mode de

74 Cauquelin, Anne, Fréquenter les incorporels, Paris : PUF, 2006, p.43 75 Paillé, Louise, La démarche de création, Trois-Rivières : Le Sabord, 2004, p. 15 76 Proust, Marcel. Site Web : http://www.maphilo.net/citations.php?cit=2051

communication avec le visiteur en tentant de créer une expérience visuelle qui l’implique dans une relation sensorielle à l’œuvre.

En maîtrise, j’ai poursuivi mon expérimentation sur la disparition du corps-image, en présentant les traces survivantes dans la mémoire, comme stigmates, afin de créer des effets optiques qui induisent une illusion de mouvement. À un univers plongé dans le noir s’oppose un univers lumineux. La lumière comme matériau, donne à voir et à penser.

L’ambiguïté perceptuelle devient une valeur importante, utilisant le temps, la transparence et la lumière comme supports. Le temps perd son emprise sur le présent pour devenir métaphore de la mémoire et des rêves. Le temps-durée devient mémoire et histoire.

L’exploration des propriétés matérielles, physiques et spatiales de la lumière a suscité l’utilisation de nouvelles stratégies et de nouveaux moyens pour exprimer l’ambiguïté. Ainsi, les jeux d’ombre et de lumière, et le clair- obscur occupent une place centrale. L’utilisation des nouvelles technologies me permet de créer des situations dans lesquelles fiction et réalité fusionnent en une œuvre qui va au-delà du réel et de la simple technologie, créant de nouveaux chemins et manières d’appréhender le monde. La grande échelle et la verticalité ajoutent à ce langage plastique et dynamisent l’ensemble.

La trame singulière d’espace et de temps transforme en lumière rythmée l’apparition — proche ou lointaine — de la trace. Le vide devient lumineux. Les cendres encore brûlantes de l’image provoquent des trous lumineux, comme de la braise. La lumière est un vecteur de création dessinant la forme du corps qui révèle et dramatise le lieu physique de manière inattendue.

Mes œuvres sont reliées les unes aux autres par un fil conducteur métaphorique qui crée l’ambiguïté de l’image. Elles empruntent à l’espace de la peinture, elles ont une profondeur objective d’où la couleur absente est remplacée par la lumière. La présence du corps y est fantomatique comme dans un moment d’éloignement et de disparition. L’intérêt de ces œuvres est autant dans la portion limitée qui s’offre à l’œil que dans la mémoire de ce qui est passé, et l’attente du devenir. L’important est invisible pour les yeux. Cet invisible prend plus précisément la forme d’images de destruction, de lueur, et de mouvement.

Réflexion, Passage, Transcendance, Évolution et Trace lumineuse ont un lien de parenté évident, marqué par

l’empreinte lumineuse de la survivance, conséquences de la brûlure. La matérialité du vide devient le signe intermédiaire. Je dissous l’image pour la faire ressurgir en traces lumineuses à partir de la spatialisation du vide.

En me penchant sur l’éphémère de l’image-empreinte, peu à peu se dessinent les rapports entre mémoire et image. Petit à petit se créent les liens entre le regard et l’œuvre.

Quels que soient les supports choisis (visuels ou matériels), j’ai misé sur la juxtaposition, l’intermédiation et la mise en relation des objets pour exhorter le sens voilé à se manifester. Pour Didi-Huberman, « Faire image », s’apparente à l’art de rendre tangibles et sensibles les limites de chaque œuvre.

Comme le souligne Wajcman, les œuvres d’art sont faites pour faire voir. L’art de ce temps convie à ouvrir l’œil et à regarder le siècle.

Les œuvres qui jalonnent le parcours de l’exposition (figures : 3, 4, 5, 6, 7) sont des tableaux-montage où le spectateur est invité à regarder et voir. L’image-empreinte s’avère fuyante, proche de se dissiper dans l’instant de sa perception, de son apparition à la disparition. Les petits trous des trames ressemblent à des alvéoles. Le vide devient présent. Le vide de l’œuvre devient fluide par la lumière circulant librement à travers la trame des œuvres que l’on pourrait appeler tableaux-montages. Les trous prolifèrent et esquissent un corps fantôme. J’évoque davantage que je représente.

Qu’est-ce que voir au-delà de ce qui est visible? Voilà un des défis de cette exposition : accéder à ce qui ne se donne pas d’emblée à voir, en suivant le chemin d’une certaine déconstruction de l’acte de « voir ». Dans cette récurrence de la blessure et du fugace, le vu, le non vu, l’à peine entrevu occasionnent la perte imprévue des souvenirs.

Réflexion

Réflexion est une recherche sur la perception. Une installation composée de trois éléments : une photo noir et

blanc (4' x 12'), une sculpture en métal évidée recouverte de plâtre (2' x 8') et une vidéo projetant des signes- écritures codés — d’un de mes poèmes — fabriqués et montés comme image de synthèse par un procédé vidéo appelé « stop-motion ».

L’œuvre s’est construite par addition d’éléments qui, par le biais de l’intermédialité, suggèrent la forme, lie et rythme l’ensemble de l’œuvre. L’image fantôme survivante est animée par la vibration de la lumière sur le plâtre. C’est un procédé qui fonctionne par association plutôt que par logique linéaire. Le jeu d’assemblages des éléments et l’ajout du clair-obscur produisent plusieurs effets de présence : d’apparition-disparition, et effet de théâtralisation de l’espace.

Une quête d’immatérialité se fait à partir de la lumière, qui rend l’espace plus immersif pour le spectateur, par des sous-expositions et contrastes créant des jeux d’ombre et lumière. La lumière travaille la structure dissimulée comme un symptôme. L’intérieur de l’œuvre nous est dévoilé dans tout son éclat. L’obscurité de l’œuvre s’est métamorphosée en luminosité perceptuelle en utilisant l’aura de l’indice-signe pour dialoguer avec le spectateur.

C’est une recherche sur la mise en forme de la lumière par la dématérialisation du corps-signe. L’empreinte évidée est un signe de fragilité de l’homme portant une blessure secrète, métaphore de l’ici/ailleurs. L’homme debout dans sa réalité existentielle. Qui peut dire où commence et finit l’œuvre? Ici, le dualisme se réfère à une vision duelle de la relation corps-esprit.

Cette œuvre est un hommage à l’œuvre de Viola par l’utilisation de la lumière comme matériau, la mise en espace, l’abolition des repères du spectateur et l’immatérialité qui se dégage de l’effet d’ensemble.

Passage

Figure 4 Passage (2014) Tableau-montage : masonite 4' x8' et procédé électrique

Passage est un tableau-montage, qui porte la marque de chacune des perforations que j’ai faites pour

représenter l’image-trace de la destruction. La mort doit survenir pour que le cycle de la vie revienne. La lumière c’est la vie, qui transforme la trame des trous de brûlures, en traces visuelles résiduelles. « Le réel a pour ainsi dire brûlé un trou dans l’image. »77 La transformation des choses est en cours, deux personnages passent; alors qu’un troisième démontre une commune appartenance au monde sensible et invisible. Que faut-il comprendre de cette ambiguïté?

Ce n’est plus l’image d’une représentation. Car suite aux altérations se dégage l’idée de formes intangibles. L’altération physique du masonite (déjà troué), ponctué de gros trous, engendre une nouvelle matrice où viennent s’incarner les corps-indices activés par la lumière, telle une apparition-disparition, image matérielle et immatérielle, visible et invisible. Image-fantôme, image-symptôme, funeste et vibrante. Quelle meilleure manière pour métaphoriser la capacité d’apparition et de survivance de l’image, qu’en utilisant la lumière voilée. La couleur a disparu. L’espace est à la limite de l’abstraction, où se lit une image de corps qui flottent, dérivent, et se maintiennent à la limite de l’évanescence.

On peut penser à la puissance rayonnante du vide à partir du fond noir, d’où émergent les tensions. Le noir se lit comme vide et comme absence. Mais l’absence n’est pas le vide. La lumière de l’arrière-plan augmente la théâtralité de la mise en espace, qui saisit le visiteur tout entier en contemplant l’œuvre.

L’apparaître suppose le disparaître, le chavirement du visible dans l’invisible, ce qui n’empêche pas pour autant une trace de s’imprimer, un sillage de se dessiner entre l’apparition et la disparition. Le régime de l’image est toujours double : apparaissant et disparaissant, transparent et opaque, réel et fantomatique. Travail en négatif et d’aplatissement des corps niant tout effet de profondeur, l’empreinte est en deçà de la représentation.

Par un processus de déconstruction et de reconstruction, le vide de la trame devient l’endroit où se confrontent la mémoire et le temps, dans l’axe de représentation de la présence de l’absence. Je reproduis l’entre il y a et il n’y pas, mais aussi – ce qui est plus important – ma vision, qui est la condition même de « l’entre ». Cet « entre » qui est au cœur de la pensée chinoise est la manifestation du tandem « souffle- résonance. » Ces trouées du vide sont des témoins du temps du rêve-réalité.

Le tableau-montage évolue à la limite de la clarté et de l’obscurité, de l’éphémère et du concret, comme métaphore de la perte, de la vie/mort, reflétant la dimension intemporelle de l’œuvre, en deçà de la forme. C’est une recherche sur l’entrée en présence dans l’ouvert. Il s’agit d’établir un parallèle entre d’une part, la liberté de la lumière sur l’ensemble de l’œuvre et l’entrave subie sur la partie droite par un personnage « entre » négatif et positif, et d’autre part, le dilemme vécu par ma volonté de retour au passé vs les obstacles qui se sont présentés entre le passé, le présent et l’intervalle de l’œuvre.

Transcendance

Transcendance est un tableau-montage animé par : l’horizontalité et la verticalité de la trame lumineuse, sur

lesquelles se superpose un corps morcelé, qui apparaît carrément soufflé, flottant dans l’espace figuré de la présence virtuelle, créant une spatialité de l’objet. Mais pourquoi tous ces lambeaux?

Au cœur de cette œuvre, sur l’apparition et la disparition, on trouve en fait une analogie entre l’image et le réel réduit en poussière, pulvérisé. Dans ce contexte, qu’est-ce qui est à l’œuvre dans cet éclatement? Est-ce une image-lueur ou une image rémanente dans laquelle l’objet lui-même s’est évanoui? Qu’importe, au fond, le sentiment procuré par l’image, car ne compte en définitive que la part d’ombre qui a procédé à son avènement. L’image est brisée, elle exhibe sa cicatrice.

La lumière traverse le corps et l’œuvre et révèle la trace par des jeux d’ombre et de lumière qui en font ressortir les degrés de valeur. C’est aussi une volonté de donner à voir l’impalpable, et surtout, ce qui n’est pas fait pour être vu, la dimension du sublime.

Les ouvertures deviennent des vecteurs qui amènent l’arrière-plan vers l’avant tout en augmentant la lumière. L’empreinte mémorielle a des contours flous, subjectifs qui nourrissent le rêve et l’imagination du spectateur. La métaphore joue par rapport à la forme de l’Autre dans un mouvement de glissement l’une dans l’autre. Que peut-il se passer entre le visiteur et ces lambeaux de corps rejetés sur toute la surface du tableau?

Évolution

Évolution est un tableau-montage où l’image-lueur cherche la lumière comme le papillon cherche la flamme.

La lumière, tel un miroitement du soleil sur l’eau, crée l’image, l’active, la transforme et génère l’ambiguïté par une perception de mouvement optique. La trace engendrée ressemble à une constellation d’étoiles flottant sur fond noir d’éternité — passage du microscopique au macroscopique vers l’infini de l’espace. L’être fantomatique apparaît dans sa survivance de grisaille et de deuil, il avance vers la vie. C’est la métamorphose du corps qui va vers une transformation nécessaire pour renaitre à d’autres choses.

Ce qui me rappelle Henri Focillon qui a défini la forme plastique comme « une construction de l’espace et de la matière, c’est-à-dire l’alliance du lieu et du matériau qu’il enserre. » 78

Le mouvement, dynamise l’œuvre, par une volonté de ne pas arrêter les formes courbes, de les garder au plus près de leur surgissement, afin de multiplier les angles visuels. Une volute de trous lumineux dessine et anime le contour de l’image-désir. J’ai obstrué partiellement les trous, pour créer un mouvement optique qui dynamise l’œuvre.

L’optimisation de l’expérience visuelle est recherchée à l’intérieur d’un système de contrastes qui suggère des impressions en accentuant les différences. Il s’agit d’une quête du sentiment d’exister après le chaos.

Le spectateur est invité à une expérience qui dépasse la représentation pour le situer dans l’instant de la perception réelle.

Trace lumineuse

« L’espace est aussi une notion temporelle. De l’interaction espace-temps naît l’éphémérité comme valeur esthétique »79

Alberganti

Depuis longtemps, je recherchais un procédé qui oscille entre le défini et l’indéfini. Cette œuvre est une recherche sur l’indéfini et l’éphémère au cœur de mes préoccupations concernant l’art de la lumière. Ce qui importe c’est la lumière, l’empreinte immatérielle évanescente, qui nourrit les actions futures. Comment montrer l’éphémère?

Trace lumineuse est une image de synthèse d’un corps fantomatique, métaphore de la renaissance. De

multiples points lumineux ont fait place aux trous noirs des œuvres précédentes. Ces points dessinent l’image- désir. Ce changement qualitatif a été provoqué par la réconciliation des temps et des images hétérogènes.

C’est la trace sculptée par des points lumineux dans l’espace-temps. Le paradoxe de l’éphémérité anime l’œuvre : apparition/disparition, devenir-présent/devenir-absent qui ouvre la voie à l’évanescence.

« J’ai fini par acquérir durablement le sentiment de l’éphémère » 80 Rostand

La lumière devient un sujet et un matériau impalpable qui se diffuse jusqu’à modifier le rapport à l’espace et le redessiner selon notre vision. L’image brûle d’apparaître et de disparaître pour appréhender autant le passé que le présent, voire le futur. L’image offre donc le déchirement du voile du réel pour montrer ce qui se cache derrière.

79 Alberganti, A., De l’art de l’installation, Paris : Édition de l’Harmattan, 2013, p. 304 80 Rostand, J. Site web : http://qqcitations.com/citation/162730

Céline Aubertin dans Sculpter l’éphémère nous explique :

Qu’est éphémère tout évènement qui annonce sa disparition, mais dans son apparition même. Ce n’est pas une durée, mais la qualité d’un moment, un présent d’autant plus intense qu’il comporte son propre futur [...] il explique moins le caractère passager de la vie que le mouvement même de l’apparaître. 81

Ici, j’ai cherché à augmenter la légèreté et la flexibilité de l’œuvre en effaçant les repères du spectateur et en me détachant du cadre et du mur, pour élargir les possibilités optiques du corps fantôme afin qu’il devienne libre de toutes contraintes.

Un peu comme Aristote82 je pense que l’œuvre devient la manifestation de la pensée à travers l’écoulement de l’instant. L’espace-temps ouvre à la juxtaposition des dualités : le passé et le présent dépassé et celui de l’œuvre « entre » l’intervalle du devenir.

81 Aubertin, Céline. Site Web : http://www.fabula.org/actualites/l-art-de-l-ephemere-figures-de-l-art-ndeg12_12877.php 82 Aristote, Physique IV, Paris : Edition Les Belles Lettres, 1990, p. 149

Conclusion

« Ce que j’essaie de vous traduire est plus mystérieux, s’enchevêtre aux racines même de l’être, à la source impalpable des sensations »83

Cézanne

Ce qui précède peut donner des pistes de réponses aux questions que je me posais sur le lien entre l’intuition, la synchronicité et la représentation de la blessure et de la perte. S’agit-il d’image-lueur, d’image-symptôme, d’image-survivante ou de ce qu’il y a de commun dans les trois modes de manifestation?

Ma recherche était une réflexion sur la dualité de l’existence — légèreté et pesanteur d’être là. Mon but était d’exprimer ma vision intérieure de l’homme et du monde, par la réconciliation des contraires afin de vaincre l’angoisse du vide. Les thèmes de vulnérabilité humaine (déchéance et mort) ont émergé comme des témoins de l’inconscient. L’ambiguïté du discours vient de la dualité créée par les paradoxes : mémoire consciente et inconsciente, espace-temps virtuel/actuel, corps présence/absence, interagissant pour dévoiler l’âme derrière les choses et faire voir que, malgré la souffrance et la solitude, la vie prédomine sur la mort.

C’est une quête pour démaquiller le réel, par la matérialisation de la trace où s’entremêlent passé et présent, dans l’instant de l’acte créatif. L’image-symptôme de l’absence renvoie constamment le regard vers un lieu où il n’y a rien à voir, là où il y a peut-être un incendie à venir. L’important est de laisser les traces, atteindre l’esprit de la matière dans l’œuvre, pour susciter un évènement au-delà de l’image afin de signifier « le cri ». Ce que j’appelle mon présent est l’horizon de l’avenir qui se tisse dans l’instant de mon regard.

En utilisant le paradoxe comme outil de création, je me pose certaines questions à travers un cursus composé de quelques éléments simples, mais qui s’enrichissent constamment de nouvelles nuances, dans un jeu de variations où s’unissent rêve et réflexion, art et poésie, histoire personnelle impliquant celles des autres. La mort elle-même a ici un visage double : celui d’une douce tristesse onirique et celui d’une psyché entachée noire. Car ce cursus est aussi une méditation sur la mort : la mienne et celle des autres.

Bibliographie

Alberganti, Alain. De l’art de l’Installation – La spatialité immersive. Paris : Édition de L’Harmattan, 2013. Aragon, Louis. Le fou d’Elsa. Paris : Gallimard, 1963.

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