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Étude expérimentale des variations irréversibles d'aimantation provoquées par les contraintes élastiques

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(1)

HAL Id: jpa-00206460

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206460

Submitted on 1 Jan 1966

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Étude expérimentale des variations irréversibles d’aimantation provoquées par les contraintes élastiques

L. Brugel, G. Rimet

To cite this version:

L. Brugel, G. Rimet. Étude expérimentale des variations irréversibles d’aimantation provo- quées par les contraintes élastiques. Journal de Physique, 1966, 27 (11-12), pp.681-685.

�10.1051/jphys:019660027011-12068100�. �jpa-00206460�

(2)

ÉTUDE EXPÉRIMENTALE

DES VARIATIONS

IRRÉVERSIBLES

D’AIMANTATION

PROVOQUÉES

PAR LES CONTRAINTES

ÉLASTIQUES (1)

Par L. BRUGEL et G.

RIMET,

Laboratoire de

Physique Industrielle,

Institut

Polytechnique,

Grenoble.

Résumé. 2014 Les auteurs montrent

qu’un

modèle

d’hystérésis,

dû à L. Néel et

exposé

dans un

précédent

article

[1],

permet

d’interpréter

de

façon

satisfaisante les effets combinés des

champs

et des contraintes

mécaniques

faibles.

Quand

ces

paramètres

deviennent

importants,

le modèle

proposé

ne suffit

plus.

Abstract. 2014 The authors show that a model of

magnetic hysteresis,

due to L. Néel and sur-

veyed

in a

preceding

report

[1], gives

a

satisfactory interpretation

of the action of small mecha- nical strains on the

magnetization

of

ferromagnetic

bodies. If the strains become

larger,

the

proposed

model is insufficient.

PHYSIQUE 27, 1966,

Dans un article recent

[1],

nous

exposions

un

schema tridimensionnel de

I’hystérésis magn6tique,

du a L. Neel

[2], qui

permet une

interprétation

satis-

faisante des

ph6nom6nes magn6tiques

irr6versibles lies a

I’application

de

champs

et de contraintes.

Nous

d6crivons, maintenant,

l’essentiel des travaux

qui

nous ont conduit a admettre ce

schema,

Un

certain nombre d’entre-eux ont

d6jh

fait

l’objet

de

publications [3] [4], [5], [6],

mais il est

cependant

utile de rassembler en un meme article tous ces

resultats

experimentaux ;

on d6finit

ainsi,

sans

ambiguite,

les limites de validite du mod6le pro-

pose.

Sans

reprendre

la th6orie des

phénomènes,

rappe- lons les

hypotheses

fondamentales :

1. La substance est

polycristalline

et

isotrope.

2. L’échantillon contient

beaucoup

de

parois

de

Bloch dont la surface est

ind6pendante

de 1’6tat

magn6tique.

3. Les variations d’aimantation ne sont

produites

que par les

deplacements

de ces

parois,

ainsi que

quelques

conclusions :

1. L’action d’une contrainte est

6quivalente

à

celle que

produiraient

des

champs magn6tiques

fictifs

n’agissant

que sur les

parois

4

90°,

et dont

I’amplitude maximale,

calculable se

symbolise

par W

[7].

2. Les effets observes sont irr6versibles et

dependent

essentiellement de l’ ordre

d’application

et de

suppression

des

champs

et des

contraintes,

ainsi que de leurs valeurs relatives.

3. Une traction et une

compression

ont des effets

equivalents.

(1)

Le

present

article recouvre en

partie

le travail d’une

these de Doctorat d’Etat 6s Sciences

Physiques qui

sera

soutenue, en

1967,

par M. Rimet

Guy,

a la Faculte des

des Sciences de Grenoble - Numero

d’enregistrement

au

Centre National de la Recherche

Scientifique :

A. 0.

1297,

a

paraitre.

Dans les diverses etudes

expérimentales

dont

nous rendons compte, les processus

opératoires

sont

d6sign6s

par des series de

majuscules

P et H

plac6es

dans l’ordre des

operations successives, application

ou

suppression,

de la contrainte ou du

champ.

Les échantillons sont de forme

cylindrique,

lenr

longueur

est de 30 cm, leur diam6tre est de 1 a 2 mm.

Avant toute mesure, ils sont désaimantés par un

champ magn6tique

alternatif lentement

décroissant,

la contrainte

appliqu6e

6tant

nulle,

sauf indication contraire

Le

champ magn6tique

uniforme est

produit

par

un

long sol6noYde,

avec

compensation

des

champs magnétiques

terrestre et

parasites.

La

contrainte,

colinéaire au

champ,

est

appliqu6e

ou

supprim6e

au moyen d’un

dispositif hydraulique

dont la

commande est

particulierement

douce et progres- sive.

Les aimantations sont déduites de la variation de flux

engendr6e

dans une bobine

compens6e,

extraite loin de l’ échantillon. De tres faibles varia- tions d’aimantation peuvent etre d6cel6es avec cet

appareillage qui

peut effectuer des mesures diff6ren- tielles.

Le

champ démagnétisant

est suffisamment faible pour que son eff et soit

g6n6ralement n6gligeable.

Les variations d’aimantation que l’on observe lorr de

l’application

des contraintes se font donc a

champ

constant, pourvu que ces variations ne soient pas

trop importantes.

C’est le cas des

paragraphes

1

et

2,

ou l’on a

exp6riment6

dans des conditions

approchant

les

hypotheses

de la th6orie. Par contre,

lorsque

les contraintes

appliquées

sont

importantes,

1’effet du

champ démagnétisant

peut devenir notable et le

champ

reel

auquel

est soumise la subs-

tance n’est

plus rigoureusement

constant. Pour

établir des corrections valables il serait n6cessaire de connaitre les mécanismes

qui régissent

les

ph6-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019660027011-12068100

(3)

682

nom6nes observes.

Aussi,

les

champs

que nous

indiquons

sont

toujours

les

champs appliques

et les

variations d’aimantation en fonction des contraintes

sont donn6es a

champ

extérieur constant. Nous insis-

tons

cependant

sur le

fait,

que dans la

majorit6

des

cas, le

champ

reel aussi est

pratiquement

constant.

I. Effets des tractions dans le

domaine de Ray - leigh.

- Dans une

premiere

s6rie

d’essais, on

s’est

attach6 4

exp6rimenter

dans des conditions aussi

proches

que

possible

des

hypotheses th6oriques.

Ceci

impose

de travailler avec des

champs

et des

contraintes

faibles,

pour que le

champ global

soit

faible par rapport au

champ

coercitif de la subs-

tance.

On a 6tudi6 de cette

facon plusieurs

6chantillons

d’acier,

soit

6crouis,

soit recuits en

atmosphere d’hydrogene.

Les

paramètres H

et P ont 6t6

appli- qu6s

et

supprim6s

une fois avec toutes les combi- naisons

possibles,

ce

qui

conduit 4 14 processus diff6rents.

Pour tous ces corps on a observe une bonne concordance entre les effets mesures et les

previsions th6oriques [4], [5].

Nous

pr6sentons

ici les resultats

obtenus avec un acier mi-doux dont les coefficients

macroscopiques

de la

premiere

loi de

Rayleigh (J = xH

+

RH2)

sont x = 12 cgs et R =

1,1

cgs environ. On a

opere

4

champ

constant en faisant

varier la contrainte et

compare

les aimantations de

tous les processus aux aimantations

normales,

c’est-

FIG. 1. - Acier

mi-doux,

Hc =

9,4

Oe.

FIG. 2. - Acier

mi-doux,

Hc =

9,4

Oe.

a-dire obtenues sans

application

de

contrainte,

et

repr6sent6es

par les

sigles

H et HH.

Les

points experimentaux

sont

port6s

sur les

figures

1 et

2,

sur

lesquelles

sont

repr6sent6es

les

courbes des variations

théoriques

de I’aimantation.

On constate que 1’allure des variations est bien telle que

pr6vue.

II est

particulièrement

intéressant de retrouver

exp6rimentalement,

certaines

égalités,

fournies par la

th6orie,

entre des effets correspon- dant a des processus

opératoires

diff6rents. C’est le cas des traitements HP et

HPP,

PH et

PHH,

HPH et

PHPH,

HHP et HHPP.

Les 6carts

quantitatifs qui apparaissent

sur les

effets

HPHP, PH,

PHHP et

PPH,

ne sont pas

importants

et ne

provoquent

pas de

changements

notables de 1’evolution des aimantations.

Les resultats obtenus 6tant favorables au schema des

parois,

il restait a contr6ler

1’egalite

des effets

produits

par une traction et une

compression.

II. Tractions et

compressions

dans le domaine

de

Rayleigh.

- S’il est

techniquement

ais6 de

tirer sur un

echantillon,

il est malheureusement

plus

difficile de le soumettre a une

compression.

Pour

6carter tout

risque

de

flambage,

le

rapport

diamètre

sur

longueur

doit etre consid6rablement

augmente

et les effets de

champ démagnétisant prennent

une

importance prohibitive.

Il a done 6t6 decide de

(4)

travailler non en

compression

pure, mais en

pseudo- compression

ou detraction l’ échantillon est d6sai- mant6 sous une traction différente de

zero, Po, puis

cette dernière est

progressivement

diminuée. Ce

«

soulagement

)) doit en

principe

etre

equivalent

a

une

compression superpos6e

a la tension

primitive.

Le

procédé

reviendrait a

changer

1’etat initial de la substance étudiée.

Il faut

cependant

noter que ce traitement exerce une influence sur 1’orientation des aimantations

spontan6es,

et que la substance ne doit

plus

etre

consid6r6e comme

isotrope,

1’ecart avec les

hypo-

th6ses fondamentales 6tant d’autant

plus grand

que la contrainte initialement

appliquée

est

plus

intense.

On a

cependant opere

de cette

fagon

sans

ignorer

que la caution des résultats ainsi obtenus est

moindre que celle

qui

découlerait d’une 6tude directe.

Parmi divers aciers

6tudi6s,

nous extrayons les résultats relatifs a un acier mi-doux de

9,4

Oe de

champ coercitif,

les autres échantillons fournissant des résultats

analogues.

Sur les

figures

3 et 4 on a

represente

en traits

continus les variations

théoriques

d’aimantation

correspondant

a divers processus

opératoires

carac-

t6ris6s par les memes

sigles

que ceux du

paragraphe precedent.

Les resultats des mesures sont

figures

par des

points

clairs pour les tractions et par des

points

noirs pour les

pseudo compressions.

La d6sai-

FIG. 3. - Acier

mi-doux,

Hc =

9,4 Oe ; Po

=

0,95 kg/MM2.

FIG. 4. - Acier mi-doux, Hc =

9,4 Oe ; Po

=

0,95 kg/mm2

mantation de l’échantillon est effectuée sous une

traction

Po

de

0,95 kg/mm2.

Avec le mode

op6ratoire

utilise

1’egalite

des varia-

tions d’aimantation pour des contraintes

positives

et

negatives

n’est pas absolue. Mais les differences

sont

faibles,

et, pour certains processus,

comparables

aux erreurs

expérimentales.

On peut raisonnablement admettre que les 6carts observes

proviennent

en

grande partie

de 1’aniso-

tropie

induite par la traction

Po pendant

la d6sai-

mantation.

D’expériences faites,

il

apparait qu’h

variation de contrainte constante

P,

les 6carts augmentent

lorsque

la contrainte initiale

Po

croit.

C’est ainsi que le meme échantillon d’acier d6sai- mant6 sous une traction

permanente Po

de

4,1 kg/mm2

montre une tres forte

dissymétrie,

en

fonction du

signe

de la contrainte ultérieurement

appliquee.

Par

exemple,

pour la variation maxi- male P utilisée dans les essais

precedents,

1’effet HP - H en traction est

1,7 plus

faible

qu’en pseudo compression ;

de meme pour PH - H ou

nous avons note un

rapport

voisin de

3,5.

Cette

dissymétrie

est bien moins

importante

sur d’autres

processus, tel HHP.

(5)

684

11 semble

finalement,

que

lorsque

les

champs

et

les contraintes sont

faibles,

le schema des

parois repr6sente

de

fagon

satisfaisante le m6canisme des

ph6nom6nes.

III. Effet des contraintes fortes. - Pour d6li- miter le domaine

d’application

du schema des

parois,

nous avons

poursuivi

cette etude en utilisant

des tractions bien

sup6rieures

a celles des essais

precedents.

Avant de fournir les résultats

obtenus,

on peut faire un certain nombre de remarques.

Le schema des

parois

utilise les lois de

Rayleigh, qui

ne sont

plus

valables

lorsque

les

champs

effec-

tifs deviennent

supérieurs

au quart ou au

cinquieme

du

champ coercitif ;

ce sera le cas des essais

qui

suivent ou les

champs equivalents

aux contraintes

sont

plusieurs

fois

sup6rieurs

au

champ

coercitif.

Dans ce mame

schema,

on admet que la surface relative des

parois

est

indépendante

de 1’etat

magn6tique

de

Fechantillony

ce

qui

suppose de faibles variations d’aimantation. Or pour les contraintes

qui

ont 6t6

appliqu6es

les effets sont

souvent du meme ordre et meme

plus grands

que

1’aimantation normale.

On

admet, 6galement,

que seuls les

deplacements

de

parois

provoquent les variations

d’aimantation,

ce n’est

plus

le cas dans ces essais ou

l’ énergie magnéto-élastique

n’est

plus

tres

petite

vis-h-vis

de

1’energie d’anisotropie.

FIG. 5. - - - Acier doux, Hc =

2,9

Oe

-Acier

doux,

Hc =

2,5

Oe.

FIG. 6. - - - Acier

mi-doux,

Hc =

9,3

Oe.

Acier

mi-dur,

Hc =

14,3

Oe.

On peut donc s’attendre a des modifications pro.

fondes dans Failure des

ph6nom6nes.

C’est effecti-

vement ce que montre

l’ expérience

et

que résument

les

figures

5 et 6 relatives aux processus HP et

PH,

sur

plusieurs

vari6t6s d’aciers.

On constate pour tous ces échantillons une crois-

sance

rapide

de 1’effet

HP,

et le rapport HP sur

PH, qui

est de l’ordre de 2 pour les tractions faibles atteint ensuite des valeurs

beaucoup plus grandes.

Des maximums

apparaissent,

d’autant

plus

tôt que la substance est

plus

douce. Pour ces

derni6res,

les

effets de

champ démagnétisant

peuvent devenir

notables,

et rendre encore

plus

delicate

l’interpr6-

tation des mesures.

Lorsqu’on opere

pour diverses valeurs de

champs appliques,

on constate que les courbes des variations d’aimantation se déforment

sans que leurs allures soient

profond6ment

modifiées.

Les effets HP - H et PH - H sont maximals pour

une valeur du

champ applique correspondant

appro- ximativement a une valeur de

champ

interne voi- sine du

champ

coercitif. D’autre

part,

dans les

champs supérieurs

a ce dernier 1’effet PH devient du meme ordre de

grandeur

que 1’effet HP.

Des résultats

expérimentaux

avec toutes les

combinaisons

possibles

de

champ

et de

contrainte,

ont

deja

6t6

publi6s [6]

et mettent en evidence

d’autres

ph6nom6nes qui

ne

s’expliquent

pas dans le schema des

parois.

C’est ainsi que le proces-

sus HHP

(et HHPP)

annule l’aimantation macro-

scopique

de la

substance,

et que d’autre

part

on

(6)

note des effets r6versibles HP -

HPP,

tantot

positifs,

tantot

négatifs,

selon le corps 6tudi6.

11

apparait

donc que le schema des

parois

ne

puisse s’appliquer

que

lorsque

les contraintes et

les

champs

sont faibles vis-a-vis du

champ

coercitif.

Ensuite les

ph6nom6nes

deviennent

plus complexes.

Les rotations de 1’aimantation

spontanee

inter-

viennent pour une part non

négligeable

ainsi que les

disparitions

de certaines

parois.

On remarque d’ailleurs que les

applications

et les

suppressions

d’une contrainte forte

produisent

une

reptation

de

I’aimantation

qui presume

une

reorganisation

par- tielle ou

complete

de la structure

microscopique

de

l’échantillon.

De cette etude

expérimentale

on peut conclure

que le schema de

l’hystérésis

dans

1’espace,

associ6

a la notion de

champ equivalent

de

contrainte,

per-

met de

pr6voir

les effets

magn6tiques

irr6versibles des contraintes faibles dans les

champs

faibles.

L’accord est d’autant

plus

satisfaisant que les fac-

teurs mis en

jeu

sont

plus petits.

On est ainsi amen6

a concevoir que, comme pour de nombreuses lois

physiques,

ce schema est un schema limite

qui s’applique parfaitement

si les

champs

et les

contraintes sont infiniment

petits.

Lorsque

ces derni6res deviennent

plus impor-

tantes, d’autres m6canismes entrent en

jeu,

dont

l’analyse possible,

n’a encore conduit a aucun r6sul-

tat

exploitable.

Manuscrit requ Ie 31 mars 1966.

BIBLIOGRAPHIE

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BRUGEL

(L.)

et RIMET

(G.),

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