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La mesure de la résistivité électrique du mucus vaginal : recherche d'un seuil pour améliorer la réussite de l'insémination artificielle dans l'espèce bovine

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(1)

Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique

pour

le

Développement

LA MESURE DE LA RESISTIVITE ELECTRIQUE

DU

MUCUS

V A GIN AL

:

RECHERCHE D'UN SEUIL POUR AMELIORER

LA

REUSSITE DE L'INSEMINATION ARTIFICIELLE

DANS L'ESPECE BOVINE

M.

BIANCIIl - J.C. ~ I N - M. FALCO

1990

,,

NOTES ET

DOCUMENTS DU

CIRAD EN NOUVELLE-CALEDONIE

N° 3

IEMVT

(2)

IL.A

MESURE DE LA RESRSTlIVllTE ELECTmQUE

-

DU MUCUS VAGRNAL :

RECJHtERCJHtE D'UN SEURL POUR AMELlIORER

IL.A

REUSSHTE DE L'HNSEMHNATHON ARTrrFrrCrrELLE

DANS L'ESPECE BOVRNE

BlANCJHtR M.• - lHtURLlIN JJ.C. •

et

FALCO M. ••

INTRODUCTION

La réussite de l'insémination artificielle (I.A.) bovine a pour première condition d'être pratiquée sur des femelles effectivement en chaleurs (1). Cette détection des chaleurs n'est toutefois pas toujours d'un usage aisé, notamment dans certains conditions d'élevage (2) et même lorsqu'elle est parfaitement réalisée, une proportion importante de femelles peut ne pas être détectée en chaleurs (3, 4) notamment lors des premiers cycles sexuels (5). Ce sont les principales raisons de mise en place des programmes de maîtrise des cycles sexuels essentiellement basées sur l'induction et la synchronisation des chaleurs (2, 6). Cependant de nombreuses études ont montré que ces traitements n'étaient pas à 100 % efficaces ni dans l'induction, ni dans la synchronisation des chaleurs du lot de femelles destinées à être inséminées (2, 6, 7) . Ainsi, les meilleurs résultats étaient souvent obtenus sur les femelles vues réellement en chaleurs plutôt que sur les femelles inséminées systématiquement ou encore que sur les femelles inséminées systématiquement. et non vues en chaleurs (2, 6, 7, 8) : nous retombions alors, bien que d'une manière moins sensible, sur les mêmes problèmes que l'i.A. réalisée sur des femelles non synchronisées. Parmi les moyens utilisés pour mettre en évidence ces chaleurs, de nombreux auteurs (9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17) ont mis en avant les variations de la résistivité électrique du mucus vaginal au cours du cycle sexuel des femelles. Ces variations seraient dues à une hydratation variable du mucus vaginal et des altérations dans la qualité et/ou la quantité des glycoprotéines (18) ou des électrolytes (12) présents dans ce mucus. Il est également bien établi que ces variations sont dépendantes du niveau de progestérone et d'oestrogène (13) et que la valeur minimale de cette résistivité est fortement corrélée au pic préovulatoire de L.H. (13) lequel a lieu à un inteivalle de temps relativement constant (15 à 25 h selon les études citées) avant l'ovulation (19).

Mallleureusement, si l'allure de la courbe de la résistivité électrique du mucus vaginal au cours du cycle Qestral est similaire chez toutes les femelles bovines, les valeurs correspondant à ces courbes sont parfois fortement décalées d'une femelle à l'autre et la prédiction du moment

o.ptmral

de l'IA nécessite des mesures régulières de cette résistivité (9, 10, 11, 17). La répétition de ·ces mesures. même si elle permet une amélioration .. çlu taux de réussite des I.A. n'est alors plus utilisable en pratique car trop contraignante. L'objet de ce premier essai a été de déterminer s'il existait ou non une valeur "seuil" de résistivité électrique au-delà de laquelle il

ne devenait plus intéressant de réaliser des I.A..

• : IEMVI' Nouvelle-Calédonie - B.P. 25 Paîta, Nouvelle-Calédonie

(3)

MA1ERIEL ET METHODES

Au cours de l'année 1988, en Nouvelle-Calédonie, cent trente sept femelles ayant vêlé depuis plus de 50 jours appartenant à 3 races différentes (21 Française Frisonne ; 98 Limousine et 18 Charolaise) dans 7 troupeaux différents ont été soumises à un traitement de synchronisation de chaleurs (méthode, INRA-SYNCHROMATE B*). Celui-ci était :

....

,

,.

. .

- AJo, un implant auriculaire sous cutané et imprégné de 6 mg de Norgestomet était mis en place accompagné d'une injection intra-musculaire d'un mélange de 5 ml de valérate d'oestradiol et de 3 mg de Norgestomet.

- Dtxjours après (JlO). l'implant était retiré et il était réalisé une injection im. de PMSG (Pregnant Mare Serum Gonadotropine) à des doses variables selon la race de l'animal : 300 unités internationales (U .1) pour la race laitière et 500 ou 600 U .1. pour les 2 races allaitantes.

- Deux IA systématiques étaient pratiquées 48 (J12) et 72 heures (J13) après le retrait de l'implant. Juste avant 1'I.A1, une ·mesure de 1~ résistivité électrique du mucus vaginal était réalisée sur chaque femelle pendant environ 1 minute à l'aide d'une sonde "OV ASCAN"** : la plus petite valeur affichée de manière stable sur l'écran du boitier de contrôle était retenue et enregistrée en face du Numéro de la vache.

- Neuf mois après, s'ils avaient eu lieu, nous avons enregistré les vêlages correspondant aux I.A des femelles dont nous avions pu réaliser cette unique mesure de résistivité du mucus vaginal .

* Laboratoire INrERVET: INTERVET S.A. - 49100 ANGERS-FRANCE

(4)

RESULTATS

1) Valeurs obtenues :

Nous avons rassemblé au Tableau I pour chacune des races et au total, la valeur moyenne, l'écart-type autour de cette moyenne, l'effectif et les valeurs extrêmes de ëes mesures de résistivité selon que les vaches inséminées avaient vêlé ou non à la suite de ces IA.

TABLEAU 1- RESISTIVITE ELECTRIQUE DU MUCUS VAGINAL LE JOlJR DE L'I.Al EN

FONCTION DES REULTATS DE VELAGE ET DES RACES : VALEUR MOYENNE, ECART-TYPE, EFFECTIF ET VALEURS EXTREMES.

FRISON LIMOUSIN CHAROLAIS TOTAL

C C C a Vêlage 64,0 61,7 63,8 62,6 Valeur Moyenne Pas d

.

.

d d b Vêlage 71,9 66,8 1 73,5 68,0 Vêlage 7,6 9,9 7,6 9,0 Ecart-Type Pas 14,3 17,8 8.8 16,8 Vêlage Vêlage 13 38 10 61 Effectif Pa'3 8 60 8 76 Vêlage ' Vêlage 52-75 43-100 55-75 43-100 Valeurs Extrêmes Pas 55-95 46-156 61-86 46-156 Vêlage

(a vs b): = 2,40, différence significative au risque d'erreur 0,02 (c vs d ) : différence non significative au risque d'erreur 0,05

Pour ch~ct.ine des races. les valeurs moyennes sont plus faibles lorsque l'i.A est suivie de vêlage::(de 5 à 10 points selon les races). Cependant les effectifs sont trop faibles pour mettre en évléience une différence significative. Si l'on ne tient plus compte des races, les valeurs moyennes sont respectivement 62,6 et 68,0 selon què.1'1.A est suivie de vêlage ou non : la différence entre les 2 groupes devient alors significative au risque alpha = 0,02.

2) Répartition et niveau seuil :

Les écarts entre les valeurs extrêmes sont plus importants chez les vaches ne vêlant pas ce qui se traduit d'ailleurs par un écart-type autour de la moyenne pratiquement deux fois plus fort chez ces vaches que chez les vaches vêlant (16,8 et 9,0 respectivement).

C'est d'ailleurs l'étude de la répartition des femelles selon leur valeur de résistivité qui a été faite au Tableau II.

(5)

TABLEAU II - FREQUENCE RELATIVE ET FREQUENCE CUMULEE DES VALEURS DE LA

RESISITMTE ELECTRIQUE DU MUCUS VAGINAL SELON LES DIFFERENTES CLASSES RETENUES

CIA$SES <50 51-60 61-70 71-75 76-80 81-90 <91

DE RESISTM1E

-3 43 39 11 2 0 2

Fréquence Vêlage (2) (26) (24) (7) (1) (O) (1)

(Effectif %)

.

7 26 34 9 5 12 7 Pas vêlage (5) (20) (26) (7) (4) (9) (5) a C e Vêlage 3 46 85 97 98 98 100 Fréquence (2) (28) (52) (59) (60) (60) (61) Cumulée (effectifc %) b d f Pas vêlage 7 33 67 76 82 93 100 (5) (25) (51) (58) (62) (71) (76) 2

(a vs b) : X = 5,97, ddl = 1, la différence est significative au risque d'erreur alpha < 0,02

2

(c vs d ): X

=

11,33, ddl = 1, la différence est significative au risque d'erreur alpha< 0,01

2

(evsf) :X

=

9,78, ddl = 1, la différence est significative au risque d'erreur alpha< 0,01

Ainsi, 97 % et 98 % des femelles ayant vêlé avaient des valeurs de résistivité à l'i.Al inférieures respectivement à 76 et 81 unités. Pour les femelles ne vêlant pas et pour les mêmes valeurs ces taux étaient respectivement de 76 % et 81 %.

Dans le Tableau III, nous avons mis en évidence que si les femelles dont la résistivité était supérieure ou égale à 76 n'avaient pas été inséminées, nous aurions réduit le nombre de femelles insém1nées de 15 %, amélioré le taux de réussite de 5 % (50 % vs 45 %) mais également perdu 3 % de vêlage (2/61). Pour une résistivité seuil de 81 unités, nous aurions réduit le nombre de femelles inséminées de 11 %, amélioré le taux de réussite de 4 % (49 % vs 45 %) mais perdu seulement 2 % de vêlage (1/61).

TABLEAU

m -

MISE EN EVIDENCE D'UN NIVEAU SEUIL DE RESISTIVITE POUR LES RESULTATS DE VELAGE APRES 1A

1"~ ,•

,.

Fréquence Taux de vêlage Taux de vêlage Fréquence

de Femelles des Femelles · · ·. des femelles de vêlage perdus

Niveau seuil supérieures au inférieures au supérieures au en l'absence d'IA

Niveau seuil Niveau seuil Niveau seuil pourles femelles

supérieures au Niveau seuil 76 15% 50% 10% 3% (20/117) (59/117) (2/20) (2/61) 81 11% 49% 7% 2% (15/137) (68/122) (1/15) (1/61) · Absent 0 45% -

-(0/137) (61/137)

(6)

DISCUSSION

L'impact économique de l'i.A n'est pas négligeable. Son coût également et il implique que tout soit mis en oeuvre pour le diminuer tout en consexvant ou en améliorant les résultats obtenus. Dans l'étude que nous venons de réaliser, nous avons pu démontrer qu'il existait une relation étroite entre une haute valeur de la résistivité électrique du mucus vaginal le jour de l'IA1 et le non-vêlage de ces vaches après les 2 1A Cette étude pe:r:met ~·envisager l'emploi d'une méthode jusqu'ici prometteuse mais qui se heurtait à un problème rriajeur à savoir la grande

variabilité des valeurs obtenues. En effet, si lors des chaleurs (9, 10, 11, 13, 14) et

particulièrement juste avant le pic de LH (12, 17) les valeurs de résistivité chûtaient

systématiquement, le niveau des valeurs était très variable entre eux et une seule mesure n'était pas suffisante pour déterminer si une vache était réellement en chaleurs ou non. Il fallait alors effectuer un suivi quotidien pour rendre efficace cette méthode ce qui lui faisait donc perdre

son intérêt économique (10, 11, 13, 17). D'autres solutions avaient été proposées comme

l'enregistrement des valeurs obtenues ou la mise en place en permanence d'une sonde vaginale

enregistreuse directement liée à un ordinateur (16) : tout ceci s'éloignait rapidement du souci

d'économie de tels travaux.

Toutefois, il ne faut pas oublier qu'il_ existe des sources d'erreur liées à la manipulation de

cette sonde :

- l'introduction d'air dans le vagin donne des valeurs anormalement hautes, - l'urine peut donner des valeurs très basses,

- des valeurs aberrantes sont obtenues quand les batteries sont en partie déchargées.

Il faut donc veiller à une utilisation, un entretien et une stérilisation corrects de tels

instruments. Devant l'intérêt de ces premiers résultats, nous réalisons la même étude à une

échelle plus grande et l'on pourrait imaginer d'étendre ce principe de travail non seulement aux.

IA synchronisées comme actuellement en Nouvelle-Calédonie mais à toute femelle de toute

espèce appelée à être inséminée : cette mesure upique permettrait d'écarter de l'IA de manière

quasi-certaine toute femelle non en chaleurs le jour de l'IA (20). Le coût d'achat de l'appareil est

modique, son utilisation simple et rapide notamment pour les inséminateurs professionnels et le gain attendu est appréciable aussi bien en paillettes d'IA, qu'en temps d'inséminateur ou qu'en remise à la à la reproduction plus rapide des femelles non ou mal cyclées.

REMERCIEMENTS

Nous tenons à remercier l'ensemble des éleveurs chez qui nous avons travaillé pour leur

compréhension,

(7)

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Références

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