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L e s C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t le j o u r n a l .

pa Quatorzième Année. — N0 46.

P r i x d u n u m é r o 10 c e n t i m e s

Dimanche 11 Juin 1899.

B u r e a u x : R u e de la S e r r e , 5 8 .

ABONNEMENTS Un an: Six mois:

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6»—

On s'abonne a tons les bureaux de poste. Paraissant le Jeudi et le Dimanche à la ChaDx-de Fonds

A N N O N S E S

Provenant de la Suisse 20 et. la ligr

» de l'étranger 25 » » Minimum d'une annonce 50 cent.

Les annonces se paient d'avance.

O r g a n e «le In S«>«-i<"-i«' I n t e r c m t t o n n l e d e » Iii<lii*t •·•<>* «lu J u r a , «le* C h a m b r e r d e c o m m e r c e , «le* B n r e n i i x «le c o n t r ô l e e t de.·* S y n d i c a t » profeMMioniiele.

Assurances

La commission du Conseil national pour l'assurance maladie et accidents a tenu mercredi après-midi une longue séance. Elle a décidé de présenter au conseil le projet, afin qu'il le liquide définitivement. La discussion aura lieu dans la troisième semaine de la session.

Par toutes les voix contre une, la com- mission a décidé que Ie sort du projet ne doil pas être lié à celui du monopole du tabac et que la date d'entrée en vi- gueur de la loi devrait être lîxée au 1C1

janvier 1902, sans se laisser arrêter par des considérations empruntées à la si- tuation financière.

La majorité de la commission s'est prononcée en même temps pour une réduction proportionnelle du subside de la Confédération et en particulier par le remplacement du centime fédéral quo- tidien (Bundesrappen) par les cinq cen- times par semaine (Bundesfunfer). Cette proposition sera, toutefois, combattue par une assez forte minorité.

En outre, la commission a décidé de revenir sur la question de la responsa- bilité civile dans le sens de la pétition de la fédération des agriculteurs.

L'apprentissage et les écoles pratiques d'industrie et de commerce en France

Le dernier numéro de Y Emancipai ion renferme un article de M. Gaufrés sur la décadence de l'apprentissage. Cet ar- ticle est profondément vrai et Ia conclu- sion en est juste.

Il est exact de dire que de nos jours l'apprentissage est fait dans de mauvai- ses conditions, soit au point de vue technique, soit au point de vue moral.

11 y a lieu de s'en préoccuper. L'intérêt du travail national, l'intérêt de Ia popu-

lation ouvrière, l'intérêt social nous y obligent.

Le meilleur remède à cette situation est d'organiser des écoles où se fasse l'apprentissage des métiers et des pro- fessions, écoles d'où sortiraient non de futurs contremaîtres, mais de futurs ou- vriers..

L'école d'apprentissage a sur l'atelier en ville d'immenses avantages. D'abord le .travail est fait avec méthode, avec suite, avec discipline, ensuite, à côté de l'enseignement professionnel elle donne l'enseignement général, dans lequel le métier puise ses ressources, ses procé- dés, ses inventions. Enfin, la moralité y est observée et la morale inculquée à l'enfant par les leçons des maîtres.

Nulle part, mieux qu'à l'école, impos- sible de faire des ouvriers capables, in- telligents et moraux. Ce sont là les qua- lités nécessaires aux ouvriers de nos di- verses industries si nous voulons que le travail national puisse non seulement progresser, mais simplement lutter con- tre ses concurrents.

Il existe des établissements libres de cette nature : mais ils sont en trop petit nombre pour avoir une inlluence consi- dérable sur le relèvement du niveau de capacité, d'intelligence, de moralité de nos ouvriers. Il en sort d'excellents su- jets qui deviennent facilement contremaî-

tres parce que dans le royaume des aveugles, les borgnes sont rois : mais à quoi devons-nous viser ? A ce qu'il n'y ait plus d'aveugles.

L'initiative privée ne sulïisant pas, le gouvernement a compris qu'il devait par- ticiper à l'oeuvre, et dans ce but il a fondé, sous la direction du Ministère du commerce et de l'industrie, avec le con- cours des municipalités, des écoles ap- pelées Ecoles pratiques de commerce et d'industrie.

La loi du 2Gjanvier 1S92 lésa créées.

Le décret du 22 février 189:) les organise.

Elles naissent en général par la transfor- mation d'écoles primaires supérieures, ce qui peut occasionner une confusion entre les deux institutions. L'école pra- tique d'industrie et de commerce diffère de l'école primaire supérieure par un enseignement professionnel plus intense et un enseignement général plus spécia- lisé, tandis qu'à l'école primaire supé- rieure, l'enseignement général est pré- pondérent et l'enseignement profession- nel accessoire.

Il existe actuellement en France envi- ron 21 écoles pratiques de garçons et i écoles pratiques de filles. C'est, bien peu sans doute, mais c'est un essai, et il est à désirer que dans quelques années, no- tre pays soit couvert d'un vaste réseau de ces écoles, destinées à former des employés pour le commerce et de bons ouvriers pour l'agriculture et pour l'in- dustrie.

Les villes qui en possèdent actuelle- ment sont, par ordre alphabétique : Agen, Bézier, Boulogne-sur-Mer, Brest, Four- nîtes, Friville-Escarbotin, Grenoble, Le Havre, Le Mans, Lille, Limoges, Maza- mel, Montéliard, Morez, Nantes, Nimes, Reims, Rouen, Sl-Chamond, St-Didier- la-Séauve, St-Etienne.

Seules les villes du Havre, de Nantes, St-Etienne, Boulogne-sur-Mer en possè- dent pour jeunes filles.

Les métiers généralement enseignés dans les écoles pratiques d'industrie pour garçons sont : l'ajustage, la forge, la me- nuiserie. Selon les besoins locaux et la générosité intelligente des municipalités d'autres sections y sont jointes, par exemple, dans certaines villes : tour sur métaux, chaudronnerie, armurerie, tis- sage, fonderie, stéréotomie, lithographie, ébénisterie, etc.

Les élèves travaillent neuf heures par jour en moyenne. Six heures sont con-

k:

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-im LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

sacrées au travail manuel, u n e heure au dessin, deux heures à l'enseignement général, dont les leçons sont rendues aussi pratiques q u e possible. Français, histoire, géographie, arithmétique, géo- métrie, histoire naturelle et hygiène, physique, chimie, sont les sciences dont on développe chez e u x ou dont on leur d o n n e les notions.

Au bout de trois années, ces jeunes gens sont ouvriers. L e salaire quotidien qu'ils peuvent gagner au sortir de l'école est au minimum, pour le moins capable de 1 fr. 50. Il en est q u i dès leur sortie gagnent 3 fr. par jour. Cela dépend du plus o u moins de loyauté d u patron chez lequel ils tombent. Ce résultat n'a rien d'étonnant. L e s six heures quoti- diennes de travail manuel, employées avec suite, avec méthode, avec enseigne- m e n t théorique, valent amplement les dix heures journalières d'apprentissage dans l'industrie libre.

Les écoles pratiques qui ne joignent pas à leurs sections industrielles une section commerciale, sont r a r e s : car il est aussi important et à coup sur plus difficile de trouver un débouché et un écoulement aux produits que de les fabri- quer. De bons employés de commerce, bien dressés, bien disposés aux voyages sont des h o m m e s précieux. Tels sont les jeunes gens qui sortent, diplômés, de la section commerciale, après les trois a n s d'études. Ils possèdent u n e langue vivante et parfois deux, l'élude d'une seconde étant facultative. Ils sont au courant de la comptabilité, ont poussé l'arithmétique fort loin, ne sont pas n o - vices en législation commerciale, con- naissent au point de vue d u commerce e t de la production la géographie de toute la terre et possèdent des notions som- maires s u r toutes les marchandises. Ils entrent admirablement armés, à l'âge de IG à 17 ans, dans la carrière commer- ciale, où ils rendent d'excellents services e t o ù ils se forment rapidement au rôle q u e le chef de maison désire leur assi- gner.

M'atlarderai-je à comparer, au point d e vue moral, l'apprentissage fait dans l'industrie privée à l'apprentissage fait dans l'école ? N'est-ce pas inutile ? L e s patrons les plus rigides en morale n'é- prouvent-ils pas de grosses difficultés à la faire respecter dans leurs u s i n e s ? A l'école, l'apprentissage est dirigé par des maîtres de choix qui doivent sauvegarder leur dignité et qui ont pour instruction de saisir toutes les occasions de morali- ser leurs élèves. Là, pas de chansons, pas de propos licencieux : rien qui dé- tourne le jeune homme de ses devoirs : tout est arrangé de façon à le diriger dans la voie droite.

Ouvriers d'élite, ouvriers moraux, voilà ce que forment les écoles prati- ques, et voilà précisément ce dont notre industrie et notre commerce ont besoin.

Et tout ce qui vient d'être dit n'est pas un tableau embelli à plaisir. Non : c'est la réalité telle qu'elle se déroule à Nîmes sous les yeux de l'écrivain de ces lignes, q u i , p a r l'inspection assidue depuis sept a n s de l'un de ces établisse- ments, est en mesure d'en apprécier les bienfaits.

Toutes les villes devraient avoir à cœur de créer chez elles ce type d'écoles et d'y pousser la population de jeunes ouvriers. Le gouvernement, de son côté, par l'organe d u ministère d u commerce et de l'industrie, favorise ces créations, en prenant une grande part des frais à sa charge.

Q u e de bien n'y aurait-il pas à dire des écoles pratiques de tilles ! Mais il vaut mieux laisser ce sujet pour u n autre article. E. BENOIT-GERMAIX.

Notre commerce avec l'étranger

Le premier bulletin trimestriel de la statis- tique du commerce suisse contient quelques données intéressantes sur les relations com- merciales de la'Suisse avec les pays étrangers durant ces trois dernières années.

ToIaI (en millions) Total (en millions] Iliffërcnce des importations îles tiportations

1 8 9 1 ) 1)93,80 088,09 305,77 1897 1031,22 (593.17 338,05 1898 1005,387 723.785 341,002

On voit que la différence suit une marche ascendante. Elle était, en 1890, de 250,40 mil- lions de francs: de 200,298 en 1891, de 211,70 en 1892 : de 181,07 en 1893. Depuis lors, elle n'a pas cessé d'augmenter jusqu'en 1898 ou elle atteint presque le double de 1893. Si cette élévation continue n'est pas l'unique cause des conditions défavorables actuelles du change, elle y a certainement contribué.

Rien n'est plus significatif que les chiffres de notre commerce avec la France :

1894 1895 1890

•1897 1898

Importations de France

; 110,25 138,40 177,01 192.41 203,93

Exportations de France

73,04 74,52 80,93 83,04 83,22

Excellent de l'importation snr

!exportation

37,21 03,94 96,08 108.77 120,71 En 1890, nous importions en France pour 220,34 millions et nos exportations dans ce pays atteignaient 123,92 millions. Ainsi donc la France est en train de reconquérir rapide- ment la position qu'elle occupait avant la guerre de tarifs, tandis que le commerce suisse s'est à peine relevé et, loin de se rapprocher du chiffre de 1890, a même légèrement fléchi de 1897 à 1898.

Ces chiffres démontrent clairement la dépen- dance financière croissante de la Suisse vis-à- vis de la France. Si l'on songe en outre aux nombreux emprunts qui ont été conclus à Pa- ris et à l'énorme opération du rachat que nous avons encore en perspective, il faut reconnai tre que nous ne pouvons guère conquérir de sitôt vis-à-vis de la France une indépendance qui serait cependant extrèmenl désirable dans l'intérêt de nos futurs traités de commerce.

Nos relations avec l'Italie ne sont guère plus satisfaisantes. Nos importations sont montées, depuis 1890, de 137.29 à 155,89 millions de francs : nos exportations, par contre, de 39,10 millions en 1890 sont descendues à 38,97 en 1897 et à 38,739 en 1898. Donc nos rapports commerciaux avec l'Italie se gâtent visible- ment. En 1890. nous n'importions de ce pays

que pour 129,015 millions, tandis que nos ex- portations atteignaient 50,309 millions.

Fort heureusement, ce n'est pas partout la même chose et il reste des pays ou le commerce suisse lient son rang. Nos relations avec l'Al- lemagne en particulier, continuent à se déve- lopper normalement. Nos importations, il est vrai, augmentent, puisqu'au lieu de 304,97 millions en 1890, nous avons fait venir l'an- née dernière pour 314,01 millions de marchan- dise allemande: mais nosexportations ont suivi le mouvement et, au lieu de 172,18, compor- tent actuellement 194,01 millions de francs.

Même en considérant les neuf dernières an- nées, nous ne nous trouvons pas en présence d'un déficit. En 1890, en effet, nous voyons 295,13 millions d'importations contre 181,87 d'exportations. Au point de vue commercial, nous avons donc toutes raisons d'être satisfaits de l'Allemage.

Le commerce avec l'Autriche-Hongrie s'est maintenu depuis 1890 dans des conditions normales. Il a même progressé, si on le com- pare à 1890.

Importations Exportations d Antriehe en Autriche 1890 102.319 39.258 1894 80,255 39,343 1890 71.412 41,274 1898 00,219 42,003 Ainsi donc, en ce qui concerne nos-voisins immédiats, nos relations avec l'Allemagne et avec l'Autriche-Hongrie sont satisfaisantes ; elles sont mauvaises avec l'Italie el la France, auxquelles nous lient des traités désavanta- geux dictés par un protectionnisme outré.

Au point de vue commercial, notre meilleure amie a été de tout temps la Grande-Bretagne.

Elle l'est encore. Le chiffre de nos importa- tions d'Angleterre continue à osciller entre 43 el 51 millions de francs, mais nos expor- tations dans ce pays augmentent d'année en année. Nous lui avons expédié de nos pro- duits pour une somme de 106,48 millions en 1890, 117,58 en 1894, 130,01 en 1895, 147,008 en 1890, 146,07 en 1897 et 148,204 en 1898.

L'Angleterre est donc pour nous un débouché extrêmement précieux, d'autant plus que grâce à sa grande variété, le commerce anglais peut progresser dans une branche quand il recule sur une autre et échapper ainsi aux crises pé- riodiques si nuisibles dans les relations avec les pays continentaux. Il en résulte encore que la Suisse a tout intérêt à voir se dévelop- per le commerce britannique soil aux colonies soit en Extrême-Orient: et ne serait-ce qu'au point de vue commercial, les diatribes dont notre presse s'est parfois montrée prodigue envers l'Angleterre sont absolument déplacées et injustes.

Les Etats-Unis offrent moins de quoi nous réjouir. Nous sommes en bons termes avec eux : mais c'est l'amitié la moins sure qu'il y ait. Voyons plutôt :

1890 1895 1890 1897 1898

Importations des Etats-Unis

28,73 35,08 39,25 51,08 7.'5.OO

Exportations a u Etats-Unis

82.67 71,84 70,51 70,98 73,73 Les importations onl donc plus que doublé et presque dépassé nos exportations. Il n'y a rien là d'étonnant. La broderie et les autres industries de St-GaIl de même que les diverses branches de l'horlogerie peuvent en raconter long sur la politique douanière des Etals-Unis.

Il est vrai qu'ils ont récemment accordé a la Suisse le traitement de la nation la plus favo- risée, sans doute pour nous remercier d'avoir importé leurs produits avec beaucoup plus d'empressement qu'ils n'en ont mis à accueil- lir les nôtres. Ce ne sont pas des clients a négliger, mais vous ne savez jamais avec eux ce que l'avenir vous réserve.

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LA FEDERATION HORLOGÈRE SUISSE

267

Le commerce avec rEtrème-Ûrient a de la peine à se mettre en train. Les exportations suisses restent slationnaires à 13 millions de f r a n c s environ. Les importations ont légère- m e n t a u g m e n t é . On se préoccupe actuellement,

•dans les milieux intéressés, des moyens pro- pres à détourner au profit de la Suisse un filet

•de ce grand courant commercial que l'Angle- terre, l'Allemagne et les Etats-Unis ont réussi à canaliser à leur avantage, surtout au J a p o n . Nos relations avec les autres pays n'offrent rien de particulièrement saillant. Constatons

•que notre commerce s'est beaucoup développé

•avec la Russie q u i , en 1898, nous a envoyé pour 61 millions de francs de ses produits et a reçu pour 30,018 millions des nôtres, contre 33,29 et 13,68 en 1890.

Il va sans dire que tous ces chiffres, repré- s e n t a n t de simples totaux sans spécifier la

nature des marchandises, ne peuvent suffire pour nous faire une idée de notre commerce a v e c ces différents pays, u n peut cependant

•conclure de cette statistique que les négocia- tions en vue de traités de commerce, surtout a v e c la F r a n c e , l'Italie et les Etats-Unis, n'iront pas toutes seules et que la Suisse ris- q u e de se heurter à de sérieuses oppositions, si elle veut obtenir de réels avantages. Il est vrai q u e plus l'attitude de la France et de

l'Italie sera intransigeante à notre égard, plus l'Allemagne a u r a intérêt à se montrer acco- modante.

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