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Dimanche 18 Décembre 1892.

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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Sixième Année. —N

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102.

P r i x d u n u m é r o 10 c e n t i m e s

Dimanche 18 Décembre 1892.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 27.

L B O N N E M E N T S Un a n : Six mois

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

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et d e s Syndicats professionnels.

La coopération internationale La Coopération exerce sans contredit une influence pacifique.

Elle vise à faire disparaître le désordre et la lutte qui résultent de l'excès de la compétition, qui est la source des misères sans nombre dont souffrent toutes les classes, mais surtout les classes les moins capables de se défendre, les classes laborieuses.

Elle tend à démontrer, à la satisfaction de tous, que le plus grand bien ne peut être obtenu qu'en faisant disparaître l'in- térêt personnel fet en travaillant pour le bonheur de tous dans la société et, qu'en poursuivant ce but, les individus servent encore leurs propres intérêts.

Lentement mais sûrement les idées coopératives font leur chemin dans la plupart des nations et il n'est pas besoin d'un grand effort d'imagination pour comprendre que si les nations devenaient coopératives par leurs sentiments la plu- part des difficultés qui, dans le passé, ont causé beaucoup de frottements entr'elles disparaîtraient entièrement.

Nous avons à relever les degrés sui- vants dans la marche des idées :

1° La coopération des individus dans les villages ou dans les associations urbaines;

2° La coopération de ces associations d'individus dans des fédérations natio- nales et cela dans l'intérêt de tous;

3° L'alliance de fédérations semblables dans différents pays dans le but d'ame- nor un plan de conduite semblable et d'établir une solidarité plus grande dans le mouvement général de la coopération.

La coopération universelle doit avoir un seul objet en commun : l'élévation sur l'échelle sociale de toutes les classes qui sont abaissées et soumises à une tyrannie quelle qu'elle soit. Son but est d'obtenir pour tous l'égalité sociale dans la bataille

pour la vie. Quand on observe combien d'individus sont faibles, on est obligé de reconnaître que cette égalité ne peut être acquise qu'en faisant naître entre toutes les classes un esprit de camaraderie.

Une fois cette camaraderie établie et une fois que les hommes auront com- mencé à comprendre que leur plus grand bonheur dépend du bonheur correspon- dant des autres, nous aurons modifié l'amertume intense de là 4utte compé- titive. "

Coopération signifie fraternité, par con- séquent quand l'action coopérative sera devenue générale dans tout le monde, elle influencera la politique des peuples et les jalousies de races, les haines dis- paraîtront.

Prenez par exemple la question de la protection et du libre échange — ce pro- blème devient un des plus simples quand on l'observe au point de vue coopératif.

Les coopérateurs désirent relever la con- dition sociale des travailleurs et leur donner la sécurité du lendemain. Peu de pays se suffisent à eux-mêmes et aucun d'eux ne consomme tout ce qu'il produit.

Les exigences du climat, et bien d'au- tres conditions se présentent pour ren- dre une nation dépendante des autres pour une partie de ses approvisionne- ments et aussi pour l'échange d'une partie de ses produits.

Il est nécessaire alors d'avoir un échange international et tout ce que nous désirons comme coopérateurs, soit en France, soit en Angleterre ou ailleurs c'est que cet échange, aussi bien pour le producteur que pour le consommateur, se fasse dans un esprit de justice. Nous insisterions tout d'abord pour que toutes les denrées que nous consommons soient produites dans des conditions telles que la position et la rémunération des tra- vailleurs soient considérées avec justice.

Ceci peut devenir facile pour ce qui con-

cerne l'Angleterre, si on accepte le plan récemment proposé dans une conférence de trade-Unionistes et de coopérateurs, d'adopter une marqué de fabriqua ΐρΰ serait placée sur les denrées de toutes les industries où les employés reçoivent un salaire équitable.

Les coopérateurs connaîtraient ainsi la qualité des produits qu'ils achètent, et empêcheraient l'avilissement des sa- laires.

Donnez à la coopération un caractère international et étendez cette mesure dans d'autres pays et vous verrez bientôt disparaître l'usage delà vente d'objets trop bon marché et le travail insuffisamment payé.

L'un des arguments les plus forts dont se servent les patrons anglais, quand leurs employés leur demandent une aug- mentation de salaires, est que le bénéfice de l'entreprise ne leur permet pas de donner cette augmentation, et que s'ils l'accordent l'infériorité du salaire à l'é- tranger, ruinera leur industrie. Mais, vrai ou non, si les ouvriers dans certains pays consentent à travailler à un prix dérisoire et que les ouvriers des autres pays soient obligés de les suivre dans cette voie, ce serait une ruine générale des travailleurs.

Tous les coopérateurs doivent chercher à rendre l'état social de l'ouvrier équi- valent dans tous les pays, de manière qu'il soit impossible à un groupe d'ou- vriers d'être placé dans des conditions telles qu'il soit obligé de faire concur- rence à d'autres groupes ouvriers sur le champ industriel.

Quelques personnes disent : Abolissez la compétition et vous ferez disparaître aussitôt « tout stimulant dans l'industrie et toute activité du cerveau. »

Mais sûrement nous ne sommes pas

assez vils pour n'obéir qu'à un mobile,

celui de l'argent.

(2)

. • ' . ·

436 LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

Certainement un esprit d'émulation, un désir de briller et d'être utile à nos concitoyens doivent suffire pour exciter nos meilleurs efforts.

La dernière pensée que j'ai à mention- ner pourra paraître utopique, mais à mon avis c'est une des plus encoura- geantes : Si la coopération était interna- tionale, il n'y aurait plus de guerres.

Il est impossible de s'imaginer que des peuples qui ont travaillé ensemble dans un esprit de fraternité coopérative puissent prendre les armes les uns contre les autres.

Ils n'auraient aucune raison de le faire.

La coopération est la règle de l'équité, de la justice et du droit ; la guerre est le piédestal de l'ambition, de la jalousie et de la force.

Une nation imprégnée de l'esprit coo- pératif ne désirerait jamais humilier ou être humiliée, ni commettre une injus- tice dans le but de satisfaire l'ambition ou l'orgueil.

Sans nul doute nous pouvons raison- nablement compter que sous le règne de la coopération la guerre cessera et sera regardée comme une chose qui apparte- nait aux siècles barbares, avant que les nations aient connu la fraternité des hommes et leur dépendance mutuelle.

Puissions-nous bientôt voir les prin- cipes bienfaisants de la coopération adoptés par tous les peuples du monde.

GRAY,

Secrétaire général de V Union coopérative de la Grande-Bretagne.

Hommage à M. Ie conseiller fédéral Numa Droz

Ensuite de l'initiative prise par la société des fabricants d'horlogerie et par l'adminis- tration du contrôle, les fabricants et exporta- teurs d'horlogerie de la Chaux-de-Fonds ont offert, à M. Droz, comme souvenir de recon- naissance et de gratitude pour les services rendus au pays et particulièrement à l'indus- trie horlogère, pendant sa longue carrière de conseiller fédéral, une fort belle toile du pein- tre Jeanmaire, représentant un paysage des environs de la Chaux-de-Fonds.

Une délégation s'est rendue à Berne jeudi, pour remettre ce souvenir à son destinataire, avec une lettre collective portant les signatu- res des souscripteurs. A cette occasion, un diner a réuni M. le conseiller fédéral Droz, les membres neuchâtelois des Chambres fédé- rales et la délégation. Tous conserveront un excellent souvenir de cette petite fête, au cours de laquelle des sentiments de recon- naissance émue et de sincères regrets ont été exprimés à notre ami et concitoyen M. Numa Droz.

Arrangement commercial avec la France.

Les Chambres fédérales ayant accepté l'ar rangement commercial avec la France à la condition expresse que nos voisins ratifient cet arrangement y compris les réductions de tarif avant le 31 décembre courant, on s'attend, vu la tournure que prennent les choses en

France, à l'application du tarif général suisse aux produits français dès le 1e r janvier 1893, sans préjudice des mesures que le Conseil fédéral est autorisé à prendre en vertu de l'ar- ticle 34 de la loi de 1851 sur les péages. •

En ce qui concerne l'horlogerie, principale- ment, on admet l'insuffisance complète de n o - tre tarif général dans le cas de non ratifica- tion de l'arrangement de la part de la France.

— L'Agence Dalziel annonçait, il y a une quinzaine de jours, que le cabinet français était désireux d'obtenir un nouveau délai pour la ratification de l'arrangement commercial.

Le fait fut contesté, mais on annonce aujour- d'hui qu'une prorogation jusqu'en février a été sollicitée.

La vérité est que M. Siegfried, en prenant possession du ministère du commerce, deman- da à M. Lardy s'il ne pouvait pas obtenir un certain délai dont il croyait avoir besoin pour s'orienter.

M Lardy répondit que la chose était impos- sible, et que le premier janvier devait être con- sidéré comme la date extrême de la ratifica- tion. D'ailleurs, dans son discours d'aujour- d'hui, M. Droz a clairement laissé entendre que le gouvernement français, ou plutôt la com- mission des douanes qui discute depuis deux mois avait eu tout le temps nécessaire pour examiner le détail de l'arrangement.

Application des lois anglaises aux colonies

L a question de savoir si les lois anglai- ses, — spécialement le « Merchandise Marks Act » — sont applicables a u x colonies ayant fait l'objet de nombreuses demandes de la part d'exportateurs suisses, le secrétariat soussigné communique aux intéressés les renseignements suivants qui émanent du chargé d'affaires de Suisse à Londres.

En règle générale, les lois faites pour la Grande-Bretagne et l'Irlande ne s'appliquent pas de droit aux colonies, et surtout pas à celles qui ont un parlement spécial comme les colo- nies- australiennes.

Le « Merchandise Marks A c t » de 1887 n'est, en principe, pas applicable aux colonies. L'a- gent général à Londres de la colonie de Vic- toria communique que dans cette colonie, un

« Merchandise Marks Act » a été adopté en 1889 et que cette loi exigeait l'indication du pays d'origine sur la marchandise importée, en cas où il s'y trouverait une inscription de nature à faire croire que la marchandise a été fabriquée dans la colonie de Victoria.

Dans les autres colonies australiennes, au- cune mesure semblable n'aurait encore été adoptée, à ce que disent les agents de ces co- lonies, mais il en aurait été question.

Il est bon de rappeler que la loi anglaise s'applique également aux marchandises qui touchent la Grande-Bretagne et l'Irlande, en transit seulement.

Secrétariat de la Chambre cantonale du commerce, de Tindustrie et du travail.

Le marché d'horlogerie de Bienne

Ce n'est p a s sans une certaine appréhen- sion que la Chambre syndicale des fabricants d'horlogerie des cantons de Berne et de So- leure décidait, il y a quelques semaines, l'ou- verture d'un marché d'horlogerie à Bienne.

On pouvait se demander si cette tentative ve- nant après l'essai infructueux de 1881 serait couronnée de succès et plusieurs de nos amis tout en nous félicitant pour notre utile initia- tive, émettaient des doutes sur sa complète réussite.

Ces craintes n'étaient pas fondées et nous

sommes heureux de constater aujourd'hui que le succès a couronné nos efforts. Le marché d'horlogerie de Bienne voit chaque mardi augmenter le nombre de ses visiteurs et l'im- portance des transactions quiysontconclu.es;

il remplit de plus en plus une rôle utile et son développement normal est assuré.

Dans ces conditions, nous envisageons que nos communiqués hebdomadaires sur le mar- ché d'horlogerie ne sont plus nécessaires;

nous en supprimons donc, dès aujourd'hui, la publication régulière, nous réservant, s'il y a lieu, de nantir les intéressés des faits saillants qui pourront se produire dans l'avenir.

Nous saisissons cette occasion de remercier acheteurs et vendeurs de l'empressement qu'ils ont mis à répondre à notre appel, et nous souhaitons que l'institution créée par le Syn- dicat des fabricants d'horlogerie se développe pour le plus grand bien de nos intérêts géné- r a u x et particuliers.

Bienne, le 16 décembre 1892.

Pour le bureau de la chambre syndicale : Le président, Le secrétaire, H " Thalmann. A. Chopard.

L'émigration européenne Le Petit Journal publie sur cette ques- tion un inéressant article, dont nous dé- tachons le passage suivant:

En 1891, 639,000 Européens ont émigré. Sur ce nombre, plus de la moitié, 334,000, Anglais, Ecossais, Irlandais, appartenaient au Royau- me-Uni, que gouverne nominalement la reine Victoria, et réellement une richissime autocra- tie qui fait autour d'elle le désert et l'extrême pauvreté. Très prolifiques, les familles de la- boureurs de la Grande-Bretagne et de l'Ir- lande constamment élèvent des sujets pour l'émigration.

Comment ces futurs expatriés ne fuiraient- ils pas un pays où la grande propriété sei- gneuriale leur dénie le droit de vivre eh leur en refusant les moyens ? v

Vient ensuite, dans un haut rang, l'Allema- gne. 150,000 individus ont, en 1891, préféré l'exil sans retour et les épreuves d'une exis- tence aventureuse à la dure servitude, aux charges écrasantes que le gouvernement aris- tocratique et militaire de la Prusse fait peser sur les classes laborieuses.

C'est vainement que le prince Bismarck ose affirmer qu'un grand nombre démigrants est un signe de prospérité nationale parce qu'il montre que les hommes ont assez d'argent pour payer leur passage. La malheureuse contenance, le som- bre désespoir des embarqués d'Hambourg et de Brème protestent toujours contre ce p a r a - doxe étrange de l'ex-chancelier.

Le Royaume-Uni, l'empire d'Allemagne sont les principaux facteurs du monde nou- veau ; les autres nations de l'Europe n'en a p - prochent pas. Cependant plusieurs chiffres d'émigrants paraîtront encore considérables.

L'indigence, un sol glacé chassent des Etats Scandinaves 62,000 personnes; l'extrême iné- galité des conditions en éloigne 45,000 de l'Autrichc-Hongrle. Après eux figure, avec 32,000 âmes, l'Italie, victime d'une politique ambitieuse, d'armements excessifs, de tarifs protecteurs désastreux et d'un système agraire détestable, du pain cher, de la presque fa- mine!...

16,000 Portugais, 10,000 Suisses, 5,000 Hol- landais et 5000 Français seulement se ris- quent vers l'inconnu pour la subsistance ou la fortune; seule, · - par un curieux phéno- mène, — la Belgique, ne se répandant qu'à proximité de ses frontières, fixe plus d'habi- tants qu'elle n'en perd, a plus d'influx que de reflux.

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LA FEDERATION HORLOGÈRE SUISSE

437

Nouvelles diverses

J o u r n é e d e h u i t h e u r e s . — L a fabrique d e jalousies Heinrich Freese, de Berlin et Hambourg, a introduit dès le lo r avril de cette a n n é e la journée de huit heures pour tous son personnel, en conservant les anciens salaires.

Cette innovation, qui a été satisfaisante aussi bien pour les patrons que pour les ouvriers,

— si bien que ceux des ouvriers qui étaient opposés à la réduction de la journée de crain- te d'une diminution de leur gain sont revenus

•de leur erreur — a éveillé l'attention du mi- nistre du commerce. Cette autorité a récem- ment procédé à u n e enquête parmi les ou- vriers de ladite fabrique, aussi bien dans les locaux de travail que dans les domiciles particuliers, afin de savoir comment les ou- vriers sont satisfaits de l a journée réduite.

Variétés

Où s'arrêtera le machinisme? Un Améri- cain vient d'immaginer un ciseau électrique pour sculpteur avec lequel un ouvrier serait

•en mesure, paraît-il, de faire seul l'ouvrage de quatre ou cinq praticiens travaillant au maillet.

L'outil pèse à peine 3 kilogrammes ; il est formé d'un piston se mouvant à l'intérieur

•des enroulements tubulaires de deux bobines électriques.

L a fréquence des coups est réglée au moyen d'un bouton placé sur le côté de l'appareil. Il

«st b o n d'ajouter qu'on n'a vu encore aucune œ u v r e exécutée à l'aide de cet instrument.

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du 16 décembre 1892 facturé a u x monteurs de boites L'argent 800 laminé et fil à fr. 114»50 le kilo.

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» 935 » » » 133»35 » Fin en grenailles » 141»40 »

Avis

Nous prions nos abonnés et nos lecteurs de bien vouloir p r e n d r e note que toute demande de rensei- gnement doit être accompagnée d'un timbre de 10 centimes.

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Les annonces et abonnements sont reçus, pour la région biennoise et le canton de Soleure, chez Monsieur A l b e r t C h o p a r d , c o m p t a - b l e . Une de la Gare 1, à Sienne.

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438 LA FEDERATION HORLOGÈRE SUISSE

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Extrait du ,,Journal s u i s s e d'Horlogerie", revue h o r l o g é r e u n i - verselle, n u m é r o d'avril 1892, publiée sous les auspices de la Classe d'industrie et de commerce (Société des Arts de Genève) :

« Le mouvement est fixé dans un cercle fileté à l'extérieur (fig.2) qui l'entoure sur toute sa hauteur, et qui une fois vissé dans la boite, vient s'appuyer au fond de celle-ci, constituant ainsi un garde-pous- sière dont l'efficacité va même jusqu'à la plus complète imperméa- bilité.

«Il ressort de l'innovation de M. F. Borgel un avantage qu'il est bon de constater, c'est la solidité acquise par une boite légère due au fait que le cercle appuie au fond de la boite, tendant ainsi et le fond ë t l a carrure. Ce fait, joint à la simplicité de la construction de la boite et à la suppression de la cuvette, justifie la mention d'écono-

mique dont nous avons qualifié cette nouvelle boite. 1789-29 L'emboîtage du mouvement dans ce cercle est fait de manière que

lorsque le vissage est opéré à fond, le midi se trouve à s a place vis- à-vis du pendant. Un petit ressort d'arrêt en assure du reste la stabi- lité.» .

NB. Les mouvements étant fermés hermétiquement, il en résultera une économie de nettoyage pour le particulier. — Il est également fa- cile de sortir son mouvement pour eii retoucher le réglage, et pour l'acheteur en reconnaître la qualité; une application très heureuse a été jointe pour les personnes qui désirent supprimer la vis au pendant.

Il suffit de tirer la couronne disposée à ressort pour en dégager la tige du mouvement, qui maintenue ainsi au dehors par un retien à l'in- térieur du pendant, permet de dévisser et de remettre le mouvement avec facilité. La couronne ne peut s'échapper de son pendant.

L'économie de matière est en moyenne de 30 à 40 pour cent.

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