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Le resserrement des crédits

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Trente-cinquième Année. — N° 96. Mercredi, 6 Décembre 1920 Miï />..î Bureau»: Rue de la Serre, 58 it»<'

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ORGFINE DE LR CHRMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, DES CHAMBRES DE COMMERCE, DE5 BURERU* DE CONTROLE, DE5 ASSOCIRTIOrtS PrVTROrffltES

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Abonnement par la post« 20 ct. «il plat Compte d e chèques postaux IV b 426

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ET DE L' IMFORMRTION HORLOGÈRE SUISSE

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L'enseignement horloger en France m_, . - ; i

Il faut bannir absolument de l'enseigne- ment professionnel le système qui consiste à éliminer au fur et à mesuré les non valeurs reconnues II faut songer que pour avoir été embarqué, ne fut-ce que deux ou trois mois, dans une direction qui ne convient pas, un enfant perd un an d'étude et peut rater sa vocation.

Il faudrait aussi, à mon avis^ séparer très nettement dans les écoles professionnelles l'horlogerie de la mécanique de précision. En ce moment où tons les prix sont enflés, les salaires de l'horlogerie peuvent rivaliser avec ceux de la mécanique. Avant la guerre, il n'en était pas ainsi. ' Demain, il en sera peut-être autrement, ©r, si la même école offre deux débouchés inégalement avantageux au point de vue pécunier, ce sera évidemment le meil- leur qui l'emportera, h

Il y aura toutefois un moyen d'éviter le re- tour d'une inégalité qui fut flagrante et parfois navrante — j'ai vu d'excellents horlogers quit- ter leur partie, où ils ne pouvaient obtenir plus de 80 centimes de l'heure pour entrer dans l'automobile où ils débutaient à 1 fr. au moins — il y aurait un moyen, ce serait l'or- ganisation sérieuse et vigoureuse des syndicats, tant patronaux qu'ouvriers, et une collabora- tion étroite de ces syndicats au point de vue économique, afin de fixer et de maintenir des prix raisonnables de main-d'œuvre. Il parait

y avoir une tendance vers cette amélioration.

Ce serait la fin des syndicats, où l'on s'écoute végéter en attendant l'éclosion de fleurs rouges et violettes, en s'appelant « dévoués confrères ».

Tel qu'il existe actuellement, l'enseignement horloger français supporté, malgré tout, la comparaison avec l'enseignement suisse. En Suisse, les écoles d'horlogerie ne sont pas par- faites. Elles sont presque continuellement en voie de formation, ou plutôt A7adaptation aux conditions d'existence d'une industrie elle- même en évolution perpétuelle. Si elles ont plus d'élèves pour une population horlogère qui ne dépasse vraisemblablement pas 50.000 ouvriers ou ouvrières, c'est qu'elles offrent des apprentissages plus en rapport avec les désirs ou les besoins des élèves. Elles donnent non seulement l'instruction complète nécessaire au praticien de choix où au technicien qui di- rigera une fabrication, mais encore un ensei- gnement restreint qui se plie aux exigences plus modestes des spécialistes, n'aspirant pas à devenir d'éminents rhabilleurs où des chefs d'atelier. En France, celte souplesse et cette plasticité de l'enseignement ont été introduites dans l'école de Besançon et qui déjà s'en trouve bien. Or, Besançon est le grand centre de l'hor- logerie française, la Franche-Comté ayant à son actif les quatre cinquièmes des ouvriers de l'industrie horlogère,

On comprend parfaitement que dans l'en- semble de l'enseignement professionnel horlo- ger, l'école nationale de Cluses doive être mise à part. Elle a un certain caractère diplomati- que qui la maintient dans une position par trop excentrique et l'oblige à suivre un pro- gramme déterminé en formant des horlogers complets.

Il n'y anrait guère d'utilité à créer dans une région horlogère, dont la population active est de 3000 personnes environ, des cours complé- mentaires, des cours de perfectionnement ou des cours d'adultes qui surchargeraient le pro- gramme général déjà fort lourd.

Il serait par contre tout indiqué d'introduire à Paris un enseignement du genre de celui de Besançon. C'est à Paris que l'instruction hor- logère s'adapte le moins bien aux besoins d'une industrie qui fait actuellement de sérieux efforts pour se redresser. Quatre ans d'études obliga- toires, avec un âge minimum d'entrée de treize ans et aucune vérification préalable des apti- tudes, c'est trop de défaits joints à ceux que présente naturellement l'enseignement propre- ment dit. Cet enseignement a jusqu'ici trop mélangé la mécanique à l'horlogerie, trop né- gligé la fabrication mécanique, donné trop peu de place à la pendule qui — irMie faut pas l'oublier, fait le fond de l'industrie horlogère parisienne, et constitue le principal fleuron de sa couronne — trop confondu les deux ensei- gnements pratique et théorique. Lors du ré- cent concours destiné à procurer à cette école quatre chefs d'ateliers, il était encore spécifié que les maîtres choisis auraient à donner des leçons théoriques ou techniques. Il y a là une Confusion regrettable.

Il est vraisemblable que ces défauts qui pa- ralysent un établissement auquel la ville de Paris ne marchande pas son concours finan- cier disparaîtraient facilement si l'on décidait à constituer une commission administrative comme en ont les écoles suisses et celle de\Be- sançon au lieu de ne faire appel qu'aux lu- mières d'un unique groupement patronal et de conseillers municipaux dont la compétence est des plus discutables en pareille matière !

Je n'ai pas parlé dans ces lignes des écoles privées qui comme celles de Lyon ou d'Anet font chacune dans leur sphère plus modeste de bon travail en ne »'astreignant pas à opérer dans un cadre rigide. Ces écoles régionales pourront parfaitement vivre et se développer à côté des trois grands établissements revêtus d'un caractère officiel, dont il a été ici question.

Pour que ces établissements rendent ce qu'ils pourraient rendre, il ne manque guère à Cluses que... de n'être pas à Closes mais dans un endroit un peu plus abordable ! A Besançon il manque une... maison, une maison vaste et confortable! De celte-maison on parle depuis longtemps. On.en a, je crois, déjà plusieurs fois tracé les plans et choisi l'emplacement.

Mais c'est une grosse dépense, une pins grosse dépense aujourd'hui que jamais. Et malheureu-

sement les horlogers fabricants de l'Est ne semblent -pas en état d'apporter à cette bâtisse un concours financier bien important qui dé- clancherait peut-être l'aide de la Ville et de l'Etat A Paris, l'édifice construit il y a trente ans est aussi insuffisant pour un enseignement complet avec cours annexes répondant .aux exigences de toute la population horlogère.

Si ces divers desiderata se réalisent quelque jour — il faut tout de même l'espérer — on peut estimer que la population scolaire des trois écoles parisienne, bisontine et clusienne serait aussi importante que celle des dix écoles suisses, dans la partie horlogère.

Cinq cents élèves ou apprentis pour une population de cinquante mille travailleurs, rha- billeurs ou détaillants, ce n'est pas énorme, le tout couronné par un enseignement supérieur') donné à Besançon — et peut-être aussi à Paris

— et fortifié par rétablissement d'un diplôme constatant les capacités professionnelles de quiconque s'intitule horloger complet ou spé- cialisé.

Cette question de l'enseignement figurerait tout naturellement au premier plan des préoc- cupations et des travaux de la Chambre frani- çaise de l'horlogerie dont Besançon -demande la création.2)

Ainsi soit-il. LEOPOLD REVERCHON ,.

Le resserrement des crédits

La Chambre suisse de l'horlogerie s'est occupée du resserrement des crédits qui contri»

bue à paralyser la marche de l'industrie. En ce moment où la mévente provenant du changé rend si difficile la situation de nos industries d'exportation, une diminution du crédit de la part des banques, aggrave sensiblement la crise et risque de la faire tourner à la catastrophe.

Le problème n'est pas spécial à la Suisse et l'on en parle également en France. La Banque de France accusée d'avoir donné aux autres établissements financiers le. mot d'ordre de restreindre les crédits proteste qu'il n'en est rien. «La Banque de France, déclare M. Ro- bineau, n'a jamais refusé, a i même modéré, son concours aux opérations commerciales.

Elle a trop soin du rôle dévolu au crédit dans, l'immense travail de restauration économique, pour le restreindre an moment même ou le besoin en apparaît plus grand.»

Il faut remarquer toutefois gue M.J&ohineau, _ au nom de la Banque de France, parle de crédits pour «opérations commerciales».

Peut-être reconnait-il par là que la banque se montre plus réservée pour les autres? Quoi.' qu'il'en soit, écrit Y Information,^ est indénia-

•') A propos de l'enseignement supérieur chronoraé- trique, il y aurait lien pour les fabricants français- ' d'imiter le geste de leurs confrères suisses p a r l a créa- tion d'un fonds destiné à soutenir le laboratoire chro- nométrique de l'Université de Besançon. ; •• -(!: :

--) Une récente note du Fabricant français nous apprend malheureusement que le syndicat de Montbe- liard se trouve très bien comme il est.

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816; L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E SUISSE ble qu'il y a en F r a n c e une crise de crédits.

II est n o n moins .certain que n o m b r e d'indus- triels e t d e commerçants et n o n des moindres, é p r o u v e n t les plus grandes difficultés à se procurer les moyens de faire face à leurs éché- ances, que certains même n'y réussissent paä..

C'est donc qu'ils ne trouvent pas auprès de l e u r s b a n q u i e r s le concours habituel. Il esl difficile d'admettre que ces derniers agissent spontanément, et il est probable que s'ils"se j3aöntre.nt aussi d u r s / c'est qu'ils craignent à leur tour de voir leur signature discutée. l i e s t très désirable que lès banques se prêtent un mutuel appui, au lieu de rester chacune sur la défensive et de s'enrregarder avec méfiance.

C'est la première condition pour que la con- .fiance renaisse et pour q u e les commerçants et

les industriels trouvent auprès des banques

•fl'appui qui leur est nécessaire.

Parlant sur le même thème, M. Marsal, mi- n i s t r e des finances de France, disait dernière- ment dans un discours prononcé à la Chambre ,du commerce de Paris :

«Un des éléments essentiels au redressement de la situation est le maintien de larges crédits à l'in-

dustrie et au commerce.

«Ces moyens de crédit, l'industrie et le corn- .irierce doivent les trouver, sous deux formes. Tout

d'abord,- c'est le capital de la.maison qui en prin- cipe doit porter les stocks. D'autre part, on doit

•pouvoir compter sur les crédits en banque pour porter, les opérations d'échange. C'est pourquoi on a facilité les augmentations de capital des banques, de manière à accorder leurs moyens d'actions; les mettre mieux en mesure de donner des crédits.

«Mais c'est dans le retour progressif à la liberté dans le développement de l'initiative individuelle, qu'il faut chercher l'amélioration de la situation économique. Les restrictions, les réglementations souvent changeantes qui ont été établies pendant la guerre, ne sont guère compatibles avec l'expan siondu commercé et de l'industrie dont i l s b r i d e d les mouvements, dont ils entravent l'essor.

«Sans doute, le retour à un régime normal ne se fera pas sans heurts ; quand l'équilibre est rompu entre lès deux plateaux d'une balance, ce n'est que par des approximations successives qu'on parvient à le rétablir après une série d'oscillations.

«Mais ces oscillations iront s'atténuant; les ap pels aux capitaux pourront de nouveau se faire sans formalité gênante; les tarif douaniers seront adaptés aux circonstances nouvelles et des traités dé commercé assureront plus de stabilité dans les conditions de transactions avec l'étranger ; le gou- vernement et les Chambres, dans une étroite col- laboration, s'eßorceront de limiter les dépenses au strict nécessaire, de ne laisser à l'état que ses tâ- ches essentielles et de rendre à l'initiative privée les fonctions qu'il a assumées pendant la guerre, mais qu'il remplit mal et qu'il est incapable de bien remplir, de réduire ainsi les charges qui pè- sent lourdement sur toutes les branches de l'acti- vité nationale. »

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On le voit, la situation en F r a n c e présente beaucoup d'analogie avec celle de la Suisse.

Nous souffrons également d'un resserrement des crédits, et n o u s avons les mêmes raisons que lés autorités financières françaises de com- battre cette crise de confiance. C'est pourquoi nous espérons que l'appel de la Chambre suisse de l'horlogerie demandant, à la Banque nationale, d'augmenter le crédit d'escompte de 150 à 250 millions sera pris en considération.

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Informations

Yougoslavie. — C e r t i f i c a t s d'origine.

D'après une communication de Belgrade, les exportateurs suisses paraissent partir du principr que, pour l'imp. rtation des marchandises en You- goslavie, des certificats d'origine ne sont plus in- dispensables. Il arriverait fréquemment, en effet, que dés marchandises de provenance suisse sont présentées à la douane sans certificats d'origine et que leur dédouanement doit en conséquence être suspendu. Des certificats de ce genre sont exigés comme jusqu'ici pour tous les envois doni on de- mande l'admission aux taux du tarif minimum. La

• • - •

légalisation par la Légation de Yougoslavie à Berné n'est pas nécessaire.

Espagne.-Augmentation dés droits d'entrée.

^Faisant suite à l'information parue dans notre dernier numéro, BOUS avisons nos lecteurs que l'ordonnance concernant des élévations, de droits d'entrée sur des articles de luxe s'applique aux suivants, intéressant nos industriels:

™ i Désignation de la marchandise " X T " Ä "

(Pesetas or)

52 Autres objets que la joaillerie et la bijouterie en or, platine

• öu argent, ainsi que joaillerie et bijouterie mi-ouvrées, (par

hectogramme net) 9.— 3,60 527 Appareils d'optique, instru-

ments à lunettes pour l'astro- nomie, la géodésie et la topo-

graphie, (par kg;) 30.— 10.—

Ces nouveaux droits sont applicables à partir du 1er décembre courant; toutefois, les marchan- dises expédiées directement à destination d'Espa- gne, par bateau ou chemin de fer, avant le 28 no- vembre, seront dédouanées aux taux antérieurs.

Les droits consolidés par le traité de commerce hispano-suisse en vigueur, sont maintenus sans modifications, donc, il n'y a pas de changement en ce qui concerne ['horlogerie, la bijouterie et les boîtes à musique.

. L'agio dû au cas où les droits de douane, paya blés en or, sont acquittés en monnaie-papier ou monnaies d'argent, a été fiséà^5,7;0/u pour le mois de décembre courant.

Commerce extérieur

R e p r é s e n t a t i o n s collectives à l ' é t r a n g e r de m a i s o n s d ' e x p o r t a t i o n s u i s s e s .

Le Bureau suisse de renseignements pour l'achat et la vente de marchandise (Métropole, Zurich) qui a organisé des représentations collectives en diverses contrées (Afrique australe et orientale, Asie mineure, Egypte, Iudes Néerlandaises, etc.), prépare une nouvelle »gence. Celle-ci s'intéressera à l'Australie ou du moins à une partie du continent.

Suivant ce Bureau, le système de représentation qui convient le mieux pour nous, c'est la représen- tation collective, surtout lorsqu'elle s'étend sur des contrées vastes, à grandes richesses naturelles, mais à population clairsemée, là où les réseaux ferroviaires et autres voies de communication sont peu développés. Dans ces vastes territoires, les voyages entraînent de grosses dépenses et outre les voyages on doit tenir compte d'autres frais encore. Non seulement, les frais de représentation se trouvent sensiblement réduits s'ils sont répartis sur un certain nombre de maisons, mais en outre avec ce système, plusieurs maisons peuvent trouver des débouchés dans des pays où, livrées à leurs seuls moyens, elles n'auraient jamais espéré pou voir s'implanter.

La fréquence des crises et les difficultés subites qui bouleversent les marchés, invitent à se prému

nir contre les risques, en reparaissant ceux-ci sur plusieurs pays. De cette manière, l'entreprise peut se développer, un débouché restant assuré là où la crise ne sévit pas. Pour bien diriger une représen- tation collective il faut un homme qui. l'ayant habité plusieurs années connaisse le pays et ses conditions particulières; en outre, il doit avoir conservé des attaches avec son pays d'origine et être au courant des conditions de l'industrie suisse.

Le Bureau suisse de renseignements a réussi à trouver une personnalité qui convient et consent à assumer la représentation collective pour l'Etat du Queensland et quelques îles du Pacifique appar tenant aux possessions anglaises.

E x p o r t a t i o n en F r a n c e .

Une conférence des délégués des syndicats des fabricants d'horlogerie de Besançon. Morteau et Montbéliard et ceux des syndicats des fabricants suisses.de montres en or, de fabricants de montres en métal et argent et des fabricants d'ébauches, a eu lieu sous les auspices de la Chambre suisse de l'horlogerie, à La Chaux-de-Fonds, samedi passé 4 courant.

La réunion avait pour but dé discuter de diverses questions présentant un intérêt commun pour les industriels des deux pays.

Nous aurons l'occasion d'y revenir dans la suite.

T c h é c o s l o v a q u i e .

Nous rappelons que toute expédition de mar- chandises à destination de ce pays doit être munie, à son entrée sur le territoire de l'Etat tchéco-slo-

vaque, d'un permis d'importatation ou d'une feuille d'expédition spéciale. Ces permis ne doivent point être envoyés à l'expéditeur à l'étranger, il faut ne lui envoyer que les feuilles d'expédition légalisées.

Les intéressés sont donc priés de joindre les feuil- les d'expédition à leurs demandes, au moment même de la présentation, notamment s'il s'agit d'une importation par fractions. Le nombre des feuilles d'expédition doit correspondre à celui des colis expédiés. Le bureau du commerce extérieur remettra en même temps à l'intéressé un permis d'importation et les leuilles d'expédition légalisées qu'on peut envoyer à l'étranger.

Situation é c o n o m i q u e à New-York.

De ses premières conversations à New-York, chez les exportateurs et les banquiers, et de la lecture des statistiques et des documents commer- ciaux des banques, le correspondant de l'Informa- tion n'arrive à tirer qu'une conclusion générale : les Etats- Unis sont entrés dans une période de réadaptation et de baisse des prix, mais cette baisse n'est pas encore réellement sensible pour le public:

Il y a baisse, et même crise dans certaines in- dustries, cela est un fait certain. Le charbon, par exemple, qui, pris sur le carreau de la mine, des- cend de 14 à 6 et 5 dollars en quelques jours. Dans la confection, les prix ont décru, et le Secrétaire de l'Association des Confectionneurs annonce qu'ils décroîtront encore d'ici le 1" janvier. Lo sucre, la laine, la soie, les cuirs, le linge, les co- tonnades, la viande de porc et bien d'autres choses encore voient leurs prix diminuer.

Les hommes d'affaires ont confiance dans le système des Banques de réserve fédérale pour empêcher un cataclysme comme celui de 1907. Et puis, ils sont ravis par l'élection de M. Harding, qui supprimera très probablement l'Excess profit tax (impôt sur les bénéfices en sus d'un pourcen- tage arbitraire et fixé par les agents des finances) et revisera l'impôt sur le revenu ; et ces deux revi- sions auront pour résultat de laisser aux hommes d'affaires et aux grandes sociétés une part de leurs bénéfices pour entreprendre d'autres affaires et soutenir celles existantes.

D'autre part, les hommes d'afiaires se sont aper- çus que, lorsque le public n'achète pas (ainsi qu'il vient de le faire ces "derniers temps pour s'oppo- ser à la cherté des prix) il économise. Les dépôts à New-York, dans les Banques d'épargne, ont augmenté de 10°/° durant la dernière année fiscale.

Et rien qu'avec ces 10 °/° on peut financer bien des affaires. C'est un excellent symptôme dans un pays où l'on n'aimait pas à économiser.

Il y a donc des possibilités que ce réajustement des prix qui est en train de s'opérer aux Etat-Unis eontinue sans trop de dommages, sans faillites importantes, sans tempête qui briserait tout. Bien entendu, rien n'est absolument certain dans un moment difficile comme celui que nous traversons actuellement, il suffirait de quelques à-coups, voire même de l'action de quelques spéculateurs à la baisse pour entraîner des désastres. Mais le temps des risque tout, à la Bourse de New-York, semble un peu éloigné, et quasiment disparu. On sait bien qu'à la veille d'une grande bataille finan- cière, à New-York seuls quelques intéressés sont prévenus. Tout ce que l'on peut dire, c'est que la mer semble presque calme : nul pirate n'est annon- cé à l'horizon. Peut-être arriverons-nous à traver- ser cette période de dépression sans dommages.

Chili. - D é b o u c h é s p o u r m a c h i n e s , o u t i l l a g e s . Le «Bureau industriel Suisse», à Lausanne, informe que le « Board of Trade Journal » publie un rapport du secrétaire commercial britannique à Sanùago, contenant des indications précises sur les besoins actuels du marché chilien. Tout d'abord l'attention est attirée sur le fait que les produits américains et japonais introduits en quantités con- sidérables au Chili, n'ont pas toujouis satisfait les acheteurs. Il en était ainsi des tracteurs agri- coles américains. Les richesses minières du Chili sont loin d'être exploitées rationellement. Actuel- lement une certaine dépression se fait sentir sur le marché des produits miniers, mais la reprise peut intervenir à tout instant et la demande de matériel et d'installation miniers ne manquera pas tôt ou tard de se produire. Les industries étran- gères trouveraient également des débouchés pour les fournitures électriques, spécialement pour les instruments de mesure pour l'électricité, et les moteurs Diesel et Semi-Diesel jusqu'à 200 HP.

Les projets d'élargissement de plusieurs ports de mer créeront nécessairement une forte demande de matériel pour l'aménagement d'installations modernes de chargement, déchargement, etc.

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LA FEDERATION i i u . ^ u u l i K E SUISSE 817

Les concessions des Soviets.

U n l o n g r a d i o d e M o s c o u . d o n n e d e s p r é c i s i o n s s u r l e d é c r e t p u b l i é d e r n i è r e m e n t p a r le g o u v e r - n e m e n t d e s S o v i e t s , r e l a t i f a u r é g i m e d e s c o n c e s - s i o n s q u i p o u r r o n t ê t r e a c c o r d é e s à d e s o r g a n i s a - t i o n s i n d u s t r i e l l e s é t r a n g è r e s .

C e r a d i o p r é c i s e n o t a m m e n t q u e l e g o u v e r n e - m e n t d e s S o v i e t s g a r a n t i t q u e l e s e x p l o i t a t i o n s d u c o n c e s s i o n n a i r e n e s e r o n t p a s s u j e t t e s à l a n a t i o - n a l i s a t i o n n i à l a r é q u i s i t i o n . D ' a u t r e p a r t , e n t e n a n t c o m p t e d e l a n a t u r e e t d è s c o n d i t i o n s d e s a c c o r d s r e s p e c t i f s , i l s e r a d o n n é d e s c o n c e s s i o n s à l o n g t e r m e p e r m e t t a n t d e c o m p e n s e r p l e i n e m e n t le c o n c e s s i o n n a i r e p o u r s e s r i s q u e s e t s e s f r a i s d ' i n s t a l l a t i o n ,

P a r m i l e s c o n c e s s i o n s e n v i s a g é e s , a j o u t e l e r a - d i o , p o u r l ' a v e n i r i m m é d i a t , s o n t c e l l e s r e l a t i v e s à l ' e x p l o i t a t i o n d e s f o r ê t s d e la S i b é r i e o c c i d e n t a l e , d a n s l e s p r o v i n c e s d e T o b o l s k e t d e W e n i s s e s k , c o u v r a n t u n e s u p e r f i c i e d e 74 m i l l i o n s d ' h e c t a r e s , d o n t 1 8 m i l l i o n s s o n t s i t u é s d a n s u n e z o n e d e 30 k m . a u b o r d d e r i v i è r e s e t o ù p e u t s e p r a t i q u e r l a flottaison. S u r c e t t e é t e n d u e , i l s e r a r é s e r v é 8 m i l - l i o n s d ' h e c t a r e s , q u i f e r o n t l ' o b j e t d e s c o n c e s s i o n s .

P a r m i l e s c o n c e s s i o n s m i n i è r e s e n v i s a g é e s l e s p l u s i m p o r t a n t e s c o m p r e n n e n t l e s g i s e m e n t s d e m i n e r a i d e f e r d e T o l é b e z e t l e s c h a r b o n n a g e s d u b a s s i n d e K n s s u t z k i .

D a n s l e s r é g i o n s d u D o n , d e l ' O u r a l e t d e l a S i b é r i e o c c i d e n t a l e , p l u s d e 3 m i l l i o n s d e d é c i a t i n e s d e t e r r e s e r o n t r é s e r v é e s p o u r l e s c o n c e s s i o n s a g r i c o l e s .

L e r a d i o t e r m i n e e n d é c l a r a n t q u e l e g o u v e r n e - m e n t d e s S o v i e t s a d é j à c o n c l u u n t r a i t é a v e c u n e p u i s s a n c e e n c e q u i c o n c e r n e c e r t a i n e s d e c e s c o n c e s s i o n s .

Chronique financière et fiscale

Turquie.

Situation commerciale et financière.

E n r a i s o n d e l a s i t u a t i o n d é f a v o r a b l e d u m a r c h é d e s a r t i c l e s d e p r e m i è r e n é c e s s i t é e t d e l a p e r s p e c - t i v e d e p l u s e n p l u s é l o i g n é e d e l a r e p r i s e d e s af- f a i r e s a v e c l a R u s s i e e t l ' A n a t o l i e , l e s b a n q u e s c o n t i n u e n t à m o n t r e r p e u d e d i s p o s i t i o n s à a c c o r - d e r d e n o u v e a u x p r ê t s e t p r e s s e n t l a r é d u c t i o n d e s e n g a g e m e n t s e x i s t a n t s a c t u e l l e m e n t . I l n ' y a p a s d e m a r c h é m o n é t a i r e à C o n s t a n t i n o p l e , n i a i s l e t a u x d ' i n t é r ê t s s u r l e s d é p ô t s v a d e 3 à 4 /p.

Chronique des métaux et diamants

Marché des diamants.

11 s e m b l e q u ' i l y a i t p e u d e c h a n c e s d ' u n e a m é - l i o r a t i o n d a n s l a d e m a n d e d e s d i a m a n t s b r u t s a v a n t l e 1e r j a n v i e r . L e s t a i l l e r i e s c o n t i n e n t a l e s s o n t a s s e z o c c u p é e s , m a i s o n r e c o n s t i t u e p r i n c i p a - l e m e n t l e s s t o c k s . I l n ' y a a u c u n e t e n d a n c e à s ' a p ' p r o v i s i o n n e r t a n t q u e l a d e m a n d e n e r e p r e n d r a p a s . O n p e u t e n d i r e a u t a n t d e s b r i l l a n t s . C e u x - c i s e v e n d e n t , n a t u r e l l e m e n t , m a i s p a s e n q u a n t i t é s c o m p a r a b l e s à c e l l e s d ' a u t r e f o i s .

Correspondance

Les vampires.

P o u r f a i r e s u i t e à l ' a r t i c l e p a r u d a n s l e d e r n i e r n u m é r o , n o u s p u b l i o n s l a c i r c u l a i r e s u i v a n t e , d a t é e d e G e n è v e e t q u i a é t é e n v o y é e à n o s f a b r i c a n t s d ' h o r l o g e r i e c e s j o u r s d e r n i e r s :

« P o u r l e c a s o ù v o u s a u r i e z d e s s o l d e s d e m o n - t r e s d é p a r e i l l é e s o u s i v o u s ê t e s à m ê m e d e f a b r i - q u e r u n g e n r e o r d i n a i r e e n g r a n d e s s é r i e s , j e t i e n s à p o r t e r à v o t r e c o n n a i s s a n c e q u e j e s u i s c o n t i n u e l - l e m e n t a c h e t e u r p a r plusieurs milliers de cartons.

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« M a r c h a n d i s e a u c o m p t a n t p a r c h è q u e à v u e , à r é c e p t i o n d e s f a c t u r e s . R é f é r e n c e d e b a n q u e d e p r e m i e r o r d r e .

« V u l e s c h a n g e s é t r a n g e r s e x t r ê m e m e n t b a s , l e p r i x a c t u e l q u e j e p o u r r a i s p a y e r s e r a i t d e f r . . . . p a r c a r t o n . »

N o u s n e d o n n o n s p a s c e c h i f f r e q u i e s t b i e n a u - d e s s o u s d u p r i x d e r e v i e n t d e l a m o n t r e l a p l u s o r d i n a i r e , m a i s n o u s m e t t o n s d e n o u v e a u e n g a r d e n o s f a b r i c a n t s c o n t r e d e t e l l e s m a n œ u v r e s d o n t l e s e u l r é s u l t a t s e r a i t d e r u i n e r c e l u i q u i s ' y p r ê t e e t d e p r o v o q u e r u n e p a n i q u e s u r l e m a r c h é d e l a m o n t r e .

Légations et Consulats

Suisse.

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Etranger.

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Registre du commerce

E n r e g r l N t r e i n e n t s i

20/XI/20. — Eugène Couleru, Fabrique Octo (E.-Léon C , de Fontainemelon). fabr. d'horlogerie, rue île la Charrière 37, La Chaux-de-Fonds.

2Ï/XI/20. — Georges Dilisheim (de La Chaux-de-Fonds), fabr.

de la pendule de luxe, fonderie de bronze, 28, rue de la Serre, La Chaux-de Fonds.

25 XI/20. — Maeder-Lecfiot (Alfred M., de Thalbeim), reprend actif et passif de la soc. n. coll. <• Maki er & Buttet», radiée, fabr. de boites, rue du Jura 28, Bienne.

26/XI/20. — Charles Simon, (de Lyon), commerce d'horlogerie,

rue de Nideau 52, Bienae. i 27/XI/20. — Hans Büchler (de Thoune), horlogerie-bijouterie,

Lauitor 64, Thoune.

29/XI/20. — A. Piagel & fils, soc, n. coll. (Henri-Albert P., et Jean-Albert P., originaires des "Bavards), maroquinerie, Gorgier.

30/X1/2Ö. — Kette.rer frères & Go, Soc. anonyme, soc. an.

cap. soc. fr. 50.000 nom. reprend actif et passif de la soc.

» Ketterer frères Co, en liquidation », fabr. et commerce d'hor- logerie, NeuvevuTe.

M o d i f i c a t i o n s .

19/X1/20. — La soc. an. « Interchangeable S. A. », à Cernier, est dissoute. La liquidation s'opère par Daniel Thiébaud, notaire, La Chaux-de-Fonds, Gaston Aymard Sautebin et Emile Virgile Meylan, tous deux à Cernier, sous la raison Interchangeable S. A., en liquidation.

2S/XI/20. — La soc. an. «Standard A. G. (S. A.)», à Bienne, est dissoute. La liquidation s'opère par Hermann Fhickiger, not., sous la raison Standard A. G, in liq. (S. A. en liq.) 2iiiXI/20. — La soc. an. « Schweizerische Wanduhrenfabrik Angensteiii A. G.», est dissoute. La liquidation s'opère par le Directeur Jean Buchmann, sous la raison Schweizerische Wanduhrenfabrik A. G. Angenstein in liq.

K a t l l a t l o n t

23/XI/20. — Leopold Delcvaux, fourn; d'horlogerie, St-Imier.

F a i l l i t e .

18/XI/20. — Maurice Blum, Fabrique du Parc, horlogerie, La Chaux de-Fonds.

Brevets d'invention

Les numéros des brevets dont la: publication a été ajournée et pour lesquels l'ajournement n'^st pas encore expiré, sobt marqués d'un *

Etalée { ç l f t t r e i f i e n t a t

Cl. 71 f, n" 88002. 24 janvier 1920, 8 h. p. — Montre. — Philip Benjamin, joaillier, Bronx ; et Samuel Burger, joaillier, Brooklyn, New-York (E.-U d'A.). Mandataire: Fritz Isler, Zurich.

Cl. 71 f, n' 88003, 19 juin 1920, 2 h. p. — Montre de poche avec glace. — Israel Goldberg, horlogerie, Granges (Soleure, Suisse). Mandataire: Fritz Isler, Zurich.

Cl. 73, n" 88004*. 31 janvier 1920. 8 h. p. — Machine à pivoter semi-automatique. — Société d'Horlogerie de Maiche, Maiche (France). Mandataire: E. Imer-Schneider, Genève.

CI. 79 k, n' 88005. 16 février 1920, 9'/j h. a. — Machine auto- matique pour la fabrication de vis «t décolletages. — E\uard Schreier, fabricant de vis Zuchwil p. Soleure; et Bichard Jenny, mécanicien, Biberist (Suisse). Mandataire: Meier &

Millier, Soleure.

M o c M i c a I i o n t *

Cl. 71 d, n" S4356. 14 juillet 1911, 8 h. p . — Système régulateur de pièce d'horlogerie. — Charles 'Ernest Jacquemoud; Im- mensee; et Carl Emil Jeter, Zurich (Suisse). Transmission selon déclaration du bureau des poursuites de Steiu du 14

octobre 1920, en faveur de H. & A. Wirtz, 6, Alban-Ànlage*

Bale (Suisse) ; enregistrement dn 15 octobre 1920. ' R a d i a t i o n « .

01. 8 d, n' 52235. Installation pour la fabrication des pierres pour boussoles. (Devenu caduc le ö octobre 1914 ensuito de renonciation).

Cl. 59, ri"83(462. Instrument pour niesnrer les alti.tudes. (Devenu caduc le 4 octobre 1919 ensuite de renonciation.

.

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70 — 400

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7 8 %

; 89 — 219 V*

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0.90 11.—

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90 — 155.—

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225.—

110 — 170 — 325.—

Banque Nationale Suisse.

Situation au 30 novembre 1920.

Actifs.:

Encaisse métallique : or . . . 540.962.990,63

p « argent . »2.373.350,— 653.336.

Billets do la Caisse de prêts '. 17.194 Portefeuille • 330.202

Avoir à vue sur l'étranger 36.463

. . . • , - t . . - r i -

Avances sur nantissements 31.697 Tilres • 6.497 Autres actifs 56 019

1.131.'.12.329.72 Passifs.

Fonds propres . . . t - 29.440.858,48 Billets en circulation . ; . .-.••. -.-'. . .".- 968.603.575,—

Virements et de dépots 99.687.714,34 Autres passifs . . • 33:680,181,90

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