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DIGESTIBILITÉ CHEZ LE PORC DES
CONSTITUANTS D’UNE FARINE DE LUZERNE ARTIFICIELLEMENT DÉSHYDRATÉE
G. Charlet-Lery, A.-M. Leroy, S.-Z. Zelter
To cite this version:
G. Charlet-Lery, A.-M. Leroy, S.-Z. Zelter. DIGESTIBILITÉ CHEZ LE PORC DES CONSTI-
TUANTS D’UNE FARINE DE LUZERNE ARTIFICIELLEMENT DÉSHYDRATÉE. Annales de
zootechnie, INRA/EDP Sciences, 1955, 4 (2), pp.121-127. �hal-00886621�
DIGESTIBILITÉ
CHEZ LEPORC
DES
CONSTITUANTS
D’UNE FARINE DELUZERNE
ARTIFICIELLEMENTDÉSHYDRATÉE.
G. CHARLET-LERY
A.-M. LEROY,
S.-Z. ZELTER.laboratoire de Recherches
Zootechniques.
Institut National
Agronomique,
Paris.Le
régime
alimentaire du porccomporte
communément descéréales,
des racines et des tubercules.
L’apport azoté,
minéral etvitaminique
de ces
aliments, produits
surl’exploitation
ne suffit pas à satisfaire les besoins de cet animal. D’autrepart,
le processusdigestif
de celui-ci est essentiellementenzymatique,
parconséquent
peuapte
à transformer des alimentscellulosiques
dont ladégradation
est liée à une intenseactivité bactérienne.
Or, les récents
progrès accomplis
en matière dedéshydratation
artificielle de
fourrages
vertspermettent
laproduction
de farines d’herbesou de
légumineuses particulièrement
riches enprotides
ainsiqu’en
sub-stances
protectrices,
et renfermant un faiblepourcentage
de cellulose.Il était donc d’autant
plus
intéressant d’étudier l’utilisationdiges-
tive des constituants de la farine de luzerne
déshydratée
chez le porc, que les travaux sur cesujet
sont peu nombreux et que ceproduit
pour- raitconstituer,
pour cetteespèce animale,
une source d’éléments nutri- tifssusceptibles
deremplacer partiellement
des alimentsprotidiques d’importation
ou des farinesd’origine
animale relativement coûteuses.MrTCn!!,r, et HAMII,TON
(i) expérimentant
sur un seul porcqui
consomme une ration renfermant 27,5 p. 100 d’une farine de luzerne très
cellulosique ( 29 ,
26 p.100 ),
observent unedigestibilité apparente
de q.2,7 p. 100 pour la matièreazotée, 6 7 , 4
p. 100 pour les extractifsnon azotés et
1 ,8
p. 100 pour la cellulose brute. Chez le porcégalement,
RicHT!R
( 2 )
atrouvé,
pour une luzerne récoltée en boutons etdéshy- dratée,
unedigestibilité
de56,
o p. 100 pour la matièreorganique
et6
1 p. 100 pour les
protides
totaux. Selon cet auteur( 3 )
son de blé etfarine de luzerne
auraient,
chez cetanimal,
desdigestibilités
voisines.Chez les
ruminants,
les valeurscorrespondantes
sont de 71 et7 8
p. 100.Plus
récemment,
FORBES et HaMyTOrr( 4 ) comparent
l’utilisation de celluloses de différentesorigines
etenregistrent,
chez le porc, pourun
régime comportant
environ 35 p. 100de farine de luzerne à 22 p. 100 de cellulose brute, unedigestibilité
de q.o,g p. 100 pour la cellulose brute, de 49,4 p. 100 pour la cellulose vraie et de 74,9 p. 100 pour l’azote.D’après
ceschercheurs,
ladigestibilité
de la cellulose de luzerne est nettementsupérieure
à celle de sciure debois,
depaille
de blé ou decuticules d’avoine.
Quant
au taux de farine de luzerne quepourrait supporter
le porc dans saration,
les avis sont assezpartagés.
VAN VYK et VERBECH( 5 )
ont
remarqué
que si le porc utilise bien desrégimes
contenant 34 p. 100 de farine deluzerne,
sa croissance s’en trouvecependant
diminuée.B
OHMAN et coll.
(6)
trouvent peu de différence pour legain
depoids
chez des porcs consommant de 10 à 30 p. 100 de farine de
luzerne ;
tandis que la croissance diminue d’environ 25 p. 100lorsque
ce tauxpasse de 50 à 60 p. 100.
Une
expérience plus
récente( 7 )
durantlaquelle
ces mêmes auteursont donné des
pourcentages
de 0,10, 30et 5o de farine de luzerne montre deplus,
que le rendement en viande etl’épaisseur
de lard dorsal dimi- nuent avec l’accroissement du taux de luzerne tandis que laproportion
de
jambon
et delonge
dans la carcasseaugmente significativement.
D’après
cesobservations,
le porc tolérerait sans inconvénientmajeur jusqu’à
5o p. 100 de farine de luzerne. I,’influence heureuse de cet ali- ment sur laqualité
des carcasses se trouve corroborée par les travaux de CRAMPTON et coll.(8).
D’autres auteurs
( 9 )
considèrentcependant
que le taux de farine delégumineuses
devrait rester limité chez le porc entre 5 et z5 p. 100. GARD et coll.
( 10 ), qui
observent unedépression
de croissance enpré-
sence de 10 p. 100 de farine de luzerne
déshydratée, partagent
cetteopinion.
Certains attribuent l’action
dépressive
sur la croissance aux sapo- ninesprésentes
en concentration très variable avecl’origine
dufourrage ;
Ces
saponines
constitueraient le facteur limitant d’utilisation et nonla richesse en cellulose. En
effet,
dessaponines
extraites de ces farineset distribuées à des
poussins
ontprovoqué
une diminution considérable dugain
depoids lorsque
le taux de ces substances dans la ration adépassé
0 ,
20 p. 100, taux
correspondant
à l’introduction de 25 p. 100 duproduit
dont elle a été extraite
(z2).
Ces données
suggèrent qu’un
taux de 35 p. 100 de farine de luzerne est admissible dans lerégime
du porc ; nous avons, enconséquence,
étudié la
digestibilité
duproduit
en fixant le niveauexpérimental
maxi-mum à ce seuil.
1. - Protocole
expérimental :
La farine de luzerne utilisée a été choisie
parmi
un lot de 18 échan-tillons
qui
ont étéanalysés
au laboratoire( 12 ).
Elleprovenait
d’une3
e coupe de luzerne de Ire année récoltée au début de
septembre
1953, dans le Pas-de-Calais etdéshydratée
dans unappareil
Louisville(séchage
à haute
température, 8oo°C).
Ses
caractéristiques chimiques
sont lessuivantes,
en p. mille de matière sèche :Matières minérales : i37,4 ; matières
organiques : 86 2 ,6 ;
azote :49 ,85
1matières azotées :
(N
X6) :
299,1 ; matières grasses : 117,9 ; cellulose Weende :i 44 ,8
dont environ 75 p. 100sous forme de cellulose Kurschner ; extractifs non azotés :300 ,8 ;
carotène : 315 mg.Cette farine a été introduite successivement au taux de 20 et de 35 p. 100 dans un
régime
de référence dont ladigestibilité
a été déter- minéepréalablement
au cours d’unepériode
témoin. Cerégime
étaitconstitué de : son d’avoine : 20 p. 100 ; orge : 52 p. 100 ; farine de viande : 6 p. ioo ; farine de
poisson :
5 p. 100 ; levure de distillerie : 5 p. 100 ; tourteau d’arachide : 8 p. 100 ;mélange
salin(!) :
4 p. 100. Sa matière sèche avait lacomposition chimique suivante,
en grammes pour mille : matières minérales :86, 3 ;
matièresorganiques :
9i3,! ; azote : 35,i ;matières azotées :
2 io,6 ;
matières grasses : 35,2 ; cellulose Weende :8 4 , 1
;
extractifs non azotés : 572,1.Les 3
sujets d’expérience
utilisés étaient des porcsLarge
Whiteâgés
de3 i/2
à 4 mois et pesantrespectivement,
au début del’essai,
2o,i-25,9 et2
6,
4 kg.
A la fin decelui-ci,
leurâge
etpoids respectifs
étaient de6 z/2
à7 mois et de
58, 66, 2
et 70kg.
Ils étaientexempts
deparasites
intestinaux.Le
type
de cage dedigestibilité,
les méthodes de mesure etd’analyse chimique
desingesta
et des excréta ont été décrits ailleurs( 13 - 14 ).
Nous
préciserons
seulement que dans leprésent essai,
lespériodes d’adaptation
auxrégimes expérimentaux
ont duré au moins 10jours,
et chacune des
périodes expérimentales
10jours
exactement.Un seul
type
de ration a étéexpérimenté
au cours dechaque période.
Les
types
derégime
étudiés se sont succédé comme suit :1
°
période
témoin : aliment deréférence,
2
°
expérience
1 : 8o p. 100 de matière sèche d’aliment de réfé-rence !- 20 p. 100 de matière sèche de farine de
luzerne,
3
°
expérience
2: 6 5
p. 100 de matière sèche d’aliment de réfé-rence -f- 35 p. 100 de matière sèche de farine de luzerne.
( 1 ) JB
lélange salin cu % : poudre d’os dégélatiné : 40 ; craie lavée : 32 % ; sel marin : zo ; SO,,Mg : 3,g ; C03Mg : 4,2 ; S04Fe : o,z8 ; S04CU : 0,02.
Les animaux ont été nourris ad
libitum,
mais le niveau de consom-mation de matière sèche a été maintenu
pratiquement
constant entrele milieu de la
période d’adaptation
et la fin de lapériode expérimentale.
Les coefficients d’utilisation
digestive
des divers constituants de la farine de luzerne ont été calculés par la méthode dite de «différence », d’après
la
composition chimique
et ladigestibilité
des rations mixtes et durégime
de référence.
II. - Résultats et
interprétation :
A. - Résultats :
Les résultats sont condensés dans les tableaux I, II et III.
B. -
Interprétation :
Signalons
d’abordqu’au
cours del’expérience
2 avec le taux de35 p. 100 de
luzerne, l’appétence
de la ration a diminué et les animaux ont eu tendance à restreindrelégèrement,
maismanifestement,
leur con- sommation de matière sèche. Deplus,
destroubles digestifs
se manifes-tant par des vomissements ont apparu vers la fin de l’essai. De tels
symptômes
n’ont pas étéremarqués
avec le taux de 20 p. ioo ; nous supposons que la richesse ensaponines
duproduit expérimenté
a pu être la cause de cephénomène.
Toutefois nous n’avons pas déterminé la teneur de notre farine de luzerne en cessubstances,
étant donnéel’imprécision
actuelle des connaissances relatives à leurs structures et de leurstechniques
dedosage.
Les données du tableau III montrent une différence d’utilisation
digestive
assez nette pour les deuxpourcentages
de farine deluzerne ;
cette utilisation est
plus
faible au taux de 35qu’à
celui de 20 p. 100. La diminution affecte enparticulier
les élémentscellulosiques,
les extrac-tifs non azotés et, par voie de
conséquence,
la matièreorganique,
tandisque la
digestibilité
de la fractionprotidique
n’est pas modifiée. En pas-sant de 20 à 35 p. 100, la chute de la valeur nutritive de la matière sèche atteint - y,5 p. 100.
Ces
différences, qui
ne sont pasélevées,
autorisent le calcul decoefficients moyens de
digestibilité
pour chacun des constituants commele
prouvent, d’ailleurs,
les écartstypes
de ces moyennes(’).
Toutefois,
si on compare les coefficients d’utlisationdigestive
durégime
de référence et desrégimes
à 20 et 35 p. 100 de farine de luzerne(tableau II),
on constate que,malgré
l’accroissement de la teneur encellulose de la ration
(tableau I)
les variations sont extrêmement faibles.De ce
fait,
les valeurs nutritives des matières sèches de cesrégimes (o,816, 0
,
844
eto , 798
u.f./k g ) diffèrent,
aumaximum,
de 5 p. 100.Si donc on considère isolément la farine de
luzerne,
son utilisationparaît
sensiblement meilleure à un taux de 20 p. 100 ;mais,
si l’on envi-sage dans son ensemble la ration dont elle fait
partie,
son introductionau taux de 35 p. 100 affecte à
peine
l’utilisationnutritive
de la matièresèche
globale.
On
peut
parconséquent
admettre que la farine de luzernepeut figurer
sans inconvénient dans les rations pour porc en croissance et
engraissement jusqu’à
un taux de 35 p. 100, à la condition que sa teneur ensaponines
le
permette.
Le tableau III fait
ressortir,
parailleurs,
des variations individuellessensibles,
surtoutpendant l’expérience
I où lesujet
E a manifesté uneutilisation
digestive
de la farine deluzerne,
que l’onpourrait
considérercomme aberrante
( 1 , 231
u.f./kg
matièresèche).
Ce mêmesujet
accusecependant
au cours del’expérience
2des résultatscomparables
aux autres.Le calcul de la valeur nutritive
(exprimée
en unitésfourragères)
du
kg
de matière sèche de la farine de luzerne que nous avons étudiée et celui de la teneur en matières azotées totalesdigestibles
avec et sansla donnée aberrante
ci-dessus,
donne les valeursrespectives suivantes ;
soit
o,86 3
±0 , 0 8 2
et 210 ± 10, soit 0,790 ±0 , 04 6
et 200 ± 6.Ces données montrent donc que le porc utilise
particulièrement
bien une farine de luzerne contenant relativement peu d’éléments cellu-
losiques (z 4 -z 5
p.ioo),
même si ellefigure
à raison de 35p. ioo dans sonrégime.
Sa richesse azotée la rendcomparable
à certainescatégories
de tour-teaux
(coprah, palmiste) ;
ellereprésente,
parconséquent,
une source trèsintéressante de
protides végétaux
pour cetanimal, apportant
en outre des substancesprotectrices
telles que certains macro et micro éléments minéraux ainsi que des facteursvitaminiques (provitamine A, complexe B).
III. - liéstimé et- Conclusions :
L’utilisation
digestive
des constituants d’une farine de luzerne artificiellementdéshydratée, expréssement
choisie pour sa richesse enmatières azotées totales
( 29 , 9
p.100 )
et sa faible teneur en cellulose(1) É(@art type =
Weende
(z 4 , 5
p.100 )
a été étudié sur 3 porcs par latechnique
dite « dedifférence », au taux de 20 et 35 p. 100.
I,e résultat montre que, pour la farine en
question,
le taux de35 p. 100 constitue un seuil limite de tolérance dû
probablement
à la te-neur en
saponines.
I,es coefficients de
digestibilité
des constituants sontplus
élevésau niveau de 20 p. 100
qu’à
celui de 35 p. 100(dépression
de valeurnutritive de - 17,5 p.
100 ). Toutefois,
ce dernier taux affecte àpeine
l’utilisation nutritive de la matière sèche
globale
d’une rationéquilibrée
dans
laquelle
leproduit
a été introduit. La matière sèche de la farine de luzerne étudiée a une valeur nutritive de 0,790 ±0 , 04 6
u.f./kg,
et une richesse en matière azotée
totales, digestibles
de 20 ±0 ,6
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