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Des tableaux de bord aussi simples d utilisation que Google

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Academic year: 2022

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Des tableaux de

bord aussi simples d’utilisation que Google

Financé par QlikView

Août 2010

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Comparaison entre la recherche sur Internet et les

tableaux de bord classiques 2

Quelles qualités propres à Google doivent être

conservées ? 5

Les différences 6

Les résultats 9

QlikView : pour « Google-iser » vos tableaux de bord 11

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Introduction

Généralement, lorsque nous recherchons des informations, notre premier ré- flexe est de nous rendre sur la page d’accueil simple et accueillante du moteur de recherche Google. Nous saisissons les termes à rechercher dans la zone de saisie, puis une liste de documents apparaît. Nous consultons ces documents.

Si nous ne sommes pas satisfaits, nous modifions les termes de recherche.

En cas de nouvelle question, nous recherchons des informations apparentées. Le sen- timent qui se dégage de cette expérience mêle satisfaction, souplesse et simplicité.

Le technologue George Gilder avait expliqué la réussite de Google du point de vue de ce qu’il appelle la loi de Gilder : il gaspille ce qui est abondant (avec comme critère la chute rapide des prix) et économise ce qui est rare, le temps. Le temps dont disposent les gens est au centre des priorités de Google, et ce dernier a pour objectif de renvoyer des résultats de recherche en moins d’un vingtième de seconde. Non seulement ces performances demandent des fermes de serveurs de l’ordre du peta, mais également une interface on ne peut plus simple, en témoignent la célèbre page d’accueil épurée de Google et l’élégance interactive observable dans des applications telles que Google Maps. Les utilisateurs obtiennent facilement des réponses à toutes leurs questions.

Dans le monde professionnel, nous sommes souvent frustrés car la recherche d’infor- mations, de réponses à nos questions, ainsi que la réalisation d’analyses, contrastent fortement avec la simplicité de Google. En lieu et place d’une expérience utilisateur in- tuitive et directe, nous ne disposons que d’un menu encombrant et confus contenant des réponses pré-calculées parmi lesquelles nous sommes invités à choisir. Si nous souhaitons en apprendre davantage par nous-mêmes, nous devons lutter contre des outils encore plus complexes ou des feuilles de calcul obsolètes. Les équipes infor- matiques souhaitent faire mieux. Cependant, elles sont bloquées par les systèmes de business intelligence classiques et leurs limitations intrinsèques, qui leur exigent de fournir aux utilisateurs des résultats à des requêtes prédéterminées et rigides.

L’équivalent de l’interface de recherche Google est le tableau de bord. Il s’agit d’un regroupement d’outils d’analyse et d’informations destiné à fournir des réponses pré- cises spécifiques au rôle et aux besoins d’un utilisateur final. Comparez l’approche à la fois intuitive et accessible de Google avec les rapports abrutissants de détails et les

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requêtes complexes de la business intelligence (BI) : pour que la BI puisse proposer la même liberté et simplicité que Google pour répondre aux demandes des utilisateurs, nous devons trouver un moyen de « Google-iser » les tableaux de bord. Pour cela, il est nécessaire de créer des outils simples, intuitifs et puissants, à la fois personna- lisables et évolutifs. Cela représente un défi de taille pour la plupart des systèmes de BI. Il sera nécessaire d’abandonner le principe des requêtes SQL et d’adopter de nouvelles formes d’interactivité, comme la recherche associative en mémoire, qui per- met aux utilisateurs de sélectionner leurs réponses plutôt que d’accepter tout ce que l’informatique leur envoie. L’on obtient alors ce que l’on appelle des tableaux de bords dynamiques. Ce sont des applications qui permettent d’identifier les indicateurs les plus importants et autorisent les utilisateurs à les partager au sein de l’entreprise.

Comment pouvons-nous adapter les qualités de Google pour réaliser des tableaux de bords plus performants ? Ce rapport décrit les similarités et les différences entre les re- cherches Google et les systèmes de BI classiques, et pourquoi la « Google-isation » de ces systèmes constitue la première étape de la création de tableaux de bords dynamiques.

Comparaison entre la recherche sur Internet et les tableaux de bord classiques

La comparaison entre Google et les tableaux de bords classiques requiert une ana- lyse plus détaillée qu’il n’y paraît. Google maîtrise beaucoup de choses, à commencer par la recherche, mais une chose qu’il ne sait pas faire, c’est répondre aux questions.

Contrairement aux systèmes de BI, qui permettent de trier des données et d’effectuer des calculs, les résultats des recherches par mots-clés de Google renvoient la totalité d’Internet avec des réponses triées par ordre de pertinence. Cet ordre est déterminé grâce à l’analyse des pages auxquelles renvoient les liens. En pratique, cela fonctionne parce que le Web est basé sur du texte et des documents. Mais les données d’en- treprises sont généralement au format numérique, et multi-dimensionnelles. Les ré- ponses se trouvent dans les nombres. Elles doivent être calculées et non recherchées.

Les données d’entreprise ne disposent pas d’un réseau de liens permettant aux outils de déterminer ce qui est important.

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Un exemple simple permet d’illustrer la dimensionnalité des données d’entreprise. Si un tableau de bord renvoie une liste des factures impayées pour une entreprise, cela ne permet pas pour autant de connaître le total des créances dans les 30, 60 ou 90 prochains jours. Le total des créances constitue une dimension, la date en constitue une autre et ces deux dimensions sont liées dans les informations de la facture.

Les systèmes de BI classiques relèvent davantage du moteur de calcul que du mo- teur de recherche. Une grande partie de l’infrastructure des systèmes de BI a pour but de calculer les réponses à des questions prédéfinies à partir d’un ensemble de données dimensionnelles rassemblées avec beaucoup de difficulté. Les réponses ne sont pas récupérées par les utilisateurs en fonction de l’intérêt qu’ils perçoivent, mais envoyées selon un ensemble prédéterminé de besoins. (Reportez-vous à la Figure 1 pour une comparaison de Google avec un système de BI classique). L’architecture des systèmes de BI classiques est l’héritage d’une époque où la puissance de calcul était une ressource rare qui devait être économisée. Mais aujourd’hui tout a changé. Grâce aux cycles répétés de la loi de Moore1, le prix de la mémoire a baissé et la puissance du matériel a augmenté de manière exponentielle. Le nombre de cœurs 64 bits sur un processeur Intel double tous les huit mois tandis que le coût par gigaoctet des mémoires à semi-conducteurs s’effondre. Il est aujourd’hui possible de charger des bases de données entières dans des mémoires sur des ordinateurs de toute taille pour effectuer des analyses en mémoire instantanées. Ce procédé était autrefois hors de prix, voire même impossible. Les applications de BI classiques ne reflètent pas cela.

Leur architecture a été conçue pour gérer les goulots d’étranglement des ressources ; aujourd’hui, c’est le système de BI lui-même qui représente le goulot d’étranglement.

1 Formulée par Gordon Moore, le co-fondateur d’Intel, la Loi de Moore définit que la puissance informatique, mesurée par le nombre de transistors pouvant être efficacement placés sur un circuit intégré, double tous les deux ans.

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Figure 1 : Comparaison des recherches Google avec les tableaux de bord classiques Les recherches Google se basent sur la

pertinence des documents en utilisant les liens

Les systèmes de BI classiques calcu- lent le résultat des requêtes à partir de données dimensionnelles

L'utilisation de Google s'apparente à une conversation dynamique allant dans de nouvelles directions.

La recherche Google est composée de mots clés utilisés pour répondre aux questions actuelles de l'utilisateur.

Les tableaux de bord classiques affichent les résultats de plusieurs requêtes déterminées lors de l'élaboration du tableau de bord.

Le moteur de recherche Google compare les mots clés à l'index de tous les documents référencés sur Internet.

L'algorithme Page Rank utilise la fréquence des liens sur Internet ainsi que d'autres techniques pour trier les documents par pertinence.

Les requêtes prédéfinies sont exécutées sur les données dimensionnelles : plusieurs tables de données organisées par relations temporelles, spatiales, logiques, etc.

Le résultat est obtenu sous la forme d'une liste de documents pouvant être consultés et utilisés pour formuler de nouvelles questions..

À la conception, les experts utilisent le langage SQL pour créer des requêtes représentant les relations entre les données et pour définir des mesures d'agrégats.

L'utilisation des tableaux de bord s'apparente à une conversation prédéfinie répondant toujours aux mêmes questions, encore et encore.

Les résultats permettent de répondre à des questions prédéfinies à l'aide de tables de données, d'agrégats et d'affichages graphiques qui changent en fonction des termes de la requête.

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Nous avons en fait besoin d’une fusion des deux approches qui permettrait de bénéfi- cier des capacités informatiques de la BI via un tableau de bord aussi simple et évolu- tif que Google. Un tableau de bord « Google-isé » pourrait explorer des ensembles de données dimensionnelles associées d’une manière à la fois interactive et réactive, ce qui permettrait de faire évoluer la conversation au gré des idées des utilisateurs métiers.

Par exemple, dans le cas du scénario de facture impayée évoqué plus tôt, un tableau de bord « Google-isé » permettrait de trier les factures selon des critères différents de ceux déjà planifiés. De nouvelles mesures d’agrégats et des graphiques peuvent être ajoutés et intégrés au tableau de bord. De nouvelles données peuvent être ajoutées par l’utilisateur, par exemple une base de données présentant les taux de crédits, les prix d’achat des 30 derniers jours ou les retards d’archivage SEC.

Pour bien comprendre ce qu’est un tableau de bord « Google-isé », nous devons être précis. Voici une enquête qui a été menée pour déterminer quels aspects de l’inter- face Google doivent être conservés et quelles nouvelles fonctionnalités étaient né- cessaires pour mettre cet idéal en pratique.

Quelles qualités propres à Google doivent être conservées ?

Pour créer un tableau de bord « Google-isé », les fonctionnalités suivantes doivent être conservées :

n Contrôle de l’analyse par l’utilisateur. Le flux des questions et réponses doit être déterminé par l’utilisateur. Les réponses doivent être retirées des données par l’utili- sateur, et non lui être envoyées à l’aide d’un système prédéfini.

n Support informatique inutile. Il vous suffit simplement de vous installer et d’uti- liser Google, sans paramétrage, ni formation. Un tableau de bord « Google-isé » doit fonctionner de la même manière.

n Simplicité et facilité d’utilisation. Quoi de plus simple qu’un champ de re- cherche ? Ou de plus omniprésent ? L’interface Google est l’essence même de la recherche. Tout le reste n’est que désordre et complication.

n Rapidité des résultats. Google renvoie des résultats en moins d’un vingtième de seconde car les utilisateurs ne veulent pas attendre. La vitesse est à la base de tout.

Le temps est ce que nous avons de plus précieux.

n Possibilité de consulter et d’examiner les résultats en un clin d’œil. Google est assez peu performant en pertinence des réponses, mais son travail en matière de classement, de tri et de présentation des résultats est fantastique. Il met à votre

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disposition uniquement les éléments dont vous avez besoin pour décider de la per- tinence d’un résultat.

n Possibilité de réduire rapidement le champ des recherches en fonction des résultats affichés. Vous n’avez pas trouvé ce que vous recherchiez ? Saisissez autre chose dans le champ de recherche et recommencez. Il n’est pas nécessaire que votre requête soit très élaborée.

n Volume non pénalisant. La notion de « recherche trop large » n’existe pas dans Google. Si vous saisissez la lettre « A » dans le champ de recherche, au lieu de vous renvoyer une erreur, Google liste instantanément les premiers des 15 490 000 000 ré- sultats (en commençant par l’entrée « A » dans Wikipedia). Cela n’a rien à voir avec les systèmes de BI, où une recherche trop large peut provoquer une erreur du système.

Un tableau de bord « Google-isé » ne vous pénalise pas de penser trop grand.

Les différences ?

Le plus évident pour commencer : la recherche d’une chaîne de texte n’a rien à voir avec les calculs informatiques basés sur des indicateurs provenant de bases de don- nées relationnelles. Il est quasiment impossible de consulter visuellement et de com- prendre les enregistrements d’une base de données à la manière des pages Web. Vous devez rassembler et schématiser les données pour pouvoir analyser des dizaines de milliers d’enregistrements. De plus, au lieu de consulter un seul document à la fois, les données dimensionnelles impliquent également la connexion à plusieurs tables. La facture d’une entreprise peut être connectée à la base de données des paiements à l’aide d’un identifiant d’entreprise faisant office de clé. Un tableau de bord « Google- isé » permettrait de se connecter aisément entre les tables, et d’accéder automati- quement à une liste d’associations entre les ensembles de données chargés dans sa propre mémoire. Les utilisateurs peuvent définir les dimensions des données, c’est-à- dire la collecte des tables liées, en fonction des besoins de leur analyse.

Un tableau de bord « Google-isé » comme celui décrit à la Figure 2 permettrait de ré- soudre le problème persistant des systèmes de BI : Les systèmes de BI ont la réponse à des inconnues connues (des indicateurs communs et fiables tels que les ventes et les clients par région) mais ils n’ont pas la réponse à des les inconnues inconnues (les questions que vous n’avez pas pensé poser). Le premier élément représente les tableaux de bord classiques et les KPI (indicateurs clés de performance) ; le second représente l’endroit où se trouvent les informations. Un tableau de bord « Google-isé

» permettrait de modifier les critères de recherche à la demande de l’utilisateur et de

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renvoyer les résultats aussitôt. Si un tableau de bord de ventes présentait d’abord les produits vendus dans chaque région, un tableau de bord « Google-isé » permettrait d’examiner rapidement des données agrégées pour des groupes de régions ou d’ins- pecter les factures de chaque produit par région. La simplicité de l’interface Google provient de la simplicité de ses résultats. Cependant, un tableau de bord « Google-isé

» proposeraient de nombreuses autres options, par exemple la possibilité de calculer des sommes, des moyennes, des fonctions statistiques et des équations en quelques clics seulement, afin de créer, enregistrer et réappliquer des indicateurs communs.

La possibilité de choisir l’affichage des données permet de simplifier le tableau de bord, de n’afficher que les informations nécessaires dans une situation particulière. En d’autres termes, un tableau de bord peut proposer des dizaines de graphiques, tables et autres types de visualisations dynamiques différents.

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«Google-isé»

Un tableau de bord

« Google-isé » commence avec des données à analyser et des outils spécifiques. Cependant, il autorise les ajouts et les modifications.

Les requêtes sont rempla- cées par une navigation « pointer-et-cliquer » et une sélection des données en mémoire.

Les utilisateurs dirigent eux-mêmes l'analyse en fonction de l'exploration conversationnelle des données. Le cas échéant, de nouvelles données sont ajoutées.

Les résultats (données, agrégats et visualisations) sont mis à jour instanta- nément dès que les critères sont modifiés.

La simplicité d'utilisation de Google est préservée dans un environnement prévu pour la compréhension des données dimensionnelles

Figure 2 : Un tableau de bord « Google-isé »

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Les résultats

Comme Google et bien d’autres l’ont compris, le véritable avantage consiste à autori- ser les utilisateurs à commander les outils d’analyse. Aucun service informatique n’est aussi évolutif que tous les collègues pour lesquels il travaille. Ils n’ont pas besoin de Google en lui-même, mais de ce que nous appelons un tableau de bord dynamique, un tableau de bord qui préserve la simplicité de l’interface Google, mais qui possède les mécanismes nécessaires pour manipuler des données dimensionnelles.

Contrairement aux systèmes de BI classiques et leur analytique rigide et prédéfinie, un tableau de bord dynamique applique les meilleures pratiques de Google à l’explora- tion des données dimensionnelles. Les tableaux de bord dynamiques permettent aux utilisateurs professionnels d’effectuer les tâches suivantes :

n Poser des questions et y répondre seul, sans recourir à des requêtes SQL com- plexes, ni contacter le personnel du service informatique.

n Ajouter de nouvelles sources de données sans limite et à tout moment, dans n’importe quelle combinaison requise pour la tâche en cours.

n Obtenir rapidement des réponses, presque instantanément. N’attendez plus pour exécuter vos rapports.

n Modifier seul le tableau de bord à la volée, sans l’assistance du service informatique.

n Partager le tableau de bord avec d’autres utilisateurs. En effet, pourquoi créer de nouveaux indicateurs s’il est impossible de les partager ?

Les tableaux de bord dynamiques renvoient des résultats en un temps record, et cette nouvelle visibilité permet d’augmenter la responsabilité. La possibilité de voir les ré- sultats des décisions permet de mieux comprendre ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Les pratiques efficaces et les comportements qui ne le sont pas sont plus facilement identifiables. Alors que les processus sont de mieux en mieux compris, d’importants indicateurs de problèmes ou d’opportunités apparaissent. S’il dispose des indicateurs appropriés, un responsable peut responsabiliser son équipe sur les éléments importants d’une manière ouverte et transparente. Cela permet d’améliorer les performances de tous. Si de bons indicateurs permettent d’aboutir à une meilleure compréhension, alors celle-ci change nécessairement le comportement. Cette com- préhension peut surgir de n’importe où dans l’entreprise (un employé, une équipe, un service) et se propager rapidement via les tableaux de bord.

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Les listes déroulantes permettent de sélectionner les données en seulement quelques clics.

Les éléments sélectionnés ou non apparaissent instantanément.

Les graphiques sont mis à jour instantanément au fur et à mesure que les données sélectionnées sont modifiées.

Les utilisateurs peuvent modifier les listes déroulantes et les graphiques.

QlikView renvoie les résultats immédiate- ment puisque toutes les données sont stockées en mémoire.

Étant donné que toutes les données sont en mémoire et liées les unes aux autres, il est possible de les explorer directement, par le biais d'inspections et d'expéri- mentations, et non à l'aide de requêtes SQL.

Chaque table est connectée à ses tables connexes lorsque les données sont chargées.

Les utilisateurs peuvent ajouter eux-mêmes des tables, sans l'aide du service informatique et sans recourir aux requêtes SQL.

not by SQL queries -

Figure 3 : Un tableau de bord QlikView « Google-isé »

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Au fil du temps, un cercle vertueux se crée. Ces tableaux de bord sont des prototypes, qui sont améliorés et partagés par les utilisateurs individuels, il n’est plus nécessaire que le service informatique les gère. Au fur et à mesure que la vitesse et la simplicité de configuration augmentent, le coût de l’implémentation diminue et le retour sur investissement (ROI) augmente en conséquence. La vitesse d’adaptation prend une importance capitale. Comme Google l’a bien compris, plus vite il évolue, et plus les retours sur investissement sont rapides et importants. Plus il devient abordable et simple d’utilisation, et plus les gens veulent l’expérimenter, afin de découvrir davan- tage d’indicateurs clés et des informations auparavant inaccessibles.

Le cercle vertueux s’accélère. Les ressources qui étaient auparavant transmises aux uti- lisateurs professionnels par un comité central sont maintenant récupérées par les utili- sateurs eux-mêmes. Ils comprennent mieux comment les déployer et apprécient mieux leurs avantages. Au final, la notion de business intelligence est inversée : Elle concerne es- sentiellement la découverte, et non la transmission de données. Elle part de la base pour aller vers le haut et non le contraire. Les outils permettant d’aboutir à des innovations sont accessibles à tous et non seulement aux experts. C’est la simplicité incarnée.

QlikView vous aide à « Google-iser » vos tableaux de bord

QlikView est un nouveau type de logiciel de business intelligence qui vous permet de ne plus faire des choix au hasard et de prendre des décisions plus rapidement et intelligemment. La Figure 3 illustre comment QlikView crée un tableau de bord dyna- mique et « Google-isé ».

L’objectif de QlikView est simple : fournir des outils pour accéder à un tableau de bord dynamique, aider les utilisateurs à explorer et visualiser les données leur permet- tant de trouver eux-mêmes les réponses et favoriser l’innovation. QlikView considère qu’une vue alternative de la business intelligence peut se résumer en trois étapes :

n Consolidation : identifier les ensembles de données liés, mapper les associations qui existent entre ces ensembles et les charger dans la mémoire.

n Recherche : explorer les données à l’aide de listes déroulantes fonctionnant par

« pointer-et-cliquer » et qui affichent les données sélectionnées et non sélection- nées, ainsi que les agrégats. Les informations sont affichées et mises à jour instanta- nément au fur et à mesure des modifications des critères.

n Visualisation : des cartes, des histogrammes et des graphiques associés peuvent être créés et mis à jour instantanément.

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QlikView a pour objectif d’augmenter vos chances de faire de véritables découvertes et diminue considérablement la charge de travail :

n Pas de requêtes SQL, pas d’intermédiaire. Vous cliquez pour sélectionner les données et cliquez de nouveau pour les désélectionner.

n Affichage des données qui correspondent et de celles qui ne correspondent pas. Vous pouvez voir ce qui est mis en évidence et ce qui ne l’est pas. Vous pouvez voir quelles données sont exclues et observer ce qui se passe lorsque vous les asso- ciez.

n Pas d’attente. Les réponses sont juste devant vous.

La base de QlikView, c’est qu’un processus simple pour poser les questions et encou- rager l’exploration individuelle permet d’obtenir de meilleures réponses, informations et innovations. Pour ce faire, QlikView remplace les requêtes et les cubes de base de données par une architecture en mémoire associative. Au lieu de précalculer les ré- ponses, le logiciel charge des ensembles de données en mémoire et mappe les as- sociations entre elles. L’utilisateur doit simplement comprendre les données et non lutter contre la technologie. Vous pouvez poser autant de questions que vous le sou- haitez, jusqu’à ce que vous trouviez les informations importantes. Étant donné que tout est effectué en mémoire, les réponses sont renvoyées instantanément et mises à jour continuellement. Votre système de BI n’est plus aussi performant que la dernière innovation de votre service informatique. Il est aussi efficace que votre question est pertinente.

CITO Research

CITO Research est une source d’informations, d’analyses, de recherches et de connais- sances pour les DSI, les directeurs techniques et les professionnels informatiques et autres. CITO Research consulte son public pour saisir les dernières tendances en ma- tière de technologie. Celles-ci sont récupérées, analysées et transmises de manière élaborée pour aider les utilisateurs à résoudre les problèmes épineux des entreprises.

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