APPEL À CONTRIBUTION SPÉCIAL
Regards africains sur le COVID-19
En tant que pluridisciplinaire, le projet d’ouvrage accepte les contributions venant de toutes les disciplines des sciences littéraires, linguistiques, théologiques, politiques, économiques, humaines et sociales. Cette multiplicité d’apports est importante pour proposer une pluralité de « regards » sur cette pandémie et cerner les diverses facettes au prisme desquelles les africains ont affronté le COVID-19, autant dans l’imaginaire que dans l’action, dans les appréhensions que dans les ripostes. Contribuer à une lecture plurielle de la pandémie en Afrique invite aussi à scruter ce que sera la société africaine de demain à cause de ce COVID-19 : son économie, sa sociabilité, son école, sa culture, sa tradition, sa religion et sa science.
«
Regards africains sur le COVID-19 » est le titred’un projet d’ouvrage collectif bilingue (français et
anglais) à destination des enseignants et
doctorants des universités africaines Il s’agit de
révéler et documenter les façons dont les
africains, institutionnellement, collectivement ou
individuellement, ont fait ou font face à la
pandémie, en termes d’acceptions, de
représentations, d’actions et d’innovations.
Les articles de recherche, basés sur le terrain. Ils devront être entre 40 000 et 50 000 signes (texte, notes et bibliographie, espaces compris).
Les articles théoriques, présentant
un problème ou une
conceptualisation théorique d’un fait ou d’une notion en rapport avec le COVID-19. Ils devront aussi être en 40 000 et 50 000 signes (texte, notes et bibliographie, espaces compris).
Les témoignages ou retours d’expériences. Pour ce cas, les contributions doivent venir directement des personnes qui sont impliquées ou qui continuent de s’impliquer dans la mise en œuvre des ripostes ou innovations pour lutter contre le COVID-19.
Leur longueur ne devra pas être entre 15 000 et 20 000 signes (texte, notes et bibliographie, espaces compris).
Les notes de lecture, qui portent sur les textes (articles ou ouvrages) déjà publiés en rapport avec le COVID-19. Ils devront être entre 7 000 et 10 000 signes (notes et espaces compris).
Le projet accepte les types d’articles suivants :
a. Ouvrages
Auteur, A. (année). Titre de l’ouvrage. Lieu d’édition : Éditeur.
Exemple: Alva, S. (20004). Formation ouverte et à distance : Actualité de la recherche. Toulouse : PUM.
Auteur, A., Auteur, B., & Auteur, C. (année). Titre de l’ouvrage. Lieu d’édition : Éditeur.
Exemple: Cormu, S., & Millotte, J.-M. (2008). Formations ouvertes:
Pratiques de formateurs. Dijon : Educagri.
b. Chapitre d’un ouvrage collectif
Auteur, A., Auteur, B., & Auteur, C. (année). Titre du chapitre sans guillemets. In A. Éditeur scientifique (éd.), Titre de l’ouvrage (pp. xxx-xxx).
Lieu d’édition : Éditeur.
Exemple: De Lièvre, B., & Depover, C. (1999). Analyse des processus d'apprentissage dans une situation de tutorat à distance. In C. Depover &
B. Noël (éds.), L'évaluation des compétences et des processus cognitifs (pp.
283-301). Bruxelles : De Boeck.
c. Article de périodique
Auteur, A., & Auteur, B. (année). Titre de l’article sans guillemets. Titre du périodique, n° en italique, xxx-xxx (sans pp).
Exemples: Blandin, B. (2004). Historique de la formation ouverte et à distance. Actualité de la Formation Permanente, 189, 69-71.
L’écriture des citations doit obéir aux normes APA 6e éditions. Il faut donc signaler systématiquement dans le texte, l’auteur et la date de chaque document cité, par exemple : (Dembélé, 1983) ; pour deux auteurs : (Dembélé et Kita, 1995) ; pour trois à cinq auteurs (Dembélé, Kita et Mushimaya, 1987) ; ensuite uniquement le nom du premier auteur : Dembélé et al (1987).
La présentation des références bibliographiques doit aussi obéir aux normes APA 6e édition, comme dans les exemples de l'encadré ci-dessous.
Le titre en Français et en Anglais
Les noms et affiliations de l’auteur
Ses adresses téléphoniques et électroniques
Un résumé de 150 mots
accompagné de 5 à 7 mots-clés Un abstract de 150 mots
accompagné de 5 à 7 keywords Le texte de l’article
Les références bibliographiques Chaque texte proposé devra comprendre les éléments suivants :
Exemple: Oillo, D., & Loiret, P.-J. (2006). Histoire d'un dispositif francophone de formation ouverte et à distance. Distances et Savoirs, 4(1), 113-121.
d. Thèses et mémoires
Auteur, A. (année). Titre de la thèse. Informations de publication.
Exemples : Faouzia, M. (2013). Dispositifs de e-Learning : Quels usages pour améliorer la formation au Maroc ? Du premier baromètre national du e-Learning à l’étude de cas de la formation continue (thèse de doctorat non publiée). Université Hassan II Mohammedia de Casablanca, Maroc.
e. Communication présentée dans un colloque
Auteur, A. (année, mois). Titre de la communication. Communication présentée au colloque titre du colloque, organisateur, ville, pays.
Exemple : De Lièvre, B., Depover, C., & Quintin, J.-J. (1997, décembre). Intégrer une dimension humaine dans une situation d'apprentissage à distance médiatisée par ordinateur. Communication présentée au colloque de l'European Society for Research on the Education of Adults, Louvains-en-Woluwe, Bruxelles, Belgique.
Récupéré le 05 novembre 2014 à
http://ute.umh.ac.be/site_ute2/menu.htm.