HAL Id: jpa-00237715
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Submitted on 1 Jan 1880
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A. RIGHI. - Sulle variazioni di lunghezza che
accompagnano la magnetizzazione (Sur les variations de longueur qui accompagnent l’aimantation); Memorie dell’ Accademia delle Scienze dell’ Istituto di Bologna, 4
e série, t. 1; 1879
G. Lippmann
To cite this version:
G. Lippmann. A. RIGHI. - Sulle variazioni di lunghezza che accompagnano la magnetizzazione (Sur les variations de longueur qui accompagnent l’aimantation); Memorie dell’ Accademia delle Scienze dell’ Istituto di Bologna, 4 e série, t. 1; 1879. J. Phys. Theor. Appl., 1880, 9 (1), pp.420-421.
�10.1051/jphystap:018800090042001�. �jpa-00237715�
420
M.
Pickering
donne les résultatsnumériques
obtenus avec lesdifférents oculaires
employés.
Il les aappliqués
à des étoilesdoubles,
aux satellites
comparés
à leursplanètes,
et auxplanètes
entre ellesquand
elles étaient assez voisines.Enfin,
il a cherchéquelle
de-vrait être la
grandeur
minim um d’un satellite de Vénus pourqu’i
lpût
être aperçu : il a trouvé ainsi que Vénus n’avait pas de satellitedont l’éclat fût
supérieur
à celui d’une étoile de i8egrandeur.
Pour arriver à ce
résultat,
M.Pickering
s’est servi d’étoiles fac- tices obtenues eninterposant
une mince fenllede platine percée
d’un trou sur le
trajet
de rayons lumineux. La confection de cesfeuilles de
platine
n’est pasdépourvue
de difficultés : le lecteurtrouvera dans le Mémoire
original
tous les détails nécessaires pourmener à bonne fin cette délicate
opération.
C. FABRE,
Aide-astronome à l’Observatoire de Toulouse.
A. RIGHI. 2014 Sulle variazioni di lunghezza che accompagnano la magnetizzazione (Sur les variations de longueur qui accompagnent l’aimantation); Memorie dell’
Accademia delle Scienze dell’ Istituto di Bologna, 4e série, t. 1; I879.
La
tige
ou le fil à aimanter estplacé
verticalement dans l’axe d’une bobinemagnétisante ;
il estsuspendu
par son extrémité su-périeure
et rendu solidaire de labobine,
afin que les attractions exercées par celle-ci n’aien t pas d’influence.L’extrémité inférieure du fil
communique
son mouvement à unmiroir tournant dans
lequel
se mirent les divisions d’une échelle fixe. 1VI.Righi
a constaté avec cettedisposition
les résultats sui-van ts :
i° Le fer et l’acier
s’allongent
dans la direction de l’aiman- tation.2°
Après l’interruption
du courantmagnétisant, l’allongement
subsiste en
partie
et d’autantplus
que la force coercitive estplus grande.
s3°
L’allongement
estproportionnel
an carré de l’intensité du courant, si cette intensité n’est pas tropgrande.
4°
Si,après
un couranténergique,
on fait passer dans la bobineArticle published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018800090042001
42I
un courant faible de sens
contraire,
il y araccourcissement ;
mais,’lors même
qu’on
irait ainsijusqu’à
désaimanter latige,
celle-ciconserve une fraction de son
allongement primitif.
5° Pendant que
s’opère
le renversement du courant, lalongueur
de la
tige
diminuependant
uninstant;
il seproduit
une oscilla-tion
longitudinale.
6- Une
tige
ou un fil de fer parcourulongitudinalemen t
par uncourant se raccourcit au moment de la
clôture;
il se raccourcitlorsqu’on
ouvre lecircuit,
ceqvi
prouvequ’une partie du.magné-
tislne transversal n’a pas
disparu.
7°
Au moment où l’on intervertit le courant, le fils’allonge pendant
uninstant,
exécutant ainsi une oscillationlongitudinale.
8° Le raccourcissement
produit
par le courant estbeaucoup plus grand
si latige
a d’abord été aimantéelongitudinalen1ent;
l’aiman-tation
disparaît
engrande partie,
et il seproduit
dans la bobine uncourant d’induction.
9° Certaines
tiges
de fer manifestent une tendance à s’aimanteren hélice. G. LIPPMANN.
A. RIGHI. - Sulla formazione del’ albero di Marte ( Sur la formation de l’arbre de
Mars); Memorie dell’ Accademia delle Scienze dell’ Istituto di Bologna, 4e série, t. I; I879.
Glauber a découvert que, si l’on fait tomber un cristal d’un sel de fer dans une dissolution de verre
soluble,
on obtient une sortede
végétation qu’on
aappelée
l’arbre de Mars etqui
se compose depetites aiguilles
à peuprès rectilignes
et verticales. On obtient desvégétations analogues
avec des cristaux de sels decuivre,
dezinc et d’autres
métaux,
ainsiqu’en
substituant au silicate de soude des dissolutions de sucrate de chaux et de savon.Quelques
auteurs ont
pensé
que l’arbre de Mars était formé par la cristalli- sation d’un silicate de ferprécipité.
M.Righi
montrequ’il
n’en estrien.
Le cristal de fer s’entoure d’une dissolution de fer
qui
montevers la surface sous forme de filaments
liquides déliés ;
ces filamentsmontent soit en vertu de leur
légèreté spécifique,
soit encore en-trainés par l’ascension de bulles gazeuses ; chacun d’eux s’entoure