HAL Id: jpa-00237716
https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237716
Submitted on 1 Jan 1880
HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.
L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
A. RIGHI. - Sulla formazione del’ albero di Marte ( Sur la formation de l’arbre de Mars); Memorie dell’
Accademia delle Scienze dell’ Istituto di Bologna , 4e série, t. I; 1879
G. Lippmann
To cite this version:
G. Lippmann. A. RIGHI. - Sulla formazione del’ albero di Marte ( Sur la formation de l’arbre de Mars); Memorie dell’ Accademia delle Scienze dell’ Istituto di Bologna , 4e série, t. I; 1879. J. Phys.
Theor. Appl., 1880, 9 (1), pp.421-422. �10.1051/jphystap:018800090042101�. �jpa-00237716�
42I
un courant faible de sens
contraire,
il y araccourcissement ; mais,
’lors même
qu’on
irait ainsijusqu’à
désaimanter latige,
celle-ciconserve une fraction de son
allongement primitif.
5° Pendant que
s’opère
le renversement du courant, lalongueur
de la
tige
diminuependant
uninstant;
il seproduit
une oscilla-tion
longitudinale.
6- Une
tige
ou un fil de fer parcourulongitudinalemen t
par uncourant se raccourcit au moment de la
clôture;
il se raccourcitlorsqu’on
ouvre lecircuit,
ceqvi
prouvequ’une partie du.magné-
tislne transversal n’a pas
disparu.
7°
Au moment où l’on intervertit le courant, le fils’allonge pendant
uninstant,
exécutant ainsi une oscillationlongitudinale.
8° Le raccourcissement
produit
par le courant estbeaucoup plus grand
si latige
a d’abord été aimantéelongitudinalen1ent;
l’aiman-tation
disparaît
engrande partie,
et il seproduit
dans la bobine uncourant d’induction.
9°
Certainestiges
de fer manifestent une tendance à s’aimanteren hélice. G. LIPPMANN.
A. RIGHI. - Sulla formazione del’ albero di Marte ( Sur la formation de l’arbre de
Mars); Memorie dell’ Accademia delle Scienze dell’ Istituto di Bologna, 4e série, t. I; I879.
Glauber a découvert que, si l’on fait tomber un cristal d’un sel de fer dans une dissolution de verre
soluble,
on obtient une sortede
végétation qu’on
aappelée
l’arbre de Mars etqui
se compose depetites aiguilles
à peuprès rectilignes
et verticales. On obtient desvégétations analogues
avec des cristaux de sels decuivre,
dezinc et d’autres
métaux,
ainsiqu’en
substituant au silicate de soude des dissolutions de sucrate de chaux et de savon.Quelques
auteurs ont
pensé
que l’arbre de Mars était formé par la cristalli- sation d’un silicate de ferprécipité.
M.Righi
montrequ’il
n’en estrien.
Le cristal de fer s’entoure d’une dissolution de fer
qui
montevers la surface sous forme de filaments
liquides déliés ;
ces filamentsmontent soit en vertu de leur
légèreté spécifique,
soit encore en-trainés par l’ascension de bulles gazeuses ; chacun d’eux s’entoure
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018800090042101
422
d’une
gaîne
constituée par unprécipité insoluble;
cettegaîne
estcreuse, comme l’auteur s’en est assuré au
microscope.
L’arbre de Mars et ses
congénères
sont doncproches parents
des cellulesartificielles
étudiées par lephysiologiste
M. Trauhe.G. LIPPMANN.
R. ROIG Y TORRES. 2014 Contribucion al estudio de la fonografia (Contribution à
l’étude de la phonographie); Cronica cientifica, n° 4; I880.
Pour
agrandir
lesimpressions
tracées sur la feuille d’étain duphonographe,
M.Roig
y Torres substitue à la membrane métal-lique qui porte
lestyle i n scrip teur
une lame de mica entièrement libre par les bords et soutenue en son centre par un axe de caout-chouc fixé à un
petit
ressort. Cet axeporte,
outre lestyle
courtqui appuie
sur la feuilled’étain,
unepetite pièce métallique
situéedans un
plan perpendiculaire
à l’axe dustyle,
munie elle-même d’un deuxièmestyle
trèsléger
et trèslong.,
et dont les i ibrations s’inscrivent à la surface d’uncylindre
enduit de noir de fumée. Unmouvement
d’horlogerie communique
aucylindre
duphonographe
et au
cylindre
noirci une même vitesseangulaire,
et, en mêmetemps
que lestyle
court trace lesgaufrages
connus sur la feuilled’étain,
lestyle
leplus long
inscrit sur lecylindre
noir un tracéagrandi,
que M.Roig y
Torres a cherché à déchiffrer. Il est par-venu assez aisément à reconnaître les diverses
voyelles, quelques
consonnes et même
quelques syllabes,
mais il n’a pu arriver à lire desphrases
entières. Les tracés sont d’autantplus caractéristiques
que la voix a
pris
une intensitéplus
voisine de cellequ’on
luidonne habituellement. En
forçant
lavoix,
on dénature les tracés.E. BOUTY.
BULLETIN
BIBLIOGRAPHIQUE.
Annales de Chimie et de
Physique.
51 série. - Tome XXI. - Octobre 1880.
LÉON FOUCAULT. 2013
Descriptio/l de
l’héliostatde Foucault, p. 279.LÉON FOUCAULT. 2013 Note