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A la gloire du Créateur de la nature (III)

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

du Créateur de la nature (III)

Curiosités et merveilles du monde animal par Olivier Dugon

Voici

S

OUS le titre Le génie animal 1, a paru en 1992 un ouvrage qui rassemble tout un arsenal d’inventions que le Créateur a mises au service des animaux pour vivre et survivre dans un milieu souvent hostile.

résumées quelques-unes des merveilles que présente cet ouvrage. Nous suivrons l’ordre de ce livre qui rassemble par thèmes ces diverses curiosités.

La recherche de la nourriture

— Adaptations anatomiques

• Les pics possèdent une langue d’une dizaine de centimètres qu’ils projettent dans les trous des arbres pour engluer les insectes et les avaler par la suite. Chez certaines espèces de pics, le bout de la langue est corné et équipé de petits crochets tournés vers l’arrière qui embrochent les insectes. Chez d’autres, l’extrémité a la forme d’une spatule qui ramasse fourmis et termites.

• L’aye-aye, sorte de petit singe de Madagascar, possède des dents qui ressemblent à celles du lapin, des oreilles qui ressemblent à celles des chauves-souris, des soies qui ressemblent à celles du sanglier et une queue qui ressemble à celle du renard ! Mais ce qu’il y a de plus curieux chez ce petit animal est l’un de ses doigts très fin, flexible et agile qui, à la manière de la langue d’un pic, recueille les larves dans les petites cavités des arbres.

1 — Le génie animal, ouvrage collectif sous la direction de J.J. PETTER, Éditions Nathan, 1992. Ce livre évoque malheureusement l’évolution et le hasard pour ne pas reconnaître la main de Dieu.

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— Ruses et astuces des prédateurs

• Tout le monde sait comment, à l’aide de leurs toiles, les araignées capturent les mouches. Mais il existe une araignée d’Australie qui procède autrement : au bout d’un fil de cinq centimètres, elle attache une boulette de gomme très adhésive qu’elle a sécrétée spécialement. Cette boulette sert de leurre par son aspect et dégage une odeur de fleur qui attire les papillons de nuit. A l’approche de sa proie, l’araignée fait tourner la boulette comme une fronde et englue sa proie.

• Un ver luisant de Nouvelle-Zélande sécrète un long fil garni de petites gouttes de mucus luisant. La lumière émise par ce ver luisant attire les petits insectes qui s’engluent sur les petites gouttes brillantes et lui servent après de nourriture.

• Enfant, vous avez sans doute observé les fourmilions qui creusent des petits entonnoirs dans le sable. Ils se cachent au fond et, lorsqu’une proie, un petit insecte, s’aventure dans l’entonnoir, ils la bombardent de grains de sable pour la faire glisser au fond et s’en nourrir.

• Parmi les trois cents espèces de lottes de mer, certaines habitent les grandes profondeurs. Elles possèdent un appendice buccal mobile qui ressemble à un ver et sert d’appât pour attirer les proies.

• La tortue-alligator qui vit dans l’est des États-Unis agit de même. Elle s’envase et ne laisse émerger que la tête. Elle ouvre la bouche et présente une langue fourchue, qui a l’apparence de deux vers, et attire les proies.

• Une araignée des forêts de Bornéo possède un corps teinté de noir et blanc. Elle se cache sur une feuille qu’elle tapisse de soie blanche. L’ensemble simule des excréments d’oiseaux que mangent certains insectes et papillons. L’araignée en profite pour leur infliger sa morsure fatale.

• Une cousine malaisienne de notre mante religieuse ressemble à s’y méprendre à certaines orchidées. Selon la fleur choisie, cette mante peut devenir rose, blanche ou jaune. En position d’embuscade, c’est-à-dire en « mante-fleur », elle se saisit des insectes attirés par cette pseudo-orchidée.

• Le « poisson-archer » vit dans la région indo-pacifique. Tout en restant juste sous la surface de l’eau, il est capable d’assommer des insectes en leur projetant une giclée d’eau qui peut atteindre deux mètres de distance.

• Les fourmiliers d’Amérique tropicale sont des oiseaux qui ne se nourrissent pas de fourmis mais les utilisent pour trouver leur nourriture : les fourmis légionnaires avancent par colonnes de quinze mètres de large, à un rythme de cinq à quinze mètres à l’heure, pour se nourrir de petits arthropodes 1. Grillons et autres insectes courent en tous sens pour fuir ces légions et offrent des proies faciles aux fourmiliers.

• Le héron ardoisé d’Afrique utilise une technique spéciale de pêche. A l’affût, dans des eaux peu profondes, il étend les ailes, ce qui a pour effet d’empêcher les reflets

1 — Embranchement d’animaux invertébrés (comme les insectes, les crustacés, etc.), caractérisés par un squelette externe chitineux (la chitine est une substance organique azotée), un corps et des membres formés de segments mobiles, grâce à la présence d’articulations. Il comprend les crustacés, les myriapodes, les insectes, les arachnides. (NDLR.)

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LE SEL DE LA TERRE Nº 20, PRINTEMPS 1997

du soleil dans l’eau et donc de permettre une bonne vision des proies subaquatiques.

D’autre part, cette zone d’ombre crée un lieu sombre, donc un refuge où les poissons se sentent – bien à tort – en sécurité.

• Le phalarope à large bec est un oiseau qui vit dans les mers arctiques. Il plonge en tournoyant comme une toupie, provoque un tourbillon ascendant qui met à portée de bec le plancton.

• La baleine à bosse, dans l’hémisphère Sud, se nourrit de krill, c’est-à-dire de petits crustacés qui vivent en essaims compacts. Le banc de krill repéré, la baleine plonge à une centaine de mètres de profondeur, puis remonte tout doucement sous celui-ci en lâchant une myriade de bulles d’air qui emprisonnent la masse de petits crustacés.

— Des outils pour se nourrir

• Le gypaète barbu est un vautour charognard des régions rocheuses africaines.

Pour se nourrir de moelle, il laisse tomber les gros os de cinquante à cent cinquante mètres sur les rochers, ce qui ouvre les os.

• Mangoustes et moufettes brisent les œufs en les jetant contre les rochers.

• Une autre sorte de vautour, le percnoptère d’Égypte, casse les œufs d’autruche en laissant tomber dessus une lourde pierre.

• Les jeunes mangoustes cassent aussi les œufs avec une pierre.

• La loutre de mer se sert d’une pierre plate pour débusquer les mollusques au fond de l’eau. Revenue à la surface, et « faisant la planche » sur le dos, elle pose la pierre plate sur son ventre et s’en sert comme d’une enclume pour y casser les mollusques avec ses pattes antérieures.

• Les chimpanzés utilisent des pierres comme marteau ou enclume pour casser les noix les plus dures.

• Les pinsons-pics des îles Galapagos utilisent des brindilles fines et dures pour chercher et embrocher des larves d’insectes qui vivent sous l’écorce des arbres.

• Les chimpanzés utilisent également des brindilles qu’ils lèchent après les avoir enfilées dans des rayons de miel d’abeilles.

— Réserves de nourriture

• Par une morsure appropriée, la taupe paralyse les vers de terre et en fait des réserves dans un puits secondaire. Ces réserves peuvent atteindre deux kilos.

• La pie-grièche écorcheur vide ses proies avant de les empaler sur de grosses épines pour les stocker. Elle prend soin également d’arracher l’aiguillon des hyménoptères en les frottant contre une branche.

— S’associer pour manger

• Le labre nettoyeur est un petit poisson de la région indo-pacifique. Il se nourrit des petits parasites des poissons plus gros. Il peut même faire le nettoyage dans la cavité bucale d’un gros poisson carnivore. Ce dernier le laissera faire.

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• L’oiseau pique-bœuf débarrasse de leurs tiques et autres parasites les buffles, phacochères, rhinocéros, girafes, etc.

• La crevette aveugle et le gobie, petit poisson, vivent ensemble. Ce dernier ne sait pas creuser de cavité pour se cacher. Il profite donc des services de la crevette aveugle qui est une excellente fouisseuse et qui creuse une cavité assez grande pour elle-même et le gobie. En échange, le gobie guide la crevette aveugle à l’extérieur. Celle-ci, grâce à ses antennes, ne quitte pas les nageoires du petit poisson qui la conduit là où il y a de la nourriture. De plus, par un certain mouvement des nageoires, le gobie prévient la crevette aveugle du moindre danger.

• L’indicateur, petit oiseau, et le ratel, sorte de blaireau, vivent dans le sud du Sahara. Lorsque l’indicateur a trouvé un nid d’abeilles, il pousse un cri particulier pour faire venir le ratel. Celui-ci, de ses puissantes griffes, éventre le nid d’abeilles pour manger le miel, ce qui permet à l’indicateur de manger la cire, son aliment préféré.

• Dans l’article sur les loups, paru dernièrement dans cette revue, vous vous souvenez sans doute d’une relation analogue entre corneilles et loups du Canada.

Échapper à ses prédateurs

— Se fondre dans le paysage

• Le phasme, par phytomimétisme, c’est-à-dire en ressemblant parfaitement à un végétal, passe inaperçu dans les forêts tropicales. Il a même la faculté de changer l’intensité de sa couleur et donc de passer encore mieux inaperçu suivant l’éclairage.

• Si les phasmes ressemblent à des brindilles, les phyllies ou insectes-feuilles ressemblent, grâce à leur forme aplatie, leurs élytres nervurées et leur pattes repliées par- dessous, aux feuilles de leur environnement. Parfois, par des irrégularités de leur contour, elles ressemblent même à des feuilles partiellement dévorées par des chenilles.

• La grenouille-iris est d’un blanc immaculé comme la corolle de l’iris où elle vit.

Quand le même iris se fane et devient quelque peu marron, cette grenouille prend la même teinte.

• Un curieux lézard, le gecko à queue plate, ressemble à s’y méprendre au lichen de l’arbre où, grâce à ses ventouses, il reste accroché dans n’importe quelle position.

• La pieuvre se confond, elle aussi, avec son milieu : en schématisant son processus de mimétisme, on peut dire qu’elle peut changer en un quart de seconde de couleur grâce à plusieurs épaisseurs de peaux de couleurs différentes. Les cellules en se resserrant ou en se dilatant font apparaître la couleur appropriée.

• Le maquereau a le dos sombre pour ne pas être vu d’en haut car le fond de la mer est sombre ; par contre, vu de dessous et donc en direction de la lumière, son ventre clair passe inaperçu.

— Produits chimiques de défense

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• Le bombardier est un insecte qui possède deux glandes anales. L’une contient de l’hydroquinone, l’autre du peroxyde d’hydrogène. S’il se sent menacé, cet insecte libère ces deux produits qui, au contact l’un de l’autre, explosent avec bruit. De plus, le liquide projeté est brûlant (cent degrés).

• Les « soldats » de certaines colonies de termites d’Amérique du Sud projettent sur leurs ennemis, en un jet fin, un liquide visqueux, toxique et irritant. De plus, ce liquide libère des phéromones (voir premier article sur la communication) qui avertissent à distance les autres soldats termites du danger.

— Autres ruses de défense

• Les lézards, grâce à un muscle circulaire spécial, peuvent se libérer de leur queue qui continue à bouger et distrait le poursuivant le temps qu’ils se mettent à l’abri.

• Quelques espèces d’invertébrés, comme l’étoile de mer, peuvent utiliser

« l’autotomie » et laisser au prédateur un des bras pour sauver l’essentiel.

• La couleuvre à collier sait très bien faire la morte, tout comme l’opossum de Virginie et nombre d’insectes.

— Les cuirasses

• Les tatous possèdent des plaques protectrices qui, grâce à des muscles spéciaux, se resserrent les unes contre les autres en cas d’attaque.

— Les épineux

• Porcs-épics et hérissons utilisent le même stratagème, mais la cuirasse est

« hérissée » de piquants.

— La fuite

• L’exocet est un poisson qui, s’il est poursuivi, prend de la vitesse dans l’eau, en sort, étale ses nageoires pectorales et peut planer ainsi sur deux cents mètres.

(à suivre)

* * *

En annexe à cet article d’Olivier Dugon, signalons un article de La Recherche 274, mars 1995, p. 332-333.

Dans des os de dinosaure qui n’étaient pas fossilisés de manière habituelle, des chercheurs de la Brigham Young University dans l’Utah ont découvert des noyaux de cellules encore identifiables. Ils ont même pu déceler du collagène, un des composants du tissu conjonctif. S. Woodward parvint à extraire suffisamment d’ADN de ces restes pour étudier l’information génétique qu’il contenait.

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Il devenait ainsi possible de comparer directement de l’ADN ancien et de l’ADN d’espèces actuelles dans le but de vérifier si, comme le pensent les paléontologues, les dinosaures sont plus proches des oiseaux que des reptiles et des mammifères. Ce principe de comparaison est très utilisé pour déterminer le degré de ressemblance entre des espèces et donc le moment plus ou moins reculé de leur séparation au cours de l’évolution. Dans le cas de l’ADN extrait des os de dinosaure, les chercheurs ont effectué cette comparaison sur un gène particulier qu’ils codent pour le cytochrome b mitochondrial. La raison essentielle de ce choix est que l’ordre (la séquence) des nucléotides de ce gène est connu dans de nombreuses espèces animales, végétales et bactériennes. On pouvait donc espérer que le gène du cytochrome b soit présent chez les dinosaures et le comparer aux formes actuelles de ce gène. (…)

La comparaison avec les gènes correspondant chez les espèces actuelles s’est révélée tout à fait inattendue pour les paléontologistes : l’ADN étudié par Woodward est aussi éloigné des reptiles qu’il l’est des oiseaux ou des mammifères, alors que l’on s’attendait à une plus grande ressemblance avec les oiseaux. Face à une telle divergence, certains chercheurs dont le pionnier de la recherche sur l’ADN ancien, Svante Paabo de l’université de Munich, doutent de la découverte de Woodward. A-t- on bien affaire à de l’ADN de dinosaure ? Ne s’agit-il pas du matériel génétique provenant d’un autre animal ou de micro-organismes présents sur l’os ? Même s’il a la précaution de ne pas l’écrire dans son article princeps, Woodward est convaincu que son matériel de départ est bien un os de dinosaurien et que l’ADN extrait lui appartient. (…)

Quoi qu’il en soit, un doute subsiste sur l’identité du matériel de départ. Seule l’étude d’échantillons provenant d’autres sites permettra d’assurer qu’il s’agit bien d’ADN de dinosaure.

Cette découverte semble bien indiquer que les dinosaures – s’il s’agit bien d’un dinosaure – ne constituent pas l’espèce intermédiaire entre les reptiles et les oiseaux, comme cela est postulé par le modèle évolutionniste « standard ».

* * *

Signalons aussi cet article d’Antoine Danchin (Directeur de recherche au CNRS, professeur à l’Institut Pasteur) paru dans La Recherche 287, mai 1996, p. 96 :

Décidément, les oiseaux sont de merveilleux animaux. Imaginez donc un monde où l'on aurait remplacé le descendant que nous sommes des grands singes anthropomorphes, par un autre dont l'intelligence descendrait de perroquets.

Après tout ces oiseaux parlent et ils ont des doigts opposables. S'ils savaient faire des outils, il leur suffirait peut-être d'une simple mutation, comme celle qui a dû donner naissance au langage, pour qu'ils parlent comme nous. On peut imaginer les

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envolées philosophiques de ces êtres qui naviguent toujours dans les trois dimensions de l’espace...

Est-ce si farfelu ? Pourquoi un jour ne serions-nous pas remplacés, ou ne viverions-nous pas en parallèle à des descendants causeurs d'oiseaux ? Jusqu'il y a peu, la fabrication des outils par les oiseaux était décrite comme très stéréotypée (qu'on se souvienne cependant de ces nids extraordinaires que font les tisserins). Or l'étude soigneuse de la fabrication des outils en forme de crochets par des corbeaux de l'hémisphère austral révèle une capacité créatrice vraiment surprenante.

Corvus moneduloides, qui habite la Nouvelle-Calédonie, fabrique en effet des crochets pour capturer ses proies, cachées dans les vieux troncs 1. Il sait en faire de deux sortes : soit en utilisant des rameaux qu'il effeuille, soit en déchirant les feuilles herbacées d'une plante de façon à faire un objet pourvu de barbilles qui accrochent facilement les proies. Il y a bien un stéréotype dans la façon qu'ont ces oiseaux d'effeuiller les rameaux, mais les rameaux sont toujours différents et pour les crochets à barbilles il faut astucieusement déchirer la feuille.

L'un des caractères importants des outils humains est qu'ils sont réutilisables : une fois confectionnés l'artisan les reprend puis les range. Or, au contraire des stéréotypes d'outils animaux habituels, où ce dernier caractère est absent, on a observé que C. moneduloides réutilise souvent les crochets qu'il a faits. Il les emporte avec lui d'un arbre à l'autre et vient parfois les rechercher là où il les avait oubliés. Et il est bien remarquable que ces crochets, utilisés souvent et efficacement, possèdent les caractères de ceux que nos ancêtres fabriquaient au Paléolithique inférieur. L'avenir de la Terre pourrait-il être aux oiseaux ?

Au-delà du mode humoristique de cet article, il pose une intéressante question : les outils que l’on nous montre fabriqués par l’homo habilis et par l’homo erectus, ont-ils été fabriqués par de vrais hommes, ou par des animaux ? Nos lecteurs peuvent se reporter au Sel de la terre 9, p. 103, où nous posions la même question de manière plus détaillée, avec photographies de ces fameux outils à l’appui.

Jésus séparant les brebis des boucs

1 — G.R. HUNT, Nature 379 (1996), p. 249.

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