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INFECTÉES PAR LE VIRUS DE L'HÉPATITE VIRALE (WHV)

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À PROPOS DE DEUX OBSERVATIONS D'HELMINTHOSES HÉPATIQUES SUR DES MARMOTTES, M ARM OTA M O N AX,

INFECTÉES PAR LE VIRUS DE L'HÉPATITE VIRALE (WHV)

G EV R E Y J .* , B E U G N E T F.* & JA M A RD C .**

Summary : No t e son t w o h epatichelm inthosis o f Ma r m o t ta MONAX INFECTED BY THE WOODCHUCK HEPATITIS VIRUS

Autopsy of two W oodchuck Hepatitis Virus (W HV) infected W oodchucks, M armota monax, revealed the presence of two parasites in an hepatic localization, Taenia mustelae (Larvae) and Calodium hepaticum. The authors present the identification of the two parasites, based on the observation of cysticerci of Taenia mustelae, or on the observation of the eggs of C.hepaticum. They discuss the probable interaction between hepatic parasites and W H V infection.

KEY WORDS : Marmota monax, viral hepatitis, Taenia mustelae, Calodium hepaticum.

R é s u m é :

Deux autopsies d e marmottes américaines, Marmota monax, servant d e modèle expérimental d'hépatite virale, ont permis l'identification d e deux parasites à localisation hépatique, Taenia mustelae (larvae) (Cestoda : Taeniidae), et Calodium hepaticum (Nem atoda : Enoplida : CapillarUnae). Les auteurs présentent l'identification d e ces parasites, b asée sur l'observation des cysticerques dans le ca s de Taenia mustelae, et sur celle des œufs dans le cas d e l'infestation p ar C . hepaticum. Le problème de l'inter-action possible entre l'infestation parasitaire à localisation hépatique et l'infection virale par le W oodchuck Hepatitis Virus reste posé.

MOTS CLÉS : Marmota monax, hépatite virale, Taenia mustelae, Calodium hepaticum.

IN T R O D U C T IO N

L

a marmotte américaine, M a rm o ta m o n ax , est uti­

lisée com m e m odèle animal d’hépatite virale.

Elle est en effet réceptive au virus WHV (W ood­

chuck Hepatitis virus), alors que la marmotte euro­

péenne, M a rm o ta m a rm o ta , présente en France, ne l’est pas. A ce titre, des marmottes, séropositives ou séronégatives, sont importées à l’École Nationale Vété­

rinaire de Lyon, Unité A ssociée INSERM U-271. Elles proviennent du Northeastern Wildlife, une société spé­

cialisée dans la commercialisation des marmottes (Nor­

theastern Wildlife. PO B o x 1000. South Plymouth, NY 13844).

Lors de l’autopsie de deux marmottes infectées par le WHV, des lésions parasitaires ont été notées. Les para­

sites identifiés sont C a lo d iu m h e p a tic u m (syn. C apil- la r ia h e p a tic a) et la larve d e T a e n ia m u stelae. Ces observations indiquent que les animaux proviennent de captures dans le milieu sauvage, et posent le pro­

blèm e de la spécificité des lésions hépatiques obser­

vées.

* Unité d'Écologie Microbienne et Parasitaire, Département de Santé Publique Vétérinaire, École Nationale Vétérinaire de Lyon, 1, Av.

Bourgelat, BP 83, Marcy-L’Étoile, F-69280.

** INSERM U-271, École Nationale Vétérinaire de Lyon, 1, Av. Bour­

gelat, BP 83, Marcy-L’Étoile, F-69280.

MATÉRIELS ET M ÉTHO DES

D

eux marmottes infectées par le WHV sont a u to p s ié e s , la p r e m iè r e e s t m o rte en décem bre 1994, du fait de l’infection virale ayant induit un hépatocarcinom e, la seconde a été euthanasiée en octobre 1995.

Les viscères sont observés m acroscopiquem ent. Les foies sont incisés, des fragments de 3 mm3 sont écrasés et dilacérés dans du chloral-lactophénol, puis observés à la loupe binoculaire, en vue de rechercher la pré­

sence de parasites, et particulièrement de C a lo d iu m h ep a ticu m .

Des prélèvements de foie et de rein de 0,5 cm 3 sont fixés dans le formol com m ercial dilué à 10 % en vue de la réalisation de coupes histologiques. Une colora­

tion Hémalun-Éosine est effectuée.

RÉSULTATS

Ma r m o t t e n ° 1 ( d é c e m b r e 1 9 9 4 )

L

e foie présente un aspect et une consistance nor­

maux. Une dizaine de « nodules » blanchâtres de 1 à 3 mm de diamètre sont observés en super­

ficie et au sein du parenchym e hépatique. Ils sont formés d’une adventice renfermant une vésicule de 1,7 à 2 mm de diamètre. L’observation de cette vésicule indique qu ’il s’agit d’un cysticerque : larve vésiculaire possédant une seule invagination céphalique. La dila­

Parasite, 1996, 3, 175-178

Note de recherche

175

Article available athttp://www.parasite-journal.orgorhttp://dx.doi.org/10.1051/parasite/1996032175

(2)

G K V K K YJ.. RKUGNET F. & JAMAR1 ) C.

cération d’un cysticerque permet d’en effectuer la men­

suration : le scolex est armé, muni d’un rostre d’environ 250 pm de diamètre. Ce rostre est constitué de deux couronnes concentriques de crochets de petite dim en­

sion, en form e de poignards, 27 crochets pour la grande couronne, 23 pour la petite (photo 1). Ils mesurent 18 à 20 pm de longueur pour ceux de la petite couronne, contre 20 à 22 pour ceux de la grande couronne. Ils ont un m anche et une lam e de tailles égales et une garde très épaisse. Des cysticerques sont égalem ent retrouvés dans les reins de ces marmottes.

La taille des cysticerques et la m orphologie des cro­

chets est caractéristique de la larve de T a en ia m u stelae (Abuladze, 1970).

L’exam en histologique permet l’observation d’un paren­

chym e hépatique normal et de coupes de cysticerques (photo 2). Les corpuscules calcaires, caractéristiques des cestodes, sont nettem ent visibles au sein des cys­

ticerques après coloration. Dans les coupes histolo- giques, ils apparaissent sous forme de granules colorés en noir. L’épaisseur de la réaction conjonctive d’enkys- tem ent formant l’adventice doit être notée. La péri­

phérie de l’adventice est form ée par un infiltrat riche en plasm ocytes et en polynucléaires éosinophiles.

Ma r m o t t e n° 2 ( o c t o b r e 1 9 9 5 )

Le foie est décoloré et présente une consistance très ramollie. La dilacération, l’éclaircissement, puis l’obser­

vation du parenchym e mettent en évidence l’envahis­

sem ent du tissu par des œ ufs de capillaires. Les néma- todes ne peuvent être individualisés du parenchyme.

Les œ ufs ont une coqu e striée, épaisse, et claire. Ils présentent à chaque extrém ité un bouchon polaire aplati. Ils mesurent 48,4-55,8 x 29,2-31 pm (photo 3).

La localisation hépatique et l’aspect des œufs est carac­

téristique d’une infestation par C a lo d iu m h ep a tic u m (Bancroft, 1893; Gevrey et Chirol, 1978; Singleton et al., 1991).

L’exam en histologique montre la présence de nom ­ breux œ ufs de C a lo d iu m h e p a tic u m au sein d’un parenchym e hépatique altéré (photo 4). Ce dernier est en partie lysé. Des zones riches en œufs alternent avec des plages de tissu sain, et des plages mal délimitées constituées d’hépatocytes ayant une disposition trabé- culaire ou tubuleuse. Ces derniers présentent une ani- socaryose, une anisocytose, et un nucléole volumineux.

L’ensem ble est évocateur d’un adénocarcinom e, viro- induit dans le cas présent. En ce qui concerne les capil­

laires, seuls les œufs sont observés, les tissus et organes parasitaires, tels que les cordons génitaux, ont disparu.

D ISC U SSIO N

Les parasites hépatiques de la marmotte ne sont pas fréquents (Anderson et al., 1990; Rausch, 1977; Roth

et al., 1991 ; Sabatier, 1989). Ils n’avaient pas encore été identifiés sur des marmottes im portées et utilisées com m e m odèle de laboratoire.

La prévalence de l’infestation par T a e n ia m u stelae, dont les hôtes définitifs sont divers Mustélidés, sem ble faible (Roth, King et Tennant, 1991). Roth, en 1991, a trouvé que 10 marmottes américaines séronégatives vis- à-vis du WHV sur 128 présentaient des granulomes hépatiques d’origine parasitaire (Roth, King et Tennant, 1991). Seuls trois ont été identifiés : un était dû à C a lo ­ d iu m h ep a tic u m , un autre à T a e n ia m u stelae, le der­

nier à A ck ertia m a r m o ta e ( N e m a to d a : F ila r io id e a ).

D eux autres parasites peuvent être observés dans le foie de marmottes : T a e n ia cra ssic ep s et E c h in o c o c c u s m u ltilo c u la r is (Albert, Chapm an et Pursley, 1981 ; Albert et al., 1972; Anderson et al., 1990; Fatzer, Hor- ning et Fankhauser, 1976 ; Logachev et Bat’kaev, 1979).

T a en ia cra ssicep s est un parasite fréquent de la mar­

motte, avec une prévalence m oyenne de 2,6 à 7,3 % selon les auteurs, mais la localisation habituelle des cys­

ticerques est sous-cutanée (Albert, Chapman et Pursley, 1981; Albert et al., 1972; Anderson et al., 1990; Fatzer, Horning et Fankhauser, 1976). Les cysticerques peu­

vent cependant avoir des localisations viscérales : intra- h ép atiq u es (A n d erson e t a l., 1 9 9 0 ), p u lm onaires ( Anderson et al., 1990), ou nerveuses (Fatzer, Horning et Fankhauser, 1976). E ch in o c o ccu s m u ltilocu laris a été observé dans le foie de marmotte du Kazaksthan, M a rm o ta b o b a c , à 6 reprises au cours de 130 autop­

sies (Logachev et Bat’kaev, 1979). La diagnose diffé­

rentielle entre les larves de T a e n ia m u stela e et d’E c h i­

n o c o c c u s m u ltilo c u la ris repose essentiellem ent sur l’observation d'un cysticerque ou de vésicules conte­

nant plusieurs protoscolex dans le cas de l’échino- coque. La diagnose ne doit pas uniquem ent reposer sur l’observation des crochets, lesquels sont de taille et d’aspect semblables chez ces deux parasites. L’exten­

sion de l’échin o cocco se multiloculaire aux États-Unis (Hildreth, Jo n h so n et Kazacos, 1991), et la réceptivité probable de M a rm o ta m o n a x à ce cestode, nécessi­

tent la recherche de ce parasite lors de la réalisation des autopsies.

C a lo d iu m h ep a tic u m est un parasite peu spécifique, de répartition cosmopolite (Gevrey et Chirol, 1978 ; Sin­

gleton et al., 1991). La prévalence de l’infestation des marmottes par ce ném atode n’est pas connue. Les marmottes parasitées s ’infestent en consom m ant les œ ufs présents dans le milieu extérieur. Ces derniers sont le plus souvent éliminés et dispersés, de façon passive, par les carnivores, tels les Mustélidés, qui ont consom m é des rongeurs parasités. Par conséquent, ce parasitisme est uniquem ent observé chez des animaux sauvages capturés. C a lo d iu m h ep a tic u m est un para­

site zoonosique, qui peut se localiser chez l’homme, com m e chez ces hôtes habituels, dans le parenchym e

176 Note de

r e c h e rc h e

Parasite, 1996, 3, 175-178

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H e lm jn th o s e s h é p a tiq u e s c h e z Mìrmotamonâx

Photo 1 : Scolex de Taenia mustelae. Examen direct (obj. Photo 2 : Coupe d’un cysticerque de T. mustelae au sein du parenchyme hépa-

x 10). tique. Coloration HE (obj. x 10).

Photo 3 : Œ uf de Calodium hepaticum Photo 4 : Coupe histologique du parenchyme hépatique. Œufs de Calodium hepaticum. Colo-

(obj. x 40). ration HE (obj. x 40).

Parasite, 1996, 3, 175-178

Note de recherche

177

(4)

GEVRJEY .T., BEUGNET F. & JAMARD C.

hépatique, jamais dans le tractus digestif. L’infestation se fait par consom m ation d’œ ufs em bryonnés pré­

sents dans le milieu extérieur. A l’instar des carnivores, sans héberger le parasite, la consommation de rongeurs parasités peut entraîner l’élimination d’œufs de C. b ep a - ticu m dans les selles humaines. Ces derniers sont alors à distinguer d’autres œ ufs capillaires pouvant s’y trouver, notam m ent les œ ufs de E u c o leu s a e r o p b ilu s (syn.C a p illa ria a e r o p h ila ) (60-75 x 35-40 μm) ou de C a p illa ria p h ilip p in e n sis (40 x 20 μ m).

Ces parasitoses hépatiques, notamment la capillariose, induisent des lésions qu ’il est nécessaire de connaître de façon à les distinguer, dans le cas des modèles expérim entaux d’hépatite virale, des lésions induites par le virus WHV.

La question de l’inter-action entre les parasites à loca­

lisation hépatique et l’infection par le WHV se pose, ce virus étant naturellement présent dans les popula­

tions sauvages de marmottes. Les parasites pourraient favoriser l’installation du virus ou le passage d’un état de portage latent au d éclenchem ent de l’hépatite.

Inversement, les marmottes séropositives, développant ou non une hépatite viro-induite, pourraient être plus réceptives à l’infestation parasitaire que les marmottes séronégatives. Le recueil de données sur le parasitisme chez les marmottes, sauvages et utilisées en laboratoire, sera nécessaire pour pouvoir répondre à ces questions.

Anderson, en 1991, n ’a pas mis en évidence d’inter­

action entre l’infection par le WHV et l’infestation par T a e n ia crassiceps, la prévalence de l’infestation para­

sitaire n ’étant pas significativement différente entre les populations séronégatives et séropositives. De telles études méritent d’être conduites avec les parasites à localisation hépatique.

REMERCIEMENTS

R

em erciem ents au Pr. J. Gastellu pour la réali­

sation et l’interprétation des exam ens histolo- giques.

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R e ç u le 2 7 d é c e m b r e 1 9 9 5 A c c e p té le 2 6 m a rs 1 9 9 6

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1 7 8 N ote d e recherche P a r a s ite , 1 9 9 6 , 3 , 1 7 5 -1 7 8

Références

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