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Commodités portatives, ou Moyens de supprimer les fosses d'aisance et leurs inconvénients... par M. P. Giraud,... · BabordNum

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(1)

u

-S* v :i

c o

o

P

ORTATIVE S,

u o

MOYENS DE SUPPRIMER

LES FOSSES

ET LEURS

INCONVÊNIENS,

PROUVÉSparl'AcadémieRoyaledJArchitecture,par¬

la Société libre AEmulation, parleMufée de Paris,

& par touteslesPerfonnesquiontfait &quifont jour¬

nellement ufage de cesfortes de Commodités, depuis

■dix ans.

Avec Figures.

Ouvrage très utileàtouslesPropriétaires& Locataires desMaifons; auxArchitectes, auxEntrepreneurs, &

finguliérement aux Menuilxers, aux Fondeurs, aux

Serruriers, aux Peintres, &c.

•ParM. P. Girai/jo, Architecte-EntrepreneurdeBdtimens,

du MuféedeParis, Correfpondant desMuféesde Bordeaux,

deTouloufe, &duCercle desPhUadelphes,duCapFrançois.

Nares habent & non odorabunt.

Prix a liv. 8 ibis broché.

A PARIS,

L'Auteur, rue du Fauxbourg St. Martin, la Pohç

jp, j Cochèreprès de la Borne Miiliaire.

yCailleau,Imprimeur-Libraire,rueGallande.N°.64.

De Senne, auPalais Royal, N°.216.

1786.

Avec Approbation 6*Privilège du Roh

(2)

AVIS AU RELIEUR,

Le Relieuraura l'attention de pofer& deplier

lesPlanchesbienquarrément,& àmargeségales,

en haut & en bas, fans quoi le Cadre & les côtés pourroient être emportéslors

de la Reliure.

Il prendra garde que lesonglets

fortent hors du

Livre, de maniéré qu'en lifant, les Figures ne

fe trouvent pas mafquées» & qu'on

puiffe les

ap*

percevoir en leur entier.

(3)

A Messieurs

LES

LIEUTENANS-GÉNÉRAUX

de Police du Royaume.

MESSIEURS,

Un Ouvrage qui

a pour

ohjet la confervation des Citoyens

$

& Jur-tout

deceux

qui habitent les grandes Villes?

a

quelque droit

a

paraître Jous vos aufi

pices-j Vous, Messieurs, dont les

foins ajfidus ont conjlamment le même

but.

aij

(4)

Daigneç donc agréer, Messieurs»

l'hommage

que

minfpire le \èle infa¬

tigable & les

vertus

précieufes dont je faifis le modèle dans le refpeclable

Magijlrat qui veille à la Police de la

Capitale

;

modèle qui

me

fert à juger

tous ceux d'entre

V

ous que

je ré

aipas le bonheur de connoître.

Je fuis

avec

le plus profond refpeS%

MESSIEURS>

Yotre très-humble & très»

obéiffant feryiteur Gihaup*

(5)

INTR O D UCT ION.

Plus

l'objet d'un Art le rapproche de

l'utilité générale, plus ceux qui l'exercent

font dans l'étroite obligation de fe dire,avec

le Moralifte de la fcène Romaine : Homo

jum, nihil humani à me cilienumputo. Guidé

par ce principe, je n'ai pu voir indifférem¬

ment les ravages affreux du Méphytiftne qui s'exhale des FofTes d'aifance.

J'avois lu dans Cicéron {ci), ut in edificiis

'Architecli avertunt ah oculis & narihus do¬

minorum ea , qucz proflueîitia

neceffario

tetri ejjent

aliquid habitura

:

Jîc

nqtura res

fimiles

procul

amandavit

à

fenjibus

; & il m'avoit toujours femblé que nous n'avions imité

que bienimparfaitement la fagefTe de la na¬

ture que c'étoit même contrarier fes vûes

que de ne pas veiller à empêcher que ce

qu'elle éloigne de nos fens n'apportât in-

fenfiblement la deftruêHon , & même la

mort.

C'étoit aux Médecins , c'étoit fur-tout

(a) De Nat. Deor•

(6)

ij

INTRODUCTION.

aux Chymifles qu'il appartenoit de s'occu¬

per de cet objet qui intérefîe, dans les

grandes Villes, la fantéde tousles

Citoyens.

Mais oferai-je le dire ! en publiantdes re-»

cherches furun fujet de cette nature , il fal¬

loir braver le ridicule, cette arme terrible15

& aucun que je

iache,

n'en avoir eule cou¬

rage. Accoutumé à confacrer encoreà l'u¬

tilité publique le peu de

loifirque

me laifle

mon état ,

j'avois fbngé

long-tems aux

moyens dont on pourroit faire ufage pour neutralifer le rnéphytifme des Folles d'ai- fance. Une multitude de combinaifons &

d'expériences , dont le réfuitat, toujours dis¬

pendieux,étoitordinairement nul, ne me re¬

buta jamaisy & je fus,àla fin, afiez heureux

pour trouver un moyen dont la découverte

récompenfe bienla perfévérance demes re¬

cherches.

J'eus à peine annoncé mon fuccès (me

réfervantnéanmoins, par des raifonsparticu¬

lières, le mot de l'énigme), qu'il éveilla les Spéculateurs (a) : on vit bientôt fe former

(a) Je fuis fondéà croirequec'efcd'aprèsun Mê¬

me» requeje donnai, en 1776, à M.Turgot»alors

(7)

INTRODUCTION. Hj

la

Compagnie

du Ventilateur. MM. Cadet,

Laborie & Parmentier publièrent, peu de

tems après, leurs lavantes observationsj

elles firent enfin oûvrir lesyeux fur les dan¬

gers , fans nombre, du mephytifme » mais elles n'y remédioient pas. M.Janin de Com¬

be- Blanche vint enfuite ; il annonçoit un

anti-méphytique (<2), dont l'efficacité, qui n'eft plus aujourd'hui qu'une chimère,

trouva une foule de partifans.. Par malheur

pour l'Auteur, un Savant (M. Hallé), vint

à la traverfe : armé du flambeau de la criti¬

que & de lavérité, il détrompa le Public,

& le vinaigre de M. janin difparut avec

fou fyffiême.

Contrôleur-GénéraldesFinances ,furunmoyende fegarantir de lamajeure partie des incendies,& de rembourferauxIncendiés la perte qu'ils pourroient

avoirfaite,quelaCompagnieduRamonages'efléta¬

blie, efttombéeenfuite,s'eft relevée, &eiî retombée fans retour. Si, conformémentà l'efprit dece Mé¬

moire, elle eût attendu la foufcnption de la partie

effentielleduprojet,propoféeaujourd'huiparMM.

Terrier,cemalheurneluiferoitpeut-êtrepasarrivé.

{a) Il paroît affez probable que M. Janin a

puifé l'idée de fon fytëême dans leRèglement de

Police que je fis imprimer, en 1779, pour les Garditns des Cabinets du Luxembourg.

(8)

IV I NTR0DU.CT10N.

Je ne parlerai pointici de là

Méthode dé

M. Goulet;lorfqu'iî l'acalquée fur lamienne^

il auroitdû fentir qu'un fecret que je

cachois

ne pouvoit pas

fe réduire A des formes

que

feffroisnéceffairement

à

tous

les

yeux.

Auiîî

la.fienne n'eft-elie , comme je le démontre¬

rai, praticable dans aucun cas.

Je parlerai

'

moins encore de l'Effai publié par un

Mé¬

decin (M. Gêraud) , fur la

[uppreffion des Fofjes d'aifance, & de

toute

efpèce de Voirie

; fur

la maniéré de convertir

en

Combuflibles les

fttbfcances

qiiony

renferme, &c.

parce que jene crois pas,

(& à

cet

égard je fuis d'ac¬

cord avec les Chymiftes), qu'un

pareil fyf-

têrne puiffe

jamais

trouver

quelque crédit

dans l'efprit des gens fenfés.

Je dirai feule¬

ment qu'enpropofant cet Ouvrage,

où j'ex-

pofe

entièrement

ma

Méthode Anti-Méphyti-

que,

j'ai

pourgarants

de fou efficacité dix-huit

ansd'épreuves

réitérées

j

le fuccès le plus

com¬

plet depuis dix

ans,

l'approbation de l'Acadé¬

mie Royale d'Architefture, celle de la So¬

ciétélibre d'Emulation & duMufée deParis 5

& enfinl'expérience,querien n'a encoredé¬

menti, de toutes les perfonnes qui en ont fait & qui enfontjournellement

ufage.

(9)

c o ODITES

PORTATIVES,

O u

MOYENS DE SUPPRIMER

LES FOSSES

D'AISANCE*

ET LEURS INCONVÊNIENS.

OBSERVATIONS

GÉNÉRALES.

N s'eftplaint,detous lestems, desincon- véniens nombreux attachés à

Fufage

des

Folles d'aifance : on a obiervé que les fon¬

dations des bâtimens étoient minées par les fels des urines & des matières fécales ; que l'on ne pouvoir faire aucun

ufage

, pour les

befoinsde

dômelliques,

de l'eau de la

plûpart

nos puits, & que piulieurs maifons, ref-

ferrées dans de petits

efpaces

? ne pouvoient A

(10)

( o

avoir , à la fois, un puits

&

une

foiïe,

quoi-

queles

Ordonnances prefcrivent d'avoir l'un

& l'autre, & qu'ils foient également

nécef-

faires &

indifpenfables.

Malgré ces

obfervations, perfonne

ne

s'eff

encoreoccupé des moyens

de remédier à de fi

grands inconvénient, excepté le (leur Goulet,

qui,iri{lruitdes

tentatives

que

j'avois faites &

dufuccès que j'acois

obtenu de

mes cuves

de

bois

préparé

, a cru

pouvoir s'approprier

,

impunément,

le foibie mérite de

mon

in¬

vention, en métamorphofant

les formes &

les moyens d'exécution ;

&

pour

donner

une forte de fanéfion à ce plagiat, il a pu¬

blié , fur les

Foffes d'aifance,

un

Mémoire

imprimé,à Yverdon, en 1785.

Mais je ne crains pas

d'affûter

le

Public

que cetteprétendue

nouvelle découverte du

fleur Goulet n'efl

praticable

en qucun cas,

tant à caufe des

dépenfes exorbitantes dans

iefquelles

elle jetteroit les propriétaires, lors

de

facquifition

première, que par

le

peu

de

durée de fes réfervoirs de cuivre,

malgré

rétamage & la peinture à trois couches.

J'ajouterai que ces

réfervoirs font infini*

ment trop petits,

fur-tout

pour

des,maifons

(11)

, .

(

3

)

confidérables, telles que les

Hôpitaux,

les

Collèges,

les Cafernes, & les maifons oc¬

cupées parle menupeuple; & que d'ailleurs Fauteur ne s'étant ménagé aucuns moyens de Connoîtré, d'une maniéré précife, quand fes féfervoirsferoient pleins, il enréfulteroit héceffairement qu'on les enleveroit outrop tôt, cequi feroit difpendieux en pure perte5

outrop tard, cequi occafionneroit un épan-

chement des matières lur le plateau.

Je n'entrerai point ici dans de plus longs

détails fur l'inutilité des efforts du fïeur Gou*

let; c'eff en comparant nos deux métho¬

des que le Public impartial pourra les ap¬

précier.

L'AcadémieRoyale d'Architeélure fit faire (en 1778) l'effai du moyen que je propofe

parun de fes Membres (a), qui enfuivitl'exa¬

men , pendant ffx mois coniécutifs,dansun cabinet doré, fans que les dorures éprou¬

vaient la moindre altération* Le même moyenavoitreçu précédemment(en 1777) ?

(a) M. Pèire l'aîné, Archite&e du Roi. Voyez

l'Extrait des Regiftres de l'Académie, à la fin de

cet ouvrage.

A 2

(12)

(4)

Fapprobation

la plus flatteufe de la Société

libre d'émulation (a). C'eft

d'après

ce

double

témoignage eu

fa faveur-, c'eft d'après l'ex¬

périence

qu'en font, depuis

10

ans, plus de

quarante

propriétaires

,

fans

en

avoir jamais

éprouvé le moindre inconvénient ('b)

,

que

je me fuisbazardé à

le publier.

Des différentes

efpeces de Foffes d'aifance.

On diftingue deux

efpeces de Foffes d'ai¬

fance , les Foffes-mortes ,

& les Foffes-cou-

lantes, oufans fin.

Les premières font

pra¬

tiquées au-deffous

ou

à côté des caves : elles

ne doivent avoir aucun

écoulement ni

au¬

cune filtration 9 & elles fe

vuident

par une efpece decheminée que

l'on pratique exprès

dans la voûte. Les autres

appeliées Foffes-

coulantes, ou fans fin,

font placées à la

ren¬

contre d'une riviere, d'un

ruiffeau

ou

d'un

aqueduc.

(a) Voyez

l'Extrait

des

Regifires de la Société.

(b) Voyez â cet égard

les Certificats de MM.

Tre^aguet & Roujfeau.

Je

me

perfuade qu'a¬

près les avoir lû , on me

difpenfera facilement

d'en rapporter d'autres.

(13)

( 5 )

DES FS-MSOS E

Inconvéniens qui

réjultent de leur

conjlruclioîi

& de leur vtlidange.

En examinant la conftruêfion des

FojJes-

mortes

, il eft aifé d'en reconnoître le vice dans les caufes même de leur deftruêlion.

Le féjour trop long des urines & des ma¬

tières, & l'aêtioncorroiive de ces dermeres, infe&ent & minent très -promptement les

matériaux avec lefquels elles font conf- truites.

Ces urines & ces matières ne trouvant

plus alors que des fables fans lien, ou des

terres mal-pétries, filtrent avec d'autant plus

d'abondance , que la preffion iupérieure eft plus grande , & qu'elle les force

davantage

à

chercher des ifîues.

Les fondations des autres parties des bâti-

mens étant,pourl'ordinaire,moinsbaffes que

celles des Folles, fe trouvent imperceptible¬

ment déchauffées; d'oùréfùitentlesprompts affaiffemens de la majeure partie des édifices

les plus folides. Si on répare la Foffe à la hâte, fans rechercher plus loin les ravages

de la fïitration, les urines & les matières,

A 3

(14)

( 6 ;

renfermées entre deux terres ,

continuent

de miner les parties qu'elles ont

déjà

atta¬

quées,

& l'affaiffement devient fi considé¬

rable, qu'il faut y apporter un prompt re¬

mède fi l'on ne veut pas courir les

rifques

d'un écroulement total.

Forcé alors d'étayer & de

fouiller

pour reprendre fous-oeuvre, on

découvre,

avec furprife , quetoutes

les fondations font pour¬

ries. Le fol inférieur qui, lors de la

conf-

îruétion première, étoit

affez folide

poury

affeoir unemaffe plus oumoins

confidérable,

fe trouve plus mouvant que

des

terres rap¬

portées, & les

dépenfes occafionnées

par

la

fouille & la reconflruéHcn, en contrebas,

ne produifant qu'une

folidité momentanée,

deviennent, par la fuite,

aufîi inutiles

que ruineufes.

Quelques

grands

que

foient

ces

inconvé»

niens, il en eft d'autres

qui

ne

le font

pas

moins. Prefque tous nos

puits font

corrom¬

pus par la

fijtration des Foffes d'aifance

;

&

quand

une

fois ils

ont

éprouvé les impref-

fions des urines & desmatières, il

efl pref¬

que impoffible de

leur faire reprendre leur

premier

état & de les préferver

pour

l'ave-

(15)

( 7 )

nir. La précaution que Ton prendordinaire¬

ment, en pareil cas, d'enleverdes puitstous

les matériaux & toutes les terres voiiines qui

fe trouvent imprégnées de ces matières, de

renfoncer le rouet & la maçonnerie, & de jetter même du fable de riviere àla hauteur

d'un demi-pied $ cette précaution,

dis-je?

n'eft qu'un palliatif, parce que le principe

du'mal fubiiilant toujours, les fuitesen font

inévitables.

D'ailleurs , pour un propriétaire

qui

veut

& quipeutfaire cesfortes de

dépenfes

ilen

eft cent qui ne veulent ou qui ne peuvent pasles faire : mais quand la

précaution prife

par le premier auroit

d'abord

tout le fuccès qu'il enattend, comment gou.fr

oit--il arrêter

le mal, puifqu'il ne peutpas

répondre de la

Foffe de fon voifin ? Ira-t il excaver toutes leshabitationsqui l'entourent? Et danstousles

cas ne courra-t-ilpas les rifques de le fairein- fruéfueufement,s'il habitel'un desfauxbourgs S.-Germain, S.-Jacques & S.-Marcel,

qui

font, en grande partie,

criblés de carrières à

moitié pleines de décombres?

Dans

les Quar¬

tiers Saint-Honoré , du Marais, du faux- bourg Saint-Antoine> des

Mes Saint-Louis,

A 4

(16)

( 8 )

du Palais, &c. la

recherche feroit d'autant plus difficile & plus incertaine,

que

tous

cesterreins font couvertsd'une nappe d'eau,

àpeu de

profondeur, &

que

quelques

pro¬

priétaires,

qui

en

font iniIruits, font fouiller

leur foffe jpfqu'à l'eau,

afin

que venant

à

groffir, elle

entraîne, dans fa retraite

,

les

matières qu'elle aura

délayées (a). Il eft aile

de concevoir que les puits

voifins

en

font

néceffairement infeélés , &que ceux même qui fe trouvent

très-éloignés n'en font

pas

exempts.

(à) J'obferveraiaux propriétaires qui

font

creu-

fer leurs Folles jufqu'à la nappe d'eau, que c'eft

line économie fort mal entendue, même abftrac-

tionfaite du danger auquelils font journellement

expofés d'être inquiétés par leurs voifins;

d'abord

cesFoliescoûtentquelquefois plusen épuifemens,

lors des conftruéfions, que les conftruéfionselles-

mêmes; fit quand ilsfontenfin obligésdeles faire

vuider fit réparer, la vuidange ne peutpasfe

faire

à la toife, mais autonneau ; auiliarrive-t-il, pref-

quetoujours, qu'ilspayent plusdudouble

de toifes

que laFofie n'en contientvéritablement,

à caufe

de l'eau quiabonde de toutesparts : d'où

il réfulte

que la réparation porte les faux frais à un

prix

ex-

celïif, fitque la folidité, furtout li l'on

cioit l'ob¬

teniren conftruifaruen plâtre, efttoujours incer»

taine.

(17)

(9)

Il eft défendu, me dira-t-on, de creufer les FolTes jufqu'à la nappe d'eau. Je le fiai parfaitement; mais les Ordonnances font- elles toujours exécutées ?

Qu'on aille maintenant chercher la caufe

de la corruption d'un puits, il eft confiant., je le répété, qu'il peut être infeêlé par une foffe

très-éloignée

, & c'eft précifément Fin-

certitude du fuccès qui arrête les tentatives

de beaucoup de propriétaires.

D'après cet expofé, n'eft-il pas évident

que les habitans de la Capitale pourroient

courir à chaque infiant pour leur fanté,

les plus grands rifques, fi des Boulangers

intérefîes étoient tentés de fubftituer à l'eau de riviere celle des puits qu'ils ont chez eux ou dans le voifinage ?

Les Bralfeurs ne fe fervent que d'eau de puits.Labonne ou mauvaife qualité del'eau,

n'influe-t-elle pas furcelle de la bière ? C'efi:

auxChymiftes à prononcer, & àlaFaculté

de Médecine à nous dire fi la fanté ne peut pas en éprouver quelqu'altération.

Pour fe faire une idée plus exaête de la filtration inévitable des Foffes d'aifance, il

eft à propos de favoir quelle efpece de ma-

(18)

( *0 )

rénaux onemploie, à

Paris, dans leur conf-

truÉKon, &onjugera

alors plus facilement

de Vimprefîion

qu'elles

peuvent

recevoir de

l'aéïion corrofive des urines& des matières.

Ces matériaux font du moellonblanc,

le

plus tendre que

l'on

peut

fe procurer, mâ-

çonné,pour

l'ordinaire,

avec

du plâtre. Tout

lemonde fait que ce

moellon eft calcaire, &

que les acides ont, par

conféquent, fur lui

Faéîion la plus

forte. Quant

au

plâtre, il eft

fufceptible de toutes

les impreffions de l'air :

au folei^ &au

grand air il fe féche & prend

très-promptement une

confîftance affez fo-

lide; à l'humidité, au

contraire, il fe gonfle

& fe convertit en falpêtre.

D'où il réfulte

que la réunion

de

ces

deux matériaux eft in-

fufEfante pour

retenir des matières & des

liquides

qui travaillent perpétuellement à les

défunir.

A

l'égard des poteries, les inconvénient

qu'elles

entraînent

ne

font pas moins fenfi-

bles. Ces

poteries, ordinairement mal cuites

& malvernifîees en dedans,

emboîtées d'ail¬

leurs d'un pouce, au

plus, les unes dans les

autres, & recouvertes, en

dehors, d'un

enduitdeplâtre,

font tellement graveleufes,

(19)

( ïï )

que les urines & les matières s'y attachent

aifément : alors elles les minent peu-à-peu,

lespénétrentjufqu'à leurs parois extérieures,

gagnent lesplâtres, les

convertirent

en

M-

pêtre & fe pratiquent des illues. Les plâtres

fe détachent, &: laiffent à découvert lespo¬

teries , qui, tout imprégnées des fels des

urines & des matières, répandent, dans toute la maifon, une odeur infupportable.

Si, pourremédier aumal, on le contente de recouvrirces poteries d'un nouvel enduit

de plâtre , il tiendra d'autant moins, que la

hltration tendratoujours à l'en féparer.

Les fréquens engorgemens

auxquels les

poteries font fujettes , fur-tout en hyver, obligent

d'abord

à

fe

fervir

de

la

fonde,

moyeninfaillible d'uneprompte deftrudHon»

&i bientôt on eft forcé de les refaireen leur entier. L'infeéUon qui provient de leur dé¬

molition égale celle de

la'foffe.

Je neparlerai point ici desmalheurs, fans nombre, caufés^touslesjours,parlavuidange

& par lareconftruélion des FolTes d'aifance;

lesfeuillespubliques en font fi fouventmen¬

tion, quetout le monde fait combien d'ou¬

vriers en font les trillesviélimes, Je ne m'é-

(20)

( « )

tendrai pas non

pins fur l'abus qu'on peut

faire & qu'on fait

réellement allez fouvent

des matériaux provenus

des Folies d'aifance,

en les employant

dans des bâtimens, après

lesavoircouverts d'unléger

badigeon (a).

Ceferoit peut-être ici

le lieu de parler des

maladies quela vapeur

méphytique n'amene

que trop fouvent à

l'époque de chaque vui-

dange j & en

effet, fans parler des malheu¬

reux ouvriers qui en périffent,

malgré les

précautions

qu'ils prennent

pour

s'en garan¬

tir, & malgré

l'habitude qu'ils

ont

de palier

leurvie dans l'ordure , la

peine & la mijere

>

comment des

perfonnes d'un tempérament

foible, ou d'une fanté

déjà altérée, fe pré-

ferveroient-elles des funeftes

effets du mé-

phytifme

;

puifque

nous

voyons qu'il péné¬

tre dans lesappartemens

les mieux fermés &

attaque les métaux,

tels

que

l'or, l'argent,

le cuivre, le fer, &c.

de la maniéré la plus

fenlîble? Onrapporte

fouvent, à des caufes

éloignées,

le dépériffement d'une fanté qui

paroiffoit

inaltérable,

une

maladie violente

(a) Pierretendre,

pulvérifée &, délaye'e dans de

Peau.

(21)

( î3 )

oudelangueur,une mortprématurée, tandis qu'on ne devroit les attribuer qu'au méphy-

îifmej de-là auffi les fautes innocentes des Médecinsdans letraitementdes maladies qui

furviennent affez fouvent dans des maifons, où,quelquesjoursauparavant,onavoit vuidé

la Foffe. Mais ces objetsn'étant pas de mon reffort ; il me fuffit d'avoir indiqué , fans

craindre d'être contredit, une partie des fuites funeftes Se prefque toujours inévita¬

bles du méphytifme. Les ouvrages que d'ha¬

biles praticiensnousont donnés fur cefujet,

auroient dû éclairer, depuis

longtems,

fur

ces dangers (a).

DES FOSSES COULANTES,

OU SANS FIN.

Le feul inconvénient que

l'on

remarque

(a) On a imaginé tout récemment des pompes

antfméphytiques. L'auteurde cetteinvention mé¬

rite des éloges, mais ces pompes ne peuvent pas remédieraux inconvéniensqui réfultentde laconf-

tru&ion vicieufe des Foffes d'aifance : dès-lors le

foyerdu malfubfiftant toujours, lesfondations des

bâtimens& les puitsnefont pasmoins corrompus»

& nous fommes également infeélés lorfqu'on eft

obligédeles vuider entièrement & de les réparer.

(22)

( «♦>

datis les

Fojjfes

-

coulantes

ou

fans fin, c^efl

de donner, en tout tems, une odeur beau-*

coup plus

forte

que

celle qui s'exhale des P&Jfes

*mortes.

Pour s'en convaincre,

on

peutfe tranfporter

dans les Coches d'eau, à

ffiotel-Dieu, à l'Hôpital-Général &

fur les

ponts

oui! exifte dé pareilles commodités;

on s'appercevraque,

dans les

tems

où lesFojfes

mortes répandent. le moins

d'odeur, il n'eft

pas

poffible de tenir

contre

l'infeéKon qui

s'exhale des

Fojfes

-

coulantes. La raifon

en eff allez fênfible,

c'efl

que

malgré le

peu

de

longueur du tuyau,

il s'y

attache

toujours

des urines & des matières, fans celfe mifes

en mouvement par le courant

d'air, & dé¬

layéesparles vapeurs

humides qui s'élévent

de la furface de la riviere, ou de l'aque¬

duc [a) , fur

lefquels elles font placées.

(a) On affurequ'une Compagnie

offre de conff

truire, dans toutes les maifons & foustoutes les

rues, des aqueducs dans lefquels les urines & les

matières fe rendroient. Un courant d'eau, qu'on

auroitfoin d'y introduire, à une heure fixe, pro¬

bablement pendant la nuit, entraîneroic le tout

dans la Seine. Je doutebeaucoup que ie Gouver¬

nement foufcrive jamais à un pareil établiffement qui infefteroit toute la maffe de

l'eau

de cette

(23)

( M )

De la Conflruclion des différentes

efpeces

des Commodités Portatives*

Après

avoir expofé les inconvéniens

qui

rélultent des Foffes d'aifance aêhielles, je

traiterai des moyens que j'ai mis en ufage

pour contenir, dans des cuves

de

bois, les

urines & les matières , fans filtration & fans

odeur , &pour parveniràdémontrer lapof-

fibilité de la fuppreffion

des

Foffes d'aifance.

Mais comme il efl effentielque tous les ou¬

vriers^ même ceuxdela province9 quivou»

droientfe livreràcegenrede travail, fâchent,

chacuns dans leurétat, lamarchequ'ilsauront à tenir, j'entrerai dans les détails les plus

circonftanciés. Les différens développemens

riviere , qui rendroit la navigation impraticable,

êc quiétabliroit, dans Paris êt aux environs, une

pefte générale &. continuelle.

Les cloaques font déjà trop multipliés dans la Capitale, ne cherchonspas à enaccroître lenom¬

bre. On regrettera toujours que la fuppreffion du grand égout, & que la gareprojetée, enfa place, n'ayent pas eulieu. Il efiencore tems, fans faire

des dépenfes proportionnées auxavantages infinis

que l'on en retireroit. Ce fera l'objet d'un fécond

Mémoire,

(24)

( '6)

ferontrepréfentés pardes

planches gravées

9

pour que les

ouvriers

y ayent recours, aa

befoin , & afin de leur

épargner des

recher¬

ches

pénibles

poureux,

& couteufes

pour

les acquéreurs.

Je crois devoirprévenir tous ceux

qui fe¬

rontchargés del'exécutiondes

Commodités

portatives,qu'ileft bien

effentiel,

avant

de

rien commencer, defavoir pourquelles per- fonnes & pour quels lieux

elles font defti-

nées ; car fouvent ledéfaut de convenances arenduinfru&ueufes les inventionsles plus

intéreffantes. Par exemple,dans

les Hôpitaux

lesCollèges,lesCafernes &

les maifons

occu¬

pées parlemenu peuple,

il feroit très incon-

féquentde fonger à

faire ufage des réfervoirs

d'eau & des cuvettes garnies

de leurs

robi¬

nets, à caufe du peu de foin de la majeure partie de ceux

qui habitent

ces

fortes d'en¬

droits. La diverfité des perfonnes & des lieux, m'a donné l'idée

d'imaginer des

Commodités de plufieurs

efpeces, de for¬

mes & de grandeurs différentes.

Des différentes

efpeces de Cuves.

Quoique les formes

quarrées & triangu¬

laires

(25)

( l7 )

kitffcs

puifTent

contenir les urines & les ma¬

tières, fans filtration, ainfi que l'expériencè

me fa prouvé, je confeilie cependant den'eii jamais faire ufage, à moins qu'on n'y foit

forcé , par les circonftances , à caufe de leur peu de folidité dans les affemblages qui

leur fait craindre le cahotage des voituresi

les chargemens & les

déchargemens,lors

de

la vuidange, & enfin à caufe de la dépenfe

confidérable qu'elles exigent pour la ferrure.

Les formes

cylindriques

[a) ou

elliptiques

doivent être préférées, à tous égards* Elles

fontinfinimentplusfoiides,moins eouteufes*

plus faciles à nettoyer & moins fujettesen¬

core à la filtration*

On donnera à chaque efpece de cuve du talut fur fa hauteur, pour pouvoir ferrer

avec force, les cercles qui l'entoureront. Cei talut doit être, au moins, de neuf lignes

par pied ; les cercles portant le même éva-

fèment,ferrerontplus facilement& d'unema¬

niéré plus folide*

Chaque cttvè , quelquepetite qu'elle foity

(d) Rondes ou plein cercle*

(b) Ovales*

M

(26)

( «8 )

fera garnie

de trois cercles,

au

moins; & iî

eft bien eflentiel que celui du haut &

celui

du bas fur- tout, entrent avec

peine & à

grands coups

de repoufîoir,

pour

tenir les

afîemblages qui fe

gonflent

à

l'humidité & fe

relâchent à la fécherefle.

11 n'eft pas moins

intéreflant de

ne

jamais

laifler les cuves expofées au

folëil, ni à l'in¬

jure du tems. On

doit avoir l'attention de

mettre toujours un peu d'eau au

fond quand

elles reviennent de laVoirie, pour les

main*

tenir dans Une fraîcheur qui nepermette pas

au bois de fe fécher. 11ne fautpas non

plus

qu'elles

pofent immédiatement fur la

terre,

dont l'humidité pourriroit promptement

les

ébuves & le jable. L'endroit

dans lequel

on fes placera

doit être pjanchéïé

, ou

plutôt

garni de

chantiers qui laifleront

un courant

d'air

par-deflous.

Des Calibres

nêcejfaires

au

Ménuijier

pour

affembler

promptement

& d'une maniéré

fohde & égale

,

chaque ejpece de Cuves.-

.Après avoir

déterminé la forme & les di™

menfions d'une cuve, félon le

befoin^&les

circonflaiices, le plus sûr moyen

d'écono-

]Hp

(27)

( T9 )

taifer du tems & du bois, & de donner à

cette cuve letalut quilui eft néceffaire, c'ed:

defaire unCalibre de la moitiédechaque cir¬

conférence, extérieure tant du haut que du

bas: ces deux demi-cercles fupérieur & in¬

férieur étant alTernblés entr'eux, avec des

montants àlamême hauteur que devra avoir

la cuve projettée,

ils

auront

néceffairement

Ip talut

convenable

; avec ce

Calibre

ouMo¬

dèle on connaîtra la quantitéde douves né-

ceiTaires pourla

circonférence entiere, & l'on

auratoujours des cuvesde grandeur égale.

Chacune des douves ne pourra raifonna-

blement avoir plus de trois pouces de lar¬

geur, pour les petites cuves,

& de

quatre pour

les grandes, fur-tout quand elles fe¬

ront elliptiques ; Car li elles étoient

plus lar¬

ges, on

rifqueroit de les faire éclater

en

les

ferrant, ou de lesfendre dans le tranfport à

la décharge, &

de faire

gercer

le préparatif,

ce qui laifferoit un libre

paffage

aux

urines

& aux matières.

Des différentes

grandeurs des Cuves

■portatives«

Les cuves portatives peuvent

contenir

B 2

(28)

( «> )

depuis un pied & demi jufqu'à un quart de

toif'e cube , ou environ, Celles d'un pied &

demi font deftinées pour les fauteuils rou^

lants, garnis de leurs réiervoirsd'eau, cuvet¬

tes, robinets, poignées & rofeties, & mon¬

tées fur des roulettes pour les tranfporter

aifément d'un lieu à un autre. Celles de

plus grande

capacité font fufceptibles

des

mêmes acceffoires, à l'exception des rou¬

lettes. J'obferve que les cuves qui contien¬

drontplusde trois pieds cubes, ne pourront être placées qu'aurez-de-chauffée , à caufe

de leur poids, & afin d'avoir la facilité de

les enlever.

Comme la difpofition & la diftribution de

la plupart des maifons ne permettroient pas toujours de faire, au rez-de-chauffée, le facrifice d'une place plus précieufe pour d'autres ufages, on pourramettre ces cuves dans des fouterreins, & en étendre la capa¬

cité juqu'à deux toifes cubes : alors elles cefferont d'être portatives, mais on y

fup-

pléera par une

leconde

cuve portative qui

fervira de récipient. Planche

i.fig.

ierei.

A ces dernieres

efpeces

de cuves à de¬

meure, on pourraadapter des

lièges

à tous

(29)

( 91 )

les étages; on

fe fervira même, fi

on

le

veut, des poteries

aêluelles, quoiqu'elles

foient , comme je l'ai obfervé plus haut, fujettes à une

infinité d'inconvéniens

,

&

que, par cetteraifon , elles

duffent être fup-

primées &

remplacées

par

des

tuyaux

de

groffe fonte.

Des Fauteuils roulans ; de leurs réfervoirs d'eau, Cuves, Cuvettes& autres

accejjoires.

Cherchant à rendre mes Commodités

portatives delaplus grande utilité,j'ai

d'a¬

bord imaginé un

Fauteuil

àont

le plan offrit

un cercle plein; telle a été ma première ten¬

tative : la fécondé , de lui donnerune forme elliptique, & la

troifieme

une

forme quarrée.

Cette derniere m'a paru infiniment plus

commode , plus folide, moins

couteufe

&

plus conforme au gout

aêluel

:

auili

me bor- nerai-je à la defcription de

celle-ci.

Pour que la cuve foit folide & qu'elle

occupe, à-peu-près , toute

la capacité de la

partie

inférieure du fauteuil

y je

lui ai

con- fervé, danstous lestems,la forme elliptique, n'ayant pas

jugé

à propos

de faire ufage de

b3

(30)

( 22. )

la forme quarrée pour les raifons que j'ai expofées plus haut.

La Planche première,fig. iere,offre la vûe géométrale du Fauteuilavec tous les accef- foires, & tel qu'il fe voitquand il eil fini, à

l'exception du travail du Tapifiler & de l'ou¬

vrier en canne, que j'ai cru devoir retran¬

cher, comme fubordonné au gôut

des

parti¬

culiers , & parce que

d'ailleurs

ce

travail

auroit dérobé à l'œil les différentes parties

du mécanifme intérieur dont il étoit-impor¬

tant de faire connoître exactement le détail 3c l'enfemble. *

Les deux faces latérales 8c inférieures dit Fauteuil s'ouvrent : les portes font garnies

en canne ou en étoffe -, ellesfont ferrées de

fiches ou de charnières, 8c fermées avec

une petite ferrure ou une olive, afin qu'on puiffe en tirer la cuve quand elle a befoin

d'être vuidée 8c remplacée pat une autre.

Cette cuve a un pied de hauteur , hors œu¬

vre ; elle eft garnie de deux poignées pour l'enlever , & fupportée par deux barres cou¬

dées, demaniéré qu'il n'y a

entr'elles & le

car¬

reauqu'unintervalle de4à5

lignes; & qu'elles

(31)

( 23 )

fontarrêtéesavec des

vis fur les traverfes du

devant & du derrière. Comme ces

deux

tra¬

verfes ne feroientpas aïïez

fortes

pour

ap¬

porter le

poids de la cuve pleine

,

elles fe¬

ront armées d équerres.

La lunette eft mobile Se

entaillée de la

moitié de fon

épaifFeur dans les traverfes

fupérieures ,

(ainfi

que

cela fe pratique pour

les Commodités

àl'Angloife ), afin de

pou¬

voir enlever la cuvette

Se fon robinet lors¬

qu'on- change

de

cuve.

Le deffus du fiége

peut

fermer à clef.

Le réfervoir, placé

derrière le doffier, ne

pouvant

contenir

que

l'eau néceffaire pour

dix à douzeévacuations,

la quantité

en

eft

déterminée chaque

fois,

par

la capacité

d'un tuyau qui

prend depuis le fond du

réfervoir,(oùelle eft

arrêtée

par une

bonde,

qu'on

lève

aumoyen

d'un cordon, ) jufqu'au

robinet qui fournitcette eau

à la

cuvette.

La partie

de

ce

cordon qui plonge dans

l'eau, efl de

fil d'Archal,

pour

plus de

durée -, celle qui

eft au-deffus

,

eft de foie

,

Se pofe fur une

petite poulie, pour qu'elle

ne foit pas

coupée

par

le frottement.

Les quatre

pieds du Fauteuil font garnis

B 4

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