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Enseignement technique agricole

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Enseignement technique agricole

voie scolaire

À la rentrée 2020, les établissements scolaires (hors Nouvelle-Calédonie, Polynésie française et Wallis et Futuna) de l’enseignement technique agricole ont accueilli 154 752 élèves et étudiants dont 52 % sont internes. Ils sont scolarisés dans des classes allant de la 4e jusqu’au Brevet de technicien supérieur agricole (BTSA).

Un tiers des élèves suit des formations générales et technologiques. Les deux tiers restants suivent des formations professionnelles (CAPA, Bac Pro, BTSA). Le secteur des services accueille 42 % des effectifs en formation professionnelle et devance celui de la production (35 %), longtemps à la première place. Le secteur de la transformation accueille seulement 4 % des effectifs.

L’origine socioprofessionnelle des élèves est aujourd’hui plus diversifiée. Alors qu’en 1990, près de quatre élèves sur dix (36 %) venaient du milieu agricole, ce n’est actuellement plus le cas que d’un élève sur dix (10 %). Ce sont les enfants d’employés et d’ouvriers (42 %) qui sont les plus nombreux à fréquenter les établissements de l’enseignement agricole.

À la suite de la mise en œuvre de la réforme de la voie professionnelle, davantage d’élèves poursuivent jusqu’au Bac Pro voire jusqu’au BTSA. La capacité professionnelle agricole, qui est l’un des critères d’éligibilité aux aides à l’installation en agriculture, peut être attestée par la possession d’un diplôme de niveau égal ou supérieur au Bac Pro agricole « Conduite et gestion de l’entreprise agricole », complétée par un plan de professionnalisation personnalisé validé par le préfet.

Élèves et étudiants par secteur et niveau de formation

20 30 40 50 60 70 80

20-21 15-16 10-11 05-06 00-01 95-96 1990-91

Public

Privé à temps plein

Privé à rythme approprié millier d’élèves

2000-01 10-11 20-21 nombre

Enseignement public 70 177 62 586 60 966 Niveaux V et VI1 23 223 16 188 14 575 Niveau IV 31 977 34 171 33 403 Niveau III 14 977 12 227 12 988 Enseignement privé 105 153 107 774 93 786

Niveaux V et VI 71 222 66 217 51 244 Niveau IV 26 403 34 675 35 091

Niveau III 7 528 6 882 7 451

Ensemble 175 330 170 360 154 752 Niveaux V et VI 94 445 82 405 65 819 Niveau IV 58 380 68 846 68 494 Niveau III 22 505 19 109 20 439

1. Voir glossaire « enseignement agricole ».

Champ : France métropolitaine et DOM (les collectivités d’Outre-mer ne sont plus prises en compte à partir de 2004).

Les DIMA (Dispositif d’initiation aux métiers par alternance) n’existent plus à partir de 2019.

Source : MAA - DGER

Origine socioprofessionnelle des élèves et étudiants

0 10 20 30 40 50

Artisan, commerçant Agriculteur et salarié agricole Inactif, retraité Cadre, profession intermédiaire Employé, ouvrier

2019-2020

pourcentage Garçons Filles

Champ : France.

Source : MAA - DGER

Élèves et étudiants par voie de formation et par secteur professionnel

2000-01 10-11 20-21 nombre % filles Formations

générales et

technologiques 45 667 57 273 50 490 42,3 Formations

professionnelles 129 663 113 087 104 262 51,7 Aménagement 23 470 20 854 19 439 17,6 Production 54 928 38 523 36 772 39,6 Services 43 581 48 885 43 478 76,6 Transformation 7 684 4 825 4 573 57,2 Toutes formations 175 330 170 360 154 752 48,7 Champ : France métropolitaine et DOM (les collectivités d’Outre-mer ne sont plus prises en compte à partir de 2004).

Les DIMA (Dispositif d’initiation aux métiers par alternance) n’existent plus à partir de 2019.

Source : MAA - DGER

(2)

En 2019, 14 908 étudiants ont préparé un diplôme d’ingénieur, de vétérinaire ou de paysagiste.

Les formations mettent l’accent sur la mise en situation professionnelle et sur l’accompagnement du projet professionnel. Les étudiants bénéficient d’une ouverture à l’international au travers de stages, de mobilités académiques ou par l’accueil d’étudiants étrangers.

Le taux net d’emploi des ingénieurs diplômés en 2018 atteint 91 % un an après la sortie de l’école. Les secteurs d’activité sont divers : industries, entreprises de services, organisations professionnelles agricoles, commerce et distribution, environnement et paysage…

98 % des vétérinaires ont un emploi, la moitié comme vétérinaire pour animaux de compagnie.

L’insertion des paysagistes (89 %) est caractérisée par un taux d’entrepreneuriat important, même si seulement 6 % des diplômés 2018 se déclarent indépendants un an après la sortie de l’école.

En partenariat avec les organismes de recherche, les instituts techniques et les universités, les établissements de l’enseignement supérieur agricole mènent des travaux de recherche pour relever les grands défis actuels (gestion durable des ressources, changements climatiques, sécurité des aliments…). Ces travaux permettent de faire évoluer les enseignements au plus près de la réalité professionnelle.

Enseignement supérieur agricole long

Taux net d’emploi Femmes Hommes Ensemble

%

Ingénieurs 90 92 91

Vétérinaires 98 99 98

Paysagistes 90 87 89

1. Taux net d’emploi = Nombre de personnes en activité professionnelle/(Nombre de p ersonnes en activité professionnelle + Nombre de personnes en recherche d’emploi).

Source : MAA - DGER (Écoles de l’enseignement supérieur agricole) - Enquête 2020

Taux net d’emploi1 des diplômés 2018 un an après la sortie de l’école Mobilité internationale des étudiants des cursus ingénieur, paysagiste et vétérinaire - Année scolaire 2019-2020

0 20 40 60 80 100

6 mois ou plus De 3 à 6 mois De 2 à 3 mois Moins de 1 mois

Vétérinaires Paysagistes Ingénieurs

pourcentage Source : MAA - DGER

Étudiants dans les écoles de l’enseignement supérieur agricole en 2019

Cursus

ingénieur, Autres Total Part vétérinaire formations de filles et paysagiste

nombre %

Établissements publics 8 370 1 799 10 169 67

Agrocampus Ouest 1 187 217 1 404 67

AgroParisTech 1 274 592 1 866 62

Agrosup Dijon 641 - 641 70

Bordeaux Sciences Agro 491 61 552 61

École nationale supérieure de formation de l’enseignement agricole (ENSFEA)1 - 239 239 56

École nationale du génie de l'eau et de l’environnement (ENGEES) 346 51 397 46

École nationale supérieure du paysage (ENSP) 163 - 163 54

École nationale vétérinaire d’Alfort (ENVA) 729 38 767 77

École nationale vétérinaire de Toulouse (ENVT) 745 52 797 73

Montpellier SupAgro 706 485 1 191 61

ONIRIS 1 010 37 1 047 73

VetAgro Sup 1 078 27 1 105 74

Établissements privés sous contrat 6 538 264 6 802 56

École d’ingénieurs de Purpan 1 077 - 1 077 60

École supérieure d’agricultures d’Angers (ESA) 976 139 1 115 50

École supérieure du bois (ESB) 284 - 284 21

Institut supérieur d’agriculture de Lille (ISA) - Yncrea 1 218 - 1 218 55

ISARA Lyon 978 59 1 037 65

Institut polytechnique UniLaSalle 2 005 66 2 071 57

Total 14 908 2 063 16 971 62

1. Effectif issu d’une enquête réalisée auprès de l’établissement.

Sources : MAA - DGER, MESRI - Sise (système d’information sur le suivi de l’étudiant)

(3)

Apprentissage

L’apprentissage s’adresse aux jeunes de 16 à 29 ans souhaitant préparer un diplôme ou un titre de l’enseignement professionnel dans le cadre d’un contrat de travail particulier, associant une formation en entreprise et des enseignements dispensés dans un centre de formation d’apprentis (CFA).

En 2019, l’apprentissage dans l’enseignement agricole représentait 8 % des effectifs nationaux d’apprentis avec 37 425 apprentis dans les CFA agricoles. Les apprentis représentent 17,7 % des apprenants de l’enseignement agricole. Depuis 2010, le nombre d’apprentis a augmenté de 8,6 %.

À la suite de la réforme de la voie professionnelle, le niveau de diplôme préparé a fortement crû : plus des deux tiers des apprentis préparent un diplôme de niveau égal ou supérieur au Bac.

Dans les formations du niveau CAPA au BTSA, le secteur de la production accueille 45 % des apprentis. 37 % des apprentis se préparent aux métiers de l’aménagement des espaces mais moins de 3 % se forment dans la filière agroalimentaire.

L’apprentissage est majoritairement suivi par les garçons même s’il se féminise lentement (24 % en 2019). Cette proportion varie selon le niveau de diplôme et le secteur. Bien que l’apprentissage ne concerne que 12 % des étudiants préparant un diplôme d’ingénieur ou de paysagiste, le nombre d’apprentis dans ces formations augmente chaque année depuis 2010. Les apprentis sont d’origines socioprofessionnelles variées avec une prédominance pour les apprentis issus de familles d’ouvriers et d’employés (près de 46 %).

Apprentis par niveau de formation

Part 2000-01 10-11 19-20 de filles

nombre %

Niveaux I et II 212 754 2 332 45 Niveau III 4 601 6 510 10 298 28 dont BTSA 4 207 5 736 8 891 26 Niveau IV 7 438 13 736 13 374 22 dont Bac Pro agricole 3 909 8 612 7 652 21 BP agricole 2 722 3 229 2 931 11 Niveau V 16 806 13 473 11 421 18 dont CAP agricole 10 743 8 874 8 055 14

Total 29 057 34 473 37 425 24

Champ : France.

Source : MEN - Sifa (Système d’information sur la formation des apprentis)

Apprentis par secteur de formation en 2019/2020, hors niveaux I et II

Part de Part Apprentis chaque secteur des filles

nombre %

Aménagement 13 025 37 5

Production 15 780 45 24

Services 2 006 6 59

Transformation 906 3 48

Autres secteurs

(non agricoles) 3 376 10 52

Total 35 093 100 22

Champ : France. Niveaux I et II exclus.

Source : MEN - Sifa (Système d’information sur la formation des apprentis)

Évolution du nombre d’apprentis1

0 2 000 4 000 6 000 8 000 10 000 12 000 14 000 16 000 18 000

19 18 16 14 12 10 08 06 04 02 2000

nombre

Niveau V

Niveau IV

Niveau III

Niveaux II et I

1. Voir glossaire : « Enseignement agricole ».

Champ : France.

Source : MEN - Sifa (Système d’information sur la formation des apprentis)

Origine socioprofessionnelle des apprentis1

0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 Inactif, retraité

Artisan, commerçant Agriculteur et salarié agricole Cadre, profession intermédiaire Employé, ouvrier

2019-2020

pourcentage Garçons Filles

1. L’information est disponible pour 76,2 % des apprentis.

Champ : France.

Source : MEN - Sifa (Système d’information sur la formation des apprentis).

(4)

Formation professionnelle continue

La formation professionnelle continue (FPC) s’adresse aux salariés, travailleurs indépendants ou demandeurs d’emploi qui souhaitent conforter leurs compétences professionnelles ou en acquérir de nouvelles. Elle a pour but d’assurer l’accès, le maintien ou le retour dans l’emploi ainsi que de sécuriser ou diversifier les parcours professionnels.

En 2018, les établissements d’enseignement agricole ont délivré 14,3 millions d’heures stagiaires dans le cadre de la FPC dont 75 % ont été consacrées à des formations conduisant à l’acquisition d’un diplôme ou d’un titre. 20 % des stagiaires ont suivi ces formations d’une durée moyenne de 10,8 semaines. Le diplôme phare est le Brevet professionnel « Responsable d’exploitation agricole » (3 millions d’heures).

66 % des stagiaires ont suivi des formations certifiantes ou professionnalisantes d’une durée moyenne de 4,4 jours. 11 % des stagiaires ont bénéficié de prestations d’orientation ou d’accompagnement vers l’emploi, la reconversion ou la reconnaissance des acquis de l’expérience.

Les formations du secteur « Services à la personne et aux territoires » accueillent proportionnellement le plus de femmes (79 %).

À l’inverse, seules 12 % de femmes sont dans le secteur « Aménagement des espaces » .

Les formations du secteur « Production agricole » délivrent plus de la moitié des heures stagiaires (hors prestation d’accompagnement) et accueillent 44 % des stagiaires.

Volumes-horaires délivrés et nombre de stagiaires en 2018

• Selon la finalité des formations Stagiaires Heures Nombre

millier % %

Diplôme ou titre à finalité

professionnelle 10 669 75 23

Certificat de qualification

professionnelle (CQP) 200 1 1

Formation

professionnalisante 2 357 16 66 Prestation d’orientation

et d’accompagnement 1 062 7 11

Total 14 288 100 100

• Par secteur professionnel des formations1 Stagiaires Part de

femmes Heures Nombre

millier % % %

Production agricole 6 767 51 44 29

Aménagement 2 654 20 18 12

des espaces

Transformation 519 4 10 49

alimentaire Services à la

personne et 1 213 9 7 79

aux territoires

Autres secteurs 2 073 16 22 53 (non agricoles)

Total 13 226 100 100 36

1. Hors prestations d’orientation et d’accompagnement.

Champ : France y compris DOM-COM et Nouvelle-Calédonie.

Source : MAA - DGER - Recensement des formations proposées par les établissements de l’enseignement agricole

• Par région

Nombre de stagiaires

16 000 8 000 2 000

Millier d’heures stagiaires

2 000 1 000 500 Secteur de formation professionnelle Durée

nombre de jours

Aménagement des espaces 19

Production agricole 19

Services aux personnes et aux territoires 24 Transformation alimentaire 7 Champ : France y compris départements et collectivités d’Outre-mer (DOM-COM) et Nouvelle-Calédonie.

Source : MAA - DGER. Recensement des formations proposées par les établissements de l’enseignement agricole

Durée moyenne des formations en 2018

(5)

Recherche

La dépense intérieure de recherche et développement expérimental (DIRD) française consacrée au domaine agricole est stable, à 2,4 milliards d’euros (Md€). La part des entreprises dans cet agrégat baisse légèrement : désormais, les dépenses de recherche agricoles se répartissent à parts égales entre les entreprises (50 %) et les organismes publics et établissements d’enseignement supérieur (50 %).

Les dépenses de R&D des organismes et établissements publics dans le domaine agricole atteignent 1,2 Md€ en 2018, soit 6,6 % de la DIRDA (DIRD des administrations1). L’INRA, principal organisme par le niveau de ses dépenses de R&D, investit 858 millions d’euros (M€), les écoles agricoles 105 M€, l’Ifremer 91 M€, l’IRSTEA 30 M€ et le CNRS 42 M€.

L’investissement en R&D agricole des entreprises atteint 1,2 Md€, stable en volume sur un an (- 0,2 %). La DIRD agricole des entreprises représente 3,5 % du montant des dépenses intérieures de R&D des entreprises (DIRDE).

Avec 644 M€ de DIRD, la part du secteur de l’industrie agroalimentaire (IAA) est stable par rapport à l’année précédente : elle constitue, en 2018 comme en 2017, 54 % du total des dépenses

« privées » agricoles, contre 46 % pour le secteur

« agriculture, sylviculture, pêche et aquaculture » (ASPA) qui cumule 553 M€ de dépenses.

Les entreprises de l’ASPA restent de petites structures : 64 salariés en moyenne, contre 209 pour le secteur des IAA et 198 pour l’ensemble des entreprises qui mènent des travaux de R&D, quel que soit leur domaine de recherche. En revanche, elles comptent en moyenne 5 chercheurs en ETP, contre 3 dans le secteur des IAA (9 pour l’ensemble des entreprises actives en R&D).

1. Voir glossaire « DIRDA ».

Évolution de la dépense intérieure de recherche et développement agricole entre 2017 et 2018

2017* 2018*

million d’euros Organismes et établissements

publics : 1 122 1 186

dont INRA 817 858

Entreprises : 1 188 1 197

Secteurs agricoles

industries agricoles et alimentaires 636 644 agriculture, sylviculture, pêche et

aquaculture 552 553

Ensemble 2 310 2 383

* Résultats définitifs pour 2017, semi-définitifs pour 2018.

Note : les données sont élaborées à partir de l’enquête sur la répartition par objectifs socio-économiques des crédits budgétaires destinés à la recherche de la mission interministérielle recherche et enseignement supérieur (MIRES). Liste des établissements publics exécutant de la R&D agricole : Irstea, CNRS, Inra, Inria, IRD, Cirad, Cnes et Ifremer.

Liste des écoles agricoles : Agro ParisTech, AgroCampus Ouest, AgroSup Dijon, ENFA Toulouse, ENGEES, ENITA Bordeaux, ENSP Versailles-Marseille, ENV Alfort, ENV Toulouse, Montpellier SupAgro, ONIRIS, VetAgro Sup.

Source : MESRI-SIES

Caractéristiques des entreprises qui réalisent de la recherche dans le domaine agricole en 2018sd*

Toutes branches Branches de recherche de recherche**** agricole En moyenne Ensemble des Industries Agriculture, par entreprise entreprises ayant agricoles et sylviculture, une activité alimentaires pêche et interne de R&D aquaculture Chiffre d’affaires

(en K€) 89 394 87 761 52 264 Effectif salarié 198 209 64 DIRDE** (en K€) 1 671 707 1 601 Effectif de chercheurs

(en ETP***) 9 3 5

* Résultats semi-définitifs.

** DIRDE : dépenses intérieures de recherche et développement des entreprises.

*** ETP : équivalent-temps-plein.

**** Une branche de recherche est une branche d’activité économique bénéficiaire des travaux de R&D.

Source : MESRI-SIES

* Résultats semi-définitifs.

Source : MESRI-SIES Organismes et

établissements publics Entreprises

Autres branches de recherche 93 %

R&D agricole 7 %

Autres branches de recherche 96 %

R&D agricole 4 %

Part de la recherche agricole

dans la recherche nationale en 2018sd*

Répartition des entreprises par tranche d’effectifs en 2018sd*

0 10 20 30 40 50 60

Moins de 20 salariés De 20 à 49 salariés De 50 à 249 salariés 250 salariés ou plus

pourcentage

Entreprises ayant une activité interne de R&D dans : Industries agricoles et alimentairesAgriculture, sylviculture, pêche et aquaculture Ensemble des entreprises ayant une activité interne de R&D

* Résultats semi-définitifs.

Source : MESRI-SIES

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