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TABLE DES MATIERES PREMIERE PARTIE LE CORPS ET LES DOCTRINES POLITIQUES I. LE CORPS POLITIQUE AU MOYEN AGE Liminaires (p. 1) 1. L

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(1)

TABLE DES MATIERES

PREMIERE PARTIE

LE CORPS ET LES DOCTRINES POLITIQUES

I. LE CORPS POLITIQUE AU MOYEN AGE Liminaires (p. 1)

1. L

A DOCTRINE DU

«

CORPS DU

C

HRIST

» (p. 3) (1) Le rôle de l’Eglise dans la société civile (p. 4)

(a) Les légendes ethnogénétiques (p. 5)

(b) L’uniformisation de la pratique du christianisme (p. 8)

(2) Les caractéristiques de l’Europe occidentale du haut Moyen Age (p. 11) (3) Le modèle politique de la communion (p. 16)

(a) Les royautés liturgiques : le « corpus verum » (p. 17) (b) Le corps thaumaturgique du Christ (p. 20)

(c) Les communautés monastiques (p. 22)

2. L

E MODELE ORGANICISTE

(p. 26)

(1) La différenciation du corps eucharistique (p. 26)

(2) Les doctrines politiques au 12

ème

siècle : les débuts de la légitimité profane (p. 29)

3. V

ERS LES THEORIES POLITIQUES MODERNES

(p. 34) (1) La théorie du « corps transcendant » (p. 35) (2) La théorie du « corps mystique » (p. 36) (3) Le « corps mystique » de l’Eglise (p. 37) (4) La « personne mystique » (p. 39)

(5) La « persona ficta » (p. 43)

(a) La question trinitaire (p. 43) (b) Les premiers patristiques (p. 48)

(c) La « persona » et l’ « hupostasis » : l’équivalence des termes (p. 50) (d) Boèce : le caractère raisonnable et subsistant de la personne (p. 53) (e) La continuité intellectuelle de Boèce : Damascène et d’Aquin (p. 55) (f) Les caractéristiques de la « persona ficta » au 12

ème

siècle (p. 58) (6) Le « corps politique » (p. 60)

(a) L’hypostase du « corps politique » (p. 60)

(b) Le nouveau médium de la régulation politique. : « Justitia » (p. 61)

(2)

(c) Vers les théories de la souveraineté et de la représentation dans la doctrine politique du « corps transcendant » (p. 64)

(d) La « lex regia » et l’institution de la société politique chez Marsile de Padoue (p. 66)

-1 La « lex regia » (p. 67)

-2 Les trois ordres marsiliens (p. 68)

-3 La théorie marsilienne du besoin et l’élaboration de la loi (p. 71) (7) Les apports de Marsile de Padoue dans la théorie du « corps transcendant » (p. 74)

(8) La théorie du « corps transcendant » comme socle des doctrines politiques modernes (p. 79)

II. LES DOCTRINES POLITIQUES MODERNES (p. 82)

1. B

ODIN

. L

E POUVOIR ET LA SOUVERAINETE

(p. 82) (1) La « personne publique » du roi (p. 82)

(2) La « République bien ordonnée » (p. 85)

2. L

ES THEORIES DU CONTRAT SOCIAL

(p. 90) (1) La souveraineté du Léviathan (p. 91) (2) La souveraineté populaire (p. 101)

(3) Les figures contemporaines de la théologie politique. Quelques pistes de réflexion (p. 111)

III. CONSIDERATIONS INTERMEDIAIRES (p. 120) 1. L

A REPONSE DURKHEIMIENNE A

R

OUSSEAU

(p. 120)

2. L’

INDIVIDUALISME WEBERIEN

(p. 134) (1) La « Verkörporung » (p. 135)

(2) L’intercompréhension chez Weber : les limites du paradigme monadologique

(p. 137)

(3)

DEUXIEME PARTIE LA SOCIÉTÉ COMME CHAIR

I. LA CHAIR DU SOCIAL Introduction (p. 145)

1. L

E CORPS CHEZ

M

ERLEAU

-P

ONTY

(p. 156)

(1) Le corps comme moyen d’accès au monde (p. 159) (2) La chair du social (p. 169)

(a) Les processus de l’intersubjectivité chez Merleau-Ponty (p. 171) (b) Le corps au cœur du monde (p. 181)

2. L

E CORPS PASSIF

(p. 189)

(1) La stratégie de la « distinction » (p. 191) (2) La notion de « pratique » (p. 194)

TROISIEME PARTIE LE CORPS ET LE LANGAGE I. GOFFMAN. UNE APPROCHE SÉMIOTIQUE Introduction (p. 200)

1. G

OFFMANET

P

EIRCE

:

UNE LECTURE CROISEE

(p. 205)

(1) Les fonctions d’identification et de description du langage (p. 205) (2) L’indice chez C.S. Peirce (p. 206)

2. L

A THEORIE DES

«

CADRES

» (p. 211) (1) Qu’est-ce qu’un « cadre » ? (p. 211)

(2) Les cadres primaires et la fonction d’identification du langage (p. 215) (3) Les fonctions d’identification et de description (p. 220)

(4) Les cadres de l’action (p. 226) (5) Le corps comme symbole (p. 234)

3. T

YPOLOGIE DE L

AGIR CHEZ

G

OFFMAN

(p. 243) (1) L’agir stratégique (p. 243)

(2) L’agir ritualisé (p. 247)

(a) Le niveau de la personnalité. Ritualité et socialisation (p. 248) (b) Le niveau de la coordination de l’action (p. 255)

(3) Conclusion intermédiaire (p. 256)

(4)

4. L

ES LIMITES DU MODÈLE INTERACTIONNISTE DE

G

OFFMAN

(p. 260) (1) « Psychologisme » et rationalité de l’agir (p. 260)

(2) La sociopsychologie goffmannienne (p. 264)

II. LA THEORIE DE L’ « AGIR COMMUNICATIONNEL ». SA PORTEE ET SES LIMITES

Introduction (p. 269)

(1) L’agir communicationnel et le « faux-semblant » (p. 271) (2) Le rôle de la propositionnalité chez Habermas (p. 274)

(3) L’agir communicationnel est une théorie de la société (p. 275) (4) Le langage chez Habermas (p. 276)

1. L

A SYSTEMATIQUE DES FONCTIONS LANGAGIERES

. A

U CROISEMENT DU CONCEPT DE LA COMMUNICATION ET DE LA THEORIE DE LA SOCIETE

(p. 278)

1.1. Les fonctions langagières et la théorie de l’agir communicationnel (p. 280) (1) Le pôle de l’auditeur (p. 280)

(2) Le pôle du locuteur (p. 286) (3) Le pôle du monde (p. 290)

1.2. La double structure de l’énonciation (p. 296)

(1) Les usages cognitif et performatif du langage (p. 298) a) Les universaux pragmatiques (p. 298)

b) Remarques sur la pragmatique de l’emploi cognitif du langage (p. 304) (2) Qu’est-ce que la propositionnalité d’une énonciation ?

Tableau synthétique (p. 311)

1.3. Les fonctions langagières dans le paradigme interactionniste goffmanien.

Goffman et Habermas, une lecture croisée (p. 319) (1) La neutralisation de la propositionnalité (p. 319) (2) L’absence du pôle expressif (p. 322)

2. L

A REPRODUCTION SOCIALE D

APRES LA THEORIE DE L

AGIR COMMUNICATIONNEL

. L

A REPRODUCTION SYMBOLIQUE DU MONDE VECU

(p. 325) 2.1. Les trois composantes du monde vécu (p. 326)

2.2. La composante culturelle (p. 330)

(1) Le savoir d’avant-plan (p. 330)

(5)

(2) Le savoir d’arrière-plan (p. 342)

2.3. Le monde vécu du point de vue cognitif (p. 352) (1) Les théories constructivistes (p. 356)

a) La connaissance ordinaire chez A. Schütz (p. 356) b) La socialisation chez Berger et Luckmann (p. 361) (2) Les apports de la théorie meadienne (p. 383)

a) Le rôle des symboles chez Mead (p. 389)

L’usage conventionnel des symboles (p. 395) L’usage personnel du langage (p. 411)

b) Le rôle des images chez Mead (p. 419) (3) Habermas et Mead. Une lecture croisée (p. 431) Tableau synthétique

2.4. Le monde vécu du point de vue performatif : conclusion intermédiaire (p. 436)

III. VERS UNE NOUVELLE APPROCHE DE LA FONCTION EXPRESSIVE

1. B

AKHTINE

:

LE PRINCIPE DIALOGIQUE

(p. 444) (1) Langage et société (p. 448)

(2) Le principe dialogique (p. 463) (3) L’intonation (p. 482)

(4) Conclusion intermédiaire (p. 502)

2. V

ERON

: L

E CORPS COMME SOCLE DE LA COMMUNICATION

(p. 511) (1) La grammaire de la production du sens et la grammaire de la reconnaissance (p. 511)

(2) La sémiosis sociale. Tableau introductif (p. 525) (3) Les trois signes du langage (p. 528)

(a) L’indice. Le corps comme opérateur métonymique (p. 529) (b) Les images. La socialisation du réseau intercorporel (p. 538)

(c) Les symboles.La production discursive du sens et les trois signes du langage (p. 546)

(4) La grammaire des signes chez Véron (p. 552)

(a) Les signes non propositionnels et la stabilisation illocutoire (p. 557) (b) Les signes non propositionnels et la constitution sociale de la réalité.

Les trois ordres du sens (p. 559) (5) Conclusion (p. 574)

BIBLIOGRAPHIE

(p. 581)

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