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Submitted on 1 Jan 1882
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J.-A. EWING et H.-C. FLEEMING JENKIN. - On the production of transient electric currents in iron and steel
conductors by twisting them when magnetised or by magnetising them when twisted (Production de courants
électriques instantanés dans des fils conducteurs de fer ou d’acier en les tordant quand ils sont aimantés, ou en
les aimantant quand ils sont tordus ) ; Proceedings of the Royal Society, t. XXXIII, p. 21; 1881
E. Bouty
To cite this version:
E. Bouty. J.-A. EWING et H.-C. FLEEMING JENKIN. - On the production of transient electric currents in iron and steel conductors by twisting them when magnetised or by magnetising them when twisted (Production de courants électriques instantanés dans des fils conducteurs de fer ou d’acier en les tordant quand ils sont aimantés, ou en les aimantant quand ils sont tordus ) ; Proceedings of the Royal Society, t. XXXIII, p. 21; 1881. J. Phys. Theor. Appl., 1882, 1 (1), pp.332-333.
�10.1051/jphystap:018820010033200�. �jpa-00237958�
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J.-A. EWING et H.-C. FLEEMING JENKIN. 2014 On the production of transient electric currents in iron and steel conductors by twisting them when magnetised
or by magnetising them when twisted (Production de courants électriques
instantanés dans des fils conducteurs de fer ou d’acier en les tordant quand ils
sont aimantés, ou en les aimantant quand ils sont tordus ) ; Proceedings of the Royal Society, t. XXXIII, p. 21; 1881.
Un fil de fer ou d’acier soumis à l’action d’une
spirale magnéti-
sante
fournit, quand
on letord,
un courantlongitudinal
instan-tané
dirigé
de sonpôle
nord à sonpôle
sudquand
la torsion est dans le sens d’une visordinaire,
et dupôle
sud aupôle
nordquand
la torsion est de sens contraire.Le renversement de l’aimantation
longitudinale
du fil soumis àla torsion
produit
un courant instantanéénergique;
mais l’inter-ruption
ou le rétablissement du courantmagnétisant
neproduit qu’un
eff’et insensible. Toutefois lapremière application
du cou-rant à un fil tordu non aimanté donne un courant.
Un fil aimanté non soumis à l’action d’une force
magnétisante
extérieure
fournit, quand
on letord,
un courant de même sens que celuiqui
a étéindiqué précédemment,.
Les courants instantanés
produits par la
torsion d’un fil aimanté avaientété observésparMatteucci
dès1858,
mais ce savant leur assi-gnait
une direction inverse de cellequ’indiquent
les auteurs, et iln’avait
point
observé le courantproduit
par l’aimantation d’un fil tordu.Les auteurs
appellent provisoirement polat-isatioiz
l’état d’unfil résultant de la
superposition
d’une torsion et d’une aimantationlongitudinale,
étatqui persiste après
l’ablation de la forcemagné- tisante ;
cettepolarisation
a pour mesure le courant instantanéqui
accompagne sa
production.
Les auteurs ont construit des courbesindiquant
la variation de lapolarisation
avecFangle
de torsion.On y reconnaît très nettement la
persistance partielle
des effetsantériemrs,
tellequ’elle résulterait,
parexemple,
d’un frottement : les courbescorrespondant
à la torsion et à la détorsion ne se su-perposent pas, mais emhrassent une aire assez
large
dans leurintervalle. Le
changement
depolarisation
est en retard sur le cham-gement de la torsion, à moins
qu’on
ne diminue l’obstacle molécu- laire en faisant vibrer le fil. JB1JI.Fleeming
etEwing
donnent leArticle published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010033200
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nom
d’hystérèse
à cetobstacle,
que l’ondésigne
habituellementsous le nom assez
impropre
deforce
coercitÚ’e.Les effets observes
paraissent susceptibles
d’un maximum pourune valeur convenable de l’intensité du
champ magnétiques,
et lesauteurs pensent
qu’ils
seraientsusceptibles
de renversement par l’action d’une forcen1agnétisante
suffisammenténergique.
Ceseffets diminuent un peu
quand
la torsiondépasse
la limite d’élas-ticité ;
enfin ils sont moindres avec l’acierqu’avec
lefer,
bien que pour l’acierl’hystérèse,
comme on devaits’y
attendre ccpriori,
soit
plus
considérable que pour le fer. E. BOUTYHARLOW WARREN EATON. 2014 Ueber das Maximum der Magnetisirung der dia- magnetischen und schwach paramagnetischen Körper (Sur le maximum d’ai - mantation dans les corps diamagnétiques et faiblement paramagnétiques) ; Wied.
Annalen, t. XV, p. 225; 1882.
Après
un examencritique
des différents travauxpubliés
sur laquestion,
l’auteur décrit ses propres recherches.Son
procédé expérimental
est essentiellement le même que ce- luiqu’avait employé
M. G. Wiedemann pour la détermination dumagnétisme
des corps faiblementmagnétiques (voir
Wied.Galv., 2 [1],
p.688); quelques
modifications de détail ont étéapportées
à
l’appareil
pour atteindre une extrêmeprécision.
Des
expériences
faites avec leperchlorure
de fer ont montréque le
rnagnétisn1e
d’une dissolution de ce sel est exactement pro-portionnel
à la forcemagnétisante :
parconséquent,
le maximum d’aimantation n’existe pas pour les substances faiblementmagné- tiques,
tout au moins tant que lapile employée
nedépasse
pas 7 bunsens.Les
expériences
sur les corpsdiamagnétiques présentaient
desdifficultés
spéciales,
que de nouvelles modifications auprocédé
demesure ont
permis
de surmonter. Ici encore l’auteur conclut à la non-existence d’un maximumd’aimantation,
pour les forces ma-gnétisantes
habituelles.Le Mémoire finit par une
critique
des déterminations faitesjus- qu’ici
des rapports des constantesdiamagnétiques
des différentscorps et de la constante