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Submitted on 1 Jan 1963
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Mesures des permittivités de différentes substances solides dans la bande des 8 mm
Jean Lissayou
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Jean Lissayou. Mesures des permittivités de différentes substances solides dans la bande des 8 mm.
Journal de Physique, 1963, 24 (5), pp.351-352. �10.1051/jphys:01963002405035101�. �jpa-00205484�
351
(cr / PO)1/2 (cr / PO)3/2. Si nous utilisons la fonction
EID
=I(cr /Po) pour déterminer les rapports théoriques EJD correspondants, nous trouvons (EjD)t/2 > (EID),I,
ce
qui est en contradiction avec nos résultat.
L’influence de J sur po n’est donc pas seule
encause.
On pourrait aussi penser à son influence sur a, mais
nous croyons qu’une théorie plus approfondie, faisant explicitement intervenir le nombre quantique J,
serait mieux à même d’interpréter le comportement,
souvent très difiérent des composantes d’un même doublet.
Lettre reçue le 26 février 1963.
BIBLIOGRAPHIE
[1] LINDHOLM (E.), Thèse 1942, Uppsala.
[2] CH’EN (S.) et TAKEO (M.), Rev. Mod. Physics, 1957, 29, 54.
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[5] SCHULLER (E.), Thèse, 1962, Paris (à paraître J.
Recherches, Bellevue).
[6] HIRCHFELDER (J. O.), CURTISS (C.) et BIRD (R. B.),
Molecular Theory of gases and liquides, New-York,
1954.
MESURES DES PERMITTIVITÉS
DE DIFFÉRENTES SUBSTANCES SOLIDES DANS LA BANDE DES 8 mm.
Par M. Jean LISSAYOU,
Laboratoire d’optique ultra-hertzienne de la Faculté des Sciences de Bordeaux.
Dans le cadre des mesures de constantes diélec-
triques effectuées au laboratoire, l’acquisition d’un
banc de mesures hyperfréquences pour la bande Q
nous
aincité à essayer de généraliser dans cette gamme les méthodes de mesures utilisées jusqu’à présent entre
3 et 10 cm, avant d’utiliser les méthodes à l’air libre
qui sont généralement utilisées à ces fréquences.
Les premières mesures de recoupement faites
surdes
matériaux connus, ont laissé apparaître la difficultés
mécanique d’une telle méthode (très grande précision exigée dans la taille des échantillons et influence des
inhomogénéités dans les dimensions même des guides)
mais aussi
uneprécision des résultats sensiblement du même ordre que celle des mesures effectuées à l’air libre (1/100 sur s’).
Appareils de mesure. Méthode utilisée.
-Le mon- tage hyperfréquence utilisé ( fig. 1) prévu pour la bande Q (34 à 36 GHz) fonctionne
enguides rectangu-
laires de dimensions intérieures 7,11 X 3,55 mm et comprend essentiellement deux parties : le klystron
KL2 T2, construit par L. T. T., et son alimentation ;
le banc de mesures proprement dit comportant :
Un isolateur à ferrite ; un ondemètre ; un atténua-
teur variable ; une ligne de mesure reliée à un galva-
nomètre Séfram.
La méthode de
mesureutilisée est la méthode dite de la ligne court-circuitée. Elle consiste à placer un échan-
tillon de substance à étudier, remplissant toute la sec-
tion du guide et de longueur connue e contre un court-
circuit constitué par
uneplaque argentée.
L’étude de la modification du train d’ondes station- naires existant dans le guide en avant du court-
circuit conduit au calcul des parties réelles et imagi-
naires de la permittivité relative
E =c’
-je" du
corps étudié. Pour cela on relève au moyen de la ligne
de mesure le TOST et la distance d’un minimum d’O.
S. à la face d’entrée du diélectrique. De l’impédance
relative ?,1 au niveau de la face d’entrée calculée par le
diagramme de Smith, on calcule au moyen des abaques
de Lebrun [2] la valeur de e’ et eB
X, y sont donnés par l’abaque de Lebrun.
Ào est la longueur d’onde dans le vide.
e
l’épaisseur du diélectrique.
Àc la longueur d’onde de coupure du guide.
FIG. 1.
Mesures de recoupement. Précision des mesures.
-Ces mesures effectuées sur des matériaux connus [1]
étudiées
endétail à des fréquences plus basses nous
assurent de la concordance des résultats obtenus avec les valeurb de référence.
Les incertitudes portent à la fois sur les lectures et
sur la forme des échantillons. Les incertitudes de
mesure sont du même ordre que celles enregistrées avec
la même méthode aux longueurs d’onde plus fortes.
soit As-le" 1/150 mais la précision des dimensions
transversales des échantillons prend ici une valeur
accrue.
Une formule empirique donne la correction systéma- tique à apporter à la valeur de la constante diélectrique :
Résultat indépendant des dimensions a et a’ puisque
le champ électrique est nul sui les parois latérales du
guide.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01963002405035101
352
FIG. 2.
Les échantillons mesurés au palmer au 1/100
mmprésentent tous une différence ( b
--b’) 5/100
mmd’où
unecorrection systématique à apporter aux
mesures.
Mesures de permittivités d’halogénures métalliques.
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