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J. FROHLICH. (Introduction du principe de la conservation de l'énergie dans la théorie de la diffraction); (Recherches expérimentales sur l'intensité de la lumière diffractée)

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00237416

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237416

Submitted on 1 Jan 1878

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J. FROHLICH. (Introduction du principe de la conservation de l’énergie dans la théorie de la

diffraction); (Recherches expérimentales sur l’intensité de la lumière diffractée)

E. Bouty

To cite this version:

E. Bouty. J. FROHLICH. (Introduction du principe de la conservation de l’énergie dans la théorie de la diffraction); (Recherches expérimentales sur l’intensité de la lumière diffractée). J. Phys. Theor.

Appl., 1878, 7 (1), pp.243-247. �10.1051/jphystap:018780070024301�. �jpa-00237416�

(2)

243 toire d’autres corps actifs. Ce travail a été fait seulement pour le sucre de raisin et le sucre de canne, par M.

Tollens ;

pour le

sucre de canne, par M. Schmitz.

C. DAGUENET.

J. FROHLICH. 2014 Einführung des Princips der Erhaltung der Energie in die Theorie der Distraction (Introduction du principe de la conservation de l’énergie dans la

théorie de la diffraction); Ann. der Physik, nouvelle série, t. III, p. 376, 568, I878.

J. FROHLICH. - Experimental Untersuchungen über die Intensität des gebeugten Lichtes (Recherches expérimentales sur l’intensité de la lumière diffractée); Ann.

der Physik, t. III, p. 567, I878.

La théorie de la diffraction

présente

une lacune. Elle

permet,

il

est

vrai,

de déterminer les

positions

des maxima et des minima d’intensité lumineuse sur un écran

placé

en arrière de

l’appareil

de

diffraction,

mais non de calculer la valeur absolue de l’inten- sité lumineuse

comparée

à celle de la lumière incidente.

Soit,

par

exemple,

le cas de la diffraction

opérée

par une ouver-

ture

rectangulaire

de

longueur

de

largeur

b. Prenons trois

axes de coordonnées

rectangulaires,

Oz normal au

plan

de l’ouver- ture, O x et

Oy parallèles

aux deux côtés du

rectangle;

proposons-

nous d’évaluer l’intensité

lumineuse,

dans une direction dont les

projections

sur les

plans

zOx et

zOy,

font ayec 0 z les

angles et03C8,

que nous supposerons

toujours très-petits.

En

désignant par

et A les

amplitudes

des vibrations de la lumière incidente et

diffractée,

on

admet, d’après

la théorie de

Fresnel,

la relation

Cette

expression,

propre à fournir les valeurs de q et

de tJ;

corres-

pondant

aux maxima et aux minima

d’intensité,

ne

peut

être

.

l’expression

exacte de

l’amplitude vibratoire ;

car si l’on considère

une

sphère,

de rayon indéfiniment

croissant, ayant

pour centre le

centre de

l’ouverture,

l’intensité lumineuse totale reçue par cette

sphère (même

dans un cône de

petite

ouverture,

ayant

pour axe l’axe des

z,)

irait en croissant indéfiniment avec 03C1. Il faut donc intro-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018780070024301

(3)

244

duire dans la valeur de A un coefficient M

indépendant de ~

et

03C8,

niais décroissant

quand

la distance p de l’écran à l’ouverture augmente.

Pour déterminer la forme de ce coefficient

M,

M. Frôhlich intro-

duit ce

principe évident,

que

l’énergie

totale du mouvenlent lumi-

neux

(intensité)

dans Lct lumière

diffractée

est au

plus égale

à

l’énergie

du mouvement lumineux

incident, qui correspond

auX

ouvertures de

l’appareil

de

di ictiozi.

On ne

peut,

a

priori,

fixer

quel

est le

rapport

des deux

intensités,

car il se

pourrait

que, par le fait de la

diffraction,

une certaine

quantité d’énergie

lumineuse

se transformât en

chaleur,

par

exemple.

Mais il est naturel de supposer d’abord que toute

l’énergie

lumineuse incidente se

retrouve dans la lumière

diffractée,

sauf à comparer ensuite les résultats de cette théorie à ceux de

l’expérience.

L’auteur se borne à considérer le cas où les

angles Q et 03C8

sont

assez

petits

pour

qu’on puisse

les confondre avec leurs sinus. On a

alors

Plaçons

immédiatement derrière l’ouverture une lentille de

foyer

p, et un écran à la distance p. Isolement de cet écran a pour surface

p’ d~ d~,

et l’intensité lumineuse

qu’il reçoit

est

Cette intensité doit être

égale

à 2 ad. On a donc pour déterminer

)1, l’équation

Les

intégrales

du second membre ne

prennent plus

d’accroisse-

ment sensible à

partir

de valeurs très-faibles

de ?

et

de 03C8, puisque

l’intensité de la lumière diffractée est

négligeable

à une distance

(4)

245

angulaire

notable de la normale. Un

peut donc,

sans

inconvénient,

prendre

comme limites de

l’intégration

2013~ et + x ; et l’on trouve

alors que la valeur de

l’intégrale

double

est 03BB ad.

On a donc pour valeur de M

M. Frôhlich calcule la

quantité

de lumière contenue entre deux minima

consécutifs,

en

prenant

pour unité la

quantité

de lumière

incidente,

et il

applique

la même méthode de calcul au cas des réseaux dont les traits sont

parfaitement

opaques. Tel est

l’objet

de son

premier

Mémoire.

Dans le second il décrit les

expériences qu’il

a

réalisées,

pour

comparer directement les intensités lumineuses des

images

succes-

sives données par les réseaux à l’intensité de la lumière incidente.

L’appareil

de mesure a pour organe essentiel une lentille

L, coupée

en

deux,

comme celle de l’héliomètre. Au

foyer

d’une

première lentille l,

est une fente de

largeur variable,

éclairée par la lumière

monochromatique

du sodium. La

partie

inférieure du faisceau

parallèle émergent

traverse un

diaphragme D,

et un

prisme

biré-

fringent compensé P1, qui

ne dévie pas sensiblement le rayon ordi-

naire ;

enfin ce faisceau arrive sur la moitié inférieure de l’hélio- mètre

L,

dont l’axe coïncide presque avec celui de la lentille

1;

la

moitié

supérieure

du faisceau traverse une ouverture 0 du dia-

phragme

et la moitié

supérieure

de l’héliomètre. Par un

déplace-

ment convenable des deux moitiés de la lentille

L,

on

peut

amener

les deux

images

presque au contact, et par

conséquent

comparer leur intensité.

Les ouvertures du

diaphragme

sonttellement choisies que,

quand

on

place

devant l’oculaire un

analyseur P 2,

avec sa section

prin- cipale parallèle

à celle du

prisme biréfringent P, ,

les

images

fournies par les deux moitiés de l’héliomètre

possèdent

la même

intensité.

Quand l’analyseur

tourne d’un

angle les

intensités

sont entre elles comme I : cos2n0.

Maintenant

si,

en avant de l’ouverture

0,

on

place

un réseau

dont la

partie

utile est

plus large

que cette ouverture, il se

produit

au

foyer

de l’héliomètre une

rangée

horizontale

d’images,

formées

de lumière

naturelle ,

et

l’image

moyenne coïncide avec

l’image

(5)

246

obtenue sans réseau. Pour mesurer l’intensité de l’une

des images,

on

agit

sur la vis

micrométrique

de

l’héliomètre,

de manière à la

rapprocher

de

l’image polarisée,

et l’on fait varier l’intensité de celle-ci par la rotation de

l’analyseur.

La

largeur

de la fente est

choisie,

pour

chaque réseau,

de telle sorte que son

image

ait à peu

près

la

largeur

de l’intervalle entre deux

images produites

par difl’raction.

Voici,

comme

exemple, quelques-uns

des résultats obtenus par M. Frôhlich. L’unité

adoptée

est

toujours

l’intensité de la lumière

incidente ; d représente

la distance du centre de deux ou- vertures successives du

réseau,

n le nombre de ces ouvertures,

03B1 leur

largeur,

et l’on pose m =

d .

W. VOIGT. - Zur Fresnel’schen Theorie der Diffractionsercheinungen (Théorie

de Fresnel relative à la diffraction) ; Ann. der Physik, nouvelle série, t. III,

p. 532, 18;8.

La méthode

employée

par Fresnel consiste à substituer à un

point

lumineux l’une des ondes

qui

en

émanent,

et à considérer

individuellei-nent

chaque point

de l’onde comme une source de

lumière, envoyant

dans une

direction, qui

fait un

angle

u avec la normale à

l’onde,

une intensité lumineuse décroissant

rapidement quand y

augmente, suivant une loi inconnue.

M.

Voigt

montre que la substitution

proposée

par Fresnel donne des résultats exacts en ce

qui

concerne

l’intensité,

mais que la

phase

de

vibration,

calculée pour un

point déterminée

n’est pas la même

suivant que l’on

considère la lumière comme émanant directe-

ment du

point

lumineux ou d’une surface d’onde

intermédiaire ;

(6)

247

ce dernier mode de calcul

fournit,

par

rapport

au

premier,

un re-

tard constant

égal

à (. ·

4

L’auteur cherche à substituer aux formules de Fresnel des for- mules déduites directement de la théorie de l’élasticité. Celles

auxquelles

il

parvient

ne

présentent plus

la contradiction

précé-

dente en ce

qui

concerne la

phase ;

mais elles ne sont

applicables

que pour une très-faible

obliquité

de la direction d’observation par

rapport

à la normale de l’onde. E. BOUTY.

FLEEMING JENKIN et J.-A. EWING. 2014 Helmholtz’s vowel theory and the phonograph (La théorie des voyelles de Helmholtz et le phonographe); Nature, vol. XIII,

347, I4 mars I878.

Prononcez une

voyelle quelconque

devant le

phonographe, puis

faites-le

parler,

en tournant

plus

ou moins

vite ;

la hauteur du son en sera

altérée,

mais non le son de la

voyelle, qui

restera

toujours

le même.

Cependant,

si l’on chante une gamme sur une seule

voyelle,

les formes d’onde

indiquées

par les marques de la feuille d’étain semblent varier avec la hauteur du son.

A. POTIER.

W.-H. PREECE. 2014 On some physical points connected with the telephone (Sur quelques points de Physique concernant le téléphone) ; Philosophical Magazine,

5e série, t. V, p. 28I-292, I878.

Nous conserverons la division du

sujet adoptée

par l’auteur.

I. Du

téléphone

comme source d’électricité. - Les vibrations de la

plaque

du

téléphone

modifient les

lignes

de force du

champ magnétique

et amènent ainsi la

production

de courants d’induction dans le fil. Ces courants sont extrêmement

faibles ,

car un

dépla-

cement

de 1 0 0 1 0 0 - 0

de millimètre

suffit, d’après

lord

Rayleigh,

pour

produire

des vibrations sonores. M.

Brough

a calculé que le

plus

fort courant

téléphonique

ne

dépasse jamais

un billionième de Weber.

II. Du

téléphone

comme

récepteur.

- Les courants inter mit-

tents, lancés dans la

ligne, produisent

dans les

lignes

de force de l’aimant

récepteur

des variations

correspondant

à celles du pre- mier

aimant,

et les vibrations se

reproduisent.

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