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Évolution du nombre d'agriculteurs depuis 1954 En milliers. En pourcentage Hommes

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Academic year: 2022

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(1)

Opérations élémentaires sur les tableaux à double-entrée Pourcentages par années

Évolution du nombre d'agriculteurs depuis 1954

En milliers En pourcentage

1954 1968 1982 1954 1968 1982

Hommes 2 320 ....__ 1525 9�

....

58,5 6 1,9 6 2,5

Femmes 1646 �39 /543 ... � 1,5 38,1 ,,.,.-� 37 ,5

Total 3966 e-� 2464, I

2320 � X 100 3966

1448 ► ----J 00"" 100'

� 543 X 100

1448

Calculs avec l'année 1954 comme base 100

Évolution du nombre d'agriculteurs depuis 1954 En milliers

1954 1968 1982

Hommes 2320 1525 905,

Femmes 1646, ,.939 543

Total 3966 \

(2464

,,...--1------1 448 "

939

�/

X 100 Exemples de calculs:

-1-64-6�

Calculs des taux de croissance

Évolution du nombre d'agriculteurs depuis 1954 (en milliers)

1954

Total

Taux de croissance des effectifs ou écart relatif en % entre deux recensements

1968

En indices (100 = 1954) 1954 1968

100 6 5,73

" '

100 57,V�

� 1l)O /62,13

"\/

905 X 100 2 320

Exemples de calculs

144 8 - 2464 2464 X 100

100

1982 3J,01 32,99 35,51

(2)

Tableau à double entrée à indices simples Diagonale principale

P.D.E.M.

P.E.C.

P.V.D pétroliers P.V.D.non pétroliers Total

Répartition du commerce mondial (en milliards de$, aux prix courants 1981)

P.E.C. P.V.D. P.V.D.

145 milliards sont exportés vers les P.V.D. pétroliers.

Les P.D.E.M. exportent pour 1 191 milliards vers tous les pays.

Signifie que 248 milliards de dollars sont exportés des P.D.E.M. vers les P.V.D. non pétroliers.

Éléments de la diagonale principale

Il est utile de vérifier que les totaux des marges verticales et horizontales sont égaux.

P.D.E.M. : Pays Développés à Économie de Marché (E.-U., Canada, Europe occidentale, Japon, Australie, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud)

P.E.C. : Pays à Économie Planifiée Centralement (U.R.S.S., Europe orientale, Chine continentale, Corée du Nord, Mongolie, Viet-Nam)

P.V.D. : Reste du monde (on distingue pays non exportateurs et pays exportateurs de pétrole)

PRINCIPES DE LECTURE

• En tête des lignes, nous lisons la zone qui est à l'origine de l'exportation.

• En tête des colonnes, nous lisons la zone qui est le lieu de destination des marchandises exportées.

• Chaque case est à l'intersection d'une ligne et d'une colonne; ainsi, nous lisons que les P.V.O. exportateurs de pétrole n'exportent que très peu vers les pays de l'Est qui s'approvisionnent en pétrole surtout en U.R.S.S. : 0,6 milliard dans la case correspondante.

• Ce tableau comprend les même zones en colonnes et en lignes, il y a donc une diagonale principale qui représente les exportations d'une zone vers elle-même.

• Nous avons encadré dans chaque ligne le chiffre le plus important; pour les P.O.E.M. et les pays de l'Est, la valeur numérique maximale est sur la diago­

nale principale, ce qui révèle un caractère auto-centré, pour les P.V.O. c'est avec les P.D.E.M. que les échanges sont les plus intenses (extraversion).

• La dernière ligne totalise le volume total d'importation de la zone, la dernière colonne, le volume total d'exportation de la zone.

(3)

Traitement simultané de deux tableaux à double-entrée

La montée du tertiaire (en milliers de personnes)

1976 1981

États-Unis Japon C.E.E. États-Unis Japon C.E.E.

Agriculture 3453 6430 9563 3519 5570 8 410

Industrie 27354 18880 41634 30191 19700 39585

Tertiaire 57945 27400 54068 66687 30540 58769

Source: Paribas, Conioncture, novembre 1983.

Déduction du second tableau au moyen de calculs d'indices

États-Unis Agriculture 100 Industrie 100

Tertiaire 100

La montée du tertiaire (indice 100: 1976)

1976 1981

Japon C.E.E. États-Unis Japon

100 100 101,9 f 86,6

100 100 110,4 / 104,3

100 100 115,1 111,4

5 570 X 100 Exemples de calculs : · 6 430

. .

C.E.E.

87,9 95,1 101!,7 58 769 X 100

54 068

De tels calculs peuvent être intégrés à la dissertation pour faci­

liter les commentaires : ils peuvent aussidonner lieu à la cons­

truction d'un histogramme. Seuls les candidats rapides dans ce type d'exercice ont intérêt à les réaliser, car ils prennent du temps!

COMMENTAIRE

Les calculs ne prennent leur sens que par une interprétation précise. Le tableau des indices permet de déduire plusieurs leçons:

• Dans tous les pays, le tertiaire se révèle dans la crise le secteur qui crée le plus d'emplois. Les Etats-Unis se montrent les plus habiles à exploiter ce secteur en expansion : pizzerias, gardiennage, sociétés de service informa­

tique ou de r:iettoyage y prennent un essor de plus en plus rapide.

• L'agriculture américaine semble en voie de stabilisation des emplois, tandis que Japon et CEE, en retard relatif pour leur révolution agricole, continuent de voir disparaître des emplois dans ce secteur.

(4)

• La CEE se révèle d'industrialisation fragile; à la différence des États-Unis et du Japon, elle voit disparaître plus d'emplois industriels qu'il ne s'en crée. Le phénomène serait encore plus net si les chiffres de 1985 étaient donnés. Dans la crise, les plus forts sont ceux qui se réindustrialisent dans le sens de la troi­

sième révolution industrielle!

SUJET 1

1. Remplacer a, b, c, d, par leur valeur dans le tableau suivant :

Nombre d'établissements selon la taille de l'établissement

Effectifs fréquences relatives

(en milliers) (en pourcentages)

Petits établissements 1008

a

[1,20[ salariés

Établissements moyens 103 b

[20, 199[ salariés

Grands établissements C 0,7

[200,00[ salariés

Total 1119 d

I.N.S.E.E, Données sociales, 1984 (extrait d'un tableau) 2. Quel est le sens de a, b, c, d?

3. Quel est le caractère étudié? Quel est son nombre de modalités?

4. Un journal affirme que l'I.N.S.E.E. annonce que 31,2 % des effectifs sala­

riés au 31 décembre 1980 travaillent dans de grands établissements. Cette affirmation est-elle compatible avec les chiffres de ce tableau?

5. Comparez le tableau précédent et le tableau suivant · Effectifs salariés selon la taille de

l'établissement (au 31 décembre)

% des salariés

Petits établissements 30,2

Établissements moyens 38,6

Grands établissements 31,2

Total 100

I.N.S.E.E, Données sociales, 1984, Imprimerie nationale

6. Peut-on dire que la France est un pays de petites entreprises?

(5)

CORRIGÉ DU SUJET 1

1.

Nombre d'établissements selon la taille de l'établissement

Effectifs Fréquences relatives (en milliers) (en pourcentages)

Petits établissements 1008 1 008

[1,20[ salariés 8 = 11J9 X 100 = 90,1

Établissements moyens 103 103

[20, 199[ salariés b = 111 9 X 100 = 9,2

Grands établissements ' 8 0,7

(200,oo[ salariés

Total 1 119 d

2. - a signifie que 90,1 établissements sur 100 comprennent moins de 19 salariés.

- b signifie que 9,2 établissements sur 100 sont de taille moyenne (20 à 200 salariés).

- c est la fréquence absolue des grands établissements qui sont au nombre de 8 000 (8 fois l'unité donnée en milliers).

- d représente le total de fréquences relatives, il est néces­

sairement égal à 100 pour 100.

3. Le caractère éudié est

«

la taille des établissements »; ce caractère prend dans notre tableau trois valeurs (nombre de modalités). Les valeurs sont désignées par les trois classes possibles que sont les petits établissements ([1,20] salariés), les établissements moyens comprenant de 20 à 200 salariés, et enfin les grands établissements (plus de 200 salariés).

A chacune de ces modalité, le tableau associe les fréquences absolues et relatives.

4. Il n'y a aucune contrndiction entre l'information citée et le tableau précédent. En effet, les grands établissements repré­

sentent 0,7 % du total des établissements français; il s'agit dans ce cas des fréquences relatives du type d'établissement;dans le cas du chiffre I.N.S.E.E. cité dans la question, il s'agit des effectifs salariés. Cette disparité signifie que 0,7 % des établis­

sements regroupent 30,2 % des effectifs salariés.

5. La comparaison de ces deux tableaux nous renseigne sur la

concentration des effectifs salariés. Les grands établissements

sont peu nombreux : 0,7 %, mais ils représentent 31,2 % des

(6)

effectifs soit plus que les 90,1 % des établissements de petite taille qui réunissent 30,2 % de� salariés.

6. L'établissement français le plus courant est petit; une étude d'un tableau plus détaillé montre que 81,8 % des établisse­

ments ont moins de 10 salariés en 1980. Pourtant, les grands et moyens établissements regroupent plus des deux tiers des sala­

riés. Du point de vue du travailleur salarié, la moyenne ou la grande entreprise sont, assez souvent, la règle. De plus, les grandes entreprises ont d'ordinaire plusieurs établissements.

SUJET 2

Manipulations d'un tableau à double-entrée

Travaux pratiques A

Niveau du chômage1 selon la définition du B.I.V (en milliers)

1979 1981

Hommes 567,5 X

Femmes 787,1 982,8

Total 1354,6 1694,5

Taux de chômage3 5,9 7,3

1983 827,7 1 035,8

T 8 Source: Comptes de la nation de 1983, I.N.S.E.E. série C 117-118

1. Quels sont les caractères étudiés?

2. Combien de modalités ont chaque caractère statistique?

3. Combien d'éléments a le corps du tableau?

4. Déduire la valeur de

X

et de

T

à partir des données.

5. Que signifie X?

Que signifie T?

6. Que signifie le chiffre 8 au bas de la colonne 1983?

Pouvez-vous déduire ce chiffre des autres données du tableau?

1. Moyenne annuelle obtenue en interpolant et en extrapolant les estimations des

« enquêtes emploi » à partir des demandes d'emploi inscrites en fin de mois à !'Agence Nationale pour l'Emploi (A.N.P.E.).

2. Est chômeur toute personne de plus de 15 ans qui est sans emploi, en recherche un, a fait un acte effectif de rechercher un emploi !e mois précédant l'enquête et est disponible dans les quinze jours pour prendre cet emploi.

3. Le taux de chômage correspond au rapport de la population au chômage ( au sens du B.I.T.) à la population active résidente (occupée ou non), exprimé sous la forme d'un pourcentage).

(7)

. Travaux pratiques B

Niveau du chômage selon la définition du B.I.T. (en%)

1979 1981 1983

Hommes A

Femmes B

Total 100 100 100

. 1. Remplir les cases vides.

2. Quelle est la signification de la case A?

Même question pour la case B.

3. Commentez succinctement.

Travaux pratiques C

Niveau du chômage selon la définition du B.I.T. (base 100: 1979)

1979 1981 1983

Hommes 100 C

Femmes 100

Total 100 D

1. Remplir les cases vides en prenant l'année 1979 pour base à la fois pour les hommes, les femmes et les totaux.

2. Quel est le sens de C?

Quel est le sens de D?

3. Commentez sommairement vos résultats.

Travaux pratiques D

Taux de croissance Taux de croissance entre 1979et 1981 entre 1981 et1983

Hommes E

Femmes F

Total 1. Remplir les cases vides.

2. Interprétez le sens de E et de F.

3. Commentez de façon sommaire les résultats.

(8)

CORRIGÉ DU SUJET 2

Corrigé des travaux pratiques A

1. En lignes, le caractère étudié est le niveau de chômage selon le sexe; en colonnes, le caractère étudié est le type chronologique (3 années).

2. En lignes, nous avons deux modalités du caractère : le sexe est masculin ou féminin : en colonnes, nous avons trois modalités du caractère de type chronologique : 1979, 1981, 1983.

3. Le corps du tableau contient 2 x 3

=

6 cases (produit du nombre de modalités des caractères pour les lignes par celui des colonnes).

4. X= 1 694,5 - 982,8

=

711,7 T

=

827,7 + 1035,8 = 1 863,5.

5. X signifie qu'en "1981, l'I.N.S.E.E. dénombrait 711 700 hommes al)J chômage.

T signifie que les chômeurs étaient au total 1 863 500 en 1983 selon les calculs de l'I.N.S.E.E. conformément à la définition du B.I.T.

6. 8 signifie, conformément à la note 3, que sur 100 actifs résidents, 8 étaient au chômage.

Nous ne pouvons déduire ce chiffre des seules données car nous ne dispo­

sons pas de la valeur de la population active résidente.

Corrigé des travaux pratiques B

1. Niveau de chômage selon la définition du B.I.T. (en %)

1979 1981 1983

Hommes 41,9 42 44,4

Femmes 58,1 58 55,6

Total 100 100 100

2. La case A signifie que sur 100 chômeurs en 1981, 42 sont des hommes.

La case B signifie que sur 100 chômeurs en 1983, 55,6 sont des femmes.

3. Une tendance à l'augmentation de la part relative des hommes se mani­

feste de 1981 à 1984. C'est la phase de modernisation qui touche les indus­

tries traditionnellement plus masculines. Le tertiaire résiste mieux dans la crise, c'est aussi le secteur qui emploie le plus de femmes. Les femmes sont cepen­

dant les plus touchées par le chômage, elles sont 55,6 % des chômeurs en 1983 alors qu'elles représentent moins de 4/ 1 Qe des actifs. Elles sont donc sur-représentées parmi les chômeurs.

Corrigé des travaux pratiques C

Niveau de chômage selon la définition du B.I.T. (base 100 = 1979)

1979 1981 1983 Hommes 100 125,4 145,9 Femmes 100 124,9 131,6

Total 100 125,1 137,6

(9)

1. Les cases sont remplies en calculant selon le principe que nous exposons pour la case C:

Chômage masculin en1981 = 711,7 x 100= 1254_

Chômage masculin en 1979 567,5

2. La case C signifie que pour 100 hommes au chômage en 1979, il y en a 125,4 en 1981. La case D signifie que pour 100 chômeurs en 1981, il y en a 137,6 en 1983.

3. Nous observons que le nombre d'hommes au chômage a davantage·

augmenté que celui des femmes au chômage, de 81 à 83 en particulieL L'emploi des femmes résiste donc mieux à la crise.

Corrigé des travaux pratiques D

Taux de croissance Taux de croissance entre 1979 et 1981 entre 1981 et 1983

Hommes 25,4 16,3

Femmes 24,9 5,4

Total 25,1 10

1. Nous avons rempli les cases vides en calculant selon les principes suivants:

Chômage masculin 81 -Chômage masculin 79

x 100 = 711,7 -567, 5 x 100_

Chômage masculin 81 567,5

2. La case E signifie qu'entre 1979 et 1981, le chômage masculin a un taux de croissance de 25,4 %. P our 100 hommes au chômage en 79, plus de 25 travailleurs supplémentaires sont touchés. La case F signifie que le taux de croissance du chômage féminin entre 1981 et 1983 a été de 5,4 %

3. Nous constatons que' la période 1981-1983, qui correspond à la gestion dq Premier ministre P. Mauroy, donc au traitement social du chômage (pré­

retraites, stages, limitation relative des licenciements), a nettement ralenti celui-ci. Nous retrouvons clairement l'augmentation plus forte du chômage des hommes par rapport à celui des femmes entre 81 et 83, phase de restruc­

turation industrielle!

SUJET 3

Chaque jour, les clients des banques font des chèques pour leurs créanciers qui les déposent à leurs propres banques. Il faut ensuite que les banques règlent la différence entre le montant des chèques tirés sur elles et le montant des chèques remis à leurs guichets.

Ceci peut se schématiser en un tableau d'opérations finan­

cières (T.O.F.). Pour simplifier, nous avons créé un T.O.F.

fictif.

(10)

Tableau des opérations financières (en millions de francs)

e

B e Crésus Dufric Bonargent Total

Crésus 100 X 50 200

Dufric 200 300 100

z

Bonargent T 100 200 350

Total 350 450 350 y

1. Trouvez les valeurs de X, Y, Z, T.

2. Que signifient X, Y, Z, T?

3. Résumez les liaisons sur un schéma : mettez les valeurs qui correspondent aux flèches.

4. Dégagez de tous ces flux les soldes nets, c'est-à-dire ce que doit la banque débitrice {dont les débits sur une autre dépassent ce que l'autre lui doit). Comment pouvait-on directement lire ces soldes en utilisant le tableau initial? Vous pouvez répondre à la question en notant le sens des flèches et la valeur du solde net.

Dufric Crésus

5. Remplir les cases du corps du tableau.

�ce e Crésus Dufric Bonargent Total

e

Crésus C 100

Dufric b a 100

Bonargent 100

(11)

6. Que signifie la case a ? Que signifie la case b ? Que signifie la case

c

?

7. Finir de remplir le tableau.

�e

B ce

C

Crésus Dufric Bonargent Total

8. Que signifie e ? Que signifie f?

Que signifie g ? Que signifie h ?

Crésus

a 100

CORRIGÉ DU SUJET 3

1.

�e

B e Crésus

Crésus 100

Dufric 200

Bonargent 50

Total 350

Dufric

100

Dufric 50 300 100 450

Bonargent Total

f

h g

100 100

Bonargent Total

50 200

100 600

200 350

350 1150

2. X est à l'intersection de la ligne créditrice de Crésus et de la colonne débi­

trice de Dufric, donc la banque Dufric doit 50 millions à la banque Crésus.

Y représente le total de toutes les opérations financières : 1 150 millions (totaux débiteurs

=

totaux créditeurs

=

1 150).

Z représente le total créditeur de Dufric, c'est le total de toutes les créances de Dufric sur elle-même et sur toutes les autres banques.

T représente ce que Crésus doit à la banque Bonargent, soit 50 millions.

3. 200

50 200

(12)

4. Nous pouvons représenter le solde net de ce que se doivent les banques selon le principe suivant : Crésus doit 200 millions à Dufric et Dufric doit 50 millions à Crésus donc, au total, Crésus devra verser 150 millions (200 - 50) à Dufric.

Bon argent

0 0

Dufric

150 Crésus

5.

�e

B e Crésus Dufric Bon argent Total

C

Crésus 50 25 25 100

Dufric 33,33 50 16,67 100

Bon argent 30,43 39,13 30,43 100

6. a signifie que lorsque l'on doit 100 francs à Dufric, 50 F, soit la moitié, sont composés de chèques internes à la banque qui vont se traduire par un simple jeu d'écriture interne entre clients de Dufric.

b signifie que lorsque l'on doit 100 francs à Dufric, 33,33 F sont constitués de chèques tirés sur la banque Crésus dont les clients ont remis des chèques à des clients domiciliés à Dufric.

c signifie que lorsque 100 francs sont dus à la banque Crésus, 25 doivent être payés par Dufric.

7.

l�e

B ce Crésus Dufric Bonargent Total

C

Crésus 28,57 11,11 14,29 17,39

Dufric 57,14 66,67 28,57 52,17

Bonargent 14,29 22,22 57,14 30,44

Total 100 100 100 100

8. e signifie que lorsque la banque Crésus doit 100 francs, 14,29 F sont destinés à Bonargent.

f signifie que lorsque la banque Bonargent doit 100 francs, 14,29 F sont dus à Crésus.

g signifie que lorsque la banque Bonargent détient pour 100 francs de chèques dont le destinataire est domicilé chez elle, 57, 14 F sont réglés de façon interne par jeu d'écriture entre ses propres clients.

h signifie que pour 100 francs de chèques en règlement, 52,27 F sont dus à Dufric par les autres banques. Dufric est donc en situation relativement dominante sur ce marché monétaire entre banques.

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