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Examen des activités dans le domaine des statistiques économiques

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(1)

I

NATIONS UNIES

CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL

Distr.:

LIMITEE

E/BCA/PSD.3/23

31 Janvier 1984

. anguis

COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'AFRIQUE

Troisieme session de la Conference commune des planificateurs, statisticiens et deraographes africains

Addis-Abeba, 5- 14 mars 1984

EXAMEN DES ACTIVITES DANS LE DCMAINE DES STATISTIQUES ECONOMIQUES

Table des matieres

I. I.

II.

III.

IV.

V.

VI.

VII.

VIII.

DC.

X.

Paragrapnes-

INTRODUCTION 1

COMPTABILITE NATIONALE ' 2-*17

PROGRES REALISES DANS LA MISE EN OEUVRE NACP 18-^21

STATISTIQUES DES PRIX 22-26

STATISTIQUES INDUSTRIELLES 27^9

MISE EN OEUVRE DU PROGRAMME MONDIAL DE STATISTIQUES INDUSTRIELLES, 1983 30-31

STATISTIQUES DU COMMERCE EXTERIEUR ■ 32-35

TRANSPORTS ET COMMUNICATIONS 36-37

AUTRES STATISTIQUES ECONOMIQUES ' ^38

DISPONIBILITES DES STATISTIQUES ECONOMIQUES 39-48

Annexe

(2)

INTRODUCTION

1. Depuie lo dornior rapport au Comite dc la statistique do la Conference commune des planificateurs, statisticiens et demographes africains en mars 1982, la Section des statistiques economiques generales dc la Division de la Statistique de la CEA a continue de travailler dans les secteurs suivantss

i) statistiques de coraptabilite nationale, des finances et des prix, ii) statistiques industrielles,

iii) statistiques agricoles et statistiques des transports, des communications

et du tourisme,

Les travaux relatifs aux statistiques du commerce exterieur sont offectues par la Section des statistiques relatives au commerce international et aux questions cwnnexes de la Division.

CCMPTABILrrE NATIONALE

2. Depuis le dernier rapport au Comite de la statistique sur les activites rela tives a la comptabilite nationale, la CEA a continue de fournir aux Etats merabres des services consultatifs dans ce domaine, Depuir, avril 1982 des nicsions ont ete

depe*chees dans 12 pays pour y examiner l'etat dc la comptabilite nationale, suggerer

des ameliorations en ce qui concerne le champ, la fiabilite et le caractere interapo- rel des donnees et, dans certains cas, aider les pays a etablir lfcur coaptabillt©

nationale, Recemment, au lieu dfaider les pays sur une base ad hoc, les menbres

de la mission se sont plutot employes a. les aider a former leurs ressortissants a

l'etablissemenft de la coraptabilite nationale,

3. II est encourageant de constater grace aux missions de controle et aux reactions

des pays que bon nombre des recommandations et suggestions faites au cours de ces

missions ont ete, dans la plupart des cas, prises en consideration lors de

l'etablissement de la comptabilite nationale0 Toutefois, il conviendrait de noter que dans un certain nombre de cas il existe encore de graves lacunes en ce qui concerne los donnees de base disponibles pour l'etablissement de la comptabilite et qu il est imperieux d'apporter des ameliorations au systeme de collecte de donnees statistiques. Certains dec parametres utilises pour les previsions sojrt actuellement depasses et ne traduisent pas convenablement la situation economique qui prevaut

dans les pays concernes,

4. Toutefois, la necessity de disposer de statistiques de comptabilite nationale fiables et comparables aux niveaux national, sous-regional et regional ne s3est jaraais faxte plus pressante. Par consequent, le secretariat a poursuivi ses

activites relatives a la realisation de previsions du produit interieur brut et des agregats connexes pour tous les pays africains et met tout en oeuvre pour associer etroxtement a ces activites les services consultatifs regionaux en natiere de

comptabilite nationale.

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5. Malgre cela, des problemes n'ont pas manque de se poser, le plus important etant de loin Les difficultes que rencontre"_lo secretariat pour rassembler des indicateurs de la situation economique actuelle des pays membres de la C3A- Lcs efforts parti-, culiers deployes par le secretariat pour rassimbler ces rensoigncments par le biais d'un petit questionnaire envoye au debut de chaque annec aux Etats membres.et la

trahoaiGoion . a ces derniers des previsions preliminaires du secretariat sur les

principaux agregats de.conptabilite nationale au premier trimestre de chaque annee n'ont pas suscite de reactions suffisamment positives des pays conccrrics.

6. La necessite pour le secretariat de realiscr des previsions nationalos et regiona- les est par ailleurs renforcec par le fait ,qu'il existe d'uno maniere generale pour la piupart des pays de la region un decalage de deux ons environ en matiere de donnees disponibles officiellement sur la conptabilite nationals Mais les travaux de suivi

et d'evaluation des resultats economiques des pays africains grace aux rassemblement d1 informations concretes comme base de formulation de projets intra-africams de cooperation et d1 integration, economique ..aux niveaux regional et sous-regional ne ^ _ peuvent attendrc. En 1'absence de-donnees a jour, on doit utiliser de bonnes previ

sions preliminaires. ' .

7 On salt que le decalage en matiere de statistiqucs de conptabilite nationale s'expliquait en pariic par le manque de donnees de base, l'insuffisancc d'une mam- d'oeuvre qualified et d'autre& rcssourcos. II faut esperer que le programme concernant la mise en-place de services de comptabilite nationale (HACP) dont on parlera dayantage plus loin dans lc present rapport permcttra de resoudre convenablemeht ces problemec.

8 Le projet de comptabilite nationale au titre duquel la CEA fournit, depuis.

plusieurs annees,-.des services.consultatifs a^ut'eertain npmbi-o do p^ys de-la^ . _ _ repion ainsi qu'une formation en cours d'emploi a leurs ressortissants s'est poursuivi au cours de la periode considered II convient de rappeler que le Programme des

Nations Unies pour lc developpement avait alloue une s-mme de 350.000 dollars au _ Droiet (RAP/78/061) pour apporter une assistance accrue aux pays africains lcs moino-

avanfes (PMA) et aux'pays Sfricains ayant recemment accede a 1 - independance et dont

les services statistiqucs se trouvent h un stade embryonnaire do developpement afin de les aider a mettrc^au point un ensemble coherent de statistics economiques et d comptabilite nationale destines a etre utilisee dans le cadre de la planifioation ex du suivi du developpement economique et a assurer la formation do cadres nationaux dans les domaincs apropries/ Les activites au titre de ce projet qui a commence_

Tavril OTseroi poursuivies jusqu'a ce que les fonds disponibles soxent epuise

En raison des coupes sombres dans le budget du PNUD le Pro0et n'a pas ete inclus ± le troisieme cycle dc programmation du PNUD, 1982-19B6.

de

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9. La grande importance qiutac cordent la CEA et la Conference des planificateurs, statisticiens et demographes africains a cet aspect des cenriceG consultatifs regionaux a amene la CEA a retenir les services du Conseiller technique en chef charge de la comptabilite nationale.

10. Par ailleurs, lorsque la CEA a pergu les premiers signes d'un arre"t possible du financement du projet par le PNUD, elle a conmance a rechercher serieuseraent

d'autres sources de financement pouvant permettre de continuer les activites du projet. Les representants a la session du Comite de la statistique de la deuxieme Conference commune se souviennent certainement que l'une des possibility examinees a cette session-par la CEA etait la creation d'un programme concernant la mise en

place de services de comptabilite nationale (NACP) qul pourrait beneficier d'une

assistance bilaterale, permettrait de promouvoir la formation et viserait a la mise en place de groupes de comptabilite nationale plus permanents et plus efficaces faisant partie integrale des services de statistique africains.

11. Ill est heureux de constater que ce qui apparaissait comme une possibility en avril 1982 est au3&uj?1i''hui realite. Le NACP a ete lance. II £*agit essentiellement d'un programme destine a aider' les pays africains en developpement y compris les

PMA et les pays ayant recemmeht accede a 1'independence a, mettre en place des services de statistiques de comptabilite nationale. Le programme devrait permettre de

i-cmedier a la situation malheureuse qui prevaut dans certains pays dans lequels les travaux de comptabilite nationale ont ete des exercices de compilation isoles qui ne contribuent gtiere a la circulation des donnees de base et a, la formulation de politi-

ques.

12. Le projet vise a. creer des services nationaux plutSt que d'apporter aux pays une assistance ponctuelle dans le cadre d1operations techniques speciales et a assurer

a. la comptabilite nationale la place qui ltd revient dans les syst&mes statietiques

integres elabores par les pays africaino. La realisation de cet objectif devrait du moins l'espere~t-on, permettre a la comptabilite nationale de jouer de maniere continue trois roles: i) fournir une ligne directrice pour une bonne circulation des dcnnees provenant des differents secteurs des services statistiques et de leurs organisations d'enquSte sur le terrain; 2) servir d'instrument d'integration et d1analyse des donnees economiques pour la formulation de politiques a court et a,

long termes relatives a. la strategie geh^^ale et a des projets particuliers; 3) permet

tre de mettre progressivement au point des mecanismes d'analyse plus elabores.

La mise en oeuvre du NACP ainsi que du Programme de mise en place de dispositifs nationaux d'enque*te sur les menages (NHSP) et d'autres programmes pour 1'amelioration et le developpement des statistiques de base et de la formation dans ce domaine

permettra de mettre au point des systemes integres de statistique nationale repondant

aux besoins des pays africains.

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13. Si le NACP a ete effectivement lance en decembre 1982 toutes les ressources

financieres et humaines neeessaires pour la mise en oeuvre integrale du programme

ne sont pas encore trouvees. II s'agit notamment d'un conseiller technique en chef, d'un second specialiste, de consultants et des fonds pour les missions, la formation

les seminaires et i1octroi de bourses d'etudes, Lc conseiller technique en chef

a pris fonction et son traitement ainsi que les fonds neeessaires pour ses services et ses operations sont preleves sur le budget ordinaire de la CEA. Malheureusement les ressaurces de la CEA sont limitees et lfon a juge opportun de rechercher a.

l'exterieur les ressources financieres et autres neeessaires a 1'execution du pro

gramme.

14. A cet egard des negociations ont ete menees avee le Gouvernement francais et la Banque mondiale, Le Gouvernement franc,ais s'est, pour sa part, engage en principe a fournir un expert.'francophone sjar le NACP etant entendu que la CEA devra trouver les fonds neeessaires pour les missions. Toutefois, selon les demieres informations, le gouvernement a du mal a trouver un candjdat approprie pour le poste en question et la CEA suit de tres pres 1'evolution de la situation.

15* A la suite d'une mission effectuee par le Chef de la Division de la statistique de la CEA aupres de la Banque mondiale en mars 1983 pour diswtiBr du NACP, la

Banque a propose le programme d'assistanoe ci-aprest i) fourniture de deux experts

en eomptabilite natinnale qui seront bases a. la mission de la Banque a Addis-Abeba pour travailler sur le NACP en etroite collaboration avee la Division de la statisti

que de la CEA ii) Organisation de missions conjointes Banque mondiale-NACP dans les pays participants au NACP iii) octroi de bourses de perfeetionnement et de fonds de

voyage aux participants aux seminaires de formation sur la comptabilite nationale et

les statistiques de base dans le cadre de projets d1assistance technique actuelle de la Banque. Au moment de la redaction du present rapport, un document sur le developpement des statistiques en Afrique qui retrace la strate'gie de la participa tion de la Banque au NACP etait en cours d1elaboration par la Banque mondiale.

Ce document ainsi que les propositions de la banque sur le NACP seront ensuite presentes aux resjjonsables de la Banque pour examen.

16. De son c6te, la Division de la statistique de la CEA ajoute une nouvelle

dimension au programme d'activite de sa Section des statistiques economiques generale©

Cela implique une mobilisation accrue des ressources humaines disponibles a la Section des statistiques economiques generales en vue de la mise en oeuwre du "'TACP. Si

les fonds reserves aux voyages le permettent, le personnel de la Section des statis tiques economiques generales effectueront des missions consultatives dans les pays participant au NACP en vue d'aider les groupes et sections charges d'assurer le developpement des statistiques economiques a elaborer des programmes de travail, a assurer la formation du personnel, a proceder a la collecte, au traitement et a l'analyse des donnees et a assurer la,diffusion des statistiques de base necessaires aux systemes de donnees secondaires tels que la comptabilite nationale et d'autres

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applications. Selon lee previcionct cette participation de la Section des statistiques economiques generales ne necessiterait guere de changements dans les projets actuals mais ces derniers devront pleinement s'integrer aux efforts deployes pour aider les pays africains sans perdre de vue la base de donnees d'appui et leo activites de recherche methodologique appropriee de la Section des statistiques economiques .•

generales. Nul doute que toutes ces activites auront des incidences sur le volume de travail de la Division de la statistique de la CEA.

17. Compte tenu du fait que seul le conseiller technique en chef du NACP a pris fonction, les pays ci-apres Ethiopie, Gambie, Lesotho, Liberia, Maurice, Ouganda,

Republique-Unie de T nzanie, Seychelles, Somalie, Soudan et Zambie ont, dans un premier temps, ete invites a/manifester leur interSt aui"acti'vifeV'&u NACP.. 6inq-de pee .pays a savoir : la Gambie, le Lesotho, le Liberia, la Republique-Unie de Tanzanie, et la Zambie ont deja fait part de leur intention de participer au programme. Des

missions ont ete organisees dans tous ces pays a I1exception de la Zambie qui voudrait

participer au programme a compter du deuxieme semestre de 1984« Par ailleurs, des missions consultatives ont ete effectuees aux Comores et a Djibouti par des fonc- tionnaires de la Division.

PROGRES REALISES DANS LA MISE EN OEUVRE NACP

18. Au cours des missions organisees dans chacun des pays participants au NACP, on pcocede tout d'abord a une evaluation de la situation qui prevaut dans le pays en ce qui concerne les travaux d'etablissement de la comptabilite natinnale et les donnees de base disponibles. Les notions et methodes d'estimation adoptees

sont examines et des suggestions sont faites pour I1amelioration de la fiabilite et

du champ d'application des series statistiques. Des questions conceptuelles et methodologiques sont examinees dans le detail. Un programme provisoire ou une

liste de mesures qui devraient 3tre adoptees dans un avenir proche est examine.

Les etudes et enqueues speciales destinees a combler les lacunes et a augmenter les donnees disponibles sont indiquees. Ainsi, au cours de toutes les missions, on^

s'est employe essentiellement a aider a clarifier les probemes conceptuels et metho

dologiques qui se posent a la section de la comptabilite nationale et a indiquer d'autres mesures necessaires. Une fois que des progress ont ete enregistres, les pays peuvent demander d'autres missions complementaires. Les pays participants

devraient ainsi Stre en mesure d'ameliorer pregressivement leurs connaissances et leurs

leurs competences dans le domaine en question ce qui leur permettra de disposer de

statistiques plus utiles et plus fiables§ il s'agit la de l'objectif fondamental

du NACP. La reussite du progBamme depend de la volonte de chacun des pays d'elaborer

un programme de travail approprie et encore des efforts qu'ils deploient en vue de mettre en oeuvre le programme de travail convenu.

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19. Malheureusement le NACP n'a pas encore de fonds pour augmenter les ressouroes dont disposent les Etats membres pour la realisation des recensements ou des enque*tes par Bondage. En raison du manque de fonds aucun seminaire ou atelier de formation n'est prevu dans un avenir proche. Si la Banque mondiale participe activement comme prevu a, la mise en oeuvre du NACP, il devrait §tre possible d'organiser en 1984 un

seminaire de formation qui pourrait des lors devenir annuel.

20. Comme on l'a deja mentionne, des missions au titre du NACP ont ete organisees

jusq.u?a. present (Janvier a juin 1983) en Gamble, au Lesotho, au Liberia, et en

Republique-Unie de Tanzanie. A la fin de chaque mission un rapport detaille sur les principales suggestions en vue d'une amelioration de la situation dans les pays concernes a ete etabli et le programme de travail provisoire discute. Des copies des rapports ont ete envoyees aux gouvernements respectifs et aux institutions

concernees.

21. Malheureusement il n'a toujours pas ete possible d1aider les Etats membres francophones dans le cadre du NACP etant dpnne que les efforts deployee-en vue d'objenir les fonds necessaires et d'identifier un candidat francophone approprie a.

ce poste n'ont pas encore abouti.

STATISTIQUES DES PRIX

22. Les; activites de mise au point d'un systeme coordonne de statistiques des prix en Afrique au niveau notamment des producteurs, de la vente en gros et des exporia- tions avancent en collaboration avec le Bureau de-statistique des Nations Unies.

Les elements utilises pour ces activites sont les donnees sur les prix" fournies par les pays africains ainsi que les informations plus detaillees sur certains produits de base.

23- Des copies du Programme africain revise en matiere de statistiques des prix qui contenait des suggestions en ce qui concerne les priorites ont ete envoyees a, tous les pays africains en mai 1982. Ce document avait ete adopte par la deuxieme : session de la Conference commune des planificateurs, statisticiens et demographes afriaains en mars 1982 et par la suite, par la Conference des ministres de la CEA

a sa huitieme reunion a Tripoli (jamahiriya-arabe libyenne) en avril 1982 pour

execution. Une enquete a ensuite ete effectuee sur les progres realises en matiere de developpement des statistiques des prix compte tenu des priorites suggerees dans le Programme africain revise. Au moment de la redaction du present rapport les pays suivants avaient deja envoye les reponses: Algerie, Benin, Botswana, Congo, Cote- d'lvoire, Bgypte, Ethiopie, Guinee equatoriale, Haute-Volta, Kenya, Lesotho, Malai#t, Maurice, Republique-centrafricaine, Republique-Unie du Cemeroun, Rwanda, Senegal,

Swaziland, Tchad et Togo. Les reposnes indiquent q.ue tous les pays ci-dessus

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enumeres a. 1'exception d'un seul compilent un ou plusieurs indices des prix.

24• II convient de rappeler qu'un groupe de travail sur les statistiques des prix s'est reuni en juin 1979 a Addis-Abeba. II etait prevu d1organiser en octobre 1983, une reunion de suivi pour examiner les progres realises dans 1*execution du programme de travail pour le developpement des statistiques des prix formule par le premier groupe de travail, discuter de son utilite et etudier par ailleurs les mesures neces- saires en vue de realiser ses objectifs fondamentaux. Cette reunion n'a pas pu se tenir parce qu'on n'a pas reussi a trouver les fonds de sources exterieures necessaires a,

son organisation. L'Office statistique des Communautes europeennes a heureusement accep- te de se pencher sur quelques- unes des questions inscrites a l'ordre du jour provi- soire de cette reunion au cours de la reunion sur le Projet de comparaison intemationa- le-Afrique IV qui s'est tenue a Addis-Abeba tout juste avant la presente reunion.

250 S'agissant du Projet de comparaison internationale, il conviendrait de noter que le

projet se trouve maintenant dans sa quatrieme phase (i979-i984) et que l'Office

statistiquo des Communautes europeennes en est 1'agent de coordination. Pendant ce quatrieme cycle de comparaisons l'objectif du Projet de comparaison internationale a ete d'elargir sa couverture a environ 70 pays mais avec des elements de comparaison reduits par rapport aux trois premieres phases. Quinze pays africains a savoir le:

Botswana, la CQte d'lvoire, l'Ethiopie, le Kenya, Madagascar, le Malawi, le Mali, le Maroc, le Nigeria,- la Republique-Unie de Tanzanie, la Republique-Unie du Cameroun, le

Senegal, le Swaziland, la Tunisie et la Zambie participent a la phase actuelle alors qu'il nfy avait aucun pays africain sur les dix pays ayant participe a la phase I, qu'il n'y avait que le Kenya parmi les 16 pays de la phase II et le Kenya, le Malawi et la Zambie parmi les 34 pays de la phase III. L'Office statistique des Comnunautes europeennes preconise pour la phase V lfextension du projet a tous les pays africains.

A sa vingt-deuxieme session du 2 au 16 mars 1983, la Commission de statistique de l'ONU a accorde une tres haute priorite au Projet de comparaison internationale et a reeommande d'accorder 1'attention a. l'achevement des comparaisons do la phase IV et a la preparation de la phase V.

26. II conviendrait d'ajouter que le secretariat de la CEA s'emploie a coord:onner plus

etroitement le Projet de comparaison internationale et les efforts que deploient d'une maniere generale les pays africains pour developper les statistiques des prix, no-

■'"a7r;.'?"'i le noiiveau ..projet de programme interinstitutions. La separation actuelle des deux projets est prejudiciable a tous les aspects du developpement des statistiques des prix dans la region et I1extension envisagee du Projet dc comparaison internationale a d'autres pays africains au cours de la prochaine phase risque d'aggraver la situation.

L'ideal serait que le cadre methodologique et les besoins de donnees du Projet de comparaison internationale soient determines de telle sorte qu'ils tiennent compte a, la fois des besoins du programme mondial ct des efforts regionaux.

STATISTIQUES INDUSTRIELLES

27• Au cours des deux dernieres annees, on a poursuivi les travaux sur la mise au point d'une base de donnees comprenant des fichiers sur les statistiques industrielles generales, la production des produits de base, les indices de la production industrielle et les statistiques de l'energie. Diverses sources ont ete utilisees notammeht les publications nationales et internationales, toutefois, il existe encore de graves lacu- nes dans les series statistiques industrielles generales dont dispose la CEA.

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TRANSPORTS ET

28. Comme-on l'avait mentionne lors .do, la reunion precedente du Ccmxte, le Bureau

• de BtatStique des Nations Unies est 1'organe responsable do la^collecte des donnees indStrielles en provenance' de tous les pays du monde. La CEA doxt pour sa part foTr dans ce domaine un role d'appui aux pays eJrlcains en vexllant a oe ^_des donnees fiables, a" iour et pe,rtinentes soient envoyees regulxeroment par les Etats

metres a ce point Sral-ie' ■collecte car Cest do oo dernier qua des capies tee,

SS sont envoyees a, la.CEA poUr qu'elle lee inclut to Bes-pWpres fxchxers.

le probleme ne semble pas resider uniquement dans les-lacunes-en

ss ;s:

duS?pement industriel en Afrique d'une maniere generale et dans chajufe pays Sricaih en particulier constitue une option fondamentale dans ■ la gamine tofaXe dos

iiiiiiliiiliir

lees et plus a jour. _. . - ,

ces dernieres annees cru'un tres petit nombre de pays.

' MISE mi OEOffRE .DU PROGRAMME MONDIAL DE .STATISTIQUES ITOUSTSISLLES,. 1983

ctivito de suivi d-un stage similaire organise a

do reconSemcnt. »* ''*^Q^ GuinS (!uin6e-BiS8au, Madagascar,

U| du l

Tchad, Togo et Z^re.

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31. S'agissant de la mise en oeuvre du programme au niveau national les informations disponibles au moment de la redaction du present rapport portent sur 1'importance de la participation prevue des pays au programme qui a ete determinee sur la base des

reponses a un questionnaire envoye a tous les pays du monde par le bureau de statistique de l'ONU en 1982. Vingt-cinq pays africains ont fait part de leur intention de parti- ciper au programme. II s'agit des pays suivants: Botswana, Burundi, Cote d'lvoire, Egypte. Gambie, Ghana, Jamahiriya arabe libyenne, Kenya, Lesotho, Liberia, Malawi, Mali, Maroc, Niger, Nigeria, Ouganda, Republique centrafricaine, Republique-Unie du Cameroun,

Sierra Leone, Swaziland^. Tchad, Tunisie, Zaire et Zimbabwe.

STATISTIQUES DU COMMERCE EXTERIEUR

32. Au cours de la periode considered, les statistiques du commerce exterieur ont ete integralement informatisees avec des programmes pour la gestion des donnees ainsi que leur recherche. Toutefois, la mise au point definitive de la base de donnees du

commerce exterieur avec la mise a. jour des informations disponibles au secretariat sur des bandes magnetiques recues de la Section des statistiques du commerce international a Geneve a constitue le principal sujet de preoccupation. II convient toutefois de souligner que le secretariat ne dispose pas d'informations a jour sur les statistiques du commerce exterieur d'un bon nombre de pays de la region malgre les contacts qui ont

ete pris avec ces derniers.

33. L'insuffisance des ressources financieres a emp^che le secretariat d'entreprendre autant de missions qu'il aurait souhaite dans les pays en vue de les aider a inettre a.

jour les statistiques du commerce exterieur et a accrottre la precision de leufs donnees.

Toutefois, le secretariat envisage de realiser en 1984 une etude dans laquelle il

s'efforcera de determiner les raisons des difficultes que rencontren-fc les Etats membres dans le domaine du traitement des statistiques du commerce exterieur et de proposer des

solutions aux probemes qui se posent actuellement.

34. L'etablissement des Statistiques africaines du commerce exterieur { eerie A -

echanges par pays? serio B - echanges par produits et par pays; et serie C - tableaux recapitulatifs)a continue comme par le passe. Le traitement de la serie B-qui doit absolument se faire de fa?on manuelle 1' a ete en collaboration avec le Bureau de statistique des Nations Unies. Les difficultes rencontrees sont liees eseentiellement a l'insuffisance du temps - machine et du materiel informatique, au retard a. 1'impres sion ainsi qu'a l'insuffisance des ressources humaines. A cet egard, on examine tres serieusement la possibility d'abandonner progressivement la publication de la serie B et de laisser au Bureau de statistique des Nations Unies le soin de publier les informa tions qui sont actuellement incluses dans la serie D du Bureau de statistique des

Nations Unies

35. Malgre ces difficultes les activites relatives a la mise en place d'une base de donnees statistiques reginnale ont ete poursuivies. Les fichiers du commerce exterieur des produits de base demeurent les plus volumineux. Les donnees de base de la compta- bilitl nationale sont a. jour pour tous les pays africains mais les donnees de ces dernieres annees comportent une proportion elevee destinations "de la CEA pour les ^ pays n'sriHt pas fourni de donnees nationales officielles. Des fichiers mformatises ont egalement ete etablis pour les statistiques industrielles et les statistiques des

prix.

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TRANSPORTS ET COMMUNICATIONS

36. II convient de rappeler que la Division de la statistique a entrepris deux enquStes en 1979. La premiere devrait permettre de rassembler des donnees sur les modes de transport et de communication pour la periode 1967-1978 tandis que la seconde concernait 1'organisation pour la collecte de statistiques des transports et des communications. Une bonne partie des elements necessaires a l'etablissement de la base de donnees sur les statistiques des transports et des communications ont ete rassemblee a, la suite de ces enqueues mais ces elements ont besoin d'etre

mis a jour.

37. La Division des transports, des communications et du tourisme du secretariat a recemment demande a des consultants de rassembler dans les pays membres des donnees relatives au fonctionnement des services de radiocommunication, de poste et de tele communication et au personnel employe dans ces domaines. La Division de la statisti- que aide au traitement des donnees qui devraient etre publiees tres bientQt.

AUTRES STATISTIQUES ECONOMIQUES

38. Le secretariat"a poursuivi ses activites sur l'etablissement de bases de donnees dans les domaines des statistiques de I1agriculture, du secteur public, des opera tions financieres exterieures et du tourisme. Les travaux sont effectues par ope ration manuelle mais des dispositions sont prises pour informatieor les donnees et dans un certain nombre de cas ce travail d'informatisation a effectivement commence.

Toutefois, pour le moment la priorite est donnee a l'informatisation des series de donnees necessaires a l'etablissement de l'Annuaire statistique pour l'Afrique.

DISPONIBILITE DES STATISTIQUES ECONOMIQUES

39. Si les travaux sur 1'etablissement d'une base de donnees et de fichier informa- tises de statistiques economiques ont ete poursuivis, la disponibilite de donnees actuelles constitue un probleme important. Par disponibilite on entend les donnees obtenues par la CEA'de sources officielles ou semi-offici'elles. Le tableau ci-joint montre par pays au mois de juin 1983 la situation en ce qui concerne l'annee la plus recente pour laquelle on dispose de series statistiques particulieres.

40. En matiere.de la comptabilite nationale, 1981 etait l'annee la plus recente pour laquelle on disposait de donnees officielles. Cbs donnees ne concernaient que 10 pays qui representaient 50 p. 100 du PIB de 1'ensemble des pays africains en develop- pement pour cette annee. Les donnees portaient essentiellement sur le PIB par senre

d'activites economiques, les depenses gubliquec, la-fornation de capital (par type

de biens d'equipement : les donnees n'etaient disponibles sur la formation de capital par type d'acheteurs ou par genre ou type d'activites que dans un certain nombre de cas) et les operations financieres exterieures. Les donnees les plus recentes sur le secteur public etaient celles de 1982 pour neuf pays et encore tous les pays

n'indiquaient pas de classification fonctionnelle et economique des depenses. Les

donnees les plus recentes sur la balance des paiements et les operations financieres exterieures etaient celles de 1981 et Giles concernaient 22 pays et cinq pays respec- tivement. Pour les donnees les plus recentes sur les statistiques industrielles generales elles remoent a 1980 et ne portent que sur deux pays.

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, J?age 11

41. La situation actuelle s'agissant de la disponibilite de donnees officielles ou semi—officielles dans le domaine des statistiques -economiques a la CEA est loin d'etre satisfaisante. Les efforts deployes en vue d'ameliorer la situation en demandant aux pays d'envoyer au secretariat des copies de leurs publications statis tiques n'ont en general pas ete couronnes de succes. Neamnoins il est heureux de constater que certains pays ont envoye regulierement leurs publications a la CEA mais il existe un bon nombre de pays qui ne I1ont pas fait et il semble que la situation globale se soit deterioree au cours de ces dernieres annees.

* . i'

42. Si I1on est conscient de 1'existence au niveau national de certaines lacunes en matiere de publication de donnees derivees telles que la comptabilite nationale et la balance des paiements il existe certainement une masse d'informationsadministratives

telles que le commerce exterieur, les recettes et les depenses publiques, les sous- produits des archives administratives - y compris les donnees relatives a la pro duction et aux prix qui sont facilement ddsponibles et peuvent Stre rassemblees, traitees et publiees sans trop de retard. II est tout a, fait possible que bon nombre de services statistiques dans la region rassemblent et publient ces statisti ques mais pour un certain nombre de pays les donnees en question ne sont pas dispo- nibles a la CEA ou, lorsqu'elles le sont, ne sont pas a jour.

43« Pour les donnees derivees telles que la comptabilite nationale, la situation est quelque peu differente. Le principal .probleme a ce niveau reside dans la dispo nibilite pour des annees de reference de series de donnees de base coherentes et exhaustives telles que les recensements et les enquStes sur 1'agriculture, la popu lation, la production industrielle, pour l'etablissement de la comptabilite. Pour surmonter ces difficultes, on a eu recours a diverses methddes notamment la collecte speoiale de donnees sur I1agriculture, l'industrie, distribution.

44* II en a resulte que la comptabilite nationale.ide eertains pays a ete publiee avec un retard allant jusqu'a cinq ansf ce retard est si important que les statisti ques..:deviennent inutilisables aux fins de planificatidn et de formulation de politi-

45« Compte tenu de la situation les pays doivent tout mettre en oeuvre pour renforcer leurs infrastructures statistiques et etablir des series de donnees de base. Le

Programme concernant la mise en place de services de comptabilite nationale devrait apporter une solution a cet egard etant donne en particulier qu'il vise a assurer que les travaux nationaux en matiere de statistiques economiques soient convenable- ment effectues dans le cadre de programmes^ et oalandriers d1action precis qui refletent les besoins des pays. Toutefois, comme on l'a deja dit, le succes du programme dependra dans une large mesure de l'appui de chaque pays au programme de travail et d'une action suivie en ce qui concerne son execution.

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46. On ne saurait trop mettre I1accent sur le fait que l'etablissement et l'entre- tien,d'une base de donnees regionales exhaustives et a jour au secretariat de la CEA depend dans une large mesure de l'appui des Etats membres que le systeme est cense servir. II est par consequent-primordial que les services statistiques de la region

~s*efforcent de mettre a jour leurs publications statistiques et d'en tmvoyer copies regulierement au chef de la Division de la statistique de la CEA. Les publications peuvent §tre envoyees par la poste, de preference par avion ou par les bons offices des Representants residents du Programme des Nations Unies pour le developpement respectifs.

47. En depit des difficult e"s, une amelioration du systeme statistique fait partie integrante du developpement economique et social d'un pays. Bien qu'on soit conscient des problemes que pose lfinsuffisance des ressources financieres et humaines dispo- nibles pour ameliorer les services statistiques, il convient de noter que ceux de la region peuvent, avec les ressources dont ils disposent et grace a une meilleure gestion, apporter a leurs activites des ameliorations vraiment necessaires. Si par exemple des dispositions budgetaires speciales ne sont pas prises, la realisation de recensements peut epuiser les ressources limitees disponibles pour les activitgs -statisikiques au detriment de la neeessite pressante que. constitue l'etablissement

de statistiques economiques actuelles. Mais le cotlt de la collecte, du traitement et de la diffusion de statistiques economiques telles que le commerce exterieur, les indices des prix et les indices de production si primordiaux pour la determina tion de Involution des prix a. court terme, les statistiques sur les transports et les communications est faible par rapport a celui des operations de recensement.-

Des enquStes par sondange modernes et convenablement elabores peuvent produire d'aussi bonscinon de meilleurs resulats sans beaucoup de retard et a un cout considerablement plus faible qu'une enumeration complete par le biais de recensement.

48. L& VOlontl des pays et le choix d'un ordre de priorite appropriee constituent

les conditions primordiales a I1amelioration des statistiques en general et des statistiques economiques en particulier. Une fois 1'engagement prie et les priori- tes determinees, les lacunes techniques peuvent §tre identifiees et comblees. A cet e^ard, les pays devraient tirer parti des programmes elabores par la CEA pour leur permettre d'ameliorer leurs statistiques de base. L'un de ces programmes est le Programme africain concernant la mise en place de dispositifs d'enqu^te sur les menages destine a rassembler des informations a jour sur divers sujets socio-econo- miques. Un autre est le Programme concernant la mise ne place de services de

comptabilite nationale, mecanisme destine a ameliorer les donnees de base sur les statistiques economiques generales notamment sur l'industrie, I1agriculture, les transports et les communications, la distribution, les prix et a creer des services permanents pour l'etablissement de la oomptabilite nationale dans les pays de la

region,

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ANNEXE

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(15)

Anneelaplusrecentepourlaquelleondisposededonneesofficiellesouserai-officielles alafindejuin1983 Comptabilitenationale Produitinterieurbrut_ Qripineindustrielle Depenses Financespubliques AdministrationcentraleBalancedec RecettesDepensespaiementsCommerceexterieur Ixporta•Importa.

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1975 1979 1976 1975 1930

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1976

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1981 1979 1977 1978 1982 197S 1980 1973 1982 1979 1973 1979 1979 1982 1982 1982 1979 1979 1982 1982

1974

1982

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1982

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1981 1981

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(16)

Annee la plus recente pour laquelle on dipose

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a la fin de juin 1983 f —I

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(17)

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fin de juin 1963

AFRIQUEBUNORD Algerie Egypte Itferoc Jamahiriyaarabe libyenne Soudan• Tunisie AFRIQUEDEL'OUEST Benin Cap'Vert Ganibie Ghana Guinee GuineeBissau C8ted'lvoire Liberia Mali Mauritanie Niger Nigeria Senegal SierraLeone Togo HauteVolta,

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