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1. Remarquons d'abord que si M = Ω , le produit scalaire de la deuxième condition est nul pour tout point M

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Texte intégral

(1)

Exercice 1.

PARTIE I

1. Remarquons d'abord que si M = Ω , le produit scalaire de la deuxième condition est nul pour tout point M

0

. Dans ce cas, il n'existe aucun point vériant les conditions.

Lorsque M 6= Ω , le vecteur −−→

OM est non nul, la condition d'alignement se traduit par l'existence d'un réel λ tel que − −− →

OM

0

= λ −−→

OM . La deuxième condition est réalisée si et seulement si

λ = R 2 k −−→

OM k 2 Il existe donc un unique point M

0

dans ce cas.

2. La question précédente montre que les relations proposées dénissent une application Φ de P \ {Ω} dans lui même. De plus dans cette dénition, les points M et M

0

jouent des rôles symétriques. On en déduit que

Φ ◦ Φ = Id

P\{Ω}

Cette relation montre que Φ est bijective et égale à sa bijection réciproque.

3. Avec les dénitions, il est bien clair que l'image d'un cercle de centre Ω et de rayon r est un cercle de centre Ω et de rayon

Rr2

.

4. L'image d'une droite passant par Ω et privée de Ω est elle même.

5. Comme les points sont alignés, il existe un λ réel tel que z

0

−z Ω = λ(z−z Ω ) . Le produit scalaire donne alors :

( −−→

OM / − −− →

OM

0

) = Re (z − z )λ(z − z ) = λ|z − z | 2

⇒ z

0

= z Ω + R 2

|z − z Ω | 2 = z Ω + R 2 z − z Ω

PARTIE II

1. a. Comme l'axe de Ω est 1 , z = 1 si et seulement si e

= 1 . L'ensemble A cherché est donc R − 2π Z.

b. D'après la question 5. l'axe de Φ(M (θ)) est

1 + 1

1 + e

−iθ

2 − 1

= 1 + 2

e

−iθ

− 1 = e

−iθ

+ 1

e

−iθ

− 1 = i cotan θ 2

θ Φ(M (θ))

M (θ)

axe i cotan

θ

2

O Ω

Fig. 1: Image du cercle de diamètre [CΩ]

c. Les points M (θ) d'axe 1 2 + 1 2 e

décrivent le cercle de diamètre [Ω, O] . L'image de ce cercle privé de Ω est donc formé par les points dont l'axe a été calculée en b. Cette image est donc l'axe (Oy) . Voir la gure 1.

d. Comme Φ est sa propre bijection réciproque (involution), l'image de l'axe des ordonnées est le cercle de diamètre [Ω, O] privé de Ω .

2. a. On peut former l'équation réduite à partir de celle de l'énoncé.

x 2 2 2 + y 2

( √ 3) 2 = 1

On en déduit que (E) est une ellipse d'axe focal (Ox) car 2 > √

3 . La distance centre-sommet est a = 2 . Le demi petit-axe est b = √

3 . Pour une ellipse, la distance centre-foyer est c = √

a 2 − b 2 = 1 . Les foyers sont donc les points F

0

(2)

de coordonnées (−1, 0) et F de coordonnées (1, 0) . L'excentricité e =

ca

= 1 2 . La distance centre-directrice est

ae

= 4 . On note D la droite d'équation x = 4 avec l'origine du repère en O centre de l'ellipse.

b. Tout point M de (E) est à gauche de D . En utilisant des coordonnées polaires avec l'origine en F (et pas en O ), on a donc

( d(M, F ) = ρ

d(M, D) = 3 − ρ cos θ ⇒ d(M, F ) = ed(M, D) ⇔ 2ρ = 3 − ρ cos θ L'équation polaire de (E) est donc

ρ =

3 2

1 + 1 2 cos θ

c. Dans cette question, Ω est le point F d'axe 1 . L'axe d'un point de la représen- tation paramétrique de la question précédente est 2+e 3

e

l'axe de son image est donc

1

3 (2 + cos θ)e

Soit, en revenant en coordonnées polaires :

ρ = 1

3 (2 + cos θ)

3. Attention, dans cette question, le pôle Ω est en O que n'est pas un foyer de l'hyperbole.

Il est inutile de chercher une représentation polaire avec pôle au foyer. On peut écrire directement que l'équation polaire de (H ) est

ρ = 1

√ sin θ cos θ

Pour obtenir l'image, on inverse ρ et on multiplie par R 2 . L'équation polaire de l'image de (H) est donc

ρ = 2

sin θ cos θ

Exercice 2.

1. a. Pour la symétrie par rapport à (Ox) , chacune des distances à A et B est conservée car A et B sont sur l'axe de symétrie. La courbe (C) est donc conservée. Pour la

symétrie par rapport à (Oy) , les points A et B sont échangés. Lorsque M ∈ (C) les distances sont échangées et le produit est conservé. La courbe (C) est donc conservée.

b. On écrit simplement les distances avec des coordonnées. Comme tout est positif, l'équation devient :

(x − a) 2 + y 2

(x + a) 2 + y 2

= k 4

⇔ x 2 + y 2 + a 2 − 2ax

x 2 + y 2 + a 2 + 2ax

= k 4

⇔ (x 2 + y 2 + a 2 ) 2 − 4a 2 x 2 = k 4 Il ne semble pas utile de développer.

c. Lorsqu'on passe en coordonnées polaires x = ρ cos θ , y = ρ sin θ avec ρ > 0 , l'équation devient

2 + a 2 ) 2 − 4a 2 ρ 2 cos 2 θ = k 4

2. a. On peut former une équation du second degré en R qui redonne (E) lorsque l'on substitue ρ 2 à R .

(R + a 2 ) 2 − 4a 2 R cos θ = k 4 ⇔ R 2 + 2a 2 (1 − 2 cos 2 θ)R + a 4 − k 4 = 0 On met nalement le trinôme sous la forme

(1) R 2 − 2a 2 cos 2θ R + a 4 − k 4 = 0

b. L'équation (1) admet deux solutions strictement positives (éventuellement confon- dues) si et seulement si

le discriminant ∆ est positif ou nul

le produit P des racines est strictement positif (elles sont de même signe) la somme S des racines est strictement positive

Après calcul, on obtient donc un système de trois conditions.

 

 

∆ = 4(k 4 − a 4 sin 2 2θ) ≥ 0 P = a 4 − k 4 > 0 S = 2a 2 cos 2θ > 0

Comme a et k sont strictement positifs, la condition sur le produit donne k < a .

Avec l'hypothèse θ ∈ [0,

π

2 ] , la condition sur la somme devient θ ∈ [0,

π

4 ] . De plus

(3)

sin 2θ ≥ 0 et la condition sur le discriminant devient sin 2θ ≤

ka22

. Finalement, les trois conditions se réduisent donc à deux :

 

  k < a θ ∈

0, 1

2 arcsin k 2 a 2

O A

r

1

r

2

Fig. 2: Cas a = 1 , k = 0.9 . Courbes polaires r 1 et r 2 .

c. Lorsque k < a , les θ pour lesquels le discriminant est positif sont entre 0 et

1

2 arcsin k 2

a 2 . Dans ce cas, le trinôme en R admet deux solutions positives a 2 cos 2 θ + p

k 4 − a 4 sin 2 2θ a 2 cos 2 θ − p

k 4 − a 4 sin 2

La courbe ( ˜ C) est donc le support des deux courbes paramétrées (voir gure 2) :

θ ∈

0, 1

2 arcsin k 2 a 2

:

 

 

r 1 (θ) = q

a 2 cos 2θ + p

k 4 − a 4 sin 2 2θ r 2 (θ) =

q

a 2 cos 2θ − p

k 4 − a 4 sin 2

d. Dans le cas où k > a . Les droites de pente négatives ne coupent pas le quart de plan, elles ne peuvent donc pas couper la courbe. Pour les droites de pente positive on est ramené à l'éyude précédente.

Le produit des deux racines devient négatif, la somme reste positive et le discrimi- nant est positif pour tous les θ . Le trinôme admet toujours deux racines mais une seule est positive. Il existe donc un seul point d'intersection. La courbe complète prend une forme de cacahuète.

3. a. Si k = a , le terme constant dans l'équation cartésienne disparait, on peut simplier par r 2 et il reste (comme r > 0 ) :

r = a p

2 cos(2θ)

Fig. 3: Tracé d'un quart de lemniscate

Cette courbe est appelée lemniscate.

b. Si k = a =

1

2 , la courbe paramétrée s'écrit M (θ) = O + √

cos 2θ − → e

θ

La vitesse se factorise bien :

−→ M

0

(θ) = − sin 2θ

√ cos 2θ

→ e

θ

+ √

cos 2θ − → e

θ+π2

= 1

cos 2θ − sin 2θ − → e

θ

+ cos 2θ − → e

θ+π2

= 1

cos 2θ cos 2θ − → e

θ+π

2

+ sin 2θ − → e

θ+π

2

+

π2

= 1

√ cos 2θ

→ e 3θ+

π

2

Examinons les symétries : M (−θ) est le symétrique de M (θ) par rapport à l'axe Ox et M (θ + Π) est le symétrique de M (θ) par rapport à O .

On se limite donc au premier quart de plan. On doit alors avoir θ compris entre 0 et

π

4 pour assurer la positivité du cos 2θ . La fonction r décroît de 1 à 0 . Les directions des tangentes se tracent facilement avec la formule du dessus. On remarque que la fonction n'est pas dérivable en

π

2 . La vitesse devient innie mais le vecteur unitaire de sa direction tend vers − → e

4

. Le tracé de ce quart de courbe est présenté en

gure 3, il est à compléter par symétrie.

(4)

Fig. 4: Trajectoires de z

0

= 1 + z 2 .

Problème

Partie 1. Nature des trajectoires

1. Si v est la valeur complexe d'une fonction constante solution de l'éqation diérentielle, elle doit vérier

1 + v 2 = 0

On en déduit qu'il existe deux solutions constantes, elles ont pour valeur +i et −i . 2. La restriction à ] −

π

2 , +

π

2 [ de la fonction tan est solution de l'équation (1) .

3. En séparant les parties réelles et imaginaires, on obtient le système

(S)

( x

0

= 1 + x 2 − y 2 y

0

= 2xy

4. On utilise encore les notations x et y de la question précédente.

y 1 + x 2 + y 2

0

= y

0

1 + x 2 + y 2 − 2y(xx

0

+ yy

0

) (1 + x 2 + y 2 ) 2 En multipliant les lignes de (S ) par x et y , on obtient :

xx

0

+ yy

0

= x + x 3 + xy 2 = x(1 + x 2 + y 2 ) ⇒

y 1 + x 2 + y 2

0

= 0

5. Dans la question précédente, on a montré qu'une certaine expression était constante.

Prenons sa valeur en 0 . y(t)

1 + x ( t) + y ( t) = λ

1 + λ 2 ⇔ x 2 (t) −

λ + 1 λ

y(t) + y 2 (t) = −1

⇔ x 2 (t) +

y(t) − 1 2 (λ + 1

λ ) 2

= −1 + 1 4 (λ + 1

λ ) 2 = 1 2 (λ − 1

λ ) 2 On en déduit que la trajectoire est incluse dans le cercle :

coordonnées du centre : 0, 1

2 (λ + 1 λ )

rayon : 1 2

λ − 1 λ

La gure 4 présente le tracé de quelques trajectoires pour des valeurs de λ . Les points d'intersection avec l'axe (Oy) ont pour ordonnées :

1 2

λ + 1

λ

± 1 2

λ − 1

λ

= λ ou 1

λ

(5)

Partie 2. Expressions des solutions.

1. a. Les solutions sont de la forme t → λe

A(t)

où λ ∈ C et A une primitive de t → 2 tan t .

Dans l'intervalle ] −

π

2 ,

π

2 [ , le cos est strictement positif. On peut choisir A(t) = ln(cos(t)) . Les solutions sont donc les fonctions

∀t ∈] − π 2 , π

2 [: t → λ cos 2 t avec λ ∈ C

b. On utilise la méthode de variation des constantes. On cherche une solution par- ticulière sous la forme t → λ(t) cos 2 t . La fonction λ doit vérier

λ

0

(t) cos 2 t = −1

On peut donc choisir λ(t) = − tan t ce qui conduit à la solution particulière t → − tan t cos 2 t = − sin t cos t

Les solutions sont donc les fonctions

∀t ∈] − π 2 , π

2 [: t → − sin t cos t + λ cos 2 t avec λ ∈ C

2. a. Ici z est une solution telle que z(0) = iλ avec λ réel non nul. D'après la question 4. de la première partie, on a (pour tous les t de I ) :

Im(z(t))

1 + |z(t)| 2 = λ 1 + λ 2 6= 0

On en déduit que, pour tous les t dans I , z(t) ∈ / R. En particulier, il ne peut pas être égal à tan t .

On aurait pu aussi raisonner en terme de problème de Cauchy.

b. Notons u(t) =

z(t)−tan

1

t

. On a alors z(t) − tan t =

u(t)

1 et on peut déduire : z

0

(t) = 1 + z 2 (t)

tan

0

t = 1 + tan 2 t ( 1

u )

0

= − u

0

(t) u 2 (t)

 

 

 

 

⇒ z 2 (t) − tan 2 t = − u

0

(t) u 2 (t)

⇒ z(t) + tan t

u(t) = − u

0

(t)

u 2 (t) ⇒ 2 tan t u(t) + 1

u(t) 2 = − u

0

(t) u 2 (t)

⇒ u

0

(t) + 2 tan(t) u(t) = −1 La fonction u vérie donc l'équation diérentielle de la question 1.b.

c. D'après la question précédente et le résultat de la question 1.b, il existe un nombre complexe µ tel que :

∀t ∈ I : 1

z(t) − tan t = µ cos 2 t − sin t cos t En prenant la valeur en 0 , on obtient µ = −

λi

. On en déduit :

z(t) − tan t = 1

λi

cos 2 t − sin t cos t

⇒ z(t) = tan t − 1 + tan 2 t tan t +

λi

=

i

λ

tan t − 1

tan t +

λi

= tan t + λi 1 − iλ tan t 3. Dans cette question z est une solution dénie dans un intervalle I contenant 0 et telle

que z(0) = λ 6= 0 .

a. La fonction t → z(t) − tan t est continue en 0 et elle prend en 0 une valeur non nulle. Par continuité, il existe donc un intervalle J dans lequel elle ne s'annule pas. Ici encore, on aurait pu raisonner en terme de problème de Cauchy. S'il existe un t 0 tel que z(t 0 ) = tan(t 0 ) alors les deux fonctions sont solutions d'une même problème de Cauchy en t 0 elles doivent donc coïncider dans leur domaine ; en particulier en 0 ce qui est contraire à l'hypothèse.

On peut considérer l'inverse dans J de z − tan .

b. Les calculs sont les mêmes qu'en 2.. La fonction indiquée vérie l'équation dié- rentielle de la question 1.b. Il existe un nombre complexe µ tel que

∀t ∈ J : 1

z(t) − tan t = µ cos 2 t − sin t cos t En prenant t = 0 , on obtient que µ = 1

λ

est réel et

z(t) − tan t = 1

1

λ

cos 2 t − sin t cos t

⇒ z(t) = tan t + 1 + tan 2 t

1

λ

− tan t =

1

λ

tan t + 1

1

λ

− tan t = tan t + λ 1 − λ tan t

= tan(t + t 0 ) si t 0 = arctan λ On aurait aussi pu raisonner en séparant les variables, lorsque z est à valeurs réelles

∀t ∈ J : z

0

(t)

1 + z 2 (t) = 1 ⇒ t → arctan(z(t)) − t est constante.

(6)

Partie 3. Projection stéréographique.

1. a. Le seul point de la sphère pour lequel γ = 1 est le pôle nord N qui est exclu. En revanche α = β = 0 est aussi possible pour le pôle sud de coordonnées (0, 0, −1) . Lorsque M 6= N , on peut former une représentation paramétrique de la droite (N M) . Les coordonnées d'un point de cette droite sont de la forme (λα, λβ, 1 + λ(γ − 1)) avec λ réel. Un tel point est sur le plan si et seulement si

1 + λ(γ − 1) = 0 ⇔ λ = 1 1 − γ On en déduit que l'axe du projeté stéréographique est

w = α + iβ 1 − γ De plus, lorsque (α, β) 6= (0, 0) ,

w = w α − iβ

α − iβ = α 2 + β 2

(1 − γ)(α − iβ) = 1 + γ α − iβ car α 2 + β 2 + γ 2 = 1 donc α 2 + β 2 = 1 − γ 2 .

b. D'après la question précédente :

w = α + iβ 1 − γ w = α + iβ

1 − γ

 

 

 

 

w + w = 2α 1 − γ w − w = 2iβ

1 − γ

|w| 2 + 1 = α 2 + β 2

(1 − γ) 2 + 1 = α 2 + β 2 + 1 − 2γ + γ 2

(1 − γ) 2 = 2(1 − γ) (1 − γ) 2 = 2

1 − γ On en déduit :

α = w + w

1 + |w| 2 iβ = w − w

1 + |w| 2 On a aussi

1 − γ = 2

|w| 2 + 1 ⇒ γ = 1 − 2

|w| 2 + 1 = |w| 2 − 1

|w| 2 + 1

c. Il s'agit d'une petite question technique qui servira dans le calcul de la question 4.c. Avec les formules précédentes, on obtient

γ

1 − γ = |w| 2 − 1

|w| 2 + 1

|w| 2 + 1

2 = |w| 2 − 1 2 β

1 − γ = i(w − w)

|w| 2 + 1

|w| 2 + 1

2 = i w − w 2

2. Il s'agit ici d'utiliser les formules du cours permettant de dériver des fonctions formées à partir de produits scalaires. Les deux dérivées sont nulles car − →

Ω ∧ −−−−→

OM (t) est orthogonal à − →

Ω et à −−−−→

OM (t) . d

dt

−−−−→

OM (t)

= ( −−−−→

OM (t)/ −→

M

0

(t))

−−−−→

OM (t)

= 0 d

dt ( − →

Ω / −−−−→

OM (t)) = ( − → Ω / −→

M

0

(t))) = 0

Le caractère constant de t →

−−−−→

OM (t)

montre que M (t) reste sur une sphère centrée en O .

Le caractère constant de t → ( − →

Ω / −−−−→

OM (t)) montre que M (t) reste sur un plan ortho- gonal à − →

Ω .

Le point M (t) reste donc sur un cercle intersection d'une sphère et d'un plan.

3. Dans le repère choisi, seule la dernière coordonnée de − →

Ω est non nulle. On en déduit :

 0 0 k − →

Ω k

 ∧

 X Y Z

 =

−k − → Ω kY k − →

Ω kX 0

 ⇒

 

 

X

0

(t) = −k − → Ω kY (t) Y

0

(t) = k − →

ΩkX(t) Z

0

(t) = 0

4. a. On dérive simplement l'expression de w(t) obtenue en 1.a. en se dispensant d'écrire les (t)

w

0

= α

0

+ iβ

0

1 − γ + α + iβ 1 − γ

| {z }

=w

γ

0

1 − γ = α

0

+ iβ

0

+ wγ

0

1 − γ

b. On obtient la formule annoncée en injectant les expressions des dérivées

 α

0

β

0

γ

0

 =

 p q r

 ∧

 α β γ

dans la formule de la question précédente.

(7)

c. Divisons par 1 − γ l'expression du 1.b. On obtient une expression de w

0

.

w

0

(t) = irw(t) + (q − ip) γ(t)

1 − γ(t) − qw 2 (t) + w(t)(p + iq) β(t) 1 − γ(t)

dans laquelle gurent les quantités calculées en 1.c. En développant, les |w 2 | disparaissent et on obtient

w

0

(t) = irw(t) − 1

2 (q − ip) − qw 2 (t) + 1

2 (q − ip)w 2 = a + bw(t) + cw 2 (t) avec

a = 1

2 (−q + ip) b = ir c = − 1

2 (q + ip) = a

On retrouve l'équation (1) de la tangente pour a = 1 et b = 0 soit p = 0 , q = −2 ,

r = 0 .

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