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L e s C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t l e j o u r n a l . pa

Treizième Année. — N0 83.

P r i x du n u m é r o 10 c e n t i m e s .

&£&»

Jeudi 20 Octobre 1898.

B u r e a u x : R u e de la S e r r e , 5 8 .

ABONNEMENTS

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Suisse . . . . Fr. 0»— Fr. 3»—

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Les annonces se | aient tl'a\aiice.

Or(SIiIiC d e l a Société U i t e r c a n t o n a l e (IeM lndn»trieN «lu J u r a , de» Cliaail>re« d e c o m m e r c e , d e * !Sureaux d e c o n t r ô l e

e t dest S y n d i c a t » | > r o f V » M i o m i e l * .

Nouveau tarif japonais

Nous rappelons q u ' à partir du Ier jan- vier iSgg toutes les marchandises arri- vant dans les ports du Japon sont sou- mises au nouveau tarif, sans qu'il soit tenu compte de l'époque de leur charge- ment. Ce tarif, comme nos lecteurs le savent déjà, est basé sur le tarif géné- ral arrêté par le Parlement japonais et le tarif conventionnel tel qu'il a été éta- bli par les traités de commerce conclus entre le Japon d'un part, l'Angleterre, l'Allemagne, la France et l'Autriche- Hongrie de l'autre. Nous avons mention- né dans un précédent numéro du jour- nal (n" 151 du I o juin 1897) les disposi- tions du tarif qui intéressent la Suisse.

Toutes les marchandises pour lesquel- les l'on prévoit au tarif conventionnel un droit réduit doivent, à teneur d'un arrêté japonais du 27 octobre 1897, être accompagnées de certificats d'origine (voir notre n u m é r o 19 du 22 janvier 1898). Parmi ces marchandises tigurent entre a u t r e s : les locomotives et leurs parties détachées, machines à imprimer, lait condensé et stérilisé, combinaison du b r o m e , chlorhydrate et sulfate de quinine, poudre insecticide, couleurs à l'huile, verre et verreries, cuirs, usten- siles de cuisine, ainsi que d'autres ob- jets en tôle de fer ou d'acier, même émaillés ou décorés, papiers à imprimer et papiers peints, tils et tissus de coton, (ils de laine, tissus de laine pure ou mé- langée, (ils et tissus de lin, soie lilée, satins de soie pure ou mélangée, tissus mélangés de soie dans lesquels le co- ton ou la laine domine en poids, vins, chevaux, vagons de voyageurs, dynamite, lampes et parties détachées de lampes, savons ordinaires, parfumerie, etc.

Les certificats d'origine peuvent être délivrés par les autorités du lieu d'ex- pédition. Il n'est pas nécessaire qu'ils

soient légalisés par un consulat japonais ou toute autre autorité. Aucun formu- laire spécial n'est prévu : l'on exige sim- plement que les certificats soient établis conformément aux prescriptions de l'ar- rêté précité du 27 octobre 1897. Ils doivent contenir, en conséquence : les marques et numéros des colis et la quan- tité des articles y contenus, la désigna- tion des marchandises, le n o m b r e des colis, le n o m de la localité de produc- tion ou de fabrication, celui du lieu et la date de chargement. Comme nous l'avons dit p r é c é d e m m e n t , tout envoi sans certilicat ou accompagné d'un cer- tificat d'origine incomplet est douane d'après le tarif général ; il est fait, tou-

tefois, remise de la différence des droits si l'on présente, durant les six mois qui suivent l'importation, un certilicat bien et dûment établi.

(Feuille off. suisse du commerce).

Le commerce de montres en Chine Le rapport suivant nous est adressé par M. le Dr Paul Ritter, consul général de la Suisse à Yokohama:

Douanes. — Les montres paient en Chine un droit de douane de 5 °/o ad valorem. En général elles arrivenl aux deux ports de Shang- Haï et de Tientsin ; de là elles sont distribuées dans l'intérieur par les marchands natifs qui viennent se pourvoir aux ports mentionnes.

L'importateur européen leur remet d'ordinaire un document appelé « passe ». Ce passe est délivré par la douane et porte que les mar- chandises ont acquitté les droits au port d'en- trée, et que, par conséquent elles ne peuvent être soumises à aucune autre taxation.

Les douanes intérieures sont des entraves au sein développement du commerce. Les autorités douanières des provinces agissent tout à fait arbitrairement clans la perception des impôts et ne semblent avoir pour tarif que le plus ou moins de rapacité des mandarins en charge. De cette manière le droit perçu au port d'entrée, ne représente qu'un simple ac- co m ρ te.

La manière dont les affaires sont trai-

tées.— En Chine, toutes les affaires commer- ciales se traitent par l'intermédiaire d'un em- ployé natif, appelé « compradore ». Il est à la tète du personnel indigène et est responsable de la conduite de celui-ci. 11 a fonction d'in- terprète et d'agent entre le commerçant euro- péen et la clientèle chinoise. En général il fournit une forte caution réelle. Outre son sa- laire, le « compradore » touche une commis- sion, et, ce n'est un secret pour personne qu'en sus de cela, il fait autant de profits pour son propre compte que la maison qui l'emploie;

des personnes compétentes prétendent que bien souvent il réalise deux fois autant que ses patrons.

Jusqu'à ces dernières années, les affaires en horlogerie se traitaient au comptant. Au- jourd'hui les acheteurs exigent trente jours et même deux mois de crédit. Celte échéance à longue date n'est pas sans danger, car la plu- part de ces clients possèdent un petit magasin et sont sans capital aucun. Aussi arrive-t-il que le jour de l'échéance, le magasin est fer- mé et l'individu disparu. De Shang-Haï à Ning-Po, ou a quelque autre ville, il n'y a que quelques heures de bateau et bien habile se- rait qui pourrait retrouver le fugitif dans ces centres populeux.

Genres. — Les genres les plus en vogue en Chine sont les montres en métal et les ar- ticles au meilleur marché: lépine remontoir, échappement à cylindre, Ib' à 18 lignes. Les montres savonnettes argent et savonnettes à guichet même métal, guillochées, 16 à 18"', ancré, à clef, sont le genre le plus demandé.

Le genre ci-devant décrit, mais à remontoir, ne fait encore qu'entrer dans le commerce chinois.

Les pièces dites «Chinoise», bien connues en Suisse, ont perdu beaucoup de leur ancien succès sur ce marché, grâce a la concurrence que se sont faites certaines maisons. Seules quelques marques bien connues depuis nom- bre d'années, se maintiennent aux anciens prix. L'introduction de nouvelle marques sur le marché chinois est extrêmement difficile, car plus que n'importe quel peuple, les Chi- nois sont conservateurs dans leurs idées et dans leurs goûts.

Toutefois, de nouveaux genres de montres ont réussi à franchir ces difficultés et aujour- d'hui on vend aussi la petite montre savon- nette or 14 kt contrôlé, des articles de fantai- sie, tels que montres huit jours ou à quantiè- mes, répétitions chronographe savonnette argent.

(2)

462 LA FEDEKATIOiN H O R L O G E R E SUISSE

Je me permets encore de remarquer que le Chinois exige pour toutes les montres or et argent, double ressort, double glace et des écrins dont le fini doit être en rapport avec la valeur des montres auxquelles ils sont desti- nés.

Importation. — L'importation d'horloge- rie en Chine est encore en majeure partie de provenance suisse. Le commerce des montres en Chine a été pendant longtemps presque exclusivement entre les mains des maisons suisses établies aux ports ouverts. Depuis quelques années cependant, ils ont trouvé des concurrents redoutables dans les maisons al- lemandes établies aux" mêmes ports, qui, en qualité, de commissionnaires, ont ajouté cet article à leur commerce et se contentent d'un bénéfice restreint.

Etat général. — L'étal général des affai- res ici comme ailleurs laisse à désirer et la concurrence est bien plus forte qu'on ne le pense généralement en Suisse. La rareté de l'argent, la chute constante de sa valeur par rapport à l'or, la fluctuation journalière du change, la situation politique de cet empire croulant, sont autant de difficultés contre les- quelles les commerçants européens ont à lut- ter.

Statistique. — Malgré mes démarches, il ne m'a pas été possible d'obtenir d'autres sta- tistiques que celle de Shang-Hai en 1S97. D'a- près ces données sont entrées en Chine par Shang-Hai en 1S97, 32,571 montres, répré- sentant une valeur de 127,051 H. Taëls.

(Feuille ojf. suisse du Comm.).

Enseignement professionnel

Au nombre des principaux objets figurant à l'ordre du jour de la prochaine session dn Grand Conseil neuchàlelois, il faut citer le projet de loi sur l'enseignement professionnel : dont le texte vient d'être distribué à Messieurs les députés.

Voici les principales dispositions de ce pro- jet de loi; dont l'importance n'échappera à

personne :

L'enseignement professionnel est donné dans les écoles organisées par l'Etat, par les communes, ou par l'initiative privée.

L'Etat supporte avec le concours financier de la Confédération les frais des écoles profes- sionnelles cantonales.

11 subventionne les écoles professionnelles communales.

Il n'accorde aucune allocation à l'enseigne- ment professionnel privé.

Des écoles professionnelles ne peuvent être fondées et il n'est possible d'en modifier l'or- ganisation que par décrets du Grand Conseil, s'il s'agit d'établissements canlonanx, et à te- neur d'arrêtés du Conseil Général de com- mune, s'il s'agit des écoles communales.

Chaque décret et chaque arrêté de fondation d'une école professionnelle doit indiquer l'é- tendue de l'enseignement, le nombre des maî- tres et le traitement de chacun d'eux.

Les arrêtés communaux concernant les écoles professionnelles sont soumis à l'appro- bation du Conseil d'Etat.

Les établissements cantonaux actuels d'en- seignement professionnel comprennent:

1° l'Ecole cantonale de viticulture à Auver- nier.

2° l'Ecole cantonale d'agriculture de Cer- nier.

L'enseignement professionnel relève du dé- partement de l'Industrie et de l'Agriculture.

Les écoles de commerce, jusqu'ici ratta- chées à l'enseignement secondaire, sont dès maintenant placées dans la catégorie des éco- les professionnelles.

Les maîtres chargés de l'enseignement pro- fessionnel doivent être porteurs d'un brevet de capacité que le Conseil d'Etat délivre sur titres, ou sur notoriété, ou après examens.

L'Etal paie pour chaque école communale une allocation égale à la subvention fédérale, sous la réserve que l'allocation et la subven- tion réunies ne doivent pas dépasser la somme des traitements des maîtres. Dans ce cas l'Etat ne verserait que l'argent nécessaire pour com- pléter les traitements.

Les communes fournissent les locaux, les soins de propreté, le matériel ainsi que l'éclai- rage et le chauffage à leurs écoles profession- nelles.

Les prestations en nature sont évaluées en argent et l'évaluation est soumise à l'ap- probation du Conseil d'Etat.

Si les communes disposent de subventions spéciales, de dons, de revenus, de produits de travaux ou perçoivent des écolages pour l'en- tretien de leurs écoles professionnelles^ ce qu'elles ont reçu pour cette destination doit être déduit de leurs prestations en nature, et le solde éventuellement disponible serait porté ensuite en diminution des traitements.

Le Conseil général de la commune vote le budget de chaque école professionnelle de la localité.

Le Conseil communal est chargé de deman- der en temps utile au Conseil d'Etat l'appro- bation de ce budget.

Le département de l'Industrie et de l'Agri- culture veille à ce que les budgets approuvés, ainsi que les autres documents nécessaires soient soumis aux autorités fédérales, dans le but d'obtenir les subventions prévues par la loi.

Chaque année le tableau des allocations en faveur de l'enseignement professionnel est présenté au Grand Conseil en même temps que le budget de l'Etat.

Les allocations de l'Etat sont payées par trimestres sur la base des chiffres du tableau sauf pour le dernier versement, qui est fixé d'après les sommes réelles des comptes de l'année.

Le Conseil communal doit établir les comptes au 31 décembre, les certifier exacts et les soumettre au Conseil d'Etal jusqu'au Ί0 janvier suivant.

Au moyen de ces comptes, le Conseil d'Etat détermine le chiffre définitif de l'allocation annuelle et du solde à payer par l'Etat comme versement du quatrième trimestre.

XIXe Rapport annuel de la Société suisse des commerçants

Section de la Chaux-de-Fonds Ce rapport, dont nous publions quel- ques extraits, constate tout d'abord que, malgré Ia marche peu réjouissante de la section au début, une amélioration sen- sible s'est produite, grâce à de nom- breuses admissions.

« 11 est pourtant à déplorer, dit le rapport, l'apathie et l'indifférence de beaucoup de jeunes employés de bureau et de magasin qui feignent ignorer ou repoussent même les avantages et les bienfaits de notre association, la Société suisse des commerçants étant en réalité, une école professionnelle.

« KlIe développe les connaissances de ses membres par des cours de sciences commerciales et par l'acquisition d'ou- vrages de choix appropriés à la vocation, C'est pourquoi nous avons parfois le plaisir d'enregistrer l'amélioration de la position de l'un de nos m e m b r e s , grâce à notre enseignement et à son travail persévrant.

« Pour élever le degré d'inlruslruction des disciples de Mercure, il est désira- ble d'obtenir la fréquentation obligatoire de certains cours pour les jeunes mem- bres ne justifiant pas une instruction suffisante. Chacun reconnaît pertinem- ment que tout commis digne de ce nom doit au moins connaître la comptabilité et deux langues. C'est le minimum de connaissances que l'on cherchera, par l'obligation, à inculquer aux jeunes qui ne le possèdent pas.

«Celle noble tâche serait facilitée par les chefs de maisons qui accorderaient à leurs apprentis, en particulier et aussi à leur personnel, l'autorisation de quitter le bureau à sept heures pour pouvoir fréquenter quelques cours d'une façon régulière et profitable, les absences et les retards se trouvant ainsi réduits de b e a u c o u p . L'emploi du temps serait d'ailleurs, au besoin, juslilié par le pro- fesseur dans un carnet ad hoc.

« Celle utile mesure contribuerait puis- samment à une fréquentation assidue des cours et partant à une plus grande culture professionnelle des employés, dont les patrons bénéficieraient les lotit premiers. »

Les cours d o n n é s sous les auspices de Ia Société ont fourni des résultats assez satisfaisants, puisque les inscrip- tions ont atteint le chiffre de 110.

« Ensuite de l'autorisation accordée par la- direction de l'école de commerce, ceux-ci ont été d o n n é s dans ses locaux et nous avons vu avec plaisir que les bons résultats qu'ont d o n n é s certains cours, sont d u s en grande partie au confort cl à l'installation modèle que nous y avons rencontrés. Nous nous fai- sons un devoir de remercier ici notre Conseil communal, la Commission de l'Ecole et tout parliculièremel son sym- palhyque directeur, M. Souperl. dont le bienveillant appui el les conseils ne nous ont pas fait défaut et espérons qu'ils voudront bien continuer à nous les ac- corder dans la suite.

«Quant à la fréquentation, nous devons reconnaître à regret qu'elle n'a pas été ce qu'elle aurait dû être tout en tenant compte des obstacles auxquels se heur- lent inévitablement les cours d o n n é s le soir, après le travail parfois fatigant d'une journée bien remplie, alors que la tète se livrerait plus volontier su repos, au délassement plutôt qu'à un nouveau travail intellectuel.

« Malgré les conditions défavorables dans lesquelles nous nous trouvons sous ce rapport, nous avons vu, avec un réel plaisir, certains cours suivis avec régu- larité par des membres qui avaient à cœur d'apprendre quelque chose et que ne rebutait pas l'aridité d'une élude aussi ardue. Nous citons en particulier les cours d'anglais supérieur et inférieur, français supérieur et calligraphie, qui mérilenl d'être relevés.

(3)

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 467

« Un l'ail nous a quelque peu surpris.

C'est de voir le cours de comptabilité, qui devrait être un des points princi- paux sur lequel tant de jeunes commer- çants n'ont encore que des idées super- licielles, suivi par un n o m b r e restreint de participants. Il est évident qu'il exige une régularité absolue p o u r obtenir quel- que résultat, mais n o u s croyons que ce cours mériterait une plus grande atten- tion.

« Beaucoup de nos jeunes gens croient q u ' u n e langue étrangère peut s'acquérir par quelques leçons sur les grandes li- gnes et se découragent dès que survien- nent les dillicultés, idiolismes particu- liers à chaque langue, que l'on ne par- vient à vaincre que par des exercices répétés et bien compris. S'ils persévé- raient, ne seraient-ce que deux ou trois ans, alors (pie leur travail quotidien leur laisse plus de temps libre, ils ne tarde- raient pas à se rendre compte des pro- grès encourageants accomplis. Tels plu- sieurs jeunes gens qui sont arrivés par leur zèle et leur assiduité aux leçons à un résultat des plus réjouissants pour nous. »

La société des Jeunes commerçants possède une biblollièque contenant (577 volumes.

Au point de vue financier, la société marche d'une façon normale et les coti-

sations des m e m b r e s passifs aident à boucler le budget.

Disons enlin que l'effectif de la société comprend 7 m e m b r e s honoraires, 100 passifs, 4 correspondants, 43 actifs et 11 externes.

Nous faisons des vœux pour que la marche en avant de cette utile société se poursuive par l'appui sympathique du m o n d e commercial de notre localité.

Correspondance particulière

Breuleux, le 15 octobre 1898.

Monsieur le rédacteur,

Je lis dans voire estimable journal du 13 courant un article reproduit de la Solidarité horlogève «un moyen de relever l'industrie horlogère ». Je ne veux pas m'étendre à dis- cuter les quelques paragraphes que vous re- produisez et qui sont à'une, parfaite inutilité pour atteindre le but proposé. Le mal n'est pas là: malheureusement le voici: je le pro- clamme au risque de froisser quelques sus- ceptibilités du reste peu sensibles en l'état ac- tuel du marché, parce qu'elles concernent des gens qui agissent au détriment du beso- gneux en quête de fonds à tout prix.

La décadence toujours croissante de notre horlogerie et à laquelle on ne prévoit malheu- reusement pas de terme réside en quelques points dont voici en partie la teneur:

a) Surproduction effrénée et non justifiée.

l>) L'offre dépasse d'une moyenne de 40°/o la demande, surtouldans les moments calmes:

de là un déséquilibrement complet du marché.

c) Le mode désastreux, pour ne pas dire plus, du système du terminageà vil prix, qui écrase et anéantit toute fabrication sérieuse et raisonnée.

cl) Système de paiement comptant aux four- nisseurs et de vente à crédit aux acheteurs ce qui paralyse les moyens des fabricants peu fortunés.

e) Fabrication opérée en mains de gens n'ayant aucune connaissance technique, et ce qui est pire, par des gens incapables d'établir un prix de revient exact et complet.

f) Engagements désastreux de fabricants sans capitaux ; pour satisfaire aux besoins du moment, on réalise à tout prix.

g) Vente de montres à mince profit sur place et à l'étranger.

It) Facilités de relations (mal du reste in- destructible) avec l'étranger, par ce moyen le fabricant besogneux se déplace et vend à l'é- tranger, sous l'empire d'une fausse honte, ses produits à perle, pour satisfaire à ses échéan- ces.

J) Banquiers (certains) peu scrupuleux qui prêtent au premier venu, sous bon cautionne- ment, malgré qu'ils savent pertinemment que c'est la caution qui devra payer.

Voilà la plaie, Monsieur le rédacteur, et la solution n'est pas difficile à trouver, reste à savoir si elle peut s'exécuter.

Veuillez agréer, etc. C. B.

C o t e d e l ' a r g e n t du IQ Octobre 1898

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