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Prenons soin

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Texte intégral

(1)

N° 15 - Mai 2006

Prenons soin

de la montagne

MÉTIERS

Gardien de refuge

page 2

gRandEuR naTuRE

La vie dans les alpages

page 3

doSSIER

Découverte des Alpes pages 4 et 5

EnvIRonnEMEnT

Ecotourisme, le tourisme de demain

page 6

s o m m a i r e

pour en savoir plus : www.ecoemballages.fr/juniors

1

Depuis 1992, Eco-Emballages a pour mission de développer la collecte sélective des embal- lages ménagers en France.

C

onnais-tu Laurence de la Ferrière, cette grande exploratrice, la seule femme au monde à avoir traversé l’Antarctique ?

Et bien la voici repartie, pour traverser les Alpes cette fois ! Départ le 9 janvier 2006 pour 3 mois d’escapade et 1500 km à ski.

Pourquoi les Alpes ? ... à ton avis ?

Parce que la montagne est magique, immense, immaculée(1), que l’air y est pur…?

Oui mais voilà, la monta- gne n’est pas si pure que cela. Au contraire, elle est en danger, tout simplement à cause des activités humaines (agriculture, industrie, tourisme...).

En faisant halte sur des points d’observation

installés dans des lieux très isolés ou, au contraire, tout près des villes, Laurence souhaite dresser un bilan

de l’état de la montagne et avertir les hom- mes de ce danger, des gestes à faire ou

à surtout éviter, dans cet espace naturel si fragile.

Eco-Junior a suivi l’expé- dition de Laurence de la

Ferrière, tout comme des milliers d’enfants, à travers Internet ; l’oc- casion de lui consacrer ce numéro ainsi qu’à la montagne (dossier central) :

- gardien de refuge (p2), - la vie dans les alpages (p3), - le tourisme écologique (p6).

*Conseillé pour les élèves du primaire

La ur en ce de la F errière à la rencontre des A

lpe s

Edition spécia le

" La montagne est belle, il faut la préserver "

Laurence de la Ferrière

(1)immaculé = très propre, sans aucune trace.

(2)

Les métiers de l’environnement

Gardien de refuge,

un métier pas comme les autres

Rémi :

"Je voudrais savoir"

2

nicolas, jeune et passionné

A 26 ans, Nicolas dirige son propre refuge à 2 230 m. Passionné d’escalade, Nicolas a saisi l’occasion il y 8 ans et ne regrette rien.

Doué d’une formation de cuisine, il invente, bricole, fabrique son énergie à l’aide de panneaux solaires.

Il aime accueillir les marcheurs, parfois les enfants auxquels il apprend la montagne et les gestes

à pratiquer là-haut.

Refuge du Chardonnet : www.chardonnet.fr

Claude devalle est gardien du refuge de la Bufferre, dans le département des Hautes-alpes, une maison qu’il a construit voilà 16 ans et qu’il tient seul avec sa femme. amoureux de la montagne, il garde le sourire en toute occasion, heureux d’avoir choisi ce métier. a la fin de l’hiver, il a reçu la classe de Rémi.

(1)eaux usées : eaux déjà utilisées (vaisselle, douche, wc...)

(2)ralliement : où tout le monde se retrouve - (3)autonomie : seul, sans aide

(4)conduite : gros tuyau

Rémi :

C’est quoi exactement un refuge ?

Claude Devalle : C’est un établissement qui reçoit du public dans un site isolé en montagne auquel les voitures de pompiers ne peuvent accéder. Il existe 300 refuges en France.

Rémi :

Comment devient-on gardien de refuge ?

C.D. : Par passion de la montagne essentiel- l e m e n t . Po u r ê t re gardien, il faut être d é b r o u i l l a r d , bricoleur, savoir cuisiner, tantôt c o m m u n i q u e r avec les autres, t a n t ô t s a v o i r rester seul. Ici, je m’oc- cupe de transporter les provisions, de l’entre- tien, des installations de chauffage et d’électricité,

d e l ’ a c h e m i n e m e n t de l’eau... je m’occupe des déchets et des eaux usées(1). Je sers également de point de ralliement(2) en cas d’accident dans la montagne.

Rémi :

Justement, comment faites-vous pour l’eau, le

chauffage, les toilettes ? C.D. : Nous fonction- nons en totale autono- mie(3). L’eau arrive du ruis- seau par une conduite(4).

L’ é l e c t r i c i t é e s t produite grâce à la force de l’eau qui frappe sur d e s s o r t e s d e petites cuillères tournant en rond.

L’électricité est captu- rée dans une batterie qui alimente l’éclairage. Le chauffage se fait à partir de bouteilles de gaz et

d’un gros poêle à bois.

Po u r n e p a s p o l l u e r la nature, nous traitons l’eau des douches ou de la vaisselle. Les déchets sont triés puis pressés au maximum afin de prendre le moins de place possible.

Ils sont ensuite redes- cendus par tracteur dans la vallée. Pour les éplu- chures, nous les déposons non loin du chalet, mais pas le temps de tourner les talons que les lièvres, blaireaux et autres renards sont là pour leur repas.

Rémi :

Comment réagissent les gens en venant ici ?

C.D. : Beaucoup appren- nent à s’occuper de leurs déchets, parfois même à les trier. Chacun doit comprendre certains gestes de vie en communauté comme aider à la vaisselle, éteindre les lumières, prendre des douches très courtes, et surtout proté- ger la nature.Quant à nous, gardiens, nous devons offrir un bon accueil, de la nourriture saine, dans une maison propre... D’ailleurs, nous aurons bientôt une charte(5) des gardiens de refuge et nous serons appréciés sur la qualité.

(5)charte : règlement

www.refugebuffere.com

(3)

Chaque année, dans les régions de montagne, les troupeaux de vaches, de moutons ou de chevaux sont amenés pour l’été dans les pâturages d’altitude que l’on appelle des alpages . Là, les bêtes peuvent profiter de l’herbe fraîche et du bon air. C’est la transhumance . Connais-tu tous les bienfaits de la transhumance sur la nature et l’environnement ?

grandeur nature

Gros plan sur…

Une vraie tradition

Depuis des millénaires, la transhumance est une tradition dans les régions de montagne. Les poètes et écrivains provençaux ont souvent raconté la longue marche des troupeaux vers la montagne, les haltes chez les fermiers et les anecdotes(1) du voyage.

Vers le XXème siècle, les fermes se sont modernisées et les bêtes y restaient le plus souvent. Aujourd’hui, la transhumance est à nouveau pratiquée, de manière plus moderne - par exemple, les animaux ne font plus le voyage à pied mais en camion - mais dans

le respect de l’environnement.

Des alpages au secours de la biodiversité

Grâce à la transhumance, les agriculteurs de montagne assurent l’entretien et le maintien des prairies d’altitude. Chaque année, les animaux passent aux mêmes endroits et broutent dans les mêmes prairies : ainsi les buissons et les jeunes arbres ne

peuvent pas envahir les chemins et les prairies où vivent certaines espèces (oiseaux, insectes, mammifères...).

De plus, les animaux laissent leurs déjections(2) sur les pâturages:

c’est une manière naturelle de fertiliser(3) le sol et permettre la croissance de l’herbe.

(1)anecdotes : petites histoires curieuses ou amusantes

(2)déjections : crottes des animaux

(3)fertiliser : nourrir le sol

Responsable de son troupeau, le berger doit surveiller ses bêtes, les faire manger, les soigner, les traire mais aussi entretenir les pelouses naturelles et veiller à la protection des milieux où vivent et se développent la faune et la flore de la montagne. Il doit bien connaître la nature, les techniques de fabrication des fromages...

pour cela il existe des écoles de berger.

Berger de montagne

Des chiens berger

La race de chien de berger qui garde les moutons s’appelle le Patou.

Pour le travail, on utilise le Labrit ou le Border

Collée.

Le savais-tu ?

Dans les alpages, les bovins (vaches), ovins (moutons) ou caprins (chèvres) se régalent d’une herbe abondante et bien grasse. Les bêtes

sont traites sur place et leur lait sert à fabriquer des fromages : reblochons, Cantal, tomes… selon les régions.

Fromages des alpages

3

La transhumance

Lexique

Un berger à

vaches s’appelle un vacher.

La transhumance s’appelle aussi remuage comme

le fait d’aller et de venir.

L’estive est un autre mot pour signifier l’alpage.

Patou des Pyrénées

(4)

4

Expédition en montagne

dossier

4

Tous avec Laurence de la Ferrière, à la découverte des Alpes

Extraits du carnet de voyage de Laurence

Le jour du départ, tout ce monde autour de moi, la presse, les télévisions, j’ai bien du mal à me concentrer !… Plus tard, le nez dans

la neige à régler mes skis, je me sens fébrile et ne réalise pas dans quel voyage je me suis engagée. Déjà, la rencontre avec les Autrichiens est magnifique. Ils aiment la neige et la randonnée et sont très heureux de nous faire partager leurs connaissances.

21 janvier,

douze jours déjà et nous venons de renoncer à un col, à cause du vent et de la neige.

Au refuge, la nuit est rythmée par les ronflements de gars autrichiens.

Je me sens de plus en plus proche de cet univers qui me fait entrer dans une nouvelle histoire.

26 janvier,

bientôt 3 semaines.

Arrivée au refuge, j’apprécie la vie dans toute sa grandeur et sa simplicité. Et, règle d’or, nous laissons chaque fois les lieux dans un état impeccable.

Rémi en

ligne

Qu’est-ce qui te plait à chaque fois que tu retrouves la montagne ?

Le terrain vierge et immaculé(1), l’immensité des grands espaces où tout est possible. Le bonheur de faire une trace éphémère(2) et nouvelle.

Qu’as-tu envie de nous dire à nous les enfants ?

Prenez le temps et la peine de sortir de chez vous pour rentrer en contact avec la faune et la flore. Laissez-vous charmer par le bruit des animaux,

avec

Laurence

L’

expédition s’appelle Alpissima, Laurence de la Ferrière en a pris le départ le 9 janvier 2006 pour 100 jours de traversée à ski. Son objectif, découvrir les Alpes, entre la France et l’Autriche soit 1500 km, 38 massifs, 15 sommets, 110 cols et 80 000 mètres de dénivelés.

Avec Alpissima, Laurence de la Ferrière rêve de nous faire découvrir son contact privilégié avec la nature. Elle souhaite aussi nous alerter des dangers de l’activité humaine sur la montagne.

Pour cela, Eco-Emballages est partenaire de l’expédition, aidant Laurence à communiquer son expérience et ses conseils.

Tout au long de son périple, elle a choisi des lieux où pratiquer des observations et des mesures écologiques afin de dresser une liste d’actions en faveur

de l’environnement.

Qui est Laurence de la Ferrière ?

Laurence a 20 ans lorsqu’elle découvre la haute montagne.

Le Pakistan, la Sibérie, l’Alaska, le Kilimanjaro, l’Everest..., elle effectue des traversées en traîneau, à ski, réalise des records sans oxygène jusqu’à l’Antarctique, en solitaire, du pôle Sud à la Terre d’Adélie en solitaire avec des skis et une voile,

une première mondiale !

(1)immaculé : sans trace

(2)éphémère : qui ne dure pas

(5)

5

Expédition en montagne

Tous avec Laurence de la Ferrière, à la découverte des Alpes

Le jour du départ, tout ce monde autour de moi, la presse, les télévisions, j’ai bien du mal à me concentrer !… Plus tard, le nez dans

la neige à régler mes skis, je me sens fébrile et ne réalise pas dans quel voyage je me suis engagée. Déjà, la rencontre avec les Autrichiens est magnifique. Ils aiment la neige et la randonnée et sont très heureux de nous faire partager leurs connaissances.

29 janvier,

aujourd’hui, j’ai eu des nouvelles de mes amis de Eco- Emballages, je sais quel travail ils fournissent. Nous sommes à l’observatoire de Sonneblink, l’un des plus anciens centres météorologiques européens situé à 3 105 m d’altitude. Des scientifiques responsables de la météo et de l’étude climatique nous y rejoignent.

8 février,

mon premier col à 2 800 m d’altitude, quelle appréhension devant cet univers sauvage fracturé de crevasses, séracs(1) et barrières rocheuses ! Dans notre cabane perchée au-dessus d’un glacier, il fait bon et je me laisse envahir par le plaisir. Nous trouvons là des pâtes et des biscuits secs de nationalité inconnue, de quoi nous constituer un dîner de fête.

Avant l’étape de Saint Peteri, nous devons exécuter de dangereux virages sur une pente raide et gelée, au risque de débouler dans le vide.

(1)sérac : bloc de glace

16 février,

finie l’Autriche, la partie la plus sauvage de l’expédition. Entre l’Italie et la Suisse, le ski devient facile et je me sens un peu en vacances.

Dans quelques jours, je vais retrouver mes filles Céline et Charlotte à Saint Moritz.

Et après, la suite de mon périple avec sans doute des peurs, des doutes et des difficultés mais toujours la même joie de découvrir tant de beauté et d’aider les hommes à la protéger, quelle belle mission!

la couleur d’une feuille, d’une fleur.

Quittez vos ordinateurs pour vous retrouver ensemble, entre amis, en famille, en pleine nature et évitez de laisser des traces de votre passage.

Raconte -nous des anecdotes et des histoires

Je pourrais vous parler du chamois que l’on a failli percuter en pleine descente, des auberges sans savon, des refuges qu’il faut déneiger pendant des heures avant d’y entrer, d’une calèche à cheval sortie de nulle part ou de ce coq de

Bruyère qui est sorti de la neige juste sous mon bâton, dérangé dans son hibernation.

Au fait, que manges-tu là-haut ?

Lorsque je ne peux pas descendre dans les villages, je dois porter mon sac à dos avec mon sac de couchage, un réchaud et quelques aliments lyophilisés (desséchés), c’est-à-dire 15 kg.

Retrouve le carnet de Laurence sur le site

www.ecoemballages.fr/juniors rubrique

Infos "environnement”, page ”Reportages”

Laurence en direct sur Internet

Crédits photos Alpissima : Benjamin Gaimard Yannick Flügi Jacques Fouques

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Environnement

6

Il y a tourisme et tourisme

Un tourisme ami de l’environnement

Beurk, si c’est ça la nature !

Sais-tu que les mauvaises habitudes des touristes sont dangereuses pour

l’environnement ?

Une nouvelle forme de tourisme est née, le tourisme de demain. On l’appelle écotourisme, tourisme solidaire, tourisme vert ou durable…, il est le moyen de respecter l’environnement

et ses richesses pour l’avenir, la biodiversité animale et végétale, le bien-être des peuples, le développement

de l’économie.

L’écotourisme est une bonne solution pour aider les pays en voie de développement, là où la nature est encore sauvage et où les traditions sont très fortes. La-bas, l’argent des touristes permet aux habitants de travailler, de vivre mieux, de se soigner, d’envoyer leurs enfants à l’école.

Mais l’écotourisme peut se pratiquer

partout, par exemple à la montagne qui est fragile et si riche en biodiversité. Si l’on veut la protéger et l’aider à se développer, les touristes sont les bienvenus pour visiter, se promener, acheter des fromages

et tous les bons produits fabriqués sur place.

des guides ont créé la charte de l’écotourisme équestre d’altitude qui consiste à élever des chevaux en bonne santé, soignés et nourris correctement,

louer du bon matériel et assurer la sécurité des touristes qui pourront découvrir la région à cheval et dans les meilleures conditions, dormir dans les gîtes, acheter des produits locaux, de l’artisanat...

"Il suffit d’une bonne paire de chaussures, une veste chaude, un sac à dos pour découvrir ce milieu

naturel dans le plus grand respect de l’environnement"

Laurence de la Ferrière

(voir dossier p4 et 5)

Dans les Pyrénées

Ecotourisme, le tourisme de demain

Quel tourisme ?

Ecotourisme sans frontières Waou ! Que c’est beau la montagne !!

(7)

7

Bloc-notes

Top départ

pour les Recyclades

Ce jour-là, à la mairie de Caluire et Cuire, les discussions vont bon train, Jérôme et tous les autres conseillers du Conseil Municipal des enfants aboutissent aux résolutions (décisions) finales de la Commission Environnement:

Des poubelles bleues seront disposées dans la ville pour recevoir uniquement les feuilles de papier ni froissées, ni pliées, pour les recycler en un papier

de haute qualité ;

Des parkings à vélos ou trottinettes seront installés dans les écoles afin d’éviter la pollution des voitures ;

Enfin, les enfants du Conseil souhaitent attirer l’attention de leurs camarades aux gestes pour économiser

l’énergie (eau, chauffage, électricité, essence…).

Une belle affaire à suivre !

CHIFFRES

Recyclage des emballages alu

Bonne nouvelle, depuis janvier 2006, la France recycle plus de 3000 tonnes d’emballages en aluminium par an (canettes de boisson, conserves en alu, barquettes...) : suffisamment pour les recycler et en faire directement d’autres emballages en alu (et non plus les mélanger à d’autres métaux et en faire des pièces automobiles).

A la Page Le B-A-BA

des BA

Un dico simple comme bonjour où tous les mots sont expliqués pour comprendre les maladies de notre planète et les gestes d’urgence qui peuvent la sauver.

« Dico de l’Ecologie », par Philippe Godard, aux Editions de la Martinière Jeunesse.

Il est 17 h00, Mathilde sort de la mairie de Castanet, près de Toulouse. Elle vient de participer à une réunion du Conseil Municipal des enfants.

Elève de CM2 elle a été élue pour deux ans, par ses camarades, pour faire partie de la commission environnement. Au Conseil, ils sont 13 enfants, bientôt plus. Chacun a prononcé une “profession de foi” avec ses idées et son engagement. Dans son groupe, Mathilde a obtenu notamment de créer un jardin pour les écoliers. Il y pousse des légumes et des plantes mais aussi un arbre africain qui a besoin de très peu d’eau et bientôt de la melissa citronnelle connue pour chasser les moustiques, rapportée dans le cadre d’un échange de jumelage avec l’Italie. Mathilde, elle, veut se battre contre les constructions trop nombreuses qui font

disparaître les espaces verts.

Témoignages Vous êtes de plus en plus nombreux à raconter ce que vous faites pour l’environnement, vos idées, vos actions, en classe, à la maison, dans votre ville. C’est le cas de Mathilde et Jérôme qui eux, participent au Conseil Municipal des enfants de leur ville.

ECO-EMBALLAGES

Les mercredis

de Mathilde et Jérôme

C’est parti !

Pour la troisième année les Recyclades auront lieu du 27 mai au 4 juin 2006 à l’occasion de la Semaine du Développement Durable.

Dans les communes, des animations (jeux, concours, expositions, spectacles...) seront organisées autour du thème

« j’agis pour l’environnement ».

Le défi consiste, cette année, à ce que chacun d’entre nous fasse 3 gestes pour l’environnement :

- Je trie mes emballages

- Je ne jette rien dans la nature

- J’utilise un panier pour faire mes courses

Si tu veux savoir si ta ville participe aux

Recyclades, téléphone à ta mairie ou consulte, dès le mois de mai, le site www.ecoemballages.fr

(8)

Magazine d’information

édité par Eco-Emballages : 44, av. Georges Pompidou

BP 306 - 92 302 Levallois-Perret cedex Rédactrice en chef : I. Scelles Conception et réalisation : Junior City ; Maquette : Ocre Jaune ; Illustrations : E. Laurin, X. Pangaud Classe : GS ❑ CP ❑ CE1 ❑ CE2 ❑ CM1 ❑ CM2 ❑ Autres (précisez ) : . . . .

Etablissement : . . . . Nom de l’enseignant : Mlle ❑ Mme ❑ Mr ❑ . . . Prénom : . . . . Adresse : . . . . . . . . Tél. : . . . Email : . . . . Je joins un chèque de 10 à l’ordre de Eco-Emballages pour couvrir les frais d’envoi.

J’adresse ce bulletin rempli et le chèque à : Junior City / Eco-Junior - 3, allée du Moulin Berger - 69130 Ecully.

Notre classe souhaite s'abonner à Eco-Junior*pour l’année scolaire 2006-2007

* l’abonnement donne droit durant l’année scolaire 2006/2007 à 3 numéros par an (septembre, janvier, mai) et 30 exemplaires de chaque numéro.

Imprimé su

r papier recyc. Cdits photos : Eco-Emballages - Claude Devalle - Jean-Paul Falguières (photos pages 3 et 6)

Edition spécia le

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