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Academic year: 2022

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BILAN ANNUEL

des

C orrespondants O bservateurs du D épartement S anté des

F orêts – Pôle Sud Est -

Année 2019

Département :

Aveyron

Résumé :

- Poursuite de l’augmentation de la moyenne des températures

- Été de nouveau très chaud et sec

- Arrivée de la chalarose du frêne détectée sur 3 sites

- Recrudescence des attaques de

scolytes sur épicéa

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1 - Le Bilan Météorologique :

1.1. – Le bilan par saison :

Hiver

L’hiver 2019 se caractérise par un mois de février exceptionnellement ensoleillé, le plus lumineux depuis 30 ans. Les précipitations sont faibles en décembre (sauf sur l’Aubrac où elles atteignent 2 fois la normale) et février, abondantes en janvier (120 à 150 mm). Températures moyennes supérieures aux normales en décembre et février et inférieures aux normales en janvier. Vent dépassant 100 km/h à Millau le 27 janvier et le 10 février.

Printemps

L’ensoleillement reste excédentaire en mars (15 à 30%) avant de devenir déficitaire en avril (10 à 15%) et proche des normales en mai. A l’exception de l’Aubrac, les précipitations sont très largement déficitaires (20 à 50%) au début du printemps avant de se rapprocher ou dépasser les normales en avril (de 30 à 40 % sur le Ségala et l’extrême sud du département) ou mai (18 j de pluie à Rodez). Les températures, d’abord supérieures aux normales en mars deviennent inférieures de 1,5°C en mai qui est le 3ème ou 4ème mois de mai le plus frais depuis 30 ans. Les gelées sont fréquentes en avril (14 nuits de gel à Laissac contre 5 en moyenne). Des gelées tardives sont observées fin avril et début mai (-2,7°C à Rodez le 6 mai). Des vents forts sont observés en mars (le 6 : vent sud-est atteignant 112 km/h à Millau et 113 km/h à Alpuech) et en avril qui est un mois très venté (10 j consécutifs de fort vent d’autan du 15 au 24, 117 km/h à Alpuech en fin de mois).

Eté

L’ensoleillement est largement excédentaire en juin (300 h à Millau), juillet (353 h à Millau) et août. Après un début juin bien frais (1°C à Laguiole le 12 juin), la chaleur a dominé tout au long des trois mois d'été (juin- juillet-août) avec un épisode caniculaire fin juin (38,5 °C à Rodez et 42°C à Entraygues le 27). L'écart à la normale de la température moyenne est important en particulier en juillet (top 5 des mois de juillet les plus chauds). A Millau, l’été 2019 est le plus chaud après 2003. Côté précipitations, la sécheresse est particulièrement marquée en juin (déficit de 50 %, seulement 30 mm à Laguiole soit 3 fois moins que la normale). Encore déficitaires en juillet, les précipitations, essentiellement orageuses, sont fortement contrastées en août, entre la moitié (centre, sud) et le double (vallée du Lot, Aubrac) d’un cumul normal. De fortes rafales sont observées sous orage (129 km/h à St Côme le 10 août).

Automne

Automne météorologique très contrasté : chaud et très sec jusqu'à la mi-octobre, puis frais et très arrosé par la suite. L’ensoleillement, d’abord excédentaire en début de saison, devient très déficitaire en novembre (déficit proche de 50 %, seulement 60 h à Rodez). Un épisode pluvieux est observé du 22 au 23 octobre (114 mm à Rodez et 180 mm à Millau). Avec 20 à 25 jours de pluies significatives, les cumuls mensuels de novembre sont partout supérieurs à 100 mm et dépassent 300 mm sur l’Aubrac. Les températures moyennes sont estivales et nettement plus élevées que la normale en septembre avec encore de fortes chaleurs (35°C à Entraygues dans la période du 13 au 17). Elles restent excédentaires en octobre et proches des normales en novembre. Aucune gelée précoce n’est observée. Vents tempétueux observés en novembre (118 km/h à Millau le 3 et le 22).

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1.2. – Les faits marquants :

- Été très ensoleillé et chaud avec un épisode caniculaire fin juin et des précipitations déficitaires sauf en août sur le Nord-Aveyron à la faveur des orages ;

- Conditions estivales se poursuivant en septembre et jusqu’à la mi-octobre ;

- Déficit hydrique en décembre (sauf Aubrac) et février, se poursuivant en mars (sauf Aubrac) avec un ensoleillement exceptionnel en février ;

- Fraîcheur marquée en mai ; - Novembre très arrosé ;

2 – L’Etat Sylvosanitaire des principales essences forestières :

Rappel de la composition de la Forêt Aveyronnaise

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2.1. – Les feuillus :

Dégâts abiotiques :

Malgré les conditions climatiques estivales, les conséquences visibles de la sécheresse sont limitées, cependant, des déficits foliaires sont toujours constatés. Des jaunissements ou rougissements de feuillage sur châtaignier et chêne pubescent concernant jusqu’à 50 % des tiges sont observés fin août sur des versants exposés de la vallée du Tarn.

Les 3 grands Chênes (sessile, pédonculé, pubescent) :

Une attaque de bombyx disparate a provoqué la défoliation quasi totale d’un peuplement de chêne pubescent à Salvignac-Cajarc sur 100 ha.

Le Châtaignier :

Le Cynips du Châtaignier (Dryocosmus kuriphilus) présent depuis plusieurs années sur l’ensemble du Département, n’a pas généré de signalement particulier cette année qui ne signifie pas la disparition de cet insecte.

De la même manière on continue de constater la présence de problèmes liés au Chancre du Châtaignier causé par un champignon le Cryphonectria parasitica.

Le Hêtre : Pas de signalement particulier.

Autres Feuillus :

Le Dothichiza du peuplier est responsable d’une mortalité importante (80 % des tiges) sur une plantation de I 45-51 située sur une station inadaptée (sol compacté et mal drainé).

Sur I214, une attaque d’agrile du peuplier affecte 20 % des tiges (mortalité de 5%) depuis environ 5 ans.

2.2. – Les résineux :

Dégâts abiotiques :

Des dégâts dus aux vents, chablis et bris de tronc, ont provoqué cette année la destruction de peuplement de douglas, pin sylvestre, pin laricio à St Côme d’Olt et Castelnau-de-Mandailles. Plusieurs peuplements d’épicéas communs et de Sitka ont également été touchés de manière dispersée sur tout le département (Sainte-Geneviève-sur-Argence, Saint-Jean-du-Bruel, Combret, Peux et Couffouleux, Castelnau-Peygarols).

Ces dégâts sont souvent qualifiés de très sévères avec beaucoup de tiges atteintes mais sur des surfaces limitées.

Un seul signalement pour des dégâts de grêle sur un peuplement de pin laricio a été repéré à Combret.

Toutes essences confondues, la sécheresse estivale a eu des conséquences diffuses sur l’ensemble du département. Le sud et l’ouest sont tout de même plus impactés.

Sur les communes de Cornus et de Marcillac-Vallon, des douglas ont présenté des signes liés à la chlorose calcaire.

Le cèdre :

Un peuplement de Cèdre de l’atlas a connu des problèmes de défoliation en 2019 liés à une attaque conjuguée de la Tordeuse du Cèdre et d’un Phomopsis qui n’a pas pu être déterminé malgré l’envoi d’échantillon en laboratoire.

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Le douglas :

• Dégâts d’origine pathologique

Aucune attaque d’origine pathologique n’a été signalée en 2019.

• Dégâts d’origine entomologique.

Les seuls dégâts entomologiques repérés ont été dus à une forte attaque d’Hylobe sur une plantation de 2 ans à Recoules-Previnquières.

Les épicéas :

Les attaques de Typographe continuent à provoquer des mortalités importantes dans des futaies d’épicéas communs, sur le Lévézou et l’Aubrac, ainsi que dans le Sud du département, avec des atteintes variables de 5 à 80 % sur des surfaces de 1 à 10ha. Les dégâts sont nettement en augmentation et engendrent des coupes anticipées. L’action conjuguée du Chalcographe et du Typographe à celle du Dendroctone est responsable de 30% de mortalité sur 10 ha, dans une futaie d’épicéas sitka sur la commune de Montjaux.

Le Dendroctone a provoqué des mortalités dans une futaie d’épicéas de Sitka, sur la commune de Recoulès- Prévinquières (5%).

 Les pins :

• Scolytes

Le sténographe a été détecté dans des tas de grumes destinées au bois énergie. Il a provoqué des dégâts moyens sur les communes de Millau, Verrières et St Beauzély dans des futaies de pins sylvestres, occasionnant 5% de mortalité. Sa présence a également été décelée dans des futaies de pin laricio et de pin noir sur la commune de Saint-Jean-du-Bruel.

Des attaques d’ hylésine sur pin noir et pin laricio sont également à noter sur les communes de Marnhagues- et-Latour ainsi qu’au Viala-du-Tarn avec des sévérités moyennes.

• Processionnaire du pin

Dans des peuplements de pins sylvestres, on notera des défoliations de 60 à 90% à l’est du Causse Noir en limite du Gard sur environ 1000 ha et de moyenne intensité vers Campagnac. Sur le reste du territoire, la présence de cette chenille reste à un niveau faible.

• Autres dégâts entomologiques - Insectes xylophages

Un signalement d’attaque de Pissode du Pin a eu lieu à Castelnau-Peygarols sur une surface limitée qui n’a fait que peu de dégâts.

• Dégâts d’origine pathologique

Sphaeropsis sapinea a affecté 1 à 5% des arbres dans des futaies de pins laricio de Corse, et pins noirs d’Autriche, sur les communes de Cornus et St Sever du Moustier, provoquant des mortalités diffuses.

Une attaque de la maladie des bandes rouges de sévérité moyenne a de nouveau été observée sur la commune de Cornus affectant 60 % des pins laricios de Corse.

Les sapins :

• Dégâts d’origine entomologique

Le Pissode du sapin associé au Curvidenté et au Pityographe, ont continué de s’attaquer à une futaie de sapins de Nordmann sur la commune de Gissac.

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3 - Les Suivis Spécifiques :

3.1. – Les plantations :

Depuis 2007, les correspondants-observateurs du DSF réalisent un suivi des plantations de l’année visant à quantifier et identifier les principaux problèmes occasionnant des mortalités et difficultés de reprise des plants.

En 2019, 18 plantations ont été expertisées en 2 passages : au printemps et à l’automne, 13 situées en forêt privée et 5 en forêts gérées par l’ONF, principalement dans le Lévézou et Palanges, Monts de Lacaune et Centre Aveyron. 9 plantations ont été réalisées avec des plants en racines nues et des plants en godets ont été utilisés pour les 9 autres. Le douglas représente 55 % des plantations.

Essence Nombre

plantations Racines

nues Godets Surface

plantée (ha) Taux de reprise

Douglas 10 3 7 35.6 87 %

Mélèze d’Europe 2 2 0 7.1 88 %

Mélèze hybride 2 2 0 4.3 87 %

Cèdre de l'Atlas 1 0 1 1 99 %

Séquoia toujours vert 1 0 1 1 98 %

Chêne sessile 1 1 0 2 92 %

Chêne rouge 1 1 0 2 52 %

Total 18 9 9 53 87 %

On notera une très bonne reprise dans l’ensemble des plantations, excepté une plantation de chêne rouge d’Amérique, affectée par la sécheresse.

Parmi les 1800 plants observés, 171 sont morts soit 9,5 %, 131 plants en racines nues et 40 plants en godets. 67 plants n’ont pu être retrouvés SOIT 3,7 %. 87% des plants ont réussi leur reprise.

On observe peu de différence de reprise entre plants en godet et plants à racines nues, notamment pour le douglas.

Principales causes de mortalités Cause de

mortalité

Sécheresse Problèmes dus à la

qualité de la plantation Hylobe

% de

mortalité 3,6 % 2,5 % 1,3 %

Problèmes observés sans mortalités Cause de

problème Dégâts de

pathogène Défoliation

partielle Hylobe Problèmes dus à la

qualité de la plantation Abroutissement du gibier

% des plants

affectés 8,6 % 5,9 % 3,5 % 3.2 % 3 %

Des problèmes ont été observés sur 33 % des plants.

Les attaques de champignons, les morsures d’hylobe, des plants mal installés, la consommation par le gibier des pousses terminales sont les principales causes des dommages qui affectent, perturbent ou compromettent l’avenir des plants. La défoliation observée concerne une seule plantation située à Martiel : chêne sessile attaqué à 86 %.

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Conclusion :

46 % des plants sont indemnes de tout problème ;

 Reprise très correcte des plantations ;

 Les plantations de résineux non traitées contre l’hylobe ont bien résisté : 9 plantations non- traitées n’ont connues aucune attaque au cours de cette première année ;

 La sécheresse n’a pas occasionné de mortalités conséquentes ;

 Le taux de mortalité est identique pour les plants en godets et en racines nues.

3.2. – Les défoliateurs précoces :

En 2019, la surveillance des défoliateurs de printemps tels que les tordeuses, bombyx, géométrides ou autres ravageurs n’a détecté aucun dégât important dans les quadrats de notre département.

3.3. – La Processionnaire du Pin :

3.3.1. Les placettes :

Diminution des attaques (défoliation<5%) dans les placettes de Nant, Millau, Rivière sur Tarn, Sylvanès, Murols, Combret, Saint-Affrique et Olemps.

Etat stationnaire (défoliations < 25%) dans les placettes de Entraygues sur Truyère et Estaing.

3.3.2. Les quadrats :

Aucune défoliation n’a été constatée dans les 20 quadras suivis.

3.4. – Les fiches détaillées et les dépérissements :

Une fiche détaillée de dépérissement a été réalisée en forêt communale du Viala du Pas de Jaux dans une futaie adulte de hêtres afin de suivre l’évolution de l’état sanitaire.

Une seconde a été établie dans un groupement forestier à Montjaux suite à une recrudescence d’attaque de Dendroctone au sein d’une futaie d’Epicéas de Sitka sur 13ha. Une placette temporaire de suivi de la vitesse du dépérissement a même été mise en place.

3.5. – La maladie des bandes rouges :

1 attaque d’intensité moyenne a été notée à Cornus.

3.6. – Le Réseau Douglas Sud-Massif-Central

Depuis les sécheresses de ces dernières années et notamment celle de 2003 les Douglas du Tarn et de l’Aveyron ont étés très impactés. C’est pourquoi on suivi de nombreuses études nous conduisant à mettre en place cette année un réseau d’une 50aine de placettes répartis sur les départements du Sud Massif Central dont l’Aveyron (mais aussi 11, 30, 34, 48 & 81). Les placettes sont distribuées dans des peuplements de tout type de contexte afin de suivre l’évolution sanitaire du Douglas ainsi que les impacts du changement climatiques et les réactions des peuplements.

Les notations de mars-avril 2019 indiquent 85% d’arbres stressés, 2% sont qualifié de dépérissants mais seulement 13% de sains ou résilients. Le déficit foliaire de l’ensemble des arbres s’est un légèrement dégradé en 2019. Sur 300 arbres noté 103 avaient un déficit foliaire inférieur à 35% or en 2018 on en comptait 75 de plus.

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4 - Les Organismes Invasifs :

4.1. – La chalarose :

Pour la première fois, ce champignon a été observé en 2019 sur 3 sites éloignés l’un de l’autre à St Hippolyte, Olemps et Gramond sur de jeunes tiges en bordure de cours d’eau.

Placette Déficit Foliaire 2018-2019 Sain & Résilient Stressé Dépérissant Commune

12-01 -11% 3 16 1 Conques

12-02 0% 6 14 0 Saint-Geniez-d'olt

12-03 -9% 2 18 0 Golinhac

12-04 -10% 1 16 3 Bertholène

12-05 -7% 2 18 0 Pont-de-Salars

12-06 -2% 0 19 1 Vezins-de-Lévézou

12-07 -7% 3 16 1 Quins

12-08 -13% 0 20 0 Salles-Curan

12-09 -13% 0 20 0 Requista

12-10 -2% 4 16 0 Sauclières

12-11 -5% 4 16 0 Pousthomy

12-12 -5% 2 18 0 Saint-Sever-du-Moustier

12-13 -6% 0 20 0 Murasson

12-14 -3% 10 10 0 Camarès

12-15 -11% 2 18 0 Fondamente

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4.2. – La surveillance nématode du pin :

4.2.1. Les prélèvements :

En complément des piégeages de Monochamus, un échantillon de bois d’un pin laricio de Corse d’un peuplement de St Sever du Moustier a été prélevé.

4.2.2. Les piégeages Monochamus :

5 sites de piégeage sur les communes de Millau, Verrières, Roquefort-sur-Soulzon, Sauclières et St Jean du Bruel a permis de capturer de nombreux Monochamus en quelques jours.

4.3. – La pyrale du buis :

La pyrale du buis a poursuivi modérément son extension, ralentie probablement par la sécheresse printanière elle a continué de remonter les vallées telles que la muse ou le Lumensonesque. Elle est également remontée dans les versants des Monts de Lacaune Aveyronnais. Mais son avancée la plus notable est son arrivée sur le Larzac dans les environs de Cornus où elle est arrivée en remontant la Sorgues.

Dans les zones les plus touchées on constate fréquemment des consommations d’écorces. Les buis réagissent par la formation de quelques gourmands peu vigoureux sur les troncs, parfois consommés dès la génération suivante.

Le Causse Noir est encore épargné.

Jusqu’à présent seule une placette de suivi des buis est en place en Aveyron. Cette placette nous permettra de mieux appréhender la réaction des Buis post-attaque.

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Baromètre Sylvo-Sanitaire 2019

Essence Evolution en 2019 Chênes pubescents

Chênes sessiles et pédonculés Châtaigniers

Hêtres Pins sylvestres

Douglas Pins noirs

Epicéas

Noms et coordonnées des CO du département :

Didier DESSEAUX (ONF) 06.21.30.13.41 didier.desseaux@onf.fr

Secteur : Sud

Grégory PHILIPPE (CRPF) 07.87.84.29.50 gregory.philippe@cnpf.fr

Secteur : Centre et Est

Joseph GAGNEUX (DDT) 05.65.73.50.86

joseph.gagneux@aveyron.gouv.fr Secteur : Ouest

Simon SANTIN (ONF) 07.78.35.08.46 simon.santin@onf.fr

Secteur : Nord

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