p 107. dérivées.
n° 68. f(x) = x ex Df = IR
x → x et x → ex sont dérivables sur IR donc leur produit f est dérivable sur IR
(u × v)’= u’× v + u × v’ donc f’(x) = x ex + ex = ex (x + 1) dans Df , f’(x) a le signe de x + 1 n° 69. f(x) = (3x − 2)ex Df = IR
x → 3x − 2 et x → ex sont dérivables sur IR donc leur produit f est dérivable sur IR f’(x) = 3ex + (3x − 2)ex = (3x + 1)ex Dans Df, f’(x) a le signe de 3x + 1
n° 70. f(x) = ex
x Df = IR*
x → ex et x → x sont dérivables sur IR* et x ≠ 0 donc leur quotient f est dérivable sur IR*.
f’(x) = ex(x) - ex
x² = ex(x - 1)
x² Dans Df , f’(x) a le signe de x − 1 n° 71. f(x) = 2ex
ex - 1 Il faut que ex ≠ 1 c’est à dire que x ≠ 0 donc Df = IR*
x → 2ex et x → ex − 1 sont dérivables sur IR* et ex − 1 ≠ 0 donc leur quotient f est dérivable sur IR*.
f’(x) = 2ex(ex - 1) - 2ex(ex)
(ex - 1)² = -2ex
(ex - 1)² dans Df , f’(x) < 0
n° 72. f(x) = ex + 1
ex + 2 Df = IR . (car ∀ x ∈ IR, ex + 2 ≠ 0)
f est le quotient de deux fonctions dérivables et non nulles sur IR donc f est dérivable sur IR f’(x) = ex (ex + 2) - (ex + 1)ex
(ex + 2)² = ex
(ex + 2)² ∀ x ∈ IR, f’(x) > 0 n° 74. f(x) = e1/x il faut que x ≠ 0 donc Df = IR*.
f est la composée de la fonction inverse dérivable sur IR* et de la fonction exp dérivable sur IR donc f est dérivable sur IR* f’(x) = (1/x)’e1/x = (−1/x²) e1/x ∀ x ∈IR*, f’(x) < 0
n° 75. f(x) =
e
x il faut que x ≥ 0 donc Df = [0 ; +∞[x → x n’est pas dérivable en 0 donc f est dérivable sur ]0 ; +∞[
'( ) ( ) ' 1
2 2
x
x x
e
f x x e e
x x
= = =
∀ x ∈ ]0 ; +∞[, f’(x) > 0n° 76.
3 1
( )
1 xf x e
x +=
− il faut que x − 1 ≠ 0 c’est à dire x ≠ 1 donc Df = IR\{1}x → 3x + 1
x - 1 est dérivable sur IR\{1}et exp est dérivable sur IR, donc par composition f est dérivable sur Df .
' 3 1 3 1 3 1
1 1 1
3 1 3( 1) (3 1) 4
'( ) 1 ( 1)² ( 1)²
x x x
x x x
x x x
f x e e e
x x x
+ + +
− − −
+ − − + −
= = =
− − −
∀ x ∈D
f, f’(x) < 0n° 77. f(x) = esinx Df = IR .
composée des fonctions sin et exp dérivables sur IR, f est dérivable sur IR . f’(x) = cosx esinx . f’(x) a le signe de cos x
pour étudier les variations de f, on montrerait que f est périodique de période 2π et on étudierait le signe de cos x sur [0 ; 2π]
n° 78.
On sait que : si f est dérivable en a, pour h proche de 0, f(a + h) ≈ f(a) + hf’(a)
avec f = exp on obtient : pour h proche de 0, ea+h ≈ ea + h ea c’est à dire ea+h ≈ ea (1 + h) avec a = 0 : pour h proche de 0, eh ≈ e0 (1 + h) c’est à dire eh ≈ 1 + h
a. e0,01 ≈ 1 + 0,01 c’est à dire e0,01 ≈ 1,01 b. e−0,01 ≈ 1 − 0,01 c’est à dire e−0,01 ≈ 0,99
c. e1,98−2 = e−0,02 et e−0,02 ≈ 1 − 0,02 c’est à dire e−0,02 ≈ 0,98