• Aucun résultat trouvé

Les surfaces thermodynamiques

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Les surfaces thermodynamiques"

Copied!
5
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00233375

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00233375

Submitted on 1 Jan 1935

HAL is a multi-disciplinary open access

archive for the deposit and dissemination of

sci-entific research documents, whether they are

pub-lished or not. The documents may come from

teaching and research institutions in France or

abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents

scientifiques de niveau recherche, publiés ou non,

émanant des établissements d’enseignement et de

recherche français ou étrangers, des laboratoires

publics ou privés.

Les surfaces thermodynamiques

P. Copel

To cite this version:

(2)

LES SURFACES

THERMODYNAMIQUES

Par P. COPEL

Sommaire. - Cet article qui a pour but d’exposer, dans leur ensemble, les propriétés des surfaces thermodynamiques est conçu comme un prolongement des « Eléments de Thermodynamique » de M. Ch. Fabry, dont l’auteur a adopté les notations.

Remarques

préliminaires

sur un article de

M. Léon Brillouin. - Les

conceptions

très claires et

profondes

que M. Léon Brillouin vient

d’exposer

(Tliermodynamiqtie

et

géométrie

affine - tfournal de

l’hysique,

août

193t))

sont en désaccord

apparent

avec le

point

de vue

qui

sera utilisé par l’auteur. Aussi celui-ci

juge-t-il indispensable

de commencer par faire

justice

de cette

divergences

Considérons une fonction

I = f (l~’,

Y)

de deux varia-bles X et Y. Nous pouvons

représenter

géométrique-ment cette fonction en

portant

sur trois axes de

coor-données

rectangulaires

La

première

relation,

par

exemple, indique

que x,

mesuré avec l’unité e,, est

numériquement

égal

à X,

mesuré avec l’unité choisie pour cette

grandeur.

Souvent il n’existe aucun choix des unités et des échelles

qui

donne à la

représentation

des

propriétés

particulières.

Il en est ainsi dans le

premier

exemple

de NI, Brillouin, où X est une

pression,

Y une

tempé-rature,

Z un volume. Alors le choix des échelles est fixé

uniquement

t par

la commodité de la

représentation.

Au

contraire,

dans le second

exemple (diagramme

météorologique

définissant la

pression

atmosphérique

en fonction des coordonnées

géographiques

X et

Y),

il

est tout

indiqué d’adopter

la même échelle pour Xet

Y. En

effet,

on a par

exemple

tracé cette carte en pre-nant UX vers l’Est et en inscrivant « Est » sur Ox.

Mais on

peut

prendre

pour ClX telle direction que l’on

veut,

et il convient que la forme du

diagramme

ne

dépende

pas de l’orientation arhitraire de Grâce

au choix

adopté

pour les

échelles,

la distance de deux

points

en

projection

horizontale et la

ligne

de

plus

grande pente

ont une

signification

intrinsèque.

Par

analogie

avec

l’exemple

précédent,

nous dirons

qu’un

diagramme

est une carte,

lorsque

la rotation de Ox et

0~

conduit à une

représentation

nouvelle des mêmes

propriétés.

Donnons un

exemple

de ce

point

de vue

généralisé :

considérons la

propagation

dans le

vide,

d’ondes

élec-tromagnétiques planes,

parallèles à

YOZ,

ce

qui signifie

qu une

composante

du

champ,

Hy

par

exemple,

ne

dépend

que de X et de t.

Représentons

par une

sur-face z = e3

Il y

en fonction de x = e, X et t de y = ez t.

Nous pouvons choisir les échelles eL unités de telle sorte que,

après

une rotation de le

diagramme

représente

le même

phénomène,

vu d’un

systèmes

en translation

uniforme,

parallèle

à par

rapport

au

système

S. Il suffit de

prendre

la même unité pour

x,y et À’ et pour ez la valeur

ic,

c étant la vitesse de la lumière dans le

vide,

mesurée avec l’unité

qui

corres-pond

aux unités de

longueur

et de

temps.

Nous aurons ainsi réalisé une « carte » tlu

phénomène (celle

repré-sentation est d’ailleurs dénuée de tout intérêt

pratique,

car elle n’est pas

réelle,

au sens

algébrique).

Nous pensons

exprimer

la

pensée

de ~1. Brillouin en

disant que la

possibilité

de

représenter

le

diagramme

sous forme de carte est liée à l’existence d’une

métrique.

D’une

façon

plus précise,

cette

représentation

est

pos-sible si l’on

peut

choisir les échelles en fonction des unités de telle sorte que dx2

-~--

d y2

ne

change

pas

lors-qu’on change

de

point

de vue pour examiner le même

phénomène.

Dans ces

conditions,

la distance de deux

points

due la

carte, la

projection

horizontale de la

ligne

de

plus

grande pente

du

plan

tangent,

sont

indépendants

de l’orientation des axes de coordonnées et de l’échelle

arbitraire choisie pour Z. Elles

expriment

des

pro-priétés

intrinsèques, indépendantes

du

point

de vue

particulier qui a

fixé Ox et

Oy.

Dans le cas des

diagrammes

proprement dits,

la

dis-tance de deux

points

par

exemple,

n’exprime

aucune

propriété

invariante. Ce n’est pas parce que la distance

des deux

points dépend

des unités et des

échelles,

mais

simplement

parce que la notion d’invariance a

perdu

toute

signification.

En

effet,

pour que l’on

puisse

parler

de

propriétés

intrinsèques

ou

d’invariants,

il

faut que l’on

puisse

modifier le

système

de référence.

cette

expression

étant

prise

dans son sens le

plus

large.

Les

questions

d’unités ou d’échelles

n’ont,

eu

principe,

rien à voir avec

l’invariance,

encore

qu’elles

puissent

intervenir pour

représenter

commodément t de telles

propriétés.

M. Brillouin a fait remarquer, à

juste

titre,

que la

distance de deux

points,

la

ligne

de

plus

grande pente

en un

point

de la surface n’ont pas de

signification

intrinsèque,

à la différence de ce

qui

se passe dans une carte. Mais il ne faudrait pas en déduire que de telles

notions

perdent

forcément tout

intérêt,

au moins

35.

(3)

522

comme intermédiaire dans une étude. Notre

exposé

ne

fera d’ailleurs

intervenir,

de ces deux

notions,

que la

ligne

de

plus

grande pente,

et nous pouvons dès main-tenant

justifier

cet

emploi

en montrant que cet élément

géométrique

intervient dans 1

expression

d’une

pro-priété importante,

indépendante

des échelles choisies. Les variations infiniment

petites

de ~’ et Y

qui

entraînent,

à

partir

d’un

point donné,

une variation d’ordre

supérieur

de Z sont liées par

Si l’on

adopte

la

représentation géométrique

la relation devient

Cette relation

exprime

que le vecteurs

dx,

dy et 0

est

perpendiculaire

à la

ligne de plus

grande pente,

quelles

que soient les échelles choisies.

Introduction

géométrique. -

Soit une surface 1

qui,

rapportée

à un trièdre

trirectangle,

a pour

équa-tion

Posons

L’équation

du

plan

tangent

au

point

est t

Ce

plan

coupe x oz

( Y =

0)

suivant une droite

qui

fait

avec ox un

angle

dont la

tangente

est

~.

De même son intersection avec yoa fait avec oy un

angle

dont la

tan-gente

est -1.

On

peut

d’ailleurs

représenter

la surface 1 par des

lignes

cotées x, y ou z et

projetées

sur les

plans

yoz, ou Ivoy. Il est alors aisé de

représenter

le

plan

tan-gent

par sa

ligne

de

plus grande

pente.

Pour en déduire il faut

distinguer

deux cas :

Il Le

plan

de

projection

est

Alors ( et "(1

sont les

pentes

des droites du

plan

tangent

qui

se

projettent

respectivement

sur ox et Ces

pentes

sont les inverses des intervalles de ces droites

(fig. i).

Fig. 4 .

~~ Le

plan

de

projection

contient oz ; c’est par

exemple

xoz.

Alors 5

est le coefficient

angulaire

de la

tangente

à la courbe cotée

et -r,

est l’intervalle de la droite du

plan

tangent

qui

se

projette

sur o.~

(fig.

2).

Fig. 2.

Fonctions

caractéristiques

en

thermodyna-mique. -

La variation

d’énergie

interne

qui

accom-pagne une modification infiniment

petite

d’un

système,

peut

s’écrire sous les

quatre

formes condensées ci-dessous.

où toutes les

expressions

qui

font intervenir en avant sont des différentielles totales exactes. Ceci montre

que, si l’on connaît

On connaît donc les ùeux variables

primitivement

inconnues du groupe

7’,

S,

1), v si l’on a

l’expression

(4)

~ Surfaces

thermodynamiques. -

Les

quatre

sur-faces

thermodynamiques

sont la

représentation

des

quatre

fonctions

caractéristiques

des deux variables

qui

correspondent

à chacune d’elles. La mesure

de Ë et r,,

suivant la méthode

exposée

dans de l’introduction

géométrique,

donne immédiatement les deux variables

inconnues du groupe

7~ ~’, ~~,

v.

Le tableau

ci-dessous,

chaque

ligne

est relative à

une surface

thermodynamique, indique

les résultats

qui

corr(îsponùent

à

l’emploi

d’échelles arbitraires.

Surfaces

thermodynamiques

des corps purs.

--Nous ferons

l’hypothèse

essentielle que l’état du corps

ne

dépend

que des conditions

actuelles ;

cette

hypo-thèse n’est d’ailleurs vérifiée que d’une

façon

approxi-mative pour l’état solide.

En

outre,

pl’ovisoiren1ent,

nous ne nous occuperons

pas de la forme de la surface au

voisinage

du

point

critique,

nous supposerons que le corps ne

présente

pas de variétés

allotropiques,

et nous ne chercherons pas à

représenter

les états

métastables,

nous réservant

d’esquisser

cette étude dans la

représentation

la

plus

avantageuse.

Dans chacune des

quatre

représentations,

les états du corps sous une seule

phase (solide, liquide

ou

va-peur)

sont

figurés

par une surface

qui

ne

présente

pas

de

propriétés analytiques

particulières.

Les différences essentielles entre les surfaces

ther-modynamiques

résident dans la

représentation

des états

d’équilibre

de deux ou de trois

phases.

On sait que, dans

l’équilibre

de deux

phases,

à une

température

donnée, la

pression

et la fonction CC sont

déterminées et que

l’entropie,

ainsi que les trois

fonc-tions

caractéristiques

autres qne ge sont fonctions li-néaires du volume.

L’équilibre

des trois

phases

(point

t

triple)

se

produit

à une

température

et une

pression

bien déterminées. La valeur de ce est

également

déter-minée. Au

contraire, v

et S varient librement dans un

certain domaine

(intérieur

à un

triangle), J

est une

fonction linéaire de v, 5-’est une fonction linéaire de 6B

tandis que U est une fonction linéaire de v et de S.

Surface S,

v, ~i

(Surface

thermodynamique

de

Gibbs). -

Lorsqu’il

y a deux

phases

en

présence

à

une

température

donnée, S

et U sont des fonctions linéaires du volume v. Donc le

point représentatif

décrit une

droite. et -fi

restent

invariables,

puisqu’ils

sont

proportionnels

à la

température

et à la

pression.

Si ensuite on fait varier la

température,

cette droite

engendre

une surface

développable,

puisque

le

plan

tangent

reste le même tout le

long

d’une

génératrice.

Dans

l’équilibre

des trois

phases, v

et S varient dans

un domaine limité en

projection’

sur xoy par un

triangle

plan.

Comme la

température

et la

pression sont

déterminées,

le

plan tangent

à la surface a une

direc-tion fixe. La surface

représentative

est un

triangle

plan.

La surface

thermodynamique

se compose ainsi de

7

parties :

3 d’entre elles

représentent

les

équilibres

d’une

phase,

3 sont des surfaces

développables

qui

représentent

les

équilibres

des

phases

deux à

deux,

la

septième

est un

triangle plan qui

représente

les

équilibres

des trois

phases (voir

la

figure

dans l’ou-virage

déjà

cité de M.

Fabry).

Tous les raccordements se font sans

changement

t

brusque

du

plan

tangent,

car la

pression

et la

tempé-rature sont des fonctions continues du volume et de

l’entropie.

Surface

S,

p, J. - Etudions

l’équilibre

de deux

phases. Lorsque

la

pression

est

donnée, J

est une

fonc-tion linéaire de

l’entropie

S. Le

point figuratif

décrit donc une droite

parallèle

à xoz. Si la

pression

varie cette droite

engendre

une surface non

développable.

Il

est naturel de

représenter

la surface par les

lignes p =

constante

(isobares)

projetées

sur le

plan

xoz ;

ainsi,

les

portions

d’isobares

qui

représentent

t

l’équilibre

de deux

phases

sont des droites. Le

diagramme plan

ainsi obtenu

(diagramme

de

Mollier)

est utilisé dans l’étude de la machine à vapeur.

Fig. 3.

Le coefficient

angulaire

de la

tangente

en un

point

M

à l’isobare

représente

la

température.

Si iN" est le

pied

de la

perpendiculaire

abaissée de M sur l’isobare

voi-sine,

la

tangente

en M et la

parallèle

à cette droite menée par -1V

découpent

sur ox un

segment

dont la

longueur représente

le volume.

La surface

d’équilibre

des trois

phases dégénère

ici

en une

droite, parallèle

à

Surface

T,

v, 5’. - Cette surface

jouit

de

propriétés

analogues

à celles de la surface

précédente ; l’équilibre

entre deux

phases

est

représenté

par une surface

réglée, engendrée

par une droite

parallèle

au

plan

yoz.

Surface

T,

p, - Les

propriétés

de cette surface

(5)

524

de Gibbs..lux trois’ surfaces

représentant

les états

solide, liquide

et vapeur

correspondent

trois surfaces

S,,

~’z, S3 ;

aux éléments de contact des trois surfaces

développables

représentant

les

équilibres

des

phases

deux à deux

correspondent

les éléments de contact de trois

courbes,

intersections de

SI, S~, S3 ;

au

plan

représentant l’équilibre

des trois

phases

correspond

un

point

(point

triple).

Les trois surfaces

S,,

82,

et

83

ne se raccordent pas

le

long de

leurs

intersections,

puisque

le passage d’une

phase

à l’autre entraîne une variation finie du volume

et de

l’entropie,

sans que la

température

et la

pression

varient. Ces résultats sont

également

évidents dans

une étude directe..

Encore que cette soit

connue depuis longternps,

il ne semble pas

qu’on

lui attribue

l’irrlportaoce qu’elle

mérite,

par la cornnlodité

qu’entralne

sun

emploi.

Si,

dans le cas

simple

où nous nous sommes

placés,

on la compare à la surface de

Gibbs,

on constate que, au

point

de vue du

tracé,

elle ne se compose que de

trois

parties

au lieu de 7.

D’autre

part,

les

avantages

relatifs de cette surface

augmentent

avec la

complexité

du

problème.

Lorsqu’il

existe des variétés

allotropiques,

il y a

simplement

autant de surfaces que de

phases possibles.

Dans la

représentation

de

Gibbs,

il y a, en

plus,

les surfaces

développables qui

correspondent

aux

équilibres

des

phases

deux à

deux,

et les

plans qui correspondent

à leurs

équilibres

trois à trois.

La

représentation

des états métastables est

beaucoup

plus

aisée. La surface «

liquide

surfondu » par

exemple

prolonge

la surface «

liquide

» dans le domaine de sta-bilité du

solide,

sans se raccorder avec la surface « solide ». Au

contraire,

daiis la

représentation

de

Gibbs,

la surface «

liquide

surfondu »

prolonge

la

sur-face cc

liquide »

dans le domaine

d’équilibre

du

liquide

et du

solide,

en se raccordant avec la surface «

liquide

-t-

solide » ce

qui

est un gros inconvénient pour la

représentation

par un modèle ou un

diagramme.

Si,

dans la

représentation

actuelle,

on

porte

son

.attention sur la continuité de l’état

liquide

et de l’état gazeux, on voit

qu’il

va en réalité une surface « fluide »

unique qui

présente,

du

point triple

au

point critique,

une

ligne

de

points

anguleux,

l’angle

des deux nappes

venant

disparaître

au

point

tripte.

On

pourrait,

comme on l’a fait pour la surface de Gibbs,

représenter

la surface

7’,

}1, OC par un modèle

en

plâtre,

pour les corps purs les

plus

importants.

Il

est

pratiquement

plus avantageux

de

représenter

cette

surface par les courbes ~le =

constante,

projetées

sur

le

plan

T,

p. En

effet,

les zones de stabilité des diverses

phases

ont

déjà

été

tracées,

en fonction

de y

et de

l’,

pour nombre de corps. Il suffira de

compléter

les dia-grammes par le tracé des courbes Je ‘ constante.

Rappelons

que, si l’on suit la marche

indiquée

dans l’introduction

géométrique,

on aura immédiatement le volume et

l’entropie.

Des constructions très

simples

donnent d’autres fonctions intéressantes, notamment

l’énergie

utilisable à

pression

et

température

constante

qui

a une

importance

fondamentale dans les

applica-tions industrielles.

Fig. 4. - Calcul

graphique de l’énergie utilisable ax-ec y - 10 hpz T 200-K (point 1U)

1) = 20 h pz o (point M)

Soient 0 et P la

température

et la

pression

rieures,

L’énergie

utilisable est

rr- ~’ -C- l’e - .IO S . - ~~ -~. (p --- ~~~~; _ ~ ~~~ _ /’)S

Il résulte que H

est représenté

par la cote du

point 8~

P du

plan tangent

au

point

T, p

à la surface. On

l’ob-tient immédiatement

par la

construction de la

figure

4,

où la construction de la

ligne

de

pente

du

plan

tangent

a été obtenue par un

procédé

correct de

rabattement,

tandis que le

procédé

utilisé

figure ’2

est

imprécis.

En

résumé,

la surface

thermodynamique

~~~f~,r~~,

figurée

sur le

plan

l’,p

par ses

lignes

cotées Je =

cons-tante

est

particulièrement

avantageuse

pour la

repré-sentation rles

propriétés

thermodynamiques

des corps purs.

Références

Documents relatifs

On coupe les surfaces par le plan vertical qui a pour trace la ligne L des points doubles, on obtient deux coniques S, S' ( * ) qui se coupent en quatre points M, N, O, P situés

Taille d’une coccinelle Diamètre d’une orange Hauteur du Mont blanc Distance Brest - Strasbourg Rayon de la Terre. Rayon de

~ Activité : Faire placer deux points A et B de coordonnées entières, construire le milieu M de [AB] et en lire les coordonnées. Chercher une formule permettant d’obtenir

Pour obtenir le couple le plus général de sur faces applicables telles que la distance de deux points correspondants M< et Ma soit constante, et qu'en outre les droites M<

On désigne sous le nom de surface d'égale pente la surface enveloppe d'une famille de cônes de révo- lution congruents ayant les axes parallèles à une direction fixe et dont les

On sait combien il est commode, pour étu- dier les surfaces gauches, de prendre pour axes la tan- gente, la biiiormale et la normale principale en un point mobile de la ligne

Je sbjppóse tihré 1 lin'ttMIt &&trfc elifcmm. 'Soif M un de ses points. Je substilue à la courbe une ligne brisée inscrite* partant de A et finissant en B, dont je rabats

En effet, tout chemin ApqB ne passant pas par le point M coupe les petits cercles en p et q\ or le plus court chemin de A en p est égal au plus court chemin de A en M (lemme connu),