• Aucun résultat trouvé

On y trouve en outre, de l'acide carbo- nique et de la vapeur d'eau en plus ou moins grande quantité.

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "On y trouve en outre, de l'acide carbo- nique et de la vapeur d'eau en plus ou moins grande quantité. "

Copied!
65
0
0

Texte intégral

(1)
(2)

L'AIR ATMOSPHÉRIQUE' au point de vue de l'hygiène.

Le globe terrestre est entouré de tou-

tes parts d'une couche gazeuse qu'on appelle air atmosphérique ou air am- biant. Cet air est composé essentielle- ment de deux gaz, l'oxygène nécessaire à la vie de tous les êtres qui respirent, animaux ou plantes, et l'azote qui, à lui seul, en forme les quatre-cinquièmes.

On y trouve en outre, de l'acide carbo- nique et de la vapeur d'eau en plus ou moins grande quantité.

L'oxygène, qui est contenu dans l'air dans la proportion d'un cinquième, est nécessaire, disons-nous, .à la respiration

des -plantes et des animaux; or, comme sans respiration il n'y a pas de vie, sans oxygène il ya la mort. Les an{ maux et l'homme aspirent cet oxygène qui, par des transformations chimiques trop lon- gues à expliquer ici, se change, après

avoir revivifié le sang dans les poumons, en acide carbonique, lequel est rejeté

par chaque expiration et tend donc à augmenter sans cesse dans l'air, à me- sure que l'oxygène se détruit. L'air, sans un admirable arrangement (le la nature, deviendrait ainsi bientôt irrespirable, si les plantes n'avaient aussi leur respira- tion, mais inverse de la nôtre, s'assimi- lant l'acide carbonique et le transfor- mant en oxigène. Ainsi l'air conserve toujours sa composition naturelle et normale.

L'acide carbonique est le gaz qui s'é- chappe des cuves de raisin en fermen-

(1) Nous empruntons ces données au livre intéressant et utile du D, Châtelain, intitulé:

('Harmonie de notre être, publié à Neuchâtel.

tation et qui, renfermé , par exemple, dans une cave où il ne trouve pas d'is- sue suffisante, frappe de mort les impru- dents qui y pénètrent avant d'y avoir allumé (lu feu ou brûlé une bougie.

Ce dernier fait est une preuve certaine que l'air de cette cave serait en lui-mè- nie respirable, puise u'il renferme assez d'oxygène pour que le

feu puisse y brû- ler. L'acide carbonique est éminemment expansible, c'est-à-dire, qu'il a une grande tendance à se répandre partout

pour se mêler à l'air atmosphérique; c'est(

lui qui fait sauter le bouchon d'une bouteille de champagne ou de vin ab- sinthé, car en boisson il n'a aucune des propriétés délétères que nous venons de lui assigner pour la respiration. L'acide carbonique est cependant plus pesant que l'air; renfermé dans un local, il s'accumule d'abord sur le sol, et c'est à cause de cela qu'il tue les petits ani- maux, sans faire de mal à l'homme, com- me c'est le cas dans la fameuse grotte du Chien, à Naples. La même chose se

produit dans les caves: ce n'est souvent qu'à l'instant où l'on en atteint le fond, que l'on tombe soudain privé de senti- ment. L'acide carbonique se dégage en général de toute substance en fermenta-

tion ou en décomposition, ainsi dans les fosses de toute nature, dans les puits abandonnés, etc.

Enfin l'air contient toujours en sus- pension une certaine quantité de vapeur d'eau, quantité très-variable suivant la saison, la température et la configura- tion du sol. Cette vapeur est nécessaire;

c'est elle qui empèche l'air, en été sur- tout, d'avoir cette désagréable et nuisi- ble sécheresse de l'air d'une étuve.

Outre ces quatre éléments fondamen-

taux, l'air atmosphérique renferme en-

core très-souvent différents gaz, "'

(3)

quantités et qualités variables suivant les localités. Tel air n'en contient pas du tout, tel autre, en sera infecté au

point de produire les plus graves mala- dies si ce n'est même la mort. Ces gaz sont des miasmes délétères et méphiti-

ques provenant de différentes sources, savoir tantôt de matières animales on végétales en décomposition, comme dans

le voisinage des voiries, des fosses d'ai- sances et des cimetières; tantôt des ma- rais et de tous les endroits où, après un séjour prolongé d'eau stagnante, celle-ci s'évapore et laisse à découvert une quan - tité de détritus végétaux en putréfac-

tion. C'est à cela que sont dues les ter- ribles et grandes épidémies de choléra, de typhus et de dyssenterie qui sont sur- tout fréquentes a la suite d'inondations, et en automne, après que les chaleurs de l'été ont évaporé les eaux stagnantes des pays de plaine.

Aux autres sources d'émanations nui- sibles dans l'air, il faut ajouter celles qui proviennent de notre propre corps et qui, s'accumulant bien vite quand l'air ambiant n'est pas suffisamment renou- velé, deviennent ainsi un véritable poi- son pour ceux qui continuent à le res- pirer. Chacun a pu s'en convaincre à son aise, s'il est entré dans une salle d'école, dans les villages surtout, au mo- ment où les élèves venaient de partir,

après un séjour de trois ou quatre heu- res dans un local souvent bas et pres- que toujours mal aéré. C'est un point sur lequel on ne saurait trop attirer l'at- tention des autorités; il n'est pas du

tout indifférent pour de jeunes êtres en pleine croissance d'être pendant une aussi grande partie de la journée ren- fermés dans une atmosphère pareille- ment viciée. Les plus graves conséquen- ces peuvent en résulter, ainsi que l'ont

prouvé de soigneuses recherches sur ce sujet. Les salles de spectacle et en général tous les lieux de réunion sont dans ce cas. Ajoutons que, quand le local est for-

tement chauffé, ainsi que cela ne se voit que trop souvent dans les salles d'école, le mal est encore plus grand, car la chaleur f-ivorise essentiellement la pro- duction de ces miasmes délétères.

A ce propos, un mot sur les chambres de malades. Le médecin, en y entrant, est fort souvent frappé de la mauvaise

odeur et de l'air corrompu qu'on y res- pire. Un malade a, plus encore qu'une personne bien portante , besoin d'un air pur, et c'est ce qu'on lui accorde gé- néralement trop peu. Les miasmes qui se dégagent naturellement de tout corps vivant sont singulièrement augmentés par la maladie et réagissent d'une ma- nière très-fâcheuse sur le malade lui- même. Il est donc essentiel de l'en dé- barrasser aussitôt qu'ils se dégagent.

S'il est bien couvert dans son lit, et que la chambre soit d'ailleurs suffisam- ment chauffée, si c'est en hiver, on pour- ra sans aucun inconvénient pourvoir à un renouvellement suffisant de l'air.

Nous le disons surtout aux classes pau- vres, car c'est chez elles que l'on ren- contre le plus d'infractions nauséabon- des à ces préceptes. L'air ne coûte rien:

profitez-en donc largement.

Une cheminée, ou même un poêle, dans lesquels on entretient continuelle- ment une bonne flamme, est ce qu'il y a de mieux pour purifier et renouveler l'air d'une chambre de malade; le feu, tout en brûlant les miasmes et l'air vi- cié , entretient un courant insensible qui renouvelle sans cesse l'air de l'ap- partement.

Enfin, l'air que nous respirons est

souvent chargé de particules en suspen-

(4)

ý

sion, de poussières de toute espèce, lesquelles, suivant leur nature particu- lière, peuvent produire dans notre or- ganisme les plus fàcheux effets, tant d'une manière générale que particuliè- rement sur les yeux et les voies respira-

toires. Dans les ateliers et les manufac- tures, ces poussières tuent chaque an- née un grand nombre d'individus; ce sont,

p. ex., le coton, la laine, les métaux véné- neux, l'arsenic, le plomb, le cuivre, le

mercure; les premiers n'ayant qu'une influence purement mécanique, produi-

sent des inflammations chroniques des veux, du larynx, des catharres bronchi- ques chroniques, la phthisie pulmonaire;

les derniers, en outre, un empoison- nement général; les coliques des pein- tres et des plàtriers, le tremblement des doreurs au mercure, ne sont pas dus à une autre cause qu'aux poussières volti- geant dans l'air. Il faut donc

, autant que possible , remédier à ces inconvé- nients par un aérage suffisant des salles de travail, et en employant des procédés (le préparations (lui ne donnent pas lieu à ces dégagements. Il est de même d'une excellente pratique de se laver réguliè-

rement à grande eau, au sortir du tra- vail, les yeux, le visage et la bouche,

afin d'enlever la crasse et les molécules de poussière qui peuvent encore y ad- liérer; enfin de respirer suffisamment d'air pur avant de refermer sur soi la

porte d'un logement malpropre et som- bre ou d'un estaminet enfumé.

Les effets de la viciation de l'air peu- vent avoir lieu avec une plus ou moins grande rapidité; ils peuvent être aigus ou chroniques, c'est-à-dire subits ou employer un certain laps de temps pour parvenir en quelque sorte à leur pleine maturité. Cette différence provient en partie des caractères individuels; les

personnes fortes résistent le mieux, tan- dis que les femmes et les enfants étant plus faibles , en souffrent davantage.

L'effet aigu se produit quelquefois avec une rapidité foudroyante; ainsi les éva- nouissements des femmes, qui sont si fréquents dans les salles de spectacles, de bal ou autres semblables , ne sont ordinairement dus qu'au mauvais air et a l'extrême chaleur qui règnent dans la salle.

Dans les Indes, 146 prisonniers an- glais furent un jour enfermés dans un cachot de 20 pieds carrés, où l'air n'ar- rivait que par deux petites fenêtres don- nant sur une galerie étroite, et par les- quelles il ne se renouvelait que très-dif- ficilement. Bientôt il y eut une chaleur insupportable, puis une soif vive et de la suffocation. Les prisonniers se battirent entre eux pour s'approcher des soupi- raux, où purent seuls atteindre les plus

robustes. Au bout (le huit heures, il n'y en avait plus que 23 de vivants!

Un fait analogue se passa lors des guerres de l'Empire; après la bataille d'Austerlitz, 300 prisonniers autrichiens lurent enfermés dans une cave, et 260 y succombèrent dans un court espace de temps.

Dans le terrible accident du tunnel du IIauenstein, où 56 ouvriers périrent enfermés sous la montagne, ce ne fut

pas de faim: ils avaient des chevaux avec eux; ni (le soif: une source coulait dans le tunnel; ce fut, comme dans les exem- ples précédents, d'asphyxie par suite de la viciation de l'air.

Enfin, un autre fait de ce genre, aussi connu et parfaitement authentique et plus instructif encore que les précédents, c'est l'histoire (le cette séance des assises judiciaires d'Oxford dans laquelle, rar

suite de la viciation de l'air, juges, ac-

(5)

3

cusés et auditeurs `urent subite. r. ent frappés d'asphyxie mortelle.

MÉLANGES.

" Par la ritce (lu ciel, ils ne sont point venus,

" Ces maux dont vous craigniez l'attaque si prochaine;

. Mais qu'ils vous ont causé de peine,

Ces : vaux que sous n'avez pas eus !.... .

Voilà ce qu'un ancien poète français écrivait à un ami trop soucieux et per- pétuellement dévoré d'inquiétudes. Or, lecteurs! est-il beaucoup de gens qui ne puissent s'appliquer la morale de ce qua- train? Où est-il celui d'entre nous auquel le judicieux poète, tout en le félicitant des maux qu'il n'a point eus et qu'il n'au- ra jamais, ne pùt adresser le même compliment de condoléance sur les tour- ments que lui ont causés, que lui causent maintenant, et que lui causeront encore dans la suite , ces mêmes maux qui n'existent que dans son imagination?

Niais d'où vient donc que tant de mortels, outre les maux assez nom- breux, certes, et seulement trop réels qu'ils ont à endurer ici-bas, se tour- mentent gratuitement à l'occasion de chagrins et d'épreuves qu'ils ne verront jamais se réaliser?

Ce triste phénomène moral s'explique- rait aisément, s'il ne se rencontrait que chez l'incrédule, chez ces infortunés qui ne reconnaissent ni Dieu ni providence, et attribuent tout soit à un aveugle ha- sard , soit â une inflexible fatalité. On comprend que , même au sein d'une prospérité brillante, ils puissent souvent s'écrier avec angoisse: « Avenir! sombre

avenir! quels maux et quels tourments nous caches-tu? »

Mais pourquoi retrouvons-nous cette même disposition chez des hommes re-

ligieux que l'on ne peut certainement pas accuser de manquer ni de foi ni d'une pieuse confiance? Chez eux, c'est simplement une erreur de l'esprit, ou si l'on veut, une aberration du juge- ment. Ils ne savent pas distinguer entre

une sage et utile prévoyance et de vaines et stériles inquiétudes.

Qu'un père de famille veille à ce qu'il ne se commette chez lui aucune impru-

dence qui puisse devenir une cause d'in- cendie; en cela il remplit son devoir, il fait sa tâche, et nous donne l'exemple d'une sage prévoyance. Mais sa maison

pouvant aussi être incendiée par le feu (lu ciel, par la malveillance d'un scélé- rat, ou par quelque accident que l'on ne peut ni prévoir, ni prévenir, conseil- lerons-nous au dit père de famille de s'en occuper et de s'en tourmenter à l'avance? Non assurément; ce ne serait là pour lui qu'une stérile et ridicule in- quiétude.

En général, lorsque pour écarter un danger, pour réparer un dommage pour pourvoir à un besoin, pour exécu- , ter un projet, etc., nous nous occupons activement des choses qui dépendent de nous, des choses que le Seigneur paraît

nous avoir entièrement remises et con- fiées, nous faisons acte de prudence, de prévoyance, et nous répondons aux in-

tentions de celui qui veut que nous

« mangions notre pain à la sueur de notre visage. » Mais toutes les fois que nous nous agitons et nous tourmentons à l'occasion d'événements, de circonstan- ces, de choses, enfin, qui ne dépendent nullement de nous, et dont le Seigneur s'est réservé à lui seul le soin et la di- rection, alors, ce n'est plus travailler à notre lâche, c'est empiéter sur l'ceuvre

de la Providence, c'est nous condamner

nous-mêmes, et sans que rien nous y

(6)

ý

b

appelle, à un perpétuel rongement d'es- prit.

Un vieux bouclier, mort il ya fort longtemps, racontait volontiers l'aven- ture suivante, qui n'avait jamais pu s'ef- facer de sa mémoire, quoiqu'elle lui fût arrivée presque au sortir de l'enfance, dans les premiers temps de son appren- tissage. c pion maître, disait-il, m'en- voyant souvent de côté et d'autre, soit pour lui ramener quelque pièce de bétail, soit pour d'autres commissions, je me faisais le plus souvent accompagner d'un chien assez féroce dont la turbulence et les ébats égayaient pour moi les ennuis de la route, et que je lançais surtout vo- lontiers contre les chats égarés dans la campagne et trop éloignés de tout re- fuge. Je prenais grand plaisir à voir avec quelle adresse mon chien poursuivait, at- teignait et étranglait le pauvre animal,

tout en évitant l'atteinte de ses griffes.

) Or, il advint qu'un certain jour, un chat poursuivi par mon chien se réfugia dans des herbes si hautes et si touffues

que celui-ci ne parvenait pas à le trou- ver. Je courus l'aider dans sa recherche, et je réussis enfin à découvrir le dit ani- mal, lequel, ne voyant pas d'autre abri à sa portée, s'élança sur mon corps, et se cramponna à unes cheveux, en lieu et place de mon chapeau qu'il avait abattu, je n'ai jamais bien pu compren- dre comment. Là-dessus, mon chien fu- rieux se mit à faire tous ses efforts pour débusquer l'animal de sa position; nais

il ne pouvait atteindre à la hauteur de ma tète, et plus il aboyait, hurlait et fai- sait rage, plus aussi le chat désespéré s'obstinait à se cramponner à ma che- velure, et surtout me labourait le front

de telle sorte qu'il me força à sacrifier

mes mains pour préserver mes yeux.

Qu'on se figure mon angoisse! ce ne fut qu'au bout d'un espace de temps qui me Parut d'une longueur sans pareille, que j'eus enfin la bonne idée de me jeter à

terre et de m'y coucher à plat ventre.

Alors mon chien put enfin me délivrer et je me relevai, non pas aveuglé, com- me je l'avais craint d'abord , mais avec un front tout ensanglanté, et des mains horriblement arrangées. »

On comprend qu'une leçon de ce genre dût laisser une impression' aussi durable qu'elle avait été douloureuse.

Aussi le vieux boucher affirmait-il (et l'on n'avait aucune peine à l'en croire) que dés-lors il ne lui était plus jamais arrivé de licher malicieusement son chien ni contre gens ni contre bêles.

L'opinion de mon voisin.

Je suis voisin (l'un vieux célibataire, A qui je fais visite quelquefois;

Bon homme, au fond, d'un joyeux caractère, Mais détestant notre siècle et nos lois.

Morbleu ! dit-il, tout marche à l'aventure Plus j'examine, et plus je vois de fous :

Les moeurs du temps se sentent de l'usure,

Cousin David, dans quel bois sommes-nous?

Voyez un peu : j'atteins la septantaine, Et je suis vert à vivre encore trente ans, Car, entre nous, sauf ma sotte migraine, Maux ni douleurs ne parurent céans.

Trouvez-moi donc, oh ! je vous en défie, Gens si dispos dans votre monde à vous : Ils ont tous l'air d'être atteints de phthisie, Cousin David

, dans quel bois sommes-nous?

Autour de moi, d'un air de suffisance,

J'entends les gens (lire : «Nous progressons;

» Beaux"arts, commerce, industrie et science,

»Tout va grand train. »-Oui, mais à reculons.

Si, par progrès, on entend la matière,

Et le veau d'or qu'on encense à genoux,

(7)

De tels succès l'âme peut être fière....

Cousin David, dans quel bois sommes-nous?

L'enfance, à peine au sortir de ses langes, Croit en savoir un peu plus que les vieux;

Et pour complaire à ces chers petits anges, Papa, maman s'inclinent devant eux.

Ah ! de mon temps, l'enfance avait de reste Du savoir-vivre et du respect pour tous,

De bons propos, un langage modeste:

Cousin David, dans quel bois sommes-nous ? Des jeunes gens voici venir la foule,

Brillant espoir de la société !

Ils ont tous l'air taillés sur même moule, Instruits, fort peu; vains, à satiété;

Tranchant de tout d'un air de suffisance;

De leur savoir vite on a les deux bouts.

Avec mon temps, ah! quelle différence!

Cousin David, dans quel bois sommes-nous?

On dit bien haut: « Tous les peuples sont [frères !..

« Voici les jours de la fraternité !»

Et les journaux ne parlent que de guerre, D'inventions contre l'humanité.

D'engins de mort chaque jour nous apporte Nouveaux détails qui nous font pâlir tous:

Dieu! garde-nous de frères de la sorte!...

Cousin David, dans quel bois sommes-nous?

Ah ! que d'impôts aujourd'hui par le monde ! Quels gros budgets et que de déficits!

Tous les Etats s'endettent à la ronde Itien de pareil ne se voyait jadis.

Pour ranimer le crédit qui s'envole,

Force pressoirs manoeuvrent à grands coups..

L'or coule à flots de ce nouveau Pactole:

Cousin David, dans quel bois sommes-nous?

Jusqu'à ce jour, nous nous croyions des

[hommes : Détrompons-nous; vos illustres savants

A tous les veux ont montré que nous sommes Plus grands encore, oui, des orangs-outangs.

Ces grands aïeux, hélas! je le confesse, Ont de mon coeur sujets d'être jaloux,

Je ne prétends qu'à ceux d'humaine espèce ! Cousin David, dans quel bois gommes-nous?

ý ý

Oui, dans quel bois? On radote à mon age, Plus d'un déjà m'a fait ce compliment;

On me dit fou, moi qui crois être sage, En tout ceci, le serais-je vraiment?

Ah ! je le vois, quand on atteint septante, Et qu'on ne petit hurler avec les loups,

Ce n'est qu'au souffle et couché dans sa tente Qu'il faut chanter: « Dans quel bois sommes-

[nous! » V. C.

Anecdotes.

Un médecin parisien qui demeurait dans le quartier du Palais-Royal, disait un jour :« Je suis harassé; je viens de voir un malade au bout du faubourg

St-Antoine, un autre près de Vaugirard, et un troisième à la barrière du Roule.

- Mais, docteur, lui répondit-on, à voir comme vous parcourez Paris, tous vos malades sont donc à l'extrémité. »

ss

Un facteur de la poste et un cocher de fiacre se disputaient :« Comment!

s'écriait le premier, vous osez insulter un homme de lettres! - Et vous, répon- dit l'autre, vous osez outrager un homme en place! »

"{

Pierre Pontac, premier président de Bordeaux, avait fait placer au-dessus de la porte de son cabinet quatre P signi- fiant : Pierre Pontac, premier présiden t.

Surprenant un jour, les yeux fixés sur ces quatre P, un plaideur qui attendait depuis deux ou trois heures dans son an- tichambre :« Eh bien, mon ami, lui dit-il, que penses-tu que veulent dire ces quatre lettres? - Monsieur, répon- dit le paysan, elles signifient sans doute:

Pauvre plaideur, prends patience. »

..

(8)

9

Un soldat brosseur, chargé de distri- buer les cartes de son capitaine, fut fort intrigué de voir placardé dans tous les vestibules administratifs, cet avis au pu- blic : TOURNEZ LE BOUTON S. V. P. Il in-

terrogea â ce sujet deux camarades de chambrée, qui ne purent tomber d'ac- cord; l'un disait : sans vous presser, et

l'autre, si vous pouvez.

if

On sait que la frégate la Belle-Poule, qui alla chercher les cendres de Napo- léon à Sainte-Hélène, était commandée par le prince de Joinville. Le 15 septemb.

1840, le Moniteur, annonçant que la frégate venait de mettre à la voile, di- sait :« La Belle-Poule est partie ce ma-

tin, poussée par un joli vent de S. -E. » Un monsieur, peu familiarisé avec les abréviations, lut avec un magnifique

sang-froid :« La Belle-Poule est partie, poussée par un joli vent de Son Excel-

lence. »

Proverbes 19lalabares.

- Un demi-médecin tue le corps et un demi-prêtre la foi.

- Dans le champ le plus bas, croit le riz le plus haut.

- La bénédiction t'a manqué, c'est pour- quoi tu u'as pu réussir.

- Aussi longtemps que Dieu vit, nul n'est oublié.

- Ce qui a niîn"i sur toi, tombera à les pieds, (tu jouiras toi-même du fruit de tes Suvres).

- Ce qu'on a fait dans sa force, se retrou- vera au moment de la mort, (on moissonnera à la mort ce qu'on a semé pendant sa vie. )

- Ce qui est donné avec amour, est un don de Dieu.

- La chaumière et le palais reposent sur le nième sol.

- Celui qui marche la tète haute, ne t; au- rail se g]iscr dans les petits coins.

Mesures françaises. Mesures fédérales.

1 mètre égal .13 "j, pieds.

I décimètre 3 +/, ponces.

I centimi tre 3+/, lignes.

1 décamètre I I: cýfuniètre

1 niü'lanüai'e

1 mètre carré 1 are

1 décare 1 hectare 1 stère

1 litre

1 di ci] itre.

1 décalitre 1 hectolitre 1 grain Ille

1 déca, r: uu[lie 1 hectogramme 1 kilogramme

Mesures fédérales.

pied ponce ligne brache aune

toise perche

lieue

pied carre pouce carré toise cary{e

1 t

1

t i

1

1 1 1

1 1 t t

3 +/, perches.

: 33'/3 » 333 '/3 » 3333 +/3 »

11 +/B pieds carrés.

11 pvrcl>es carrées.

111'/ »»

Il If 1/ý »»

ou 2 7/B arpents

37 '/,, pieds cubes.

g/S de pot.

16

»

6 3/3 quarterons.

13 64/' 3 grains.

2 14/33 gros.

3 +/3 onces.

2 livres.

Mesures françaises.

égalé 3 décimètres.

3 centimétres.

3 millimètres.

6 décimètres.

12 d((cimi: tres.

I8 d(cimètres.

3 mètres.

4800 mètres

9 décimètres carres.

9 centimètres carres.

3 0/ ntèlres carres.

9 mètres rarr(s.

36 ares

2: 114 hectares.

21 déwimètres cubes.

2i ceutiutètres cubes.

âl 104/195 mètres enbl'S.

2î mètres cubes.

15 litres.

1 +/, litre.

150 litres.

1 '/, litre.

37 /, litres.

150 litres.

500 grammes.

31 '/. grain mues.

50 kilogrammes.

perche curée arpent

lieue carrée pied cube pouce cube

toise cube perche cube

quarteron émine

sac pot

setie r muid livre once quintal {

ý t

1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

-ßMe, bý

(9)

lll? SS1GýR BOIT--EUX

ALMANACH iiIsToiiiQuL

CONTENANT

des Observations astronomiques sur chaque mois. Le cours du Soleil et de la Lune. Les principales foires de Suisse, d'Allemagne, de France, de Savoye, etc. Enfin, un recueil d'histoires et d'anecdotes accompa- gnées de planches, pour l'AN DE GRACE

1865

Par ANTOINE SOU CI. Astronome et Historiographe.

(120110 ANNÉE. )

ý- t11 ti A 't . %,

Comput écclésiàstiq.

Nombre d'or.

Cycle solaire. .. 26 .4 [ndiction romaine, 8 Lettres dominicale A.

Epacte.

. III.

Depuis la création du

monde .. . 58t4 Dep'. lenouv. cal. a83

QUA'ritE TEMPS.

8 Mars.

-I Juin.

flo Septembre. 20 Lé- ce mb re.

Depuis Noël

1864

jus- qu'au Carème 1865 il

yag semaines et O 7OUr6.

ti11 \- 11

ýýý- ý- ý. 1-%.. 1

FÉrrES MOBILES.

Septuagésime 12 Févr.

Mardi gras. 98 -

Les Cendres i Mars.

P: îqucs.

... s6 Avril.

L's Rogations 2z Mai.

Ascension

.. 25-

Pentecôte... 4 Juin La Trinité il -

La Fête-Dieu 15 -

Jeûne fédéral 17 Sept.

Premier Dimanche de

l'Avent 3 Décembre Entre la Trinité et l'A

vent 24 Dimanches. -

ý z-ý. z-ý-ý-º. -ý

NEUCHATEL

CH. LICHTENHAHN, éditeur.

(10)

iý OIS.

1

1 I! iin tu

2 1,11 Il (11 3 Mardi

4 1lercre 5 Jeudi

6 Vendre 7 Samedi

2

8 D,

mau

9 Lundi

1o Mardi

i1 Alercre

12 Jeudi

13 Vendre

14 Samedi

3 15 Duan

16 Lundi 17 Mardi 18 Nlercre 19 Jeudi

20 Vendre 21 Samedi

4

22 [)iman

23 Lundi 24 \lardi

25 %l encre 26 Jeudi

27 Vendre 28 Samedi

5

29 3o Lundi 31 Mardi

JANV 1 ER A,

Lever du su6.7 h 47

Abel

s Isaac, Genev.

s'fite, éceyue s Siméon

Le: trou, toi

Lucien, mart.

A, ý ý ý

P! ý IýSI rý

//l . 2Cý

1J

2$

12

26

10

2J

i: i. T: i; 'l' IONS

Cou ch. c! « sl. 4 lc. 21 in.

au d ýýý1 Per.,

hý.

petlt elUthI1HI11t

Ilt.

L'I))SiruC-

IIýIýrUX

ýàýh.

io m. du soiý

ýýý, ýQc ýý

Qýý -f C[1 éý,

d

lýl[.

tiuir. est un tre- clair Lever du sol. 7 h. 46 m.

A. ts Apllolliu. »7

s Julien, l'hos. 20

ý (ýnill ýllrne 3

s Hygin, pape * 16

s Satyre, mart. >*

ý Eli('. rºirýýýý° jout'ý

11

s Félix 23

Lever du sul. 7 h. 42 m.

A, ý-,. s Maure

-<U

5

s Marcel 3-e 17

", . 1utc, ºuc" e 29

s Chaire s Pierre ýt 11

. Sulpice b% 23 , 1'. ý1ý. ; Sº=L. ºst. c{ý i

s Agnès, mart. c*Cl 17 Lever du sul. 7 h. 36 m.

A.

. ). 5 `Till('ellt

CjýCf

29

s Raimond

12

s Timothée 26

Iýulllcrý,. ý: Palll jýQ, ý 10

s Policarlle, m. 2ý

24

; Jean Chrisost. 61,8 9

s Charlemagne g1,9 24

l. ever" da sol. 7h 29 m.

1. FSa

"EWK N s Martine, mari. >O- 23 s Pierre Nol.

,, 7

Couch. du sol. 4 h. 29

. 17.

ýd O, dd, Ei i.

^, cp ? ý. sor, faii beau le travail en est soleil ýi i h. a, 7 m, clusoir

y7P i ., x

u P. ca ccýJ, le- -y- Ne Bris pas ci serein autrui, ce frilleux

Couch du sol. 4 h. 38 in

* -, op î, El J.

Q que tu froid ý? O (i Api °ée, , ýl en » ne beau .ý ýliri_, ýQQ

SI, ý

1*t. lÎ. lu_

voudrais t ý") en x

LUNAISONS.

Premier quart.

le 4, à4h. io in.

du soir, fera beau Pleine lune le ii, àii h z-7m du soir, clair et

froid.

Dernier quart le 20, à3h 4m.

(lu matin, de l'o- rage et de la neige

Nouvelle lune le 27, àgh 58 m du mat , du vent et du froid.

JANVIER,

vient de Janus, à qui les Romains

consacraient le premier jour de

l'année.

Couch. dii sol. 4 h. 47 m

â a`. pas qui

tenipê-

le fut fait.

- tueiix

c( ... Uz bien- neige Q fij 1: rit neigeux m à9h. 58 ni. du mat

n'est ja- venteux Couch du sol. 4 h. 57 m.

Qa mais (( PNrigee Q 2, G. venteux perrlid temps frilh'ux

Le 20 du mois le soleil entrera au signe du Ver- seau.

Du 1"' jus- qu'au 31 jan- vier les jours ont crû de 64 minutes.

Marchés aux Bestiaux du mois de Janvier.

Berne 3 Morges, c. Vaud 4 Orbe, c. Vaud 30

Fribourg en Suisse 7 Houdon, c. Vaud 2 I`aýerne, C. Vaud

Genève 14 Neucbätel en Suisse 5 Sallanches (Savoie) 21 Locle les 7,14,21 et 28 Nyon, c. Vaud 5 Sion, c. Valais 28

Thonon (Savoie) Vevey, c. Vaud Vverdon, c. Vaud

5 24 31

(11)

Foires du mois de Janvier 1S65.

Aarbourg, c. Argovie 13 Aeschi, c. Berne 10

Aix (Savoie) 2

Albeuve, c. Fribourg 9 Altkirch (Haut-Rhin) 26 Altorf, C. t'ri 26 Ambérieux (: tin) 17

Appenzell 11

ArinthoJ (Jura) 23 Baden, c. Argovie 31 Bauma c. Zurich 18 Belfort (Haut-Rhin) 2

Berne 3

Blanwnt (Doubs) 5 Bletterans (Jura) 27 Bollingen c. Berne 10 Brigue c. Valais 17 Bulach, c. Zurich 10 Bulle c. Fribourg 12 Büsingen (Baden) 19 Coire c. Grisons 2 Clerval (Doubs) 10 Dannemarie (HI-Rhin) 10 Delémont c. Berne 17 Delle (Haut-Rhin) 23 Eglisau c. Zurich 11 EIIg c. Zurich 18 Ettiswyl c. Lucerne 31 Faucogney (Hte-Saône) 5 Fribourg en Suisse 9 Gessenay c. Berne

Giromagny (Hl-Rhin) Grenoble Isère)

llanz, c. Grisons

Klingnau c. Argovie Knonau c. Zurich

Kublis c. Grisons

Lagnieu (Ain) 23

Lauffenburg c. Argovie 20 Lons-le-Saunier (Jura) 16 Massevaux(Haut-Rhin) 16 Megève (Savoie) 6 Mellingen c. Argovie 23

Meyenbergc. Argovie 25 Montbéliard (Doubs) 30

Montmelian 26

Mont sur Vaud 19 Morgen e. Vaud 11 Morteau (Doubs) 24 Mofltiers en Tarantaise 9

Romalé 31

Romont c. Fribourg 10

Rune! aud )3

Rougemont c. Vaud 17 Rue c. Fribourg 18 St-Amour (Jura

St-Claude (Jur J Ste-Ursannec. aBerne

Salins -? i;

Schaffhausen 1n

Schiersch c. Grisons

Schwytz 30

Sempach c. Lucerne q Siveriez c. Fribourg 20

Soleure 10

Stein am Rhein c. Sch. 23 Sursee, e. Lucerne 9 Ï'aningen (Savoie) 7 et 19

Untersee c. Berne 6 et 275 Winterthur c. Zurich 26 Utzuach C. St-Galt 24 Vulbens-au-Vuache

Versoir c. Genève 14 en Savoie, le 15 Vevey c. Vaud 24 Zoffinge c. Argovie 6

ANECDOTE.

Une dame fort élégam: ueut vètue et paraissant entrée dans la

seconde moitié de la vie, moniait, dernièrement dans un des omnibus qui vont de Clychy à l'Odéon et se plaçait a côté d'une pauvre femme dont les traits amaigris marquaient et les souf- frances de la maladie et les douleurs qui viennent du coeur ; son aspect était misérable, mais propre, et elle inspirait la pitié,

tton la répugnance.

La d. imeélégente regarde d'abord sa voisine avec sympathie ; puis, un souvenir lointain semblant se réveiller dans sou esprit, elle l'observe avec une grande attention.

- N'êtes-vous point Marie V... Nui demande t elletoutà coup.

- Oui, madame. répond la pauvre femme en jetant en même temps un regard interrogateur sur celle qui vient de prononcer son nom ; puis elle secoue la tète tristement, comme pour dire qu'à sou tour elle ne reconnais pas la personne lui lui parle,

et dans laquelle sans doute elle espérait trouver un appui.

- C'est vous alois qui étiez la femme de chambre chez Mm°

L... i.. ya vingt-cinq ans? reprend la dame en souriant. Avez- vous donc oublié la fille de cette dame, qui voulait vous emme-

6 10 23 17

7 2 19

ner avec elle quand elle s'est mariée ?

- C'est vous qui êtes la petite..., madame, aussitôt en prenant une des mains de la dame

Neu-Brisach (lit-Rhin) 17 ses lèvres ; oli ! que je suis heureuse de vous Neustadt(Forèt-Noire) aimais 1801!

i ii ter rom pi 1-elle pour la porter à

revoir ! je vous maeau c. cerne ai

- C'est pour cela que vous n'avez pas voulu venir avec moi ? Ollon c. Vaud 13

Olten o. Soleure 30 interrompit à son tour l'aimable a lame avec son (toux sourire ; Orgelet (Jura) 4 nais je ne vous gronde pas, ajouta- t- elle, c ir le ciel s'est chargé

Passavant 18 de votre punition, je ne le vois que trop, nia pauvre Otarie Port-sur-Saône n 30

Porrentruy y c. . Berne e 16 _ Je ne méritais cependant point une pénitence, madame,

Rheims 11 fit la pauvre femme.

(12)

lie Mo1a.

1 ý1leicie 2 Jeudi

3 Vendre 4 Samedi

6 5

6 Lundi 7 Mardi 8 11.1 ercre 9 Jeudi

1o Vendre 11 Samedi

7

12 T'im t)

13 Lundi 14 Mardi 15 Mercre 16 Jeudi

17 Vendre 18 Samedi

8

19 fliii,

ýt1]

20 Lundi 21 Mardi

FÉVRIER.

s Brig. Ignace

rrs ý«

ý_

pa ý2 1

1 , l. i (" IT( )! p

n;. ri 1 :ip1! 1, Q ý,

cp -b"(elu

g' 61

s Blaise, év. et m. I, 20 s Véronique ri4

Lever du sol 7 h. 21 M.

" '- s Agathe ri 17

s Dorothée o

s Hélène 12

s Salomon >JE 25 s Appoline kfi, 7

s Scholastique 20 s Séverin, abbé 2

Lever du sol. 7 h. 11 m.

1.; ßr1

s Dam. 14

s Jonas, Cast. 25 s Valentin, mart. 7 s Faustin, mart. 19 s Julienne, mart, cf 1 s Sylvain, évéq. Cf 13 s Siméon, évéq * 25 Lever du sol. 6 h. 59 m.

\" Ses. s Bonif. U7

s Constantin Dt 20

s Léoz, ore 4

s Josué 2

11alillias.;

J 17

s Victor l

Lever du sol. 6 h. 47 m- ' 11nq. s Nest. 17

s Sara p; 2

l r. li Lit,. s L. Pei 17

dumr,

im àih. 3 ni. (lu nia.

t' ý , de. froid Coach. du sol. 5 h. 8 m.

^, c. Respectez se-

El î. la 'Vrité rein

rnénie dans les rude

2* Oý (i ý,.

Q'oses

indaJ/ - froid

Couch. du sol. 5 h. iq m.

rentes; rien du soleil Q ?

ýC. n'est(' ýýIýuv(, -. si mépri- beau

Q 42, d fj. sa- frais ble que de la

Couch. du sol. 5 h. 29, m.

cP J. blesser. neYbu-

`, /, ' 2f

. Une vie leux oisive soleil Q ý, est une soleil

22 Mercre ý

23 Jeudi

24 Vendre, 25 Samedi

26rýý9i

27 Lundi 28 Mardi

l"Ililll' e'ÎIIII

ý

Couch. du sol. 5 h. 39 m.

mord Puri.,

Q antici- neige

pée neigeux

LLiNA; SONB.

Premier quart.

le 3, àih. 5ir.

du mat, fera froid.

Pleine lune le i o, à4h. 35 m.

du soir, fera beau Dernier quart le i8, à iob. 5m.

dus., du bi ouil- lard et du soleil.

Nouvelle lune le s5. à8h, 5om"

du soir, amènera de la neige.

FÉVRIER

vient (le Februa- re, qui signifie

faire des expia- tions.

Le 18, le soleil fera son entrée au signe des Poissons.

Depuis le 1 au 28 février

les jours on cric de 95 mi-I nutes,

Marchés aux Bestiaux du mois de Février.

Berne î Morges, C. Vaud f

Fribourg @tl Suisse 4 Moudon, c. Vaud 6 Genève 18 Neuchâtel en suisse 2 Locle les 4, II, 18 et 25 Nyon, c. Vaud 2

Orbe, e. Vaud 27 Pa erne, e. Vaud 2 Sallanches (Savoie) 18 Sion, C. Valais 25

Thonon (Savoie) Vevey c. Vaud Yverdon, e. Vaud

ES 9

2a

(13)

Foires du mois de Février 1S65.

Aarau

Aarbergýý c. Berne Abbecillers

Amphion (Savoie) Appenzell

Arbois (Jura)

Audeux (Doubs) Avenches c. Vaud Balstall c. Soleure Bauma c. Zurich

Belfort (Haut-Rhin) Bellinzone C. Tessin Benfelden (Bas-Rhin) Berne

Berthoud c. Berne Besançon (Doubs) Bienne c. Berne

Bischofzell c. Thurg.

Blamont (Doubs) Bourg (Ain)

Bremgârteiic. Argovie ?0 Brugg c. Argovie 1.4

Bulach C. Zurich 28

22 Langres 15

8 Laufen c. Berne 127 28 Lausanne c. Vaud 11 27 Lentzbourg c. Argovie 2

8 Liechtensteig c. St-Gall 6 10 Liestal canton Bàle 15 n Lons-le-Saunier 15 3 LýLracb (duché de Bade 22

27 Lucerne 20

15 Martigny c. Valais 20 6 Mey'enfeld c. Grisons 6

3 Mettmenstetten c. Zur. 9 27 Montbéliard (Doubs) 27

7 Montbozon le 3

23 et tous les lundis du

6 Carine.

2 Monlheyc. Valais

?3 Montriond (Savoie)

4 Mors c. Vaud 6 Dtoudon c. Vaud

Bulle c. Fribourg 0

Buren C. Berne AZ

Châlons-sur-Saône ý8 Chambéry (Savoie)

CLâteau-d' ex c. Vaud

Châtel-St-Denis c. Frite. î ChaumoutLsur-Fi angy

en Savoie 6 Clairvaux (Jura) ?0 Clerval (Doubs) 14 Coire C. Grisons 6 Collonge (, tin) 15

Delémont c. Berne ?1 Delle (haut-Rhin) 20 Diessenhofen c. Thurg. 6

Dble,

Echallens c. Vaud Echenx c. Thurgovie I3iisau e. Zurich

Estavaver e. Friboure

Eliswryy e. Lucerne - 21 F'auaigney (H. S. )

Frauenfeld c. Thurg. 27 Fribourg en Suisse 20 Frick e. Argovie 97

Gigny (Jura) 10

Giromagny (Ht-Rhin) 14 Gossau C. St-Gall 27 Gorgier c, Neuchâtel 20 Grandvillar (HL-Rhin) 14 Greechen c. Soleure 13 Gruningen c. Zurich 21 Gruyères c. Fribourg 21 Haguenau Bas-Rhin) 7 Héricourt (Doubs) m Hérisau c. Appenzell 3 Hundwyl c. Appenzell 28 Ilanz C. Grisons 14

Laferté 28

Langnau e. Berne 22 G 23 23

1;

Neuveville c. Berne Onneus C. Vaud

Orbe c. Vaud Orgelet (Jura) Ornans (Doubs) Oyzcljey

Payerne c. Vand Pfatb uhofl n

Pfeffikon c. Zurich Poligny

Pontarlier (Doubs) Porrentruy c. Berne Itapperswyl C. St-Gall

Winterthur c. Zurich 26 Yvorne c. Vaud 1

\Výl c. St-Gall 7 Zotlingen c. Argovie 28 1

Yverdon c. Vaud 28 Zweisimmen c. Berne 2

Et elle raconta à celle qu'elle venait de retrouver toute sa triste histoire, contenue eu peu (le mots.

Elle avait quitté le service pour se con- sacrer tout, entière à soigner sa soeur ca- dette, qui était folle, niais d'une folie assez

inoffensive pour qu'elle pût la garder avec elle dans sa chambre. Pendant plus de 20 ans elle a rempli sa rude tâche sans reculer un seul moment, gagnant a peine, à l'aide de son aiguille, de quui. semourl"ir et s'en- tretenir toutes les deux, quand enfin, sa pauvre folle devenue plus agitée, le rom missaire de police la fit conduire à la Sal-

pètrière. Mais depuis ce temps, comme si le ciel n'avait voulu laisser à Marie la santé et les forces nécessaires que tant qu'elle

en avait eu besoin pour soigner sa soeur, elle est tombée malade et le travail lui est devenu impossible ; aussi, ' ajuutarit elle, je n'ai qu'une espérance et une ressource, c'est d'entrer à mon toll' dans un hôpital pour y mourir en paix.

La dame, qui avait écouté ce récit avec un vif intérêt, promit son appui à la nmal- lieureuse que la Providence avait si mira-

culeusement conduite vers elle, car mieux que tout autre elle pouvait la servir, puis-

que son mari est ut) des plus grands nié- t, de Paris. - Ce qu'elle fit en ellet.

Aussi aujourd'hui la pauvre Marie est anx Incurables, etune fois Par semaine au

1 27 ýa r6 28 18 13 24 21 27 9 14

7 13

9 20 1 Illivinfeldcu c. Argovie 1 Rolle c. Vaud 24

Rue c. Fribourg 15 Rutîacb (Haut-liliinj 14 St. Amour (Jura) 2

St. Claude 13

SI. Triphon c. Vaud 17 Samoens (Savoie) 4 Schwelllnvu e. Argov. 14 Seewen c. Soleure 22 Seewies c. Grisons 6 Saignelégier c. Berne 6 Seillères '6

Sierre c. Valais 27 Sion c. Valais 25 Terv. ai-Ie, Chýteau tl Thann (Haut-Rhin) 24

Thicngen 3

Uuterhallau Schaf 6 Utznach c. St-Gall 25

Vesoul le 23

et les samedis jusqu'à l'Ascension.

Villisau c. Lucerne 27.

Viry (Hante-Savoie) 14 Vius eu Sallaz (Savoie) 4

1Valdenhourg c. Berne 2l M'aldshnt (f. u. ) 6 Wangen c. Berne

Weinfelden c. Thurg. 29

(14)

1Il` Mois.

IMARS!

TLLCTIO55 I LUNAISONS

1

2

ii'I ercl'e

Jeudi 1" Cen`Tes s t1 u 1, ,

Si l e 2

6

Q 2.4, d ý, & f7+

P é i il .e 3 V d

i mp ice, pape è ,

\l i '

1 our r uss ra {

'P i

4 S en re d

s ar n, soldat c Ad i ,'

0 ý troub e' rem er quart

le 4 àoh 46 m

ame i s r en 14 o h. 6m cl. sda , . .

10 Lever du sol. 6h 55 m. Couch. du sol. 5 h. 49 na du s., de la neige

5 Diwan 1.

q

s Eusèb. », 27 1, attt nad- dé

cs° ý" t Ott de la pluie.

6 Lundi S Ftidolin tý

9

di-

sa'réa Pleine lune le

7 8

Mardi

M

s Thomas d'Aq. tl'}s

J

22

4

ter Ci blr

n d m i l

ý 1 2, àtth. 9 m.

du mat roduira ercre

yy m 5. S On. ;

.. o , s r et p u- ., p

9 Jeudi 4o M artyrs 16 aoO exé- vieux des vents froids.

10 Vendre

s Françoise

'el

28 culer

prompte- pluie Dernier quart.

11 Samedi s Cunibert <SR 10 ment les choses ven i le 2o, àth. 4 nt.

11 Lever du sol. 6 h. 22 na. Couch. du sol. 5 h. 59 in du soir, du temps

12

DIniau ni Rctp s Grç

lli

22

11.9 at. ý ý"

humide.

13 14

Lundi Mardi ardi

s cep fore, A.

s Mathilde, reine

4

16 . (t

15, qn na E c pro je-

I

ude -p Nouvelle lune l à5h 56

15 Mercre + Loiigin `v 28 C S%, d 1). (î étoile d e 27, u matin , fera . m.

16 Jeudi s Héribert, évéq. c. 10 CIO -g, tées. soir au pl orageux.

17 Vendre s ; ertrt de" C4 EME

22

Tout cède ýgrd.

èclat

18 Samedi s lYaU -te, arch. 4 n

12 Lever du sol. 6 h. 8 m. Co ct sv . et fi

M.

É lP

,ý MARS, était

1.

rJ ý? imn A. Orclul. S Josep n', 16

en

P!; ýý en consacre vl

s ar Romu au dieu

20

21

. und 1

IN'1 ardi

s oac im

PI

s Benoit, abbé

2Cl

13

I.

4d.

S. (lotir et ï lus. C'était ar p le l' re - - 22

11 encre s Nicolas de Flue 26 ( nrt éatz

aux Oß ne tý L1X

ier moi, de l'an- née martiale.

23 Jeudi s Théodore M 10 (le 2o: & a, cp 2.. )

24 Vendre re S Siméon S si i 25 efforts d'un couvert Le 20 du mois

25 Samedi Annonciat. Np. = 10 travail obs- humide

le soleil fera son

13 Lever du sol. b h. 53 in, Coach. du sol. 6h. 19 , ra entrée ausignedu

26 nid<

5 6

28 M rdi

sy le°

R t 10

5 , m d.. p

QU .i Du 1 au 31

a s upper t 2 , cý j de ce mois les

29 Mercre s Eusiase, abbé 2., 10 tillé. grantfe lemhête 'ours ont crù 30 Jeudi

V d s Qttirin, tribun.

l 25 e ctý "M au d .. ' vent de 111 minnt.

31 en re s lia bine 9 prep àl orage

Marchés aux Bestiaux du mois de Mars.

Berne 7 Lucle les 4,11,18 e t 25 Orbe, c. Vaud 27 Vevey, c. Vaud 28 Chaux-de-Fonds 8 \lorges, c. Vaud 1 Payerne, c. Vaud 2 Yverdon c. Vaud 28

Fribourg en Suisse 4 Moudon, e. Vaud 6 Sion, C. Valais 24 Genève 18 Neuchâtel en Suisse 2 Sallanches (Savoie) 18

Lausanne 11 Nyon, c. Vaud 2 Phonon (Savoie) 2

(15)

Foires du mois de mars 1S65.

Aarberg c. Berne 8 Aarbourgc. Argovie 20 Ahbevillers (Doubs) 21

Aigle c. Vaud 8

Aiguebelle (Savoie) 2 Altkirch (H. Rh. ) les9 et23

Altorf c. Uri 23 Am phion (Savoie) 14 Amhérieux (tin) 22 Anet c. Berne 15

Appenzell 22

Arwangen c. Berne 16 Aubonne c. Vaud 21 Avenches c. Vaud 10

Ballon 18

Belfort (Haut-Rhin) 6

Belvove 1

Bercliier c. Vaud 40 Berthoud c. Berne 23 Bevaix c. Neuchâtel 20

Bex c. Vaud 30

Bienne c. Berne 2 Blamont (Doubs) 6 Bolzano (Tyrol) 20 Bonneville (Savoie) 14

Bons (Savoie 2

Bonvillars c. Vaud 24

Bourg (Ain) 4

Breitenbach c. Soleure 14 Candel Bas-Rhin 7 Carouge c. Genève 9 Cerlier c. Berne 1

Champagne 27

Chancy c. Genève 2i

Chaussin 10

Chaumergi 9

Cheseaux c. Vaud 28

Chesne-Thonex 3

Chiètres c. Fribourg 30 Clerval (Doubs) 14 Cluses (Savoie 27

Coligny (yin) 18

Colmar (HHaut-Rhin) 8 Concize c. Vaud 7 Cortaillod c. Neuchâtel 14 Cossonav c. Vaud 9 Courrendlin c. Berne 17 Courtemaiche c. Berne 20

Cressier c. Neuchâtel 27

Cully c. Vaud 3

Dannemarie (l1t-Rhin) 28 Delémont c. Berne 21 Delle (Haut-Rhin) 20 E ig canton Lunch 8 Erlenbach c. Berne 14 Ersteis (Bas-ithin) 20

Faucogney (lite-Savoie) 9 Farvagny c. Fribourg 22 Fenin c. Neuchâtel 7 Ferrette (lit-Rhin) 7 et 21 Feuernthalen c. Z. 28 Frauenfeld c. Thurg. 27 Fribourg en Brisgau 1 Fontaines c. Neuchâtel 18 Flawyl c. St-Gall 15

Frnligen c. Berne 31 Gaillard (Savoie) 21 Geais c. Appenzell 7 Gebweiler (Ilaut-Rhin) 20 Gelterkinden c. Bâle 1 Gex (Ain) 1 et25 Giromagny (Ht-Rh. ) 14 Grandson e. Vaud 8 Grandvillard (Ht-Rhin) 14 Habslieim (HL-Rhin) 6 Horgen c. Zurich 9 Hutwil c. Berne 8 Ilanz c. Grisons 14 Jougne (Doubs) 17 Klitignau c. Argovie 20 Koellikenc. Argovie 15

Kulm c. Argovie 10 Kyburg c. Zurich Y2

Lagnieu (Ain) 13

Landser Haut-Rhin 8 Landeron c. Neuchâtel 13 La Sarraz c. Vaud 14

Levier 13

Lignières c. Neuchâtel 23 Loclc canton Neuch. 28 Loris-le-Saunier 15

Lucerne 28

Mallerai c. Berne 9

Marignat 23

Massevaux Haut-Rhin 20 Mayence Confédéra-

tion germanique 28 Mézières C. Vaud 15 Mirecourt Vosges] 2 Montheliar [Doubs] 27 Montfaucon C. Berne 20 Monthozon, les lundis

de Carême.

Montmelian 27

Morat c. Fribourg 8 Morteau [Doubs] 7 Moudon c. Vaud 1 Mulhouse [Haut-Rhin] 7 Munster G. 1'. [HI-Rh. ] 13 Munster c. Lucerne 2

Neu-Brisach 20

Neustatt [Forêt Noire] 27 Neuveville c. Berne 28 Nidau canton Berne 21 Niederse)x [Haut-Rhin] 1

Nyon c. 1 and 2

Olten c. Soleure 13

Orchamps 20

Orgelet Jura] 24

Ornans [Doubs] 21

Ormont-dessous 47

Petites-Chiettes 10 Pontarlier (Doubs] 23

Pont-de-Roide 6

Pont-du-Bourg 16

Porrentruy c. Berne 20 Port-sur-Saône [Doubs] 29

Pully C. Vaud 16

Rauatz c. St-Gall 20

Raton 7

ite;; ensberg c. Zurich 11 Reichensee c. Lue ruc 17 Romainmbtivr c. Vaud 21 Romont c. Fribourg 7 Rue canton Fribourg 16 S: ekingen e. Ar ýoiý'e 6 Saillans [Drôme 18

St-Amour 4

St-Aubin e. Neuchâtel 27 St-Blaise c. Neuchâtel 6

St. -Claude 13

St-Genis 13

St. Julien [Savoie] 6

St. Lupicin 2

St. Maurice 7

Si. 'l'rivier-de-Courte 20 Ste. Ursanne c. Berne 6 Sallanches [Savoie] 2

Schalfhausen 7

Schintznach c. Argovie 14 Sehlettstadt [Bas-Rhin] 7

Schwvtz 17

Seengen c. Argovie 14 Seewvis c. Grisons 4 Selongev [Côte-d'or] 16

Séppev C. Vaud 27

Sidýs-ald C. St-Gall 2 Signau c. Berne 16

Soleure 7 et ?8

Staefa C. Zurich 23 Stein atn Rhein 29 Sulz [Haut-Rhin] 15

Sununiswald c. Berne 10 'faninges [Savoie] 6

Tassenières 28

Thoune c. Berne 4 Travers c. Neuchâtel 9 Ueberlingen 1 lac de C. ] 8 Unterseen c. berne 1 Utznach c. St. -Gall 25 Vercel [Doubs] le 3

et tous les samedis jusqu'à l'Ascension.

Verrières [les] c. Nette. 30 Vesoul tous les samedis

jusqu'à l'Ascension.

Vibnergen c. Argovie 22

Villerfarli 20

Vulbens-au-Vuache 16

\Valdshut [Forêt-noire] 22

\Vegenstetien c. Arg. 20

\1'einingen c. Zurich 6

\Vilchiugeu c. Schwytz 27 Zurzach c. Argovie 4 Zweisitumen c. Berne 2

moins l'élégante dame qui s'est déclarée sa protectrice vient la voir et lui apporter

de l'argent, du linge, quelques friandises, et, ce qui vaut mieux encore, de ces bonnes

paroles qui ne s'achètent pas et qui sont la plus précieuse des aumônes pour celui

qui souffre. C'est ainsi que cette noble dame paye les soins qui lui ont été donnés dans sa jeunesse par celle qui est devenue incapable aujourd'hui de se soigner elle- même.

0

Références

Documents relatifs

Et c'est pourquoi dans le complexe machiniste triomphant on aura tendance à annihiler le plus possible les qualités humaines dont la technique n'a que faire, et

Nous ne protestons qu'avec plus de véhémence contre une circulaire qui brouille les données de la pédagogie actuelle, baptise réussite des méthodes qui sont

Le site Jean Mermoz est entré en chantier à l'automne 2019, avec l'extension et l’aménagement de l'école maternelle, ainsi que le réaménagement partiel de l'école élémentaire..

*Hors presse, livres, gaz et carburants.**Voir modalités, produits éligibles à l’offre et liste des magasins participants sur www.tupperware.intermarche.com et dans le

Appel : appeler l'enseignant pour lui rendre votre copie et votre calculatrice en mode graphique avec les points, la droite et le point moyen..5. Représenter cette série statistique

de jongleurs que de

Les représentants des Fédérations syndicales, invités à s’exprimer en début de séance se sont fait l’écho des sérieuses difficultés rencontrées dans le réseau, la

Si vous ˆetes incr´edule vous pouvez encore consid´erer le processus e − e + → γγγ et vous assurer que la contribution r´ esultante d’un facteur k/γ 5 associ´e ` a la ligne