Sixième Année. — N

•A M. Jules Gfeller

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Berne

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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Sixième Année. — N

⁰

63.

P r i x d u n u m é r o 10 c e n t i m e s .

Jeudi 4 Août 1892.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 27.

Union postale » 12»— »

On s'abonno à tous les bureaux de poste

Paraissant IB Jeudi et le Dimanche à la Ghaux-de-FontJs

A N N O N C E S

Provenant de la Suisse 20 et. la ligue :> de l'étranger 25 » :> :>

Minimum d'une annonce 50 cent.

Les annonces se paient d'avance Organe de la Société intercantonale des Industries du Jura, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle

et des Syndicats professionnels.

A nos abonnés, à nos lecteurs Dès aujourd'hui, la rédaction et l'admi- nistration de la Fédération sont transfé- rés à la Chaux-de-Fonds. Des motifs d'ordre intérieur nous ont dicté cette mesure.

Fondé en décembre 1886, l'organe des intérêts horlogers en est au milieu de sa sixième année d'existence. Ce n'est pas un grand âge encore ; c'est pourtant une durée appréciable, si l'on songe aux dif- ficultés que doit vaincre un organe spé- cial, devant se mouvoir dans le cercle forcément restreint des questions qui se rattachent à son but et auquel toute in- cursion dans le domaine fécond de la politique des partis est interdite.

A la Chaux-de-Fonds comme à Bienne, la Fédération, fidèle à son programme, s'efforcera d'être une tribune libre, ou- verte à tous, où viendront se débattre les intérêts parfois opposés de nos divers groupes professionnels, où viendront aussi se discuter, en dehors de toute ten- dance particulariste, mais pour eux-mê- mes, les problèmes qui touchent à notre existence industrielle et économique.

Le transfert auquel les circonstances nous obligent, ne changera donc rien à la ligne de conduite que nous nous som- mes tracée dès le début; nous ne serons pas plus qu'auparavant un journal local;

nous n'en espérons pas moins trouver, à la Chaux-de-Fonds, le même appui, la même sympathie dont nous avons été en- tourés à Bienne.

En quittant la Ville de l'Avenir, deve- nue,· grâce à l'immigration velsche, un centre industriel important, nous nous sentons pressés de remercier tous ceux qui nous y ont témoigné de la bienveil- lance et du bon vouloir; tout en leur ex- primant le regret sincère que nous éprou- vons de devoir briser des liens qui nous sont chers.

Ce n'est pas adieu que nous leur di- sons, puisque nous continuerons à être l'organe des intérêts généraux de l'in- dustrie horlogère, des leurs par consé- quent.

Placés comme nous le sommes dès aujourd'hui, dans la plus industrieuse de nos cités montagnardes, au centre du grand marché horloger, nous pourrons, mieux encore qu'auparavant, remplir no- tre but et accomplir notre mission.

La rédaction <ë£ l'administration

du Journal.

La Suisse à Chicago On lit dans la Tribune de Genève :

« Nous apprenons que ce jour le Conseil d'Etat a autorisé M. de Palézieu du P a n à re- présenter comme agent général pour la Suisse la « The Chicago Exposition Commercial Com- pany », Compagnie au capital de 1,000,000 de dollars et ayant pour but de représenter les exposants à Chicago. L a Suisse n'étant pas représentée officiellement à l'exposition de Cliicago, la Compagnie, dont il est question, aitlée de son agent, prendra en main les inté- rêts des exposants suisses. Nous espérons que nombreux seront ceux qui profiteront des avantages offerts afin que notre nation soit aussi largement représentée que possible dans cette grande joute de l'industrie et du com- merce. »

Nous croyons bon de faire suivre cet entre-filet, copié dans la Tribune de Ge- nève du 29 juillet, de quelques observa- tions destinées à renseigner ceux des exposants que sa lecture pourrait induire en erreur.

D'abord, il n'est pas du tout exact de dire que les intérêts des exposants suis- ses seront mis en main de la compagnie américaine « The Chicago Exposition Commercial Company », car, même avec le concours de son agent, pour repro- duire les termes mêmes du communiqué de la Tribune, les intérêts suisses ne doi- vent pas être placés dans les mains d'une compagnie américaine, quels que soient

d'ailleurs son honorabilité et son capital, que nous ne mettons ni l'une ni l'autre en doute.

La Confédération s'intéresse de fort près à l'exposition et, en ce qui concerne les industries exposantes, non seulement elle les subventionne, mais a la haute main dans l'organisation de leur partici- pation, comme choix du commissaire et des jurés, détermination de l'emplace- ment, demandé par voie' diplomatique, etc., etc. La Suisse sera, moins le nom peut être, représentée de fait officiellement à Chicago.

Il va de soi d'ailleurs que pour parti- · ciper aux subventions fédérales et canto- nales votées pour dégrever partiellement les exposants à Chicago, ceux-ci devront se rattacher aux organisations existantes et qu'en remettant le soin de leurs inté- rêts à la « Chicago Exposition Commer- cial Company », ces exposants ne pour- ront être au bénéfice des subventions vo- tées, puisque ce sera en quelque sorte une renonciation' à l'organisation suisse et une préférence donnée à une organi- sation étrangère.

Les exposants jugeront en connais- sance de cause et verront de quel coté sont leurs intérêts, que l'annonce de la Tribune ne nous parait pas suffisamment définir; il était utile de compléter ces renseignements qui .peuvent paraître ap- partenir à un ordre d'intérêts plutôt par- ticuliers que généraux.

Autour de l'Exposition de Chicago

Les associations des travailleurs de New- York l'ont une propagande active en laveur de l'ouverture de l'exposition le dimanche. L' « A s - sociation Trades », de New-York, société nom- breuse et très influente, a voté des résolutions favorables à l'allocation d'une subvention à faire par le Congrès et à l'ouverture de l'Ex- position le dimanche.

Ces dernières résolutions sont conçues com- me suit :

•

264 LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

« Nous sommes absolument opposés à la fermeture le dimanche, de ce moyen d'instruire les masses en ce qui concerne l'industrie et la mécanique. »

« Au nom des ouvriers du pays, nous pro- testons contre le sacrifice de leur droit d'exa- miner et d'étudier ce qu'ont produit leurs frè- res du monde entier, et "cela le seul jour de la semaine qui leur appartienne. »

Lc « New-York State Lcaguc », autre société très puissante, après avoir préconisé l'appui du gouvernement ajoute :

« Nous sommes absolument opposés à la fermeture de l'exposition le seul jour que les ouvriers peuvent consacrer à la visiter sans voir diminuer leur salaire, et nous dénonçons ceux qui en réclament la fermeture le diman- che, comme ennemis des travailleurs et des droits et privilèges qui nous sont conférés par les lois du pays. »

lin outre, plus de 10,000 signatures ont été recueillies par les directeurs de la « National Religions Liberty Association » pour la péti- tion suivante :

« Nous soussignés, citoyens des Etats-Unis, protestons respectueusement, mais fermement contre toute tendance que pourrait avoir le Congrès des Etats-Unis à faire intervenir le gouvernement fédéral dans des questions reli- gieuses, par le fait du vote d'une loi ou d'une résolution relative à la fermeture de l'Exposi- tion le dimanche, ou, d'une manière générale, en faisant intervenir le gouvernement en m a - tière religieuse. »

Cette pétition a été signée par près de six cents hommes de loi et un grand nombre de magistrats de Chicago; et le secrétaire de l'association a déclaré que les trois quarts des personnes auxquelles On s'est adressé, se sont empressées de signer la pétition.

La fin d'agissements malhonnêtes

Les lecteurs de la Fédération ont certaine- ment encore en mémoire la communication im- portante insérée dans notre numéro du 16 juil- let, par le secrétariat de la Chambre cantonale du commerce, do l'industrie et du travail, et disant que la Société d'horlogerie de Bévilard ti- rait, pour des sommes parfois considérables, sur des clients qui ne lui devaient rien.

Cette communication a produit l'effet voulu ; une enquête a été ouverte et nous apprenons, par une dépêche adressée au Journal du Jura, cpie le directeur et le comptable de la Société d'horlogerie do Bévilard ont été incarcérés sous la prévention d'avoir mis en circulation pour 60,000 fr. do fausses traites.

N é c r o l o g i e

C'est dimanche qu'on conduisait à sa der- nière demeure, un homme bien connu dans toute la Suisse française, M. Hippolyte Etienne, qui a succombé le 29 juillet, à Neuchàtel, à une maladie do cœur.

Les journaux quotidiens de toute nuance, ont publié· sur cette personnalité sympathique, des articles nécrologiques étendus; nous a r r i - vons un peu tard, pour faire notre part dans le concert de regrets qui accompagnent la lin do cet homme de bien.

On sait qu'en 1882 M. II. Etienne fut nommé, par le Conseil fédéral, aux importantes fonc- tions d'inspecteur des fabriques pour la Suisse française. Il (Ie))IoVa, dans ces .délitâtes et dif- ficiles fonctions, beaucoup de compétence et de tact, et s'employa, non sans succès, à apla- nir les différends qui, ces dernières années surtout, ont si souvent éclaté entre patrons et ouvriers.

L'année dernière, il dut résigner ses fonc- tions d'inspecteur, par suite du mal dont il était atteint, par'suitc aussi de l'amertume (pie lui laissèrent des attaques repétées et malveil- lantes.

Comme président de la Société intercanto- nale des industries du Jura, qu'il dirigeait de- puis sa fondation, il prit une part active à tous les efforts faits ces dernières années en vue d'améliorer les conditions de l'industrie horlo- gère et s'employa avec zèle et conviction à faire pénétrer dans les milieux ouvriers et pa- tronaux, l'idée des syndicats professionnels;

il contribua, dans une large mesure, à l'orga- nisation de Ia Fédération horlogôrc.

M. II. Etienne laissera le souvenir d'un homme de bien et d'une belle intelligence unie à un grand esprit de conciliation.

Sur sa tombe à peine fermée, nous déposons l'hommage d'un sympathique souvenir.

Bureau central de vente des ébauches et finissages

Toutes les fabriques faisant partie de l'an- cien syndicat assistaient à la dernière assem- blée générale, dans.laquclle, après une longue et laborieuse discussion, on a adopté les sta- tuts définitifs du comptoir, fonctionnant avec un fonds capital de 1,500,000 fr. souscrit par les fabriques d'ébauches. On espère parvenir à mettre en marche la nouvelle institution dès le 1e r octobre prochain.

Nous saluons avec la plus vive satisfaction la décision qui vient d'être prise, persuadés que nous sommes qu'il en résultera un très grand bien, tant pour les fabriques d'ébauches que la baisse des prix pousse à la ruine, que pour les fabricants d'horlogerie, mis en perte par l'instabilité du prix de l'ébauche.

Boîtes contrôlées

Lo tableau des opérations des bureaux de contrôle pendant le 2«"? trimestre de l'année courante, que nous avons publié en troisième page de notre numéro du 27 juillet écoulé, donne les résultats suivants, si on le compare au tableau des opérations du Ie·· trimestre.

Pour les boites d'or, diminution de 4552 pièces sur le chiffre du 1er trimestre et de 17,257 sur le chiffre du trimestre correspon- dant de l'année 1891.

P o u r les boites d'argent, diminution de 37 pièces sur le chiffre du 1«* trimestre, et de 61,423 sur le trimestre correspondant de l'an- née. 1891.

Lc total dos boiies contrôlées dans le 2me trimestre est de 496,585, en diminution de 4589 sur le premier trimestre et de 78,680 sur Ie tri- mestre correspondant de l'année 1891.

Nouvelles diverses

C u r i o s i t é . — On peut voir actuellement dans la devanture du magasin d'horlogerie de M. G u s t a \ e Badollet, deux remarquables spé- cimens de l'industrie horlogère genevoise. L'un consiste en une montre savonnette or 18 k. à répétition et seconde indépendante, de dimen- sion extraordinaire, 36 lignes de diamètre. Le mouvement a été construit par la Société a n o - nyme de la fabrique d'horlogerie J.-J. Bandol- let. Cette pièce forme un curieux contraste avec une montre lilliputienne exécutée par la même maison, et qui a 4 lignes de diamètre.

Toutes deux font l'admiration des connaisseurs et seront exposées encore pendant quelques jours.

M e x i q u e . — Le plus grand soin doit être apporté à la rédaction des factures consulaires en triple ou quadruple expédition, qui accom- pagnent les marchandises expédiées au Mexi- que. On ne saurait trop recommander aux né- gociants l'observation la plus scrupuleuse et la plus stricte des règles édictées par le tarif des douanes mexicaines. La moindre erreur ou omission, la moindre faute, même involon- taire, toute classification défectueuse, une sur- charge, une simple rature sont susceptibles d'entraîner des amendes de cent piastres ou le payement double des droits d'importation.

Variétés

L ' o r f è v r e r i e a u l ' u u j a b .

Le gouvernement anglais a publié, sur les industries de l'or et de l'argent au Punjab, aux Indes, un rapport intéressant au point de vue de la passion traditionnelle des races orienta- les pour thésauriser les ouvrages d'or et d'ar- gent. Lc Punjab ne produit que peu d'or et pas du tout d'argent ; les importations de l'argent se font de la Chine, sous forme de plaques, et de l'Europe, du Yarkand et de Bokhara, en lin- gots. L'or est obtenu en lingots de l'Europe et de l'Australie; en barres et feuilles, d e l à Chi- n e ; en monnaies de la Russie, et en poudre du Yarkand. On évalue les importations des mé- taux précieux destinés à l'industrie des orne- ments au Punjab, à 180 lakhs do roupies (envi- ron 2,900,000 fr.) par an. L'intermédiaire ou capitaliste achète les matières qu'il fournit a l'ouvrier orfèvre; le plus souvent il l'achète à ce dernier les objets fabriqués. Chaque village au Punjab compte un gros négociant en bijou- terie, dont les bénéfices sont d'environ 61Z4 % ; l'orfèvre gagne un peu moins sur les objets qu'il vend. Si l'acheteur fournit les objets d'art à refondre, l'ouvrier a droit à V24 du poids do l'argent et Vgo do celui de l'or.

En 1881, il y avait 44,338 ouvriers orfèvres, dont 16,293 établis dans les villes. Ce chiffre, dit le rapport, n'a subi que peu de changement depuis 10 a n s . Pour faire l'essai d'une pépite d'or, on en applatit une parcelle sur une petite enclume, après quoi on la repousse en cône vers le milieu. Le cùnc est ensuite posé sur un morceau de talc et un feu de bouse est a l - lumé en dessous.

Si les bords du trou que l'on obtient au moyen du chalumeau sont d'un rouge fonce, le métal est reconnu pur; si la couleur en est blanchâtre, il s'agit d'un alliage.

L'alliage d'argent produit sous le chalumeau une couleur jaune clair; le cuivre devient rouge d'abord et passe au noir.

Liste des étrangers

ayant logé le 2 août dans les hôtels de Chaux-de-Fonds Fleur-de-Lys: MM. Gottschalk, Berlin. W o r - zel, Strassbourg. Arnaud, Besançon. Bloch, Mannheim. Guilloteau, Paris. Favrc, Lyon.

Weil, Strassbourg.

Aigle: MM. Bôehma, Bohème. Bernard, Paris Balance: M. Curny, France.

Guillaume-Tell: MM. Hichow, Hollande. AeI- frao, Hollande. Bailli, P a r i s . Lewes, Paris.

Goldschmid, Besançon.

Gare: MM. Jamu, Italie. Bastrenti, Italie.

Perrot, Keulinger.

Cote de l'argent

du 3 août 1892 facturé aux monteurs de boite*

L'argent 800 laminé et (il à fr. 117»70 Ie kilo.

» 805 3> » . » 118»45 τ>

» 875 •» » » 128^50 s>

» 900 7> » y> 132»05 »

» 935 » » » 137*10 y>

» lin en grenailles » 145»40 :,

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 265

Tableau des opérations d'achat,

de fonte et d'essai de déchets d'or et d'argent faites pendant le second trimestre de l'année 1892.

A r r o n d i s s e m e n t s

1. Noirmont 2. St-Imier 3. ' Tramelan 4. Granges 5. Bienne 6. Sohaffhouse 7. Neuchâtel 8. Fleurier 9. Locle

10. Chaux-de-Fonds 11. Genève

12. Porrontruy

2me trimestre 1892 2mo trimestre 1891 Différence en faveur du 2me

trimestre 1891

Berne, le 30 juillet 1892.

Acheteurs, fondeurs et

essayeurs autorises

2 8 1 2 10 2 9 7 12 23 11 3 90 90

Opérations (Bordereaux rentrés) Avril

84 208 125 33 298 15 43 G4 359 1,457 152 153 3,041 3,144 103

Mal

124 95 30 305 12 36 49 189 871 130 154 2,033 2,384 351

Juin

59 123 41 41 271 17 41 35 194 887 128 137 1,974 2,195 221

TOTAL

181 505 261 104 874 44 120 148 742 3,215

410 444 7,048 7,723 675

2" trimes- tre 1891

166 565 268 68 1,071 79 122 194 791 3,486 388 525 7,723

D é c h e t s a c h e t é s (valeur- payée)

Avril

Fr.

4,660»05 20,104»50 8,480»50 1,337»25 36,091»65 3,538»16 2,757»15 5,165»40 71,847»—

189,798»—

33,837»20 4,880»15 382,497»—

523,352»80 140,855»80

Mai

3,506»80 7,739»70 3,044»60 . 1,467»80 46,900»05

896»20 1,817»15 3,850»20 21,320»75 101,510»30 21,239»80 4,132»—

217,42S»35 312,523»—

95,097»65 Juin

Fr.

3,200»65 15,006*30 3,086»90 1,530»95 35,627»50 9,086»05 2,416»10 2,254»30 23,671»05 88,830»90 17,366»30 4,702»—

206,779»—

280,228»20 73,449»20

TOTAL Fr.

11,367»50 42,850»50 1 4 , 6 1 2 » -

4,336»—

118,619»20 13,520»40 6,990»40 11,269»90 116,838»80 380,139»20 72,443»30 13,714»! 5 806,701 »35 1,116,104»-

309,402»65

2» trimestre 1891

Fr.

8,252»25 59,284»10 18,781»90 3,417»30 173,568»70 13,9?5»95 11,553»35 14,392»40 169,447»90 550,902»05 68,907»10 23,621»—

1,116,104»-

Département fédéral des affaires étrangères,

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M M . l e s F a b r i c a n t s d ' h o r l o g e r i e et a u t r e s i n d u s t r i e l s n o n - s u b - v e n t i o n n é s , q u i d é s i r e n t e x p o s e r i s o l é m e n t ou c o l l e c t i v e m e n t et à.

p e u d e f r a i s , s o n t p r i é s d e d o n n e r s a n s r e t a r d l e u r s a d r e s s e s à L A S U I S S E , p u b l i c i t é , N E U C H A T E L .

U n d e s e s a g e n t s s e r e n d r a c h e z l e s i n t é r e s s é s p o u r t o u s l e s rciiy s e i g n e m e n t s c o m p l é m e n t a i r e s . — C i r c u l a i r e s à d i s p o s i t i o n . 1797-X

Seules médailles d'argent. Exposition universelle, Paris 1878. — Paris 1889.

Médaille Chaux-de-Fonds 1881. — Diplôme Zurich 1883.

Fabrique d'Aiguilles de Montres en tous genres

Maison fondée eu

1812

WIGPN FlEI

Saison fondée eu

1812

G E N E V E Succursales et Dépôts :

C h a u x - d e - F o n d s , 5 , r u e Daniel J e a n R i c h a r d , 5, Locle, 3 2 5 , r u e B o u r n o t , 3 2 5 .

S p é c i a l i t é d ' a i g u i l l e s L o u i s X V , c i s e l é e s o r , a c i e r , e n c o m p o s i t i o n d o r é e . B r e g u c t et p o i r e s d e t o u t e s f o r m e s . G r a n d e s et p e t i t e s s e c o n d e s ,

C h r o n o g r a p h e s , q u a n t i è m e s , c o m p t e u r s , e t c . 1799-51

Fabrique d'horlogerie

M A U R I C E D I T I S H E I M

16, rue Léopold Robert, 16, Chaux-de-Fonds.

M o n t r e s f a n t a i s i e p o u r D a m e s .

M o n t r e s r é p é t i t i o n s a v e c t o u t e s c o m p l i -

c a t i o n s . 1798-25

A s s o r t i m e n t c o m p l e t e n c e s . s p é c i a l i t é s .

POUR FABRIQUES D'ÉBAUCHES ET DE RfIONTRES

O u t i l l a g e et m é t h o d e t r è s simple1

p o u r p l a n t a g e - p e r ç a g e du b a r i l l e t e t d e s m o y e n n e s , s e r t i s s a g e e x a c t d e l ' é c h a p p e m e n t .

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horloger-technicien, Couvet.

POUR FABRIQUES D'ÉBAUCHES ET SPÉCIALISTES

Appareil à revenir les pièces d'acier après la trempe avec ther- momètre indiquant le degré de revenu.

S ' a d r e s s e r a · 1570I)-IO C I t . H o u r i e t , C o u v e t

Jeune homme

a y a n t v o y a g é 10 a n s en I t a l i e

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Les fabricants de mon- tres métal, clef et remon- toir, bon marché, sont priés d'adresser leurs of- fres a u casier N

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Bienne. i803-i

U'

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S'adresser au bureau du Jour-

nal. 1801-2

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d é r é s . 1804-4

Pâte d'argent

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c o n n a i s s a n t l a c o n s t r u c t i o n d e s c a - l i b r e s , pi v o t e u r , etc., a u c o u r a n t d e l a t e r m i n a i s o n d e s m o n t r e s c o m - p l i q u é e s et d u r é g l a g e d e p r é c i s i o n , c h e r c h e u n e p l a c e en r a p p o r t a v e c

s e s c o n n a i s s a n c e s . 1790-1 P r i è r e d ' a d r e s s e r l e s offres a u x

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arrêtages. 1796-1 S'adresser chez Rodolphe

UHLMANN, Chaux-de-Fonds.

FABRIQUE D'HORLOGERIE

FRÈRES BERGEON

L O C L K ( S u i s s e ) Ê v l a i s o n tx L i v o u r n e (Itetlio) C h r o n o m è t r e s d e p o c h e , b u l l e - t i n s d ' o b s e r v a t o i r e . — M o n t r e s d e p r é c i s i o n , b u l l e t i n s d e r é g l a g e . — M o n t r e s civiles e u t o u s g e n r e s ( s p é c i a l i t é s i t a l i e n n e s ) . — S p é c i a - lités d e g r a n d e s s e c o n d e s i n d é p e n - d a n t e s , t r o i s f o n c t i o n s , é c h a p p e - m e n t c y l i n d r e e t a n c r e , m o u v e - m e n t s a y a n t - u n s e u l c o r p s d e r o u a - g e e t u n s e u l b a r i l l e t . 1727-X

B r e v e t é e s e n S u i s s e , e n F r a n c e et e n B e l g i q u e .

Récompenses obtenues : Diplô- me d'honneur, Zurich 1883, Mé- daille, Anvers 1885, Médaille d'or, Paris Ι88Θ.

Fabrique de Verres

en t o u s ger

de Montres

res 1707-35 Ancienne maison TASTOIX & BASTARD

J. BASTARD & REDARD

21, Quai des Bergues, 21

A vendre

E t u d e a v e c e x é c u t i o n p r a t i q u e d ' u n e m o n t r e simplifiée, f o n c t i o n s c o m p l è t e s d e r e m o n t o i r et m i s e à l ' h e u r e , é c h a p p e m e n t à a n c r e .

S ' a d r e s s e r à 1716-16 C h . H O U R I E T , h o r l o g e r - t e c h n i -

cien, C o u v e t .

Imprimerie de la Fédération horlogère suisse, Chaux-de-Fonds