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Le poids de nos vieux ou comment le mesurer ?

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Le poids de nos vieux ou comment le mesurer ?

LALIVE D'EPINAY, Christian (Ed.), BICKEL, Jean-François (Ed.), COMPAGNON-KAUFMANN, Anne (Ed.)

Abstract

On le sait, la population suisse vieillit. L'allongement de la vie et la mutation des comportements natalitaires ont radicalement transformé la pyramide des âges. La Suisse grisonne. Mais surtout, entend-on dire, «le poids de nos vieux » devient trop lourd, en particulier pour la population « active » qui assume la part du lion des charges sociales. Mais qui dit poids, dit mesure et aussi instrument de mesure. La conception de la mesure rend-elle bien compte de la réalité? Ou au contraire, la déforme-telle? Ou encore, n'en montre-t-elle qu'un aspect? Et l'instrument utilisé, est-il fiable? Dans cette fiche, on va montrer par quelques exemples que la notion de « poids » de la population âgée n'est pas univoque et que l'instrument de mesure n'est pas neutre. Au contraire, le choix de ce dernier décide déjà, dans une large mesure, de la réponse à la question: le poids de la population âgée est-il trop lourd ou au contraire acceptable?

LALIVE D'EPINAY, Christian (Ed.), BICKEL, Jean-François (Ed.), COMPAGNON-KAUFMANN, Anne (Ed.). Le poids de nos vieux ou comment le mesurer ? CIG DOC , 1994, no. 1, p. 4

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:133110

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Ô(ï ? l Oct. 94

C l G • D 0 C

Les fiches documentaires

Centre interfacultaire de gérontologie Université de Genève

« Ce qu 'on appelle les institutions nécessaires ne sont souvent que les institutions auxquelles on est ac- coutume, et en matière de constitu- tion sociale, le champ du possible est bien plus vaste que les hommes qui le vivent dans chaque société ne l'imaginent. »

Alexis de Tocqueville, 1850

Au rno^l du €I(|iI)(3C, le Centre scftdïaife païficiiîër au ijëat sur les grandes quésîtQns geixuitôlc^£^ 4ie l'heure. Bv^inisrmerlel

une réponse mais de eontnbyër a elaboisr et a analyser les soîutions possiïâles.

LE POroS DE NOS VIEUX OU COMMENT LE MESURER ?

La question

On le sait, la population suisse vieillit. L'allongement de la vie et la mutation des comportements natalitaires ont radicalement transformé la pyramide des âges. La Suisse grisonne. Mais surtout, entend-on dire, «le poids de nos vieux » devient trop lourd, en particulier pour la population « active » qui assume la part du lion des charges sociales.

Mais qui dit poids, dit mesure et aussi instrument de mesure. La conception de la mesure rend-elle bien compte de la réalité? Ou au contraire, la déforme-t- elle? Ou encore, n'en montre-t-elle qu'un aspect? Et l'instrument utilisé, est-il fiable?

Dans cette fiche, on va montrer par quelques exemples que la notion de « poids » de la population âgée n est pas univoque et que l'instrument de mesure n'est pas neutre. Au contraire, le choix de ce dernier décide déjà, dans une large mesure, de la réponse à la ques- tion: le poids de la population âgée est-il trop lourd ou au œntraire acceptable?

L'augmentation de la population âgée: son poids relatif

Commençons par présenter les deux indicateurs les plus fréquemment utilisés (fig. l): le premier donne la proportion de personnes âgées (65 ans et plus) dans la population résidante totale; le second, appelé « taux de dépendance », présente le rapport entre les aînés et la population en âge d'activité économique (de 20 à 64 ans).

En 1900, il y avait une personne âgée pour 17 habi- tants, la relation est de l pour 7 aujourd'hui; elle sera

de l pour 4 en 2040 . On peut exprimer le rapport de dépendance ainsi: en 1900, il y avait 10 personnes en âge d'activité pour l aîné; il n'y en a plus que 4 au- jourd'hui et en 2040, chaque paire de personnes d'âge intermédiaire devra supporter le poids d'une personne âgée.

Figure l: Proportion de personnes âgées et taux de dépendance l

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CTs 0\ 0\ 0\ 0\ 0\

s

OOOOOOOQtî- oo o\ o î-i M m C^0^0^0 0 0 0C<< M CS Cs< M

Légende:

Proportion: (pop. 65+ /pop. totale) x 100

Taux de dépendance I: (pop. 65+ /pop. 20-64) x 100 Sources: Recensements fédà-aux; OFS (1992), op. cit.

Le tableau s'assombrit encore si on scrute de plus près la composition de la population âgée. Au début du siècle, la part de œux qui avaient déjà soufflé leur quatre-vingts bougies à^it marginale; aujourd'hui, ils

' Les projections 2000-2040 utilisées id sont celles du scénario 3A-91

« Intégration » qui est, parmi les dnq scénarios proposés par l'OFS, un scâiario "moyen". En 2040, selon ces scénarios, la population de 65 ans et plus composCTait de 22.8 à 26.1% de la population résidante totale, le taux

de dépœdance l variant de 40.8 à 45.2%. Cf. OFS (1992), Szenarien zur Bevôlkerungsentwicklung der Schweiz, Berne.

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composent 15% des aînés, en 2040, 30% environ. Or e est la population qui demande le plus de soins, et de soms coûteux.

Qui est « dépendant »?

Le taux dit de dépendance renvoie à une idée forte, surtout en Suisse où la solidarité, dans l'AVS, est exprimée par le fait que le travail des « actifs » fi- nance directement les rentes des retraités (de même que les cotisations de ces derniers ont assumé les ren- tes de leurs aînés de l'époque). S'interroger sur révolution de la charge supportée par les travailleurs est bien légitime.

Mais alors, pourquoi ne considérer qu'une partie de la charge et non sa totalité? Les personnes âgées ne sont pas les seules dont le revenu dépende (d'ailleurs pour une part seulement) de la population « active »; s'y ajoutent aussi les jeunes en âge préscolaire ou aux études ainsi que les personnes au foyer. Une approche plus globale devrait donc considérer le rapport entre l'ensemble de la population dépendante et celle qui

exerce une activité rémunérée.

La construction de cet indicateur présente certaines difficultés rédhibitoires; c'est pourquoi on se contente- ra ici d ajouter les jeunes aux âgés pour les rapporter à la population de 20 à 64 ans.

La courbe de ce second taux de dépendance (fig. 2) a une tout autre allure que celle du premier qui montre une irrésistible et constante augmentation du poids des vieux dans la population. Le nouvel indicateur met en lumière la relative stabilité, au fil des décennies, de la charge globale rqîrésentée par les jeunes et les vieux.

On constate même un certain allégement: au début du siècle, il y avait près de 9 personnes « dépendantes » pour 10 « actifs »; aujourd'hui, la situation est la plus favorable du siècle; en 2040, le taux de dépendance sera toujours inférieur à celui de 1900!

Figure 2: Taux de dépendance II

50}-- 40 ^...

30 -l-....

20 +••-

10 +•••

0+

T. dedepmdaiœl

Amœs 00000000000000c^r"!'^ty^^OF^-ooo<iOr-<c^m'<y CT^O^C^C^O^O^C^O^C^\C^OOC'00 Légende:

Taux de dépendance H:

[(pcf. 0-19 ans+pop. 65+) /pop. 20-64] x 100 Sources: cf.fig. l.

Un transfert des jeunes vers les vieux?

Ce graphique suggère que la solution pourrait résider dans la capacité de réaliser un transfert vers les aînés d'une partie des ressources allouées aux jeunes puis- que, bien évidemment, la courbe s'explique par le fait que Faugmentation du nombre des âgés est compensée par la diminution de celui des jeunes . Sans doute ce transfert n est-il pas aisé à réaliser. La famille prend directement en charge une part importante du coût des jeunes, alors que le soutien aux aînés passe prindpa- lement par l'Etat. Les couples qui font moins d'enfants afin d'accéder, eux et leurs enfants, à un mode de vie plus aisé, n'envisagent pas de bon coeur des ponctions supplémentaires de leur revenu. Par ailleurs, la bonne intégration au monde des adultes dépend largement de la qualité de la formation que la sociale offre aux jeunes, une formation que le monde moderne rend toujours plus exigeante et donc plus coûteuse .

n n'empêche qu'une nouvelle idée forte se dégage de la figure 2: la charge globale qui pèse sur nos épaules n'est pas si écrasante, si on la compare à celle que supportaient nos ancêtres du début du siècle, surtout si on tient compte de l'incroyable enrichissement du pays depuis lors.

A quel âge est-on vieux?

Distinguer, comme c'est aujourd'hui fréquent, entre troisième et quatrième âges, entre « jeunes-vieux » et

« vieux-vieux », conduit à poser quelques questions naïves. A quel âge devient-on vieux? Qui a décrété que la vieillesse commence entre 60 et 65 ans? Ce seuil est-il fixé une fois pour toutes? Finalement, l'impression que le poids des aînés s'alourdit ne dé- coule-t-elle pas d'une vision statique qui pose en in- variant l âge d entrée dans la vieillesse?

Tableau l: Evolution de l'espérance de vie à la naissance, selon le sexe

Femmes Hommes

1889/1900

1920/1921

1939/1944 1948/1953 1958/1963 1978/1983 1991/1992

48.5 57.5 67.0 70.9 74.1 79.1 81.2

45.7 54.5 62.7 66.4 68.7 72.4 74.3

Sources: Annuaires statistiques de la Suisse.

Le tableau l montre qu'en moins d'un siècle notre société nous a fait le cadeau d'une bonne demi-vie

Ce qui n'est pas sans poser d'autres questions, mais c'est là une autre histoire! .

3 Diverses études viennent de montra- que, si la famille est certes célébrée dans les discours, la politique familiale, elle, souf&e d'iiaportantes carences.

Cf. OFS, Politique familiale et budget social de la Suisse, Berne, 1994.

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supplémentaire. Nous vivons beaucoup plus long- temps; est-ce à dire que nous continuons à devenir vieux au même âge que nos ancêtres? Assurément

non.

Comment fixer l'âge de la vieillesse? On peut ici re- counr au savoir épidémiologique, tout en se souvenant que les moyennes nivellent les écarts individuels, très marqués en ce domaine. A la fin de la guerre, le groupe d'experts chargé d'élaborer l'AVS avait retenu l'âge de soixante-cmq ans car il estimait qu'en moyenne, cet âge marquait un cap: au-delà, les forces déclinant, assurer sa subsistance par son travail dev&- nait chaque jour plus aléatoire. H se trouve que l'âge de 65 ans avoisinait à l'époque le terme de l'espérance de vie (tabl. l): l'assurance vieillesse était destinée, en quelque sorte, aux survivants! Aujourd'hui en revan- che, la période de 60 à 65 ans ne marque plus un cap dans l évolution fonctionnelle des individus; l'âge de fragilisation se situe entre 75 et 80 ans, selon les résul- tats des enquêtes épidémiologiques. Notons que la comcidence avec la mesure de l'espérance de vie sub-

siste.

Cette perspective apporte deux informations importan- tes. Elle montre que non seulement on vit plus lohg- temps, mais qu on devient vieux plus tard (ce qui ne manque pas d'être réjouissant!). Elle met aussi en lumière révolution profonde, en moins d'un demi- siècle, de l'institution retraite: elîe ouvre aujourd'hui la porte sur une période de vie où l'on est certes âgé, mais pas un vieillard. Ainsi, ce qu'on appelle la popu- lation âgée comprend en fait deux ensembles bien distincts: d'un côté les retraités, adultes parfaitement à même de mener une vie indépendante, de profiter de ce que la vie peut offrir et de participer à la vie de la société; de l'autre les vieiîlards, auxquels le poids des ans interdit de faire face sans aide particulière aux exigences de la vie quotidienne. Cette évolution a transformé la finalité de l AVS et de la retraite; voici un demi-siècle, elles devaient garantir le droit au repos de l'être humain à la porte de l'hiver de la vie. Au- jourd'hui, elles doivent lui offrir, avant que la vieillesse n'arrive, l'expérience d'une vie libérée de la contrainte du travail rémunéré, une période de vie dans laquelle il est doté d'un loisir, c'est-à-dire d'une marge de choix jamais connue précàlemment dans la vie. Ainsi se trouve réalisée, trois siècles plus tard et d une manière quelque peu paradoxale, Futopie qu imaginait Rabelais dans sa description de l abbaye de Thélème dont voici la devise: « Fays ce que voul- dras! ».

La question est aujourd'hui de savoir si la société actuelle peut continuer à garantir ce que certains (le plus grand nombre) considèrent comme un droit méri- te, et d autres comme un luxe. La question est brû- lante, doit-elle pour autant être frappée d'interdit?

Comment fixer l'âge-seuil de la catégorie

« personnes âgées »?

D a â;é suggéré de raisonner en termes de seuil d'acceptabilité (ou-de « tolérance », par analogie avec un raisonnement souvent adopté à propos des étran- gers et qui est, rappelons-le, dàiué de toute base scientifique). On pourrait dire, par exemple, que la proportion atteinte en 1980, ou en 1950, par la popu- lation âgée de 65 ans et plus, définit ce seuil d'acceptabilité. Dès lors, on déciderait de maintenir ce taux constant en rœdant mobile l'année d'entrée dans la catégorie des âgés.

Figure 3: Age mobile et proportion constante de personnes âgées, selon 2 hypothèses

80

75

70

^s_

1950:taux=9.6%

1980:taux=13.9%

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Sources: cf. fig. l.

C'est à cet exercice qu'on se livre dans la figure 3. Si l'année de référence retenue est 1980, l'âge plancher de l'ensemble « personnes âgées » serait de 66 ans jusqu'en l'an 2000, mais passerait progressivement à 71 ans d'ici 2020. Si en revanche l'année de référence choisie est 1950 (donc avec un taux constant de per- sonnes âgées de 9.6%), l'âge-seuil serait aujourd'hui déjà de 71 ans.

Sur le plan théorique, ce type de raisonnement a le mérite de bien mettre en lumière certaines transforma- ti ans des dernières décennies. Sur le plan pratique, pris comme base d'une politique, il conduit à vouloir réduire l'écart entre l'âge de l'AVS et de la retraite d'un côté, et l'âge de la vieillesse de l'autre, donc à mettre en question un des grands acquis sociaux d'après-guerre. Est-ce nécessaire? Est-ce souhaitable?

Richesse nationale et vieillissement de la population A ce stade, on doit recourir à des indicateurs fînan- ciers et économiques. Dans la perspective d une éco- nomie de gestion, on se demandera par exemple quel doit être l'âge AVS pour équilibrer recettes et dépen- ses. L'OFAS, entre autres, s'y est employé à propos du projet de relèvement de l'âge AVS des femmes.

D'un point de vue plus global, on peut prendre pour

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critère la relation entre révolution de la richesse na- tionale et celle de la population âgée. Par exemple, on estimerait que la somme réservée aux personnes âgées, retraités et vieillards, doit correspondre à un pourcentage donné du PNB (raisonnement appliqué dans les domaines de la recherche et de renseignement, de l'aide au développement, etc.). Si les coûts venaient à excéder ce pourcentage, il con- viendrait alors de revoir à la baisse le montant de cer- tames prestations, ou encore à la hausse l'âge donnant accès aux droits.

La figure 4 présente l'indice d'augmentation du PNB et celui de la population âgée en choisissant comme années de référence 1950 et 1970, soit en gros le dé- but et la fin des années dorées. Les indices 1950 met- tent en avant que la richesse nationale a augmenté bien plus fortement que les personnes âgées durant les quarante dernières années. Les mdices 1970, en re- vanche, montrent que les deux augmentations sont du même ordre (n'aurait-on pas cqîendant pensé que celle des personnes âgées était, dans cette période, beaucoup plus forte que la croissance du PNB?).

Tant qu'il en sera ainsi, pourquoi le « poids » des personnes âgées serait-il démesuré? Par ailleurs, l évolution gmérale étant a la contraction du marché de l'emploi, il ne paraît pas que rq3ousser l'âge de la retraite soit une mesure pertinente, tant du point de vue macro-économique que du point de vue sodo- politique.

Figure 4: Croissance du PNB et de la population

âgée (bases: 1950; 1970)

400

350

300

250

200

150

100

- - - - FNK 1950=100

•••—• PNK 1970=100

—ftpagse 1950=100 FnpL Ssés 1970=100

^-tr'""" • .^/^r'"""77''". .

Anéœ

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Légende: Frs de 1980

Sources: Annuaires statistiques de la Suisse; OFS (1992), op. cit.

Conclusions

Chaque intii»^^

î) I-é pfêiïuer^i^dé^^^^^^ la

"charge" repœseîïÉee par les pCTSonnes ^ees s'esfe fôrtement atoimSe et n'â plu <xuimiiuœ mesure i|avee:^-:qul|:tesetaii:;aMi^

||^,^eil:dNieme,|:|?s^e:|;seuî,,©înu^^ :}a:::iïuestion; : MUS en relation avec le pFeime^ il le relatrvise ea mor^^ plutôt aiïegée au smîs el ï::siiècîe:i:(fig^':2i^ ators qi|fê tes sonâ^ éeo-

:i|^ï}uessâllai^|||ttit0ra^

iIlialiiQ^cui:|Q|:ta!:::n||i|ti^^

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La fiche CIG^DOC n° l a été conçue et réalisée par:

Chr. Lalive d'Epinay J.-Fr. Bickel A. Compagnon sociologue, directeur du CIG

sociologye, collaborateur scientifique au CIG sociologue, assistante au Département de sociologie

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C l G

CWDOC Les fiches documentaires Centre interfacultaire de gérontologie Directeur: Prof. Chr. Lalive d'Epinay

Rédaction: J.F. Bickel et M. Brunner Parution: au moins deux fiches par an

Cette fiche peut être obtenue gratuitement au CIG.

Reproduction libre, avec la mention:

« CIG^DOC n°l. Centre Interfacultaire de Géron- tologie, Genève, 1994 »

59, Rte de Mon-Idée - CH-1226 Thônex (Genève) Tel: (41-22) 305.66.01 Fax: (41-22) 348.90.77

e-mail: cig@ibm.unige.ch

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