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Traitement de restauration des manuscrits endommagés par des encres ferrogalliques : atouts et limites du traitement au phytate de calcium

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Academic year: 2021

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HAL Id: hal-01447275

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01447275

Submitted on 7 Feb 2017

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Traitement de restauration des manuscrits endommagés par des encres ferrogalliques : atouts et limites du

traitement au phytate de calcium

Véronique Rouchon, Marine Letouzey, Marthes Desroches, Valéria Duplat, Maroussia Duranton, Eleonora Pellizzi, Julie Stordiau-Pallot

To cite this version:

Véronique Rouchon, Marine Letouzey, Marthes Desroches, Valéria Duplat, Maroussia Duranton, et al..

Traitement de restauration des manuscrits endommagés par des encres ferrogalliques : atouts et limites

du traitement au phytate de calcium. Support Tracé, Association pour la Recherche Scientifique sur

les Arts Graphiques (ARSAG), 2011, 11, pp.106-115. �hal-01447275�

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Introduction

Les manuscrits endommagés par les encres ferrogal- liques soulèvent des difficultés récurrentes en matière de conservation-restauration : savoir s’il faut « traiter », de quelle manière et avec quels effets secondaires suscite encore de nombreuses interrogations. Cette situation peut paraître paradoxale : de nombreux tra- vaux de recherche ont été entrepris au cours des deux dernières décennies pour mettre au point des traite- ments curatifs [Kolar J., Strlic M., 2006 ; Ceres G. et al., 2008 ; Kolar J. et al., 2008 ; Wagner B., Bulska E., 2003]. Comment expliquer que, « depuis le temps »,

« la » solution n’ait pas été trouvée ?! Cette interroga- tion, qui pourrait conduire plus d’un conservateur à remettre en question la finalité des recherches entre- prises dans ce domaine, oblitère un point essentiel, qui pourtant tient du bon sens : LA solution unique n’existe pas ! Il est parfaitement vain d’imaginer que l’on puisse mettre au point « une » méthode qui soit applicable à l’ensemble des collections comportant des encres ferrogalliques. La réalité est faite de diver- sité, et la multiplicité des critères à prendre en compte pour un choix d’intervention laisse penser qu’il est pré- férable d’avoir à disposition un éventail de traitements possibles qui pourraient être perçus comme autant

Traitement de restauration

des manuscrits endommagés par des encres ferrogalliques : atouts et limites du traitement au phytate de calcium

Véronique Rouchon*, Marine Letouzey*, Marthes Desroches*, Valéria Duplat*, Maroussia Duranton*, Eleonora Pellizzi*, Julie Stordiau-Pallot*

* Centre de recherche pour la conservation des collections

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La solution de phytate de calcium est préparée en mélangeant du carbonate de calcium à de l’acide phy- tique. Ce mélange provoque un fort dégagement de gaz carbonique et conduit à un sel de phytate de cal- cium, lequel est alors dilué. Le pH de la solution obtenu étant particulièrement bas, il est nécessaire de le réajuster à des valeurs plus raisonnables. Ces valeurs ne peuvent correspondre à des solutions basiques : au-delà de pH 5, le sel de phytate de cal- cium commence à précipiter, comme en témoigne l’aspect laiteux pris par la solution (voir figure 2) et au- delà de pH 6, le précipité se dépose au fond du réci- pient. Ce comportement suscite une nouvelle question : ce phénomène de précipitation est-il préju- diciable à l’efficacité du traitement ? Si le phytate pré- cipite avec le calcium, on peut a priori penser qu’il devrait être moins disponible pour interagir avec le fer, ce qui pourrait rendre le traitement moins efficace. De plus, il est permis d’imaginer que la précipitation de phytate de calcium provoque la formation d’un dépôt blanc inesthétique à la surface du papier. Enfin, que doit-on penser de l’utilisation a poste-

riori d’une solution désacidifiante de carbonate de calcium ? Aurait-elle pour effet d’augmenter la précipitation du sel ou au contraire de laver les dépôts de sels à la surface du papier ?

Influence du pH des solutions traitantes

Un travail a été entrepris pour mieux apprécier l’impact du pH de la solu- tion traitante de phytate de calcium sur l’efficacité du traitement et les éventuels dépôts de phytate de cal- cium. Le détail des expérimentations

conduites étant disponible par ailleurs [Rouchon V. et al., 2011], nous nous contentons ici de rappeler les principaux aspects de ce travail.

L’étude a été conduite sur des éprouvettes de labora- toire constituées de papier Whatman imprégné dans la masse d’une encre ferrogallique diluée, et pré-vieilli de manière artificielle en enceinte climatique de manière à « amorcer » le processus de dégradation. Les combi- naisons des différents traitements testés, reportées dans le tableau 1, ont été réalisées, par soucis d’ho- mogénéité, avec des bains de 15 minutes chacun. La précaution de renouveler le bain toutes les quinze minutes nous a semblé nécessaire pour la solution au phytate de calcium. En effet, après 15 minutes d’im- mersion dans un premier bain, nous avions constaté qu’il y avait une quantité significative de fer libre en solution

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, ce qui laissait supposer que la solution était épuisée. En revanche, après 15 minutes passées dans un second bain, le test du fer libre s’avérait négatif, ce qui permettait de considérer que la solution était encore active.

À titre comparatif, quelques éprouvettes ont également été traitées à l’aide d’une solution de désacidification non aqueuse disponible en spray sur le marché (Atlantis France, CSC Booksaver®).

Après traitement, toutes les éprouvettes sont placées en enceinte climatique pour être vieillies artificielle- ment à 65 % HR et 70 °C. L’altération des papiers est alors suivie par des tests mécaniques (zero-span) en fonction du temps de vieillissement, pour comparer l’impact des différents traitements.

La figure 3 montre que les solutions de désacidifica- tion, considérées seules, sont inefficaces. De même, les solutions de phytate de calcium, appliquées isolé- ment, ne conduisent pas à des résultats probants à long terme. En revanche, l’utilisation conjointe d’une

Nom O30

Eau distillée 2 bains

Solution de phytate de calcium

Solution de bicarbonate de calcium

O60 4 bains – –

Phy-1 – 2 bains (pH 4.8) –

Phy-2 – 2 bains (pH 5.2) –

Phy-3 – 2 bains (pH 5.5) –

Phy-4 – 2 bains (pH 6) –

Bi – – 2 bains

PhyBi-1 – 2 bains (pH 4.8) 2 bains

PhyBi-2 – 2 bains (pH 5.2) 2 bains

PhyBi-3 – 2 bains (pH 5.5) 2 bains

PhyBi-4 –

CSC Pulvérisation d’un spray désacidifiant non aqueux (CSC Booksaver

®

)

2 bains (pH 6) 2 bains

Tableau 1. Liste des traitements testés. Les bains sont réalisés pour une durée de 15 minutes.

Figure 2. Aspect de la solution de phytate de calcium en fonction de son

pH. © CRCC.

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Il ressort de ces observations que le pH de la solution traitante de phytate de calcium n’a en définitive que peu d’impact sur l’efficacité du traitement et ses effets secondaires. L’utilisation conjointe d’une solution dés- acidifiante de carbonate de calcium s’avère en revanche déterminante. Nous pensons que ce point est directement lié au fait qu’il est nécessaire de rele- ver le pH du papier pour que le phytate soit « capable » d’inhiber entièrement le fer. Il est fort probable que le fer ne puisse se lier que partiellement au dépôt de phy- tate de calcium, du fait du nombre restreint des sites disponibles et d’une forte compétition avec les ions calcium pour occuper ces sites. En revanche, lorsque le pH du papier augmente, des protons sont libérés et de nouveaux sites deviennent disponibles pour coor- donner le fer et l’inhiber.

Il pourrait être tentant à ce stade de vouloir remplacer la solution de carbonate de calcium par une solution d’hydroxyde de calcium, plus simple à préparer. Cette démarche ne nous semble pas pertinente : une solu- tion d’hydroxyde de calcium préparée à pH 8 ne

s’avère pas efficace pour désacidifier des documents acides. Elle le devient lorsqu’elle est préparée à une valeur de pH supérieure à 10, ce qui est bien trop élevé dans le cas d’encres ferrogalliques, qui peuvent

Figure 5. Système de prise de vue pour le suivi des altérations mécaniques provoquées par un traitement par bain. © CRCC.

Figure 6. Dépose du cadre de sérigraphie dans le bain. © CRCC.

Le cadre doit être placé sur un côté en étant maintenu incliné (figure en haut à gauche), puis rabattu avec un mouvement de bascule (figure en bas à gauche),

de manière à ce que la toile soit au contact de l’eau sans être immergée (figure de droite).

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transparent placé sur une table lumineuse et chaque éprouvette a été photographiée aux différentes étapes de la manipulation, de manière à identifier les moments où les déchirures apparaissent (voir figure 5). Cette démarche nous a permis d’observer les faits suivants :

• toutes les éprouvettes présentent une bonne tenue à l’immersion. Il est aisé de les immerger et de les main- tenir en solution pendant des temps longs, de l’ordre de l’heure, sans provoquer de déchirure ;

• la sortie de bain des éprouvettes est en revanche beaucoup plus problématique et provoque de nom- breuses déchirures. De nombreuses techniques ont été testées pour retirer les éprouvettes du bain : échantillon pris en sandwich entre deux toiles de séri- graphie ou entre deux grilles métalliques, échantillon recueilli sur une toile tendue ou sur un support rigide, échantillon placé sur une mousse, eau du bain siphon- née, etc. Aucune de ces méthodes n’a donné de résul- tat satisfaisant. Dès lors que l’on se place dans une configuration où de l’eau s’écoule à la surface du papier, il y a déchirure ;

• la seule méthode qui se soit avérée probante corres- pond à un traitement des documents par flottaison.

C’est la seule qui évite tout écoulement d’eau à la sur- face du papier mouillé. Il est nécessaire alors de dis- poser les échantillons sur une toile tendue, qui est elle-même légèrement immergée, et qui permet de manipuler les échantillons entre deux bains ;

• la seconde étape, la plus risquée, est le séchage. Les parties altérées ont perdu toute élasticité, alors que la partie saine subit des variations de dimensions impor- tantes. Dès lors, de nombreuses déchirures apparais- sent à la jonction entre ces deux parties. Ici encore, plusieurs méthodes de séchage ont été appliquées. Il ressort de manière générale que le risque de déchirure est plus important lorsque les papiers sont pressés.

Les meilleurs résultats ont été obtenus en laissant les papiers sécher à l’air libre.

Passage à l’acte sur des originaux

Les résultats obtenus sur les éprouvettes de laboratoire nous ont conduits à envisager la possibilité de traiter des documents originaux très altérés en procédant par flottaison. De la sorte, une seule face du document est exposée à la solution. Les échanges avec les réactifs ont alors lieu par capillarité, de manière plus lente que par immersion, ce qui nécessite des temps d’exposi- tion plus longs. Cependant, ces échanges ont bien lieu comme en témoignent l’éclaircissement notoire du papier, et les dépôts de calcium et de phosphore mesurés après traitement.

Les essais les plus concluants que nous avons réali- sés, présentés dans les figures 6 à 12, ont été effec-

tués à l’aide d’un cadre de sérigraphie dont la toile est placée à la surface de l’eau, alors que le cadre est situé du coté de l’opérateur. Il est important, au préalable, de vérifier que le système est adapté à une flottaison du document et non à une immersion. Si le bac n’est pas équipé de cales permettant d’éviter que le cadre ne touche le fond, on peut envisager de fixer tempo- rairement des petits plots aux quatre coins du cadre.

Dans tous les cas, il faut estimer à l’avance la quantité de solution nécessaire pour que la toile repose à la sur- face de la solution sans être immergée. Il ne doit pas y avoir de liquide au-dessus de la toile, car elle doit s’hu- midifier par capillarité

3

.

Une fois cette précaution prise, le protocole de traite- ment peut s’effectuer comme suit : le document, placé sec sur la toile de sérigraphie, est recouvert d’un non- tissé Hollytex

®

, puis humidifié : de d’eau distillée est vaporisée au-dessus du non-tissé et en dessous de la toile en évitant de viser directement le document. Le passage d’un pinceau doux et sec sur le non-tissé aide à faire pénétrer l’eau vaporisée. Pour favoriser l’humi- dification, on peut également placer le cadre entre deux feutres préalablement humidifiés par vaporisa- tion. Dans tous les cas, il est nécessaire d’attendre quelques minutes que le papier soit bien relaxé, avant d’enlever les feutres et le non-tissé.

Le document, une fois humidifié est mis en flottaison sur

le premier bain. Le cadre doit être posé dans le bac en

basculant d’un bord à l’autre, de manière à ce que la toile

se mette en contact avec la solution sans emprisonner de

bulle d’air (voir figure 6). Si la toile est bien située à la sur-

face de l’eau, le document est mouillé par capillarité (voir

figure 7). Il peut ainsi être laissé en flottaison le temps sou-

haité sans dommage particulier. Il est aisément retiré par

un mouvement de bascule du cadre analogue à celui de

la mise en flottaison et replacé dans autant de bains que

nécessaire. Pour favoriser les échanges entre le document

et la solution, il est conseillé d’effectuer à intervalle régu-

lier une légère agitation du bain à coté du cadre. Cette agi-

tation ne doit cependant pas provoquer de mouvement à

la surface de l’eau, susceptible de faire bouger le docu-

ment. Entre deux bains, le cadre est déposé sur un

buvard pour absorber le surplus de solution. À la fin du

dernier bain, il est nécessaire, pour faciliter le séchage du

document et son retrait du cadre, de retirer le surplus de

solution qui adhère à la toile. De même que précédem-

ment, le cadre doit être posé sur un papier buvard, mais

il faut aller plus loin dans le geste, tout d’abord en passant

un papier absorbant sur les marges, coté recto et verso,

puis, en laissant glisser, de la manière la plus délicate pos-

sible, le papier absorbant au verso de la toile sous le docu-

ment (voir figure 8)

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. Lorsque la majeure partie de la

solution est retirée, on place le cadre sur un feutre de

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certain nombre de précautions qui requièrent à la fois du temps et de l’attention, ce qui est difficilement com- patible avec une approche de masse, mais concevable pour le traitement de cahiers ou de volumes isolés.

Conclusion

Le traitement au phytate de calcium a suscité beaucoup d’efforts de recherches : son fonctionnement n’est encore que partiellement élucidé, mais il existe aujourd’hui un large consensus pour reconnaître son efficacité. Ce traite- ment est à la fois lourd à mettre en œuvre et particulière- ment invasif. C’est pourquoi il n’est guère envisageable à titre préventif. À titre curatif en revanche, il est parfaite- ment concevable de manière ciblée sur des documents très endommagés dont on accepte a priori que l’appa- rence visuelle et la composition soient modifiées. Les risques mécaniques inhérents à l’immersion de docu- ments très altérés dans des solutions aqueuses ont jusqu’à présent constitué un frein substantiel à l’applica- tion du traitement. Le travail présenté ici montre que ces risques sont largement minimisés lorsqu’un certain nom- bre de précautions sont prises. Nous espérons qu’il per- mettra une meilleure utilisation de ce traitement, qui reste, à ce jour, le plus largement étudié et documenté des trai- tements antioxydants.

Remerciements

Ce travail a été pour une partie financé par la Bibliothèque nationale de France, dans le cadre d’un projet visant à évaluer les méthodes de restauration disponibles sur les manuscrits anciens. Nous tenons en particulier ici à remercier Isabelle Dussert-Carbone et Philippe Vallas pour leur soutien, ainsi que Véronique Belon, Madeleine Blouin, Myriam Eveno, Olivier Joly, Alain Lefebvre, Thi- Phuong Nguyen et Dominique Saligny qui ont participé aux tests préliminaires réalisés sur les éprouvettes de laboratoire. Nous souhaitons également remercier la Fondazione Casa di Risparmio di Torino qui a financé l’au- tre partie de ce travail par une bourse de recherche. Enfin, certaines des expérimentations de cette étude ont été réa- lisées dans le cadre d’un enseignement de travaux pra- tiques de l’Institut national du patrimoine et ont bénéficié de l’enthousiasme et de la témérité des élèves restaura- teurs.

Notes

1. http://irongallink.org

2. La présence de Fe II en solution est aisément identifiable à l’aide du papier test à la bathophénanthroline (Atlantis France ou Preservation Equipment). Il suffit d’immerger pendant 1 seconde le papier test dans la solution traitante et d’observer sa couleur après séchage. Dans le cas de documents originaux très corrodés, il peut être difficile de faire en sorte que ce test soit négatif, même en changeant le bain de phytate de calcium plusieurs fois. On observe cependant une décroissance de l’intensité du test au fur et à mesure que l’on change de bains, ce qui est déjà en soit un élément positif.

3. Pour vérifier la position de la toile, on peut effectuer un test simple qui consiste à exercer une légère pression avec le doigt sur la toile : le liquide doit traverser la toile mais ne pas y rester lorsque la pression est relâchée.

4. Il est nécessaire pour cela de vérifier que le papier absorbant employé ne contient pas de colorants ou d’azurants optiques susceptibles de décharger sur le papier d’œuvre. Par ailleurs, le fait d’éponger le verso du document est une opération délicate, car si on appuie sur le cadre, on crée localement une déformation et un risque substantiel de déchirure.

Il est donc conseillé de limiter cette opération à la dernière sortie de bain.

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