Table des matières 1.

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3. Table des matières

1. Remerciements 2. Avant-propos 3. Table des matières 4. Liminaire

5. Introduction - Etudes en relations internationales, doctrines militaires et pensée stratégique : un bilan théorique

5.1. Les approches classiques

5.1.1. Définitions et délimitations relatives au champ théorique présenté

5.1.2. De quelques remarques générales à propos de la réflexion doctrinale et stratégique

5.1.3. Le rôle des pressions du système international 5.1.4. Les logiques organisationnelles

5.1.5. Les interactions entre l’institution militaire et l’environnement extérieur

5.2. Du culturalisme en stratégie aux approches critique et postmoderne

5.2.1. Vers une approche culturaliste en stratégie : les antécédents 5.2.2. La culture stratégique : un concept fourre-tout ?

5.2.3. Du culturalisme stratégique au constructivisme

5.2.4. Vers une autre forme de constructivisme : les approches critique et postmoderne

6. Introduction (suite) - Précision du questionnement personnel (et définitions des concepts employés dans le questionnement)

6.1. Altérité et représentations dans la pensée stratégique et de sécurité –

une évaluation

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6.1.1. L’altérité comme précondition à la représentation de Soi et de l’Autre

6.1.2. Face à l’inconnu : fixation et représentation

6.1.3. La représentation de Soi et la légitimité de la guerre – de la culture de guerre à la culture stratégique

6.1.4. Projection, ethnocentrisme et effets des représentations dominantes

6.1.5. Négation de l’Autre

6.1.6. « Brutalisation » discursive, « brutalisation » technique, distanciation réelle

6.1.7. Culture de guerre et représentation des masses

6.1.8. La cohésion de Soi et l’invocation / création de la menace 6.1.9. Création de l’Autre par la voie du bouc-émissaire et culture

de la peur

6.1.10. Le risque – un « infra-Autre »

6.1.11. Remise en cause de la nécessité absolue de l’altérité 6.1.12. Eléments de critique de la culture de guerre et de violence 6.1.13. [« Techniquement »] Comment l’Autre devient sujet de

sécurité ?

6.2. L’apport de la pensée de Michel Foucault

6.2.1. La recherche d’un ordre dans le savoir 6.2.2. Savoir visible et savoir invisible 6.2.3. Mathesis, taxinomia et genèse

6.2.4. Représentations de Soi, de l’Autre et être humain 6.2.5. Le pouvoir – tentative de définition

6.2.6. Pouvoir et discours

6.2.7. Eléments visuels, éléments spatiaux et corps 6.3. Reformulation, délimitations, définitions

6.3.1. Reformulation du questionnement 6.3.2. Définitions et délimitations 6.3.3. Déroulement de la thèse 6.3.4. Plan de la thèse

7. Première partie : le combat à l’origine des représentations dans la pensée stratégique

7.1. Guerre, bataille et obstacle au déploiement de la violence au combat 7.1.1. La culture stratégique occidentale et la phalange

7.1.2. Mémoire, violence et interdit

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7.1.3. L’homme sur le champ de bataille 7.2. Provoquer la violence au combat

7.2.1. Frustration, alcool et « décivilisation » 7.2.2. L’élément coercitif : dressage et exécutions 7.2.3. La cohésion sociale au sein des groupes primaires 7.2.4. Cohésion de groupe et interactions de face à face

8. Deuxième partie : le développement d’un socle épistémologique commun aux représentations (à partir du XVI

^e

siècle)

8.1. L’apparition de la pensée stratégique

8.1.1. Origines lointaines, textes et sacré 8.1.2. Oralité et écriture

8.1.3. Les représentations par l’image

8.2. Les représentations chez Machiavel – redécouverte et vision du champ de bataille

8.2.1. Quel regard sur l’oeuvre de Machiavel ? 8.2.2. Stoïcisme et héritage des Anciens

8.2.3. Les représentations dans l’apparente simplicité de l’oeuvre machiavellienne

8.3. La révolution militaire et la création des Etats

8.3.1. Le développement des Etats européens 8.3.2. La diffusion de la révolution militaire 8.3.3. Forteresses et clôture spatiale du monde

9. Troisième partie : sédimentation, extension et implications des représentations issues du socle épistémologique classique

9.1. Les représentations géométriques dans la pensée stratégique théorique classique

9.1.1. Les pionniers modernes d’une science de la guerre 9.1.2. Entre Jomini et Clausewitz

9.1.3. Dans le sillage de Jomini et de Clausewitz

9.2. Les représentations géométriques dans l’historiographie militaire

classique

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9.2.1. Aux origines de l’histoire militaire

9.2.2. La naissance de l’historiographie militaire officielle

9.2.3. Reproduction du modèle historiographique militaire classique

9.3. Les représentations géométriques dans la géostratégie et la géopolitique

9.3.1. Aux origines de la géostratégie et de la géopolitique 9.3.2. Géographie politique, géostratégie, Geopolitik 9.3.3. Géostratégie et guerre froide

10. Quatrième partie : pérennisation, réinterprétations et bouleversements des représentations classiques

10.1. La continuité « délimitée » des représentations géométriques à l’âge des machines

10.1.1. De la Blitzkrieg à la RMA : vers une représentation électronique de Soi et de l’Autre

10.1.2. Les évolutions au sein de la géostratégie / géopolitique 10.1.3. Le cheminement de l’histoire militaire

10.2. Les représentations au sein des études stratégiques : un nouveau socle épistémologique est né (?)

10.2.1. Vers un nouveau socle épistémologique ? 10.2.2. Etudes stratégiques et sciences sociales

10.2.3. Etudes stratégiques et stratégie nucléaire (OR, system analysis, théorie des jeux)

10.3. Les représentations au sein des études de sécurité : la contestation contemporaine

10.3.1. Du rationalisme des relations internationales et de ses remises en cause

10.3.2. De la stratégie à la sécurité

10.3.3. La sécurité entre menaces et risques 11. Conclusions

12. Bibliographie

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