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(1)

TRAITEMENT DU SIGNAL

Nicolas ERRIEN 2008/2009

(2)

Signaux

(3)

Exemple: control non destructif U.S.:

- source : train d’onde

- milieu de propagation: pièce à contrôler - Détecteur : capteur U.S.

Source Milieu de propagation

Détecteur

Convertisseur A.N.

Ordinateur Introduction

I- Théorie du signal, généralités

Traitement du signal: science qui analyse et interprète les informations contenues dans un signal

En physique signal=mesure d’un phénomène physique Ne pas confondre le phénomène et sa mesure !!!

(4)

La notion de signal est intimement liée à celle d'information.

Signal = représentation physique d’une information à transmettre Ou Signal = entité qui sert à véhiculer l’information.

Dans un contexte expérimental, on peut entendre par information:

- la mesure du temps de vol d’une onde, - une pression acoustique

- présence de rupture dans une image on un signal

- présence ou non d’une fréquence particulière dans un spectre Introduction

Théorie du signal, qu’est-ce qu’un signal ? I- Théorie du signal, généralités

(5)

Introduction

Objectifs du traitement du signal

Théorie du signal : Décrire de façon mathématique ce qu’est un signal ainsi que ses propriétés par :

- Transformation de Fourrier - Analyse fonctionnelle

- Analyse statistique - Méthode d’estimation

Théorie de l’information : concerne la façon de coder un signal ainsi que de le crypter I- Théorie du signal, généralités

(6)

Exemples. La Figure 1 montre différents signaux temporels. La dénomination de ces différents signaux est précisé plus tard.

Figure 1 Différents signaux temporels. (a) : signal pulsionnel (ou à support temporel fini), (b) : signal périodique, (c) : signal aléatoire, (d) : signal composite composé de la somme des signaux (a)+(b)+(c).

Introduction

Théorie du signal, qu’est-ce qu’un signal ? I- Théorie du signal, généralités

(7)

Modélisation. Le signal peut se représenter sous forme temporelle (notée x(t), quand la variable d'évolution t varie continûment) ou sous forme fréquentielle (notée X(f ), quand la variable d'évolution f varie continûment), le passage de l'une à l'autre de ces

descriptions s'effectuant au moyen de la transformée de Fourier.

S'il est possible de modéliser certains signaux x(t), sous la forme de fonctions de base (sinus, exponentielle, polynômes, ...) et d'opérations de base (somme, produit,

convolution, ...), la plupart des signaux fournis par l'expérience ne sont disponibles que sous une forme x(t), sans expression analytique associée.

Notion de bruit

Ce qui distingue le signal du bruit c'est que l'un transporte une information qui nous intéresse, l'autre une information qui ne nous intéresse pas.

(8)

1 par leurs modes de représentation :

-signaux déterministes ou signaux aléatoires. La forme temporelle d'un signal déterministe est toujours la même lorsque l'expérience est reproduite dans des conditions identiques, ce qui n'est pas le cas d'un signal aléatoire.

Classification des signaux

- signaux à temps continu ou signaux a temps discret, la plupart des signaux rencontrés dans la nature varient continûment avec le temps.

(9)

Numérique Analogique

Conversion par convertisseur Analogique numérique

deux activités parallèles : l'échantillonnage et la quantification

- signaux analogiques ou signaux numériques. Les valeurs que le signal peut prendre peuvent être décrites de manière continue (cas d'un signal de parole mesuré par un microphone de pression) ou discret (codage ADN), liées à une opération de quantification. On parle alors de signal à valeurs continues (ou signal analogique) ou discrètes (ou signal numérique).

Classification des signaux

(10)

2 par certaines de leurs caractéristiques

-signaux stationnaires ou signaux non stationnaires (Le "contenu fréquentiel"

d'un signal stationnaire n'évolue pas au cours du temps. )

Figure: signal stationnaire ergodique. Mesure à 3 temps différents décalé selon l’axe y Ergodique: caractéristiques statistiques équivalentes à chaque réalisation

! Ergodique différent de stationnaire !

Exemple: valeur constante différente à chaque réalisation Classification des signaux

(11)

signaux à bande étroite ou signaux large bande (Un capteur ultra-sonore est un capteur à bande étroite ; le signal qu'il délivre l'est donc également.),

signaux basses fréquences (BF) ou signaux hautes fréquences (HF), (Attention de bien préciser ce que sont des BF et des HF, gammes de fréquences qui ne sont pas les mêmes suivant qu'on s'intéresse à des infra-sons ou à des ondes radio)

Classification des signaux

Figure 2 signal sinusoidal BF (a) et HF(b)

(12)

- signaux à support temporel fini, aussi appelés signaux transitoires ou signaux impulsionnels (donc à énergie finie), ou signaux à support temporel infini (à puissance finie).

Il est important de noter que cette classification ne sert qu'à sélectionner la méthode la mieux adaptée à un problème donné

Classification des signaux

(13)

Quelques descripteurs de signaux

Pour les signaux déterministes, l’information pertinente peut se réduire à quelques descripteurs élémentaires du signal

Valeur efficace (ou valeur RMS) observée sur un temps T:

Valeur moyenne observée sur un temps T:

Facteur de crête : rapport entre la valeur crête du signal temporel sur sa valeur RMS (descripteur pertinant pour les signaux transitoires)

Énergie : on appel énergie du signal sur un temps T la quantité:

(14)

Puissance moyenne : on appel puissance moyenne du signal sur un temps T : Quelques descripteurs de signaux

Puissance instantanée :

Si T s’étend de - à , signaux à énergie finie vérifient:

- Si s(t) est à énergie finie nécessairement à puissance moyenne finie - Signaux à énergie finie = signaux à carré sommable

- Pour les signaux de période T, l’intervalle de temps = période du signal Signaux à puissance moyenne finie

(15)

Parité d’un signal

Quelques descripteurs de signaux

Un signal peut se décomposé en une somme d’un signal paire et d’un signal impaire

Avec

et Donc

(16)

Représentation de quelques signaux déterministes

Fonction porte

Fonction de Heaviside (ou échelon unité)

Ou rectT

(17)

Représentation de quelques signaux déterministes

Fonction sinus cardinal Fonction triangle

Fonction importante en traitement du signal car correspond à la transformée de fourrier d’une porte

(18)

Représentation de quelques signaux déterministes Fonction gaussienne

Paramètres importants : - Son amplitude A

- La demi-largeur à mi hauteur reliée à σ par

Signal gaussien particulièrement utile pour les processus aléatoire car à la base des distributions de probabilités

Gaussienne normalisée par son intensité intégrée

(19)

Représentation de quelques signaux déterministes Fonction périodique à temps continu

La somme de deux fonctions périodique est périodique si et seulement si il existe des entier k1 et k2 tels que k1T1=k2T2

Une fonction est périodique si s(t)=s(t+T)

cos 2

ix

ix

e

x e

+

= i

e x e

ix ix

sin 2

=

Formule d’Euler

(20)

Dirac δ(t)

Représentation de quelques signaux déterministes

Quelques propriétés de la fonction Dirac Impulsion, temps court

(21)

MATHEMATIQUE DU SIGNAL

(22)

Analyse fonctionnelle

(23)

Introduction à l’analyse fonctionnelle

Deux domaines particulièrement utiles pour le traitement du signal:

- Analyse fonctionnelle Signal déterministe - Théorie des probabilités Signal aléatoire

Choix de la base arbitraire, guidé par l’analyse souhaitée On développe le signal s(t) sur la base:

Analyse fonctionnelle dans un espace vectoriel de Hilbert (fonctions carrés sommables). Il faut définir dans cet espace vectoriel:

- La dimension de l’espace

- la base qui sous tend l’espace - une métrique et donc une norme

Les coefficients cn sont les composantes du signal dans la base et constituent une représentation du signal s(t)

(24)
(25)

Les séries de Fourier

Représentation fréquentielle des signaux

(26)

La série de Fourier

La série de Fourier permet de représenter toutes les fréquences contenues dans un signal périodique dont la fonction x(t) est connue mathématiquement

Signal

Analyse

Temporelle

Réponse transitoire du système

Fréquentielle

-Spectre de puissance -Réponse en fréquence

-Décomposition fréquentielle du signal

Signal périodique

Série de Fourier Transformée de Fourier

Signal apériodique

(27)

Tout signaux périodiques est la somme de signaux harmoniques d’amplitudes distinctes et d’une composante continue si elle existe.

Pour caractériser un signal, la série de Fourier nous fourni des paramètres qui ne sont pas visibles dans le domaine temporel.

(28)

Exemple de reconstruction de signal:

Reconstitution du signal original à partir d’une somme de signaux sinusoidaux

+ Plus nous avons de signaux et meilleure sera la recomposition du signal original.

- le signal reconstitué contiendra des discontinuités proportionnelles au nombre de signaux combinés phénomène de Gibbs

(29)

Analyse harmonique (ou fréquentielle) = instrument majeur de la théorie des signaux et des systèmes

Le développement en séries de Fourier (puis la transformation de Fourier) permettent d’obtenir une représentation spectrale des signaux déterministes, i.e. la répartition de

1. l’amplitude 2. la phase 3. l’énergie 4. la puissance

des signaux considérés en fonction de la fréquence.

ANALYSE DE FOURIER

(30)

Deux représentations pour 1 seul signal

(31)

Deux représentations pour 1 seul signal

(32)

Deux représentations pour 1 seul signal

(33)

SERIE DE FOURIER

L’élément fondamental de l’analyse de Fourier est constitué par le fait qu’un signal périodique peut être décomposé en une somme d’ondes sinusoïdales

(34)

SERIE DE FOURIER

6 6

x (t) 1+x (t)

1 1

4 4

2 2

0 0

−2 −2

−2 −1 0 1 2 −2 −1 0 1 2

6 6

x (t) 1+x (t)+x (t)

2 1 2

4 4

2 2

0 0

−2 −2

−2 −1 0 1 2 −2 −1 0 1 2

6 6

x (t) 1+x (t)+x (t)+x (t)

3 1 2 3

4 4

2 2

0 0

−2 −2

−2 −1 0 1 2 −2 −1 0 1 2

Le signal résultant est la somme de trois sinusoïdes dont la fréquence est

chaque fois

un multiple de la fondamentale f0

(35)

Définition de la série de Fourier

(36)

Définition de la série de Fourier

(37)

Définition de la série de Fourier en cosinus

(38)

Série de Fourier complexe

(39)

Série de Fourier complexe

(40)

Série de Fourier complexe

(41)

Relation entre les 3 représentations

(42)

Relation entre les 3 représentations

(43)

Les différents spectres

(44)

Les différents spectres

(45)

SERIE DE FOURIER

Il est fréquent en traitement du signal de ne parler que des spectres d’amplitudes et de délaisser quelque peu les spectres de phases

Cette attitude est due au fait que lors du filtrage de signaux audio, on se

contente de modifier le spectre d’amplitudes car l’oreille est peu sensible aux distorsions de phase

Cependant, lorsque l’on désire conserver la forme d’un signal, en particulier dans le cas du filtrage d’images, il est très important de ne pas négliger le spectre de phases.

La phase contient une part importante de l’information concernant la forme d’un signal

(46)

SERIE DE FOURIER

Importance de la phase

(47)

Reconstituons le signal selon cette relation:

( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( )

t j t

j t

j t

j t

j t

j

t j t

j t

j t

j t

j t

j t

j

e e

e e

e e

t x

e C e

C e

C e

C e

C e

C e

C t x

π π

π π

π π

π π

π π

π π

π

6 4

2 2

4 6

2 3 3 2 2 2 2

1 1 2 0 0 2

1 1 2

2 2 2

3 3

3 1 2

1 4

1 1 4

1 2

1 3

) 1 (

) (

+ +

+ + +

+

=

+ +

+ +

+ +

=

En regroupant les termes sous forme trigonométrique, nous obtenons

) 2 2cos(

) 1 4 cos(

) 6 3cos(

1 2 )

(t t t t

x = + π + π + π

Ce signal est donc composé d’un terme constant (valeur moyenne continue non nulle) et de trois autres signaux de fréquence et amplitudes distinctes.

Signal résultant de l’addition des 4 composantes x0,x1,x2 et x3

x0 x1 x2 x3

(48)

Phénomène de Gibbs

Soit

−∞

=

=

n

t

ejn

n j

t k

x 2 1 pour n impair

)

( π

π

Comme nous ne pouvons prendre en pratique une somme infinie de termes, alors

=

= N

N n

t

ejn

n j

t k

x 2 1 pour n impair

)

( π

π

Cette somme étant maintenant limitée, on retrouve nécessairement une erreur lors de la reconstitution du signal.

) ( ) ( )

(t x t x t en = n

Cette erreur doit tendre vers zéro lorsque N tend vers l’infini. Lorsque le signal comporte des discontinuités (comme par exemple un signal à ondes carrées périodique)

l’approximation xn(t) présente des ondulations que l’on nomme phénomènes de Gibbs et qui s’atténue avec l’augmentation de N.

Pour N faible, on remarque les

oscillations qui se produisent sur les bords de l’onde carrée périodique.

(49)

Densité spectrale de puissance

Un signal périodique possède une énergie infinie et une puissance moyenne finie. Sa puissance moyenne sur une période est définie par

dt t T x

Px T

)2

1 (

=

Si on développe cette équation, nous avons

∑ ∫

∫ ∑

−∞

=

−∞

=

−∞

=

−∞

=

=

=

=

=

=

k k k

k k t

jk

k k T

x

T

t jk k

T k x

C C

C dt

e t x C P

dt e

C t

T x dt t x t T x P

* 2

*

* *

0

0

) (

) 1 (

) ( ) 1 (

ω

ω

Cela signifie que la puissance d’un signal à temps continu périodique est égale à la somme des coefficients de Fourier au carrés. C’est ce que l’on nomme le théorème de Parseval.

Cela signifie que si nous avons un signal quelconque que nous pouvons décomposer en série de Fourier, nous pouvons connaître la puissance de ce signal uniquement à l’aide des coefficients spectraux.

(50)

Les transformées de Fourier

Théorie et applications

(51)

La transformée de Fourier est une généralisation des séries de Fourier pour tout types de signaux. Pour développer la transformée de Fourier, nous avons que l’idée principale est de tendre la période T d’un signal périodique vers l’infini. En insérant cette condition dans la série de Fourier, on obtient la relation suivante concernant la transformée de Fourier d’un signal apériodique;

dt e

t x X

TF

j t

=

→ ( ) ( )

ω ω

X(ω) représente une fonction continue en fréquence angulaire. La transformée inverse de Fourier est de reconstruire le signal à partir de la fonction de fréquence angulaire X(ω).

ω π X ω e ω d t

x

TFI

j t

=

→ ( )

2 ) 1 (

On peut également utiliser la forme fréquentielle où f est la fréquence en Hertz.ω =2πf

dt e

t x f

X

TF

j f t

=

→ ( ) ( ) 2

π

ω

π d e

f X t

x

TFI

j f t

=

→ ( ) ( ) 2

Pourquoi la transformée de Fourier

(52)

Relation entre série et transformée de Fourier

(53)

Relation entre série et transformée de Fourier

(54)

Relation entre série et transformée de Fourier

(55)

Relation entre série et transformée de Fourier

(56)

Propriétés de la transformée de Fourier

(57)

Exemple d’une impulsion rectangulaire :

(58)

Exemple d’une impulsion rectangulaire :

(59)

Spectre d’amplitude d’une implulsion rectangulaire

(60)

Relation entre largeur spectrale et étendue dans le temps

(61)

Exemple d’un sinus amorti

(62)

Exemple d’un sinus amorti

(63)

Exemple d’une exponentielle décroissante

(64)

Exemple d’une exponentielle décroissante

(65)

Autres exemples de transformées de Fourier Impulsion δ(t)

1

TF ) (

1 )

0 ( )

( ) ( que

définition la

Selon

) ( )

( ))

( ( Soit

) 0 (

=

=

=

=

=

t Donc

e x

dt t t x

dt t e

dt e

t t

TF

j t

j t

j

δ

δ

δ δ

δ

ω ω

ω

Impulsion fréquentielle δ(ω)

ω π δ

ω ω δ ω

ω ω δ ω

ω π δ

ω

δ

ω ω

2 1

TF ) (

1 )

0 ( )

( ) ( que

définition la

Selon

) ( )

2 ( )) 1 ( ( Soit

) 0 ( 1

=

=

=

=

=

Donc

e x

d x

d e

d e TF

t j t

j t

j

(66)

Décalage dans le temps

( )

( )

( )

ω

ω λ

λ λ

λ

λ λ

λ ω

ω

ω

ω ωλ

ω λ

ω ω

ω ω

X

X d

d dt

t d

dt X

0

0 0

0 0

t j - 0

- -

t j - j

- t

j - t

j - -

t j - 0 0

0 0

-

t j - 0 0

t j - 0

e TF ) t - x(t

Donc

e

)e x(

e )e

x(

)e t - x(t ))

t - TF(x(t

t et

t d

, t - t variable

de changement un

effectuant En

)e t - x(t ))

t - TF(x(t

: Preuve

) X(

e

) t - x(t

) (

x(t)

Si

=

=

=

=

+

=

=

=

=

∫ ∫

+

Décalage dans le domaine des fréquences

( ) ( )

( ) TF X( )

e Donc

e

)e 2 X(

e 1 )e

2 X(

)e 1 2 X(

)) 1 t - TF(x(t

et d

, variable

de changement un

effectuant En

)e 2 X(

)) 1 (X(

TF

: Preuve

) X(

e

x(t)

) ( x(t)

Si

0 t

j

- -

t j j

t j j

-

t j 0 0

0 0

-

t j 0 0

1 -

0 t

j -

0

0 0

0 0

ω ω

λ π λ

λ π λ

ω ω

π ω

ω λ ω

λ ω ω λ

ω ω

π ω ω

ω

ω ω ω

ω

ω λ

ω ω

λ ω

ω ω

=

=

=

=

+

=

=

=

=

∫ ∫

+

t x

t x d

d d

t d

d X

t t

(67)

Changement d’échelle dans le domaine temporel.

Un signal peut également subir une compression ou une extension dans le temps et il serait intéressant de savoir ce que cela implique dans le domaine fréquentiel.

=

=

=

=

=

=

=

=

∫ ∫

X a a

X a d a

d a a

a

t a ad

t dt

X

a

ω

λ ω λ

λ λ λ

λ

λ λ λ

ω ω

λ ωλ ω

ω

ω λ

1 TF x(at)

Donc

1 )e

1 x(

)e 1 x(

)e d x(

TF(x(at))

et t d

, a variable

de changement un

effectuant En

x(at)e TF(x(at))

: Preuve

a ) a X(

1 ) x(at

) ( x(t)

Si

- -

j j -

- -

j - -

t j -

a

(68)

Fonctions de corrélation temporelles, densités spectrales d’énergie et de puissance, applications

(69)

Corrélation

Qu’est ce que la corrélation ? Comparaison de deux signaux entre eux

Cette fonction agit principalement dans le domaine temporel

On s’intéresse à des signaux d’énergie finie (support temporel fini) Ou aux signaux à puissance moyenne finie

(70)

Corrélation de signaux a énergie finie

(71)

Corrélation de signaux a énergie finie

(72)

Auto corrélation

Corrélation de signaux a énergie finie

(73)

Exemple : signal temporel bruité composé d’un trajet direct et de son écho (a) Fonction d’autocorrélation en b

(74)

Théorème de Wiener - Khintchine

Défini la valeur de la T.F. de la fonction d’intercorrélation ou d’autocorrélation de 2 signaux

Si les deux signaux sont identiques, on a alors

On obtient le module du spectre au carré: densité spectrale d’energie Théorème de Wiener - Khintchine :

La transformée de Fourier de la fonction d’autocorrélation d’un signal est égale à sa densité spectrale d’énergie

Corrélation de signaux a énergie finie

(75)

Corrélation de signaux à puissance moyenne fine

(76)

Corrélation de signaux à puissance moyenne fine

(77)

Propriétés de l’autocorrélation

(78)

Propriétés de l’autocorrélation

(79)

Propriétés de l’autocorrélation

(80)

Propriétés de l’autocorrélation

(81)

Propriétés de l’autocorrélation

(82)

Propriétés de l’intercorrélation

(83)

Propriétés de l’intercorrélation

(84)

Exemple

(85)

Exemple

(86)

Exemple

(87)

Exemple

(88)

Exemple

(89)

Exemple

(90)

Interactions des signaux avec les

systèmes linéaires : convolution, réponse impulsionnelle, transmittance

fréquentielle ; filtrage, déconvolution, identification

(91)

Système

Entrée x(t) Système agissant

sur l’entrée Sortie z(t)

Définition: Opérateur qui agit sur un signal x(t) pour donner un autre signal y(t)

Les systèmes physiques ne peuvent être influencé par le futur. Ils ne peuvent être anticipatoire ou non casual

Ex: filtres

Différents systèmes:

- à mémoire : la sortie dépend des valeurs antérieur à celle de l’instant t (système physique non entretenu qui emmagasine de l’énergie potentielle: ressort, RLC…)

- sans mémoire: la sortie ne dépend que de la valeur du signal d’entrée à l’instant t

(92)

Système Linéaire Invariable par translation dans le temps (SLI)

(93)

Système Linéaire Invariable par translation dans le temps (SLI)

(94)

« Recette »: pour calculer un produit de convolution, il faut conserver le premier signal, trouver le symétrique du second par rapport à l’axe des ordonnées, décalé ce signal du temps t, multiplier les deux signaux obtenus et finalement intégrer le résultat

Produit de convolution

(95)

Propriétés du produit de convolution:

(96)
(97)

Attention, la conservation du signal n’est qu’a cas particulier

Existence d’atténuation, dispersion : incompatibilité avec cette

modélisation

(98)

T.F. du produit de convolution: Théorème de Plancherel

Théorème de Plancherel:

La transformée de Fourier du produit de convolution de deux signaux s(t) et r(t) est égale au produit des transformées de fourier de ces deux signaux

(99)

T.F. du produit de deux signaux

La transformée de Fourier du produit de deux signaux s(t) et r(t) est égale au produit de convolution des transformées de Fourier de ces deux signaux

(100)

Fenêtrage des signaux

(101)
(102)
(103)

Exemples d’autre fenêtres

(104)

A – Fenêtre de Hann

B - Fenêtre flap top T=0,128 s

Sinus fenêtré par une fenêtre de Hann non centrée en t=0

Références

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