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Saint-Germain-des-Prés

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Texte intégral

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L A L E T T R E D E

Saint-Germain-des-Prés

Février N°97 9ème année 2004

Ce qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples, c’est l’amour que vous aurez les uns pour les autres

De l’information à la communication

Nous, chrétiens, quel message voulons-nous transmettre au monde d’aujourd’hui ?

grès.

Je voudrais pourtant nous inviter à nous poser quelques questions grâce à ce dossier de la Lettre.

Pour communiquer, il faut un émet- teur, un récepteur et un message.

Nous, chrétiens, quel message vou- lons-nous transmettre au monde d’aujourd’hui ?

Comment nos communautés sont- elles des lieux où l’on communique ; c’est-à-dire non seulement des lieux où l’on s’informe de ce que fait l’autre mais des lieux de partage et d’échange des richesses que nous découvrons dans notre marche à la suite du Christ ?

Quels sont les moyens que nous nous donnons pour prendre du recul par rapport à toutes ces informa-

tions qui nous arrivent de partout ? Comment exercer notre pouvoir de jugement et former notre sens cri- tique au meilleur sens du terme ? Comment ne pas nous laisser sub- merger par les modes environnan- tes, par le « prêt à penser « véhiculé un peu partout ?

Comment ne pas avoir peur ou dia- boliser ces moyens de communica- tion dont dispose notre société mais y insuffler le vent de l’Evangile ? En acceptant que la messe télévisée soit retransmise à partir de St Ger- main des Prés le 7 mars prochain, nous montrons que la communica- tion peut servir un but louable et beau : transmettre la Parole de Dieu aux hommes d’aujourd’hui.

Père Olivier RIBADEAU DUMAS

A

u début du siècle dernier, on ne s’étonnait pas d’attendre plu- sieurs mois pour obtenir la réponse à un courrier que l’on avait fait parvenir à l’autre bout du monde.

Aujourd’hui avec Internet, la liaison ne nécessite que quelques secon- des. La communication s’est considérablement développée ces dernières décennies et ce n’est sans doute pas fini.

Mais faut-il alors vraiment parler de communication ? Ce qui a changé ce sont les moyens à notre dispo- sition pour être informé en temps réel de tout ce qui se passe dans le monde ; ce qui a changé c’est l’im- portance et le retentissement de tout évènement dans la vie de chacun grâce aux médias. Je ne nie pas l’importance et l’intérêt d’un tel pro-

Vie paroissiale

Onction des «malades» p. 2

DOSSIER

Comment communiquer p. 3

Oecuménisme

Comment aller vers l’Unité p. 6 Qui êtes-vous?

Patrick Yao p. 8

Ca se passe à Saint-Germain p. 8

SOMMAIRE

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La Lettre de Saint-Germain-des-Prés N°97 Février 2004

vie paroissiale

Onction des «malades»

Mgr Renaudin (feu Evêque de Pon- toise) disait un jour : « L’horreur de toute souffrance, c’est que petit à petit, elle enferme sur lui-même celui qui souffre… comme les portes d’un ascenseur… Elle devient si oppres- sante, et tellement tyrannique, que peu à peu, on ne peut plus penser à autre chose… Et l‘amour qu‘on porte aux autres, (et que maladroite- ment ils tentent à cet instant de nous donner), cet amour, on ne peut plus le donner, on ne peut plus le rece- voir…»

Et c’est là que le Sacrement vient nous aider: à garder les «portes de l’ascenseur» ouvertes, à faire en sorte de ne pas se laisser enfermer sur soi-même, à faire en sorte que le mal, la fatigue, la souffrance, la douleur (que ce soit physiquement, psychologiquement, et même spiri-

tuellement), que tout cela ne puisse pas avoir le dernier mot !

Le Seigneur vient rejoindre en nous tout ce qui nous apporte, jour après jour, petit à petit, la mort au quoti- dien… tout cela qui nous mine… ce qui nous épuise, nous mine ou nous détruit, nous tue à petit feu… Car il est vrai que dans la souffrance, ce qui nous fait le plus de mal, c’est bien souvent d’être peu à peu coupé de l’unique réconfort dont nous avons besoin: un peu de tendresse, un peu de délicatesse, et d’Amour… : «Navré de vous envoyer balader… mais j’ai si mal… Et pourtant j’aurais tellement besoin de vous…»

Sacrement des malades, sacrement des «souffrants», des «blessés»…

Présence à nos côtés de Celui qui peut «bloquer les portes qui se refer-

ment», des «murs qui se rappro- chent» (relisez donc «L’Ecume des jours» de Boris Vian)

Présence manifestée par ce signe de l’onction, caresse d’une infinie ten- dresse de Celui qui nous dit «N’aie pas peur ! Je suis là».

Sacrement des «malades» et non des «mourants» ! Sacrement pour permettre de traverser les moments douloureux ! (Fût-ce la mort... mais il n’y a pas qu’à ce moment-là où nous avons tant besoin d’une pré- sence aimante qui nous aide à conti- nuer d’aimer et à accueillir l’amour !) Miracle de l’Amour… Miracle dû à l’Amour ! Douce «onction» de la main du Seigneur qui caresse !

Père Arnault Ménéttrier

«Un véritable trésor»

Vous vous sentez atteint d’une mala- die grave, vous êtes à la veille d’une opération dangereuse, vous êtes déprimé ou déstabilisé, vous avez peur, vous souffrez moralement ou physiquement, vous vous préparez à entrer dans l’obscurité de la souf- france, de la maladie ou la dégra- dation de votre vie :l’Église, depuis le temps des Apôtres, propose un remède, un sacrement : «Si l’un de vous est malade, qu’il appelle les Anciens de la communauté : ils prie- ront après lui avoir fait une onction d’huile au nom du Seigneur». (Jc 5, 14-15).

Aujourd’hui le prêtre fait sur nous une onction et nous impose les mains:

gestes de l’ordination sacerdotale, du baptême, de la confirmation. Le sacrement de l’onction des malades renouvelle la grâce du baptême, il nous identifie de nouveau au Christ en sa Passion, il nous donne part à la force de sa Résurrection : il nous fait partenaires spirituels de notre communauté, de notre Église.

À 76 ans j’étais particulièrement

active; peut-être était-ce même de l’activisme ? En quelques heures tout a basculé : infarctus, réanimation, deux mois d’hôpital. Une autre vie a commencé pour moi : le sacre- ment des malades m’a permis, un an plus tard, enfin de voir clair. Comblée par la tendresse de Dieu, il ne me reste plus qu’à l’en remercier à tout moment.

MMC

«la Paix et la Force du Christ»

Quand j’ai appris qu’Alain, mon mari, était gravement malade, j’ai souhaité recevoir le Sacrement des Malades, et mon mari a décidé de m’accompa- gner.

Nous avons été ensemble à la réu- nion de préparation et expliqué pour- quoi nous faisions cette démarche : il nous semblait indispensable qu’après avoir partagé trente sept ans de vie familiale et professionnelle, nous recevions ensemble ce Sacrement, pour nous aider à vivre ce moment de souffrance.

Le jour de la Célébration, à laquelle toute la famille avait prévu d’assister,

Alain était très mal : nous n’avons pu nous rendre à St Germain des Près et le Père Berson est venu à la maison pour nous donner l’Onction des malades. Alain a ensuite tra- versé une période de rémission, et a rejoint la maison du Père six mois plus tard.

Je mentirais si vous je vous disais que je n’ai pas traversé une période de ténèbres - une sorte de très long Samedi Saint - mais j’ai toujours gardé l’espoir de voir se lever le soleil de la Résurrection, et je dois le dire: de l’onction reçue, je garde gra- vées au creux de mes mains la Paix et la Force du Christ.

OD

«Supporter la douleur»

Quand le Père Olivier ma demandé pourquoi je souhaitais recevoir le sacrement des malades, j’ai répondu : « Je demande la force de sup- porterles souffrances intolérables de mon dos. Depuis ce moment mon état s’est nettement amélioré et j’en rends grâce.

SC

Trois paroissiens témoignent

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L’éveil à la foi existe depuis plusieurs années à la paroisse. Il s’adresse aux petits enfants de 3 à 6 ans qui se retrouvent tous les dimanches (en dehors des vacances scolaires) pen- dant la messe de 10 heures 30 à la Chapelle Saint-Symphorien.

Etre une communauté de jeunes et d’aînés unie dans la Parole

L’éveil à la foi, par le biais d’une litur- gie adaptée aux tout petits, permet à notre communauté d’atteindre cet idéal d’union dans la Parole.

Animés par des parents, il s’agit de faire partager la parole de Dieu et le contenu de l’Evangile par le biais d’un vocabulaire et d’ exemples adap- tés à leur âge. L’équipe animatrice utilise le matériel et la méthodologie proposés par le diocèse : des chants, des gestes comme le signe trinitaire, des prières sans oublier le coloriage qu’ils emportent avec eux. Les enfants, entre vingt et quarante, sont ainsi associés à la messe du Diman- che; ils font partie de notre commu- nauté et nous le leur rappelons en insistant sur le fait qu’ils vont revenir avec leurs parents au moment de l’Eucharistie, centre de la messe.

La fête de l’éveil à la foi

Depuis l’an dernier, en liaison avec le diocèse, une fête de l’éveil à la foi est organisée, d’une part pour réunir les enfants de 3 à 6 ans et d’autre part pour toucher des enfants (et leurs parents) non paroissiens.

Il s’agit bien là d’éveiller à la foi des enfants qui ne sont pas mis en contact avec la parole de Dieu.

En novembre dernier, plus d’une centaine d’enfants de Saint-Germain- des-Prés et de Saint-Sulpice, s’est retrouvée pour un moment de par- tage et d’activités manuelles afin de préparer le temps de l’avent. Éveiller à la foi fait partie de notre mission

quotidienne de chrétiens. C’est pour- quoi l’équipe réfléchit à la mise en place d’un catéchisme s’adressant à des tout petits dont les parents ne se rendent pas systématiquement à la messe dominicale.

La prochaine manifestation prévue aura lieu juste avant la semaine sainte afin de préparer les enfants à la grande fête de Pâques.

Vous qui lisez cette lettre n’hésitez pas à faire connaître l’existence de l’éveil à la foi au sein de notre paroisse. Nous sommes souvent sur- pris du bon accueil de parents qui ont perdu l’habitude de venir tous les dimanches…

L’éveil à la foi

Yann Billefod séminariste et affecté pendant ses études à Saint Germain des Prés a été chargé de mettre sur pied une équipe d’enfants de choeur pour la liturgie dominicale.

Hervé Monmarché l’a interviewé.

Quel est votre projet ?

Yann Billefod : Un groupe devrait se constituer sur la paroisse mais pour l’instant il en est encore au stade de projet. Occasionnellement, un enfant se présente spontanément mais il n’y a pas encore de groupe. Le but serait de coupler le service de l’autel, son apprentissage, avec une catéchèse à partir de la liturgie. L’horaire de cette

« catéchèse « serait normalement avant la messe du dimanche matin.

Quels sont les jeunes concernés?

Qu’est que cela représente dans l’éducation religieuse d’un jeune?

Y.B. : Les enfants plus naturellement concernés sont ceux qui sont jus- tement dans la tranche d’âge de la

catéchèse sans pour autant exclure les plus âgés qui sont les bienvenus.

La liturgie est en effet très parlante d’elle-même et permet d’entrer dans une compréhension plus dynamique et interactive de la foi. Il est important en effet de relever que ce service de l’autel est justement un service, qu’il place l’enfant dans cet esprit de don de soi et de décentrement que le Christ a vécu de façon indépassable.

De plus, le fait d’être acteur en litur- gie permet à des enfants de partici- per plus pleinement à l’eucharistie à un âge où il est parfois difficile de s’y sentir complètement à l’aise. Le ser- vice de l’autel rappelle enfin que c’est tout l’homme qui prie et pas seule- ment sa tête. Le corps participe à la prière et l’incarne dans l’ici et mainte- nant.

D’un autre point de vue, le service de l’autel marque bien pour des enfants l’importance de la prière en commu- nauté, en Eglise. Avant d’être un acte privé et intime, la prière est celle du

Peuple de Dieu qui se rassemble, se reconnaît comme peuple de frères et se tourne dans l’action de grâce vers son Père.

Avez vous été enfant de choeur vous-même et quelle place cela a-t-il eu?

Y.B. : Je fus moi-même servant d’autel pendant environ une douzaine d’an- née. Ce temps a compté dans ma vocation de façon certaine. Outre que cela a maintenu chez moi un lien fort avec l’Eglise, ce qui n’aurait pas été forcément évident autrement, cela m’a fait réellement appréhender ce qu’est le service, dans les petites choses et, tout autant, j’ai appris la fidélité, le fait de me tenir dans la durée et peu à peu, avec les années et l’expérience, le sens des respon- sabilités par rapport aux nouveaux qui venaient rejoindre l’équipe et qu’il fallait accueillir et former.

Des enfants de choeur à Saint-Germain

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La Lettre de Saint-Germain-des-Prés N°97 Février 2004

Les médias diocésains

> Communiquer

Dossier

Les journées chrétiennes de la communication ont lieu chaque année du ler au 7 février. Elles ont pour but d’appeler l’attention sur l’importance de la communication, son enjeu et ses moyens. Après qu’aient été présentés en 2002 le site Internet et le feuillet d’Information paroissiale (F.I.P.), en 2003 «La Lettre», cette année ce sont les médias diocésains.

Comme le rappelait le Père Ribadeau Dumas «Le but est de transmettre un message, l’Evangile : Il est tellement essentiel que nous ne pouvons le garder pour nous». Les médias diocésains peuvent nous aider à en vivre et à le porter.

Ces médias sont aussi un trait d’union. Membres de l’Eglise universelle nous sommes en relation avec elle par notre Evêque qui a, lui-même, un contact privilégié avec le Vatican, avec la Conférence des Evêques de France et par leur intermédiaire avec les autres Evêques et chrétiens du monde entier. La liaison avec notre Evêque est assurée, bien sûr, par notre curé mais aussi grâce aux médias diocésains, qui sont ici présentés.

La communication a toujours été une question centrale pour les Chrétiens, puisque leur foi se transmet par témoignage,. Témoigner suppose le courage d’attester et aussi de savoir s’écarter pour laisser la place à d’autres témoins.

La communication de la foi chrétienne se heurte, cher nous, à une situation de post-chrétienté : le message a déjà été annoncé, entendu et ‘’refoulé’’. Nombre de nos contemporains voudraient réduire le Christianisme à un objet de musée.

Pourtant, le problème de la communicabilité du message est inhérent à l’Evangile lui-même. C’est une’’ Parole rejetée’’ ; ‘’Il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu.’’ Le prologue de Jean rappelle que Dieu a voulu un homme libre, libre de recevoir ou de rejeter ses Mes- sages, sa Parole, son Verbe. Le message est donc fon- cièrement rejetable, ‘’résistible’’. Sa crédibilité repose sur le récepteur. La question n’est pas d’ordre technique, comme s’il suffisait de modifier, grâce à des spécialistes un contenant qui change, au profit d’un continu qui ne

change pas. Il nous faut revenir au contenu même du message.

Le message de l’Evangile se présente comme universel.

Mais cette universalité n’est pas celle d’une vérité scienti- fique. Elle ne se dit pas dans un discours clair et abstrait.

Elle est liée à l’expérience, et laisse toujours un reste à comprendre. D’autre part, elle est ré-itérative : chaque individu et chaque génération doit se la ré-approprier à frais nouveau. On ne ré-invente pas tout, mais il y a à chaque fois une sorte de re-commencement. Enfin, cette universalité est ‘’résistible’’. Elle ne s’impose pas. Tout le monde peut la comprendre, mais on ne peut obliger per- sonne à y adhérer.

La difficulté de la communication chrétienne, c’est qu’il s’agit de faire partager un message de joie ‘’l’Evangile’’.

Faire partager cette joie, sans artifice pour susciter l’en- vie, et en acceptant l’échec sans se décourager.

Cela suppose une confiance en la Parole ; confiance en notre propre Parole et confiance en la Parole d’autrui.

Les deux vont de pair.

Ce texte est le résumé d’un article d’Olivier Abel (professeur de philosophie éthique à la Faculté de Théologie Protestante de Paris) ‘’les Chrétiens et la Communication’’ paru dans la revue Etudes, janvier 2004.

KTO, La chaîne qui offre du sens à nos vies

Saviez-vous que les catholiques ont leur télévision ? Elle s’appelle KTO et est disponible sur le câble et le satel- lite.

KTO porte un regard chrétien sur le monde et s’adresseà tous les cher- cheurs de sens. Elle souhaite répon- dre d’une manière claire à la soif de

spiritualité de notre époque.

Concrètement, KTO produit et dif- fuse des documentaires, des films, des magazines de débats et d’infor- mations, autour des grandes ques- tions auxquelles est confrontée notre société. KTO diffuse aussi des offi- ces, des catéchèses, des témoigna- ges et assure les retransmissions d’événements exceptionnels tels que les JMJ ou les voyages du Pape.

Tous les programmes sont annoncés

à l’avance dans un bulletin auquel chacun peut s’abonner.

Il est important que les catholiques, qui sont 46 millions en France, aient la possibilité d’avoir un moyen d’ex- pression. N’hésitez pas à la regarder et en parler autour de vous.

Pour tout renseignement :

KTO : 2 rue Rouget de Lisle 92130 Issy les Moulineaux

Tél : 01 73 02 22 22

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Paris Notre-Dame

L’hebdo des catholiques à Paris Paris Notre-Dame, hebdomadaire officiel du diocèse de Paris, a fêté ses 20 ans en 2003 et a pour objec- tif d’informer les catholiques qui habi- tent et travaillent à Paris de tout ce qui se vit dans le diocèse.

Paris Notre-Dame, c’est chaque semaine 24 pages d’informations et de pistes de réflexion pour vous faire participer à la vie de l’Eglise de Paris et vous donner un regard chrétien sur les grands sujets de l’actualité : - En ouverture : Panorama, des brèves traitant les faits d’actualité les plus brûlants et des commentaires d’un vicaire général sur un sujet d’ac- tualité de la semaine, courrier des lecteurs, édito du rédacteur en chef.

- Couverture de l’Evénement de la semaine sur une double page ; par exemple, la session annuelle de for- mation aux cours Alpha.

- Portrait d’un chrétien ou d’une asso- ciation engagée à Paris.

- 4 pages de dossier - repères et pistes de réflexion - sur une ques- tion de société ou d’Eglise. Quel-

ques exemples : la place de la musique dans la liturgie, l’euthana- sie, les aumôneries étudiantes…

- Mais aussi : l’Interview d’une person- nalité, la Méditation du Cardinal Lus- tiger, le commentaire par un exégète de l’Evangile du dimanche.

- Et également : le Paroisscope - 4 pages d’informations consacrées aux:- formations, conférences, spectacles organisés par les paroisses de Paris, et les mouvements,

- concerts, pièces de théâtre, ou expositions à ne pas manquer et une critique de cinéma,

- programmes de Radio Notre-Dame et de KTO avec un article sur une émission.

Paris Notre-Dame est le journal des catholiques curieux de la vie de l’Eglise à Paris et de ses positions.

Radio Notre Dame, Une radio qui Ose…

OSER… porter un regard chrétien sur l’actualité. Faire connaître la vie de l’Eglise et rendre accessible le message de l’Evangile. Aider à com- prendre les grands sujets de notre société. Apprendre à prier et à porter un autre regard sur la famille, sur la cité ou sur le monde.

OSER… mettre en valeur l’enthou- siasme et les élans de la jeunesse.

Donner la parole à ses auditeurs afin de s’enrichir de leurs témoignages.

La vocation de Radio Notre Dame est multiple. Parce qu’une radio chré- tienne est une radio qui « Ose «.

Sans à priori, sans complexe et sans

complaisance…

Créée par le Cardinal Jean-Marie Lustiger, Archevêque de Paris, dès août 1981, Radio Notre Dame compte aujourd’hui une quarantaine de sala- riés et une soixantaine de collabora- teurs bénévoles.

Radio Notre Dame, c’est 120.000 auditeurs par jour en Ile de France sur la fréquence 100.7 FM (de 35 ans et plus pour la majorité) ; des émissions reprises sur 50 fréquen- ces dans 53 villes de France et par 60 radios en Afrique, Liban, Québec, Tahiti, Madagascar… ; et des milliers d’auditeurs dans le monde entier via internet (www.radionotredame.com).

Radio Notre Dame c’est aussi 25.000 donateurs qui apportent un soutien

fidèle à la radio.

Radio Notre Dame, c’est également la diversité des émissions

- Une autre façon de voir l’actualité le matin : le 6h/9h.

- Des magazines témoignages de spiritualité : Aujourd’hui l’Eglise (10h), L’invité de Denise Dumolin (11h), Ecoute dans la nuit (14h30).

- Des magazines de société : Le Bis- trot de la Vie (9h), Esprit de Famille (14h30), Cœur de Métier (sam 9h), Face aux Chrétiens (jeu 17h), Les médias en question (ven 17h).

- Des magazines culturels : Des Goûts et des Couleurs (18h15), Matière à Penser (lun/mar 17h), …

- Une émission interactive pour les jeunes : Génération (21h).

«Rendant compte d’un interview que je leur avais donné sur la régulation des naissances, les journalistes de talent qui m’interrogeaient n’ont pas cherché à mettre en valeur leurs opinions mais à refléter fidèlement

ce que je leur avais dit.» (Charles FOURNIER, président de l’associa- tion des pharmaciens catholiques).

«Techniquement ce journal est par- ticulièrement bien fait, il est clair, concis et Èquilibré. Sur le fond, en plus de reportages sur des activités, événements ou initiatives des parois-

ses, communautés ou associations à Paris, il tient la gageure, à la fois, de fournir des points de vue sur des faits ou données de l’actualité parisienne, de présenter l’opinion de personnalités sur des questions de société et de proposer une médi- tation de notre archevêque». (Jean MINGASSON).

Parole de lecteurs

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La Lettre de Saint-Germain-des-Prés N°97 Février 2004 Dans la paroisse de Tokombéré,

la communication passe essentielle- ment par la vie quotidienne d’une communauté de base. Une fois par an, au mois d’octobre, nous orga- nisons des sessions de formation dans les 6 secteurs de la paroisse, nos 6 communautés de base. Il s’agit de rencontres de trois jours qui ras- semblent chacune une cinquantaine de personnes, dont un bon nombre sont totalement analphabètes. Cette année, nous avons réfléchi sur ce que sont nos communautés ecclésia- les vivantes. Sans fioritures et simple- ment, voici des réponses entendues

; elles font parfois plus réfléchir que certaines élucubrations plus savan- tes. Cela permet aussi de se rendre compte comment la Parole est com- muniquée dans une communauté ; ce peut être aussi, si vous le voulez, un appel à l’échange.

L’Eglise, c’est qui et c’est quoi ? L’Eglise c’est le Peuple de Dieu - L’Eglise c’est moi, c’est nous mêmes,

c’est tous les hommes appelés à être baptisés au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. - C’est l’ensemble de toutes les communautés – C’est l’ensemble des personnes, qui sont unis entre elles en communauté et qui cherchent à témoigner ensem- ble, sans honte, en acceptant la souffrance avec la force que Dieu donne. – L’Eglise, c’est le chemin de Jésus lumière pour le monde entier. – L’Eglise, c’est le plan de Dieu….mais c’est l’affaire des hommes. – C’est l’ensemble des hommes qui réflé- chissent et discutent sur la Parole de Dieu et s’engagent pour supporter la souffrance des frères, compren- dre les conseils et annoncer la bonne Nouvelle. Ils vivent dans le partage et le dialogue. – L’Eglise est la clé d’une vie de solidarité et de bien être des hommes. – C’est l’équipe des per- sonnes qui travaillent pour le projet de Dieu, qui s’engagent avec cou- rage et participent à toutes les acti- vités, dans l’amour, le partage et le pardon.

Quel est le travail de l’Eglise ? C’est de changer la vie des hommes par l’annonce de la Bonne Nouvelle et le témoignage vécu. – L’Eglise rend Jésus visible par le témoignage et l’engagement total. – Elle annonce sans honte la Bonne Nouvelle après avoir laissé l’ancienne vie pour entrer dans la nouvelle et vivre le nouveau sacrifice de Jésus ( l’Eucharistie). – L’Eglise sait en quoi et en qui elle a mis sa foi, elle cherche à l’annon- cer à tous, à guider et à conduire les hommes vers Dieu. – Le travail de l’Eglise, c’est l’engagement dans la communauté envers les frères par l’entraide mutuelle et la prière. – C’est l’aide aux vieux, aux pauvres , aux malades.- C’est de semer l’entente dans les couples. – C’est la prière dans les quartiers. – C’est de lutter contre les injustices. – C’est la pré- sence des chrétiens dans les grou- pes de jeunes ou les groupes de femmes.- C’est de corriger les défauts et d’encourager le bien dans la com- munauté et dans le quartier.

LA COMMUNICATION A TOKOMBERE Par le Père Grégoire Cador

Dans le quatrième Evangile, saint Jean rapporte les derniers enseigne- ments de Jésus à ses disciples avant sa Passion, comme le décrit le Père Yves-Marie BLANCHARD (Revue

«Unité des chrétiens», n° 132, oct.

2003, p. 7): « A partir du chapitre 17, 1, Jésus prend ouvertement une atti- tude de prière, les yeux levés au ciel, et s’adresse directement au Père.

Son souci premier parait être celui de l’unité entre ses disciples, « que tous soient un comme Toi, Père, Tu es en moi et que je suis en Toi, qu’ils soient en nous, eux aussi, afin que le monde croie que Tu m’as envoyé « (17, 21)». Avec nos pensées et nos paroles d’homme on peut dire que la division des Chrétiens est un contre- témoignage.

« Pour s’unir, il faut s’aimer, pour s’aimer, il faut se connaître, pour se

connaître il faut aller à la rencontre l’un de l’autre». (Cardinal MERCIER , 1921).

Trois efforts indispensables 1 . L’étude et le dialogue théologique

;2 . la connaissance réciproque et des relations de frère à frère :

- apprendre à connaître les autres chrétiens,

- établir des liens d’amitié avec des chrétiens d’autres confessions, - accompagner des foyers mixtes, -acquérir une formation œcuménique,

- étudier la Bible ensemble ;

3. la collaboration pratique, par exem- ple,- au sein de l’Association des chré- tiens pour l’abolition de la torture (ACAT)

- ou dans des actions caritatives.

Mais, surtout, il faut beaucoup prier, car « l’unité se fera quand le Sei- gneur voudra, par les chemins qu’il voudra».

La semaine de prière pour l’unité des chrétiens

L’abbé Paul COUTURIER

(1881-1953) peut être considéré comme le promoteur de l’œcuménisme spirituel repris par le décret de Vatican II. En 1937, l’abbé Paul COUTURIER relance la semaine de prière pour l’unité des chrétiens.

C’est la naissance de l’actuelle prière universelle célébrée chaque année du 18 au 25 janvier. La même année, il a fondé le groupe des Dombes pour «prier ensemble et s’apprivoi- ser». La réflexion théologique com- mencera en 1945.

> Oecuménisme : comment aller vers l’Unité

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Groupe des Dombes : 65 ans d’œcuménisme

Le père Yves-Marie Blanchard est professeur d’exégèse biblique et de théologie patristique, il dirige actuel- lement l’Institut Supérieur d’Etudes Œcuméniques à l’Institut catholique et fait partie du groupe des Dombes.

.L’œcuménisme est-il en panne ?

« Quand le Seigneur voudra et par les moyens qu’il voudra. « disait le père Couturier, fondateur de la Semaine pour l’unité des chrétiens. Un cons- tat : l’œcuménisme ne rencontre plus l’enthousiasme des années 1970 : l’attrait de la nouveauté, puis un cer- tain succès… il semble être devenu une affaire de spécialistes.

La conjoncture mondiale ne lui est pas forcément favorable : l’efface- ment des frontières donne le goût du syncrétisme et de l’exotisme : le constat des différences culturelles aiguisent la curiosité pour les autres religions ; l’autre conséquence de la mondialisation est la crispation iden- titaire. Le dialogue inter-religieux est autre que l’œcuménisme, mais ils doivent être un stimulant, l’un pour l‘autre.

Les sociétés qui ont vécu le com- munisme et dont les Eglises étaient orthodoxes, ont du mal à s’engager dans l’œcuménisme : il faut être patient, elles cheminent.

On peut s’étonner de certaines prises de paroles officielles : il faut essayer de comprendre leur signification à long terme. Le travail accompli sur- tout depuis Vatican II a bien déblo- qué la situation. On observe entre des Eglises chrétiennes :

- des professions de foi commune, - disparition du « conflit «,

- la signature d’accords bilatéraux, - lieux de prière commune,

- engagements caritatifs et sociaux, - simplicité des relations fraternelles vécues en famille, dans les parois- ses, les groupes oécuméniques, sont des réels signes d’espérance.

Le Groupe des Dombes a été fondé en 1937 par l’abbé Couturier, qui à plusieurs reprises s’est trouvé mis en relation avec des communautés orthodoxes, pasteur ami, anglicans, ayant le désir de prier ensemble et de s’enrichir mutuellement. Le groupe s’est réuni à l’abbaye cistercienne

des Dombes, puis chez les bénédic- tines de Pradines. Tous les membres sont cooptés : 20 catholiques, 20 pro- testants (luthériens, réformés). Il n’a aucun mandat officiel d’où sa liberté, ses parutions font autorité. La prière est un élément fondamental des ren- contres ; l’Eucharistie et la Sainte Cène sont célébrées alternativement avec la permission de pratiquer l’inter- communion.

« Je vis ma session des Dombes comme si je vivais une retraite, dans une fraternité exceptionnelle.

« dit notre conférencier. Le travail commun sur l’histoire de l’Eglise, les Ecritures débouche sur des proposi- tions de conversion où chaque Eglise accueille et écoute les questions de l’autre envérifiant sa fidélité au Christ.

Le dernier document paru» Marie dans le dessein de Dieu et la com- munion des saints «, est un succès.

Le dialogue œcuménique est indis- pensable : il fait partie du testament que Jésus nous a laissé.

M .-F. Paillard

UN PEU D’HISTOIRE...

En 1908, L.W.WATTSON (Episcopalien) et S. JONES (Anglican) sont les ini- tiateurs de la Semaine de Prière pour l’Unité.

En 1910, à Edimbourg, au cours de la conférence universelle des sociétés protestantes de mission, un délégué des jeunes Eglises d’Extrême Orient a déclaré : « Vous nous avez envoyé des missionnaires qui nous ont fait connaître Jésus-Christ et nous vous en remercions. Mais vous nous avez apporté aussi vos distinctions et vos divisions : les uns nous prêchent le méthodisme, d’autres le luthéranisme, le congrégationalisme, ou l’épisco- palisme. Nous vous demandons de nous prêcher l’Evangile et de laisser Jésus-Christ susciter lui-même du sein de nos peuples, par l’action de son Saint-Esprit, l’Eglise conforme à ses exigences, conforme aussi au génie de notre race, qui sera l’Eglise du Christ au Japon,l’Eglise du Christ en Chine, l’Eglise du Christ dans l’Inde, délivrée de tous les «ismes» dont vous affec- tez la prédication de l’Evangile parmi nous».

On considère cet événement comme le point de départ de l’œcuménisme moderne qui se développa entre les Eglises protestantes et anglicanes.

En 1920, le mot «œcuménisme» naît et le Père CONGAR dit : «Lorsqu’un mot nouveau apparaît, c’est qu’une idée nouvelle vient de naître».

Ce qui nous unit

Catholiques, Protestants et Orthodo- xes nous confessons un Dieu trini- taire et partageons la même foi en Jésus-Christ.

Nous avons en commun le bap- tême, le Notre Père et la même Bible dans sa traduction œcuménique (la TOB).

Une traduction commune du Credo est à l’étude.

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Paroisse Saint-Germain-des-Prés 3 place Saint-Germain-des-Prés

75006 Paris Tél: 01 55 42 81 33 E-mail : lalettre@eglise-sgp.org La Lettre de Saint-Germain-des-Prés, bulletin paroissial mensuel.

Directeur de la publication: Père Olivier Ribadeau Dumas, curé.

Rédacteur en chef : Alban Nizou;

Dossier du mois : Jean Mingasson et Marie-France Wülfing-Luer Imprimerie Garnier, 13 bis, rue de l’Escouvrier, 95120 Sarcelles

ça se passe à Saint-Germain

Samedi 7 10h Assemblée de synthèse post-premier module Dimanche 8 10h30 Sacrement de l’Onction des malades

Lundi 9 20h15 Bible et Liturgie avec Sœur Christilla Taudière 20h30 Réunion du Néophytat

Mardi 10 19h30 Conférence Saint Vincent de Paul et de la Conférence Saint Martin 20h30 Groupe JP/Au cœur du monde

20h30 Préparation au baptême Jeudi 12 14h30 Réunion du groupe MCR

19h Lancement du Pèlerinage de Chartres dans l’église 20h30 Groupe Intergénération

Dimanche 15 20h30 Après la messe de 19h rassemblement des JP autour de crêpes Mardi 17 20h30 Réunion du groupe JP/ Sel de la terre

Mardi 24 20h30 Réunion de la Conférence Saint Martin Jeudi 26 14h30 Lecture biblique avec soeur Christilla Taudière

20h30 Découverte de la Bible avec MA et B Ladrange Baptêmes :

Alexander TAUPIN Tania RODRIGUEZ

Obsèques : Marie José KLEIN Patrick Yao est une figure familière

de Saint-Germain-des-Prés. Depuis près de quatre ans, il nous aide à mieux participer et à mieux prier à la messe dominicale de dix heures trente. Toujours présent, toujours souriant, il est très discret, et nous ne savons rien de lui. Ce bref échange nous permet de faire un peu con- naissance.

‘’Je suis né à Abidjan, en Côte d’Ivoire, il y a vingt et un an. Je suis arrivé à Paris, il y a sept ans. Je suis actuellement des études d’économie à la Sorbonne après avoir un peu tâté de médecine.

Etudiant, je me suis engagé à l’aumônerie de Tolbiac. Paroissien, j’ai souhaité participer plus active- ment à la liturgie, je m’en suis ouvert au père Géniteau, qui m’ a demandé

de faire office de clerc à la messe de 10h30. ( L’engagement doit être héréditaire chez les Yao puisque la m ère de Patrick a été catéchiste à saint Germain).

J’aime participer à l’Eucharistie, me tenir dans le chœur, plus proche du Seigneur. Je suis aussi heureux de pouvoir apprendre aux plus jeunes à servir la messe et je me réjouis du projet qui se prépare : la création d’un groupe d’enfants de chœur. J’y participe bien sûr et je serai content d’aider à leur formation.

Je regrette un peu de n’avoir pas beaucoup de contact avec les parois- siens. Certains me saluent mais il y a peu d’échanges entre nous.

Comme les jeunes de mon âge, j’ap- précie de rencontrer des amis, de bavarder autour d’un verre dans un bistrot du quartier. J’aime le sport :

le ski — je pars d’ailleurs cet hiver avec l’aumônerie à Tignes — et sur- tout le basket, je joue un peu partout à Paris.

Depuis quatre ans, j’éprouve toujours la même joie à participer aux céré- monies de saint Germain de Prés et je les trouve de plus en plus bel- les…’’

Propos recueillis par M-F W-L

Qui êtes-vous?

Patrick Yao

IN MEMORIAM

Pierre Rollin s’en est allé vers le Père en cette fin d’année 2003.

Souvenons-nous : né en 1926, son enfance avait été marqué par une poliomyélite, dont il conservera un corset, deux cannes, et une énergie enthousiaste à créer.

Le scoutisme et les Mouvements de jeunesse, l’Association des Paralysés de France, les Dominicains du Saul- choir, le Touring Club de France, et

la rencontre avec le chant choral, au travers de Jacques Chaillet, don- nèrent sens à sa vie.

Paroissien de Saint-Germain-des- Prés jusqu’en 1986, il proposa en 1961 la création d’un groupe choral associé au service de notre église, en grande complicité avec Joseph et Geneviève Nouaille-Degorce dont les fils, et leurs camarades, fournirent les premiers rangs de chanteurs.

Grâce à sa foi, des générations

de jeunes garçons du quartier, et d’ailleurs depuis sa retraite en 1986, auront pu s’initier à la pratique du chant, dans un souci permanent de fraternité et d’implication commune.

Quarante années d’animation chorale et spirituelle, d’éducation au groupe et à la discipline du chant, de voya- ges et deo concenrts, laisseront chez bien d’entre nous une trace à pour- suivre.

Jérôme Cayeux

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