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PAROLES ET HISTOIRES POUR LES 4-5 ANS

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Academic year: 2022

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SYLVIE RAMÔN Directrice d'École maternelle

PAROLES ET HISTOIRES POUR LES 4-5 ANS

VIVRE À LA MATERNELLE

NATHAN

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Sommaire

I. PÉDAGOGIE

Introduction 3

Des clés pour bien lire 4

Après la lecture 4

Provoquer la parole 4

Conclusion 6

II. RÉSUMÉS DES HISTOIRES 7

III. 15 HISTOIRES POUR LES 4-5 ANS

Le petit homme vert 9

Le loup qui rétrécit 13

La souris et le loup 19

Histoire de Jean-Bon 23

Pou-Laid et Pou-Belle 29

Cœur de Pigeon 33

Carambar et les Délicieux 39

Le petit roi 45

Pirouli 51

Au magasin du marchand de mamans ... 59

Lucien le fantôme 65

Le papa géant 71

Pim 77

Jacques et la sirène 85

Triste-Sire et Drôlette ... 91

Coordination éditoriale : Nathalie Autret Édition : Nathalie Autret, Nelly Benoît Illustrations : Santiago Ramon Composition et mise en pages : Joseph Dorly

@ Éditions Nathan, 1992. ISBN 103216-6

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Pédagogie

Introduction

Des histoires à raconter, des histoires pour faire parler, il en faut beaucoup dans une moyenne section.

Celles que nous présentons ont la pré- tention de plaire aux enfants, de les amu- ser, de les faire réfléchir et de les amener à s'exprimer.

À travers ces pages, les petits retrouve- ront bon nombre de leurs intérêts et de leurs préoccupations. Ils vivront des situations dramatiques, des situations qui les feront rire franchement ou qui les feront sourire.

Notre but premier consiste à leur faire plaisir.

Lorsque le livre de contes s'ouvre, lorsque les petits sont groupés autour du maître ou de la maîtresse qui va lire, le climat de la classe change. Il va se passer quelque chose d'important et chacun le sait, et chacun s'y prépare.

On ne dira jamais assez l'importance de cet instant que d'aucuns garderont long- temps en mémoire : " Quand la maîtresse lisait... "Quand le maître racontait... " Nous évoquons tous, toujours avec émotion, les 1. Jean-Paul Sartre, Les mots, Gallimard, 1977.

moments d'intimité créés par la lecture des contes...

Nous ne pouvons résister au plaisir de citer Jean-Paul Sartre qui raconte si bien la découverte bouleversante qu'il fit, lorsqu'Anne-Marie - sa mère - se mit à lire pour lui. Il découvrit que c'était le livre qui parlait par la bouche d'Anne-Marie.

Il découvrit la pérennité de l'écrit, son fonctionnement, et aussi la possibilité de voir l'expérience de la lecture se renouveler : à chaque lecture d'une histoire, les mots sont les mêmes, et il est si important de les attendre et de les retrouver.

Cette expérience fondamentale, nous devons la faire vivre aux enfants : nous devons les habituer à apprendre à écouter un texte lu. Cela demeure, à nos yeux, l'une des conquêtes de la Moyenne Section. Lorsque le maître lit, rien ne doit l'interrompre, on ne parle pas, on ne cherche pas à voir une illustration du livre, mais on se nourrit des textes racontés. On ne commente pas : la lec- ture est seule présente. Elle s'adresse à cha- cun en particulier, puisque le maître a pré- paré son texte afin qu'il soit proposé sur un certain mode, sur un certain rythme et qu'il s'adresse à tous.

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1. Des clés pour bien lire

D'abord, il faut lire le texte pour soi, et ensuite réfléchir à la manière dont on va le proférer.

Nous ne saurions trop recommander de le lire une fois à haute voix : le magnéto- phone est un auxiliaire précieux car, à l'audition, chacun perçoit ses qualités et ses manques. Tel un comédien qui prépare une audition, le maître doit préparer son texte.

Le plus difficile est d'apprendre à respirer et à articuler. On a souvent tendance lors- qu'on lit pour d'autres, à aller trop vite, à ne pas prononcer chaque syllabe :

" u n / g e n / t i l / g é / a n t / q u i / f a i / s a i t / p e u r / a u x / e n / f a n t s . . . " : i l f a u t q u e l e s e n f a n t s e n t e n d e n t t o u t ; o n l i t u n e h i s t o i r e c o m m e u n p o è m e , e n p r o p o s a n t u n d o n n é à e n t e n d r e .

I l y a u n e d o u b l e o f f r a n d e d a n s c e t a c t e : o n p r o p o s e , c ' e s t - à - d i r e q u ' o n o f f r e à l ' a u t r e ; o n p r o p o s e u n d o n n é à e n t e n d r e , e t c ' e s t a u t r e c h o s e q u ' u n e d i c t i o n , c ' e s t l e t e x t e q u ' o n o f f r e , a v e c u n e p a r t d e s a p e r s o n n e , i m p l i - q u é e e t c o n s c i e n t e .

J o u v e t a v a i t p l a i s i r à d i r e q u ' u n b o n l i s e u r p o u v a i t t o u t b i e n l i r e , m ê m e l ' a n - n u a i r e t é l é p h o n i q u e !

À l ' é c o l e m a t e r n e l l e , a v e c d e s e n f a n t s d e q u a t r e a n s , o n p e u t p r o p o s e r d e s t e x t e s v a r i é s à c o n d i t i o n d e s a v o i r s ' y p r e n d r e .

L o r s q u e l e m a î t r e p o s s è d e b i e n s o n t e x t e , i l n o u s s e m b l e i n t é r e s s a n t q u ' i l l ' e n r e - g i s t r e a u m a g n é t o p h o n e , p o u r q u e l e s e n f a n t s p u i s s e n t e n d i s p o s e r s u r c a s s e t t e d a n s l e c o i n é c o u t e , a u m o m e n t o ù i l s e n o n t e n v i e .

P o u r l ' e n r e g i s t r e m e n t , i l f a u t ê t r e a t t e n - t i f à s a r e s p i r a t i o n , c a r l e s a p p a r e i l s r e p r o - d u i s e n t l e s a s p i r a t i o n s e n l e s i n t e n s i f i a n t : i l s u f f i t d ' é c o u t e r p a r l e r q u e l q u e j o u r n a l i s t e d e t é l é v i s i o n o u d e r a d i o p o u r c o n s t a t e r c o m - b i e n l e b r u i t f a i t p a r l e s o u f f l e n u i t a u x p r o - p o s , e t a u c o n f o r t d e l ' a u d i t e u r .

2. Après la lecture

C'est le moment où l'on peut montrer une illustration et laisser parler les enfants.

Nous ne pensons pas qu'il soit bon de vou- loir instaurer un dialogue à ce moment-là. Si les enfants ont des choses à dire, ils le font ; on leur répond ou ils se répondent mutuelle- ment. Certains jours, après le conte, il y a un moment de silence, tout se passe comme si le groupe s'apaisait après une forte tension. On respecte ce temps qui n'est d'ailleurs pas très long. Puis, on passe à autre chose.

On peut aller dessiner ou peindre, on peut aller faire des jeux. Nous ne pensons pas qu'il faille systématiser des activités de graphisme sur le conte, immédiatement après sa lecture. On reste sous le charme du récit. Plus tard, on se livrera à des activités en relation avec le conte, on choisira le moment favorable pour organiser une séquence pédagogique efficace.

3. Provoquer la parole

Il est toujours tentant de demander aux enfants de raconter à leur tour l'histoire qu'on leur a lue. Il nous semble important de ne se livrer à cet exercice que lorsqu'ils connaissent bien le conte : il faut le leur avoir lu trois ou quatre fois. Chaque audi-

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tion renforce la précédente et permet de retenir ce qui avait échappé antérieurement.

Alors, en petits groupes, on fait dire ce qu'on a retenu. Souvent le dialogue s'instaure et on parvient à s'exprimer et à raconter l'essen- tiel. Pour que cet exercice soit efficace, on ne peut le pratiquer qu'avec quatre ou cinq enfants, sinon la prise de parole est impos- sible pour les plus timides.

Nous aimons également proposer le jeu suivant : on désigne quelques enfants volon- taires pour qu'ils racontent à plusieurs quel- ques épisodes de l'histoire, ou toute l'his- toire si elle est simple. Certes, les enfants pratiquent le dialogue, mais ils commentent aussi. C'est pourquoi ils se complètent l'un l'autre et finissent par raconter l'histoire. On mélange les genres et l'on passe du dialogue à l'amorce du récit.

Les enfants les plus mûrs commencent à pouvoir pratiquer le récit et emploient déjà le style indirect et font même usage de la concordance des temps.

En petit groupe, quand on fait raconter l'histoire et que l'on transcrit les propos, il est intéressant de constater l'évolution du discours de chaque enfant au cours de l'année. Il suffit de noter succinctement les procédés que l'enfant maîtrise peu à peu.

Quelquefois, on fait raconter l'histoire lue et l'on demande de chercher une autre fin ou d'imaginer une suite, par exemple avec "Le petit homme vert" (conte n° 1 ) ou

" La souris et le loup " ( conte n° 3 ).

Bien entendu, au cours des séances de dessin, on représente les héros, on illustre la

scène de son choix, on écrit la légende sous chaque dessin et l'on ordonne le tout. Ainsi se constituent des albums transcrits par la maîtresse, qui prendront leur place dans la bibliothèque de la classe. Ils pourront même circuler dans l'école et favoriser les échanges entre classes ou même entre écoles.

D'autres histoires vont faire éclore des travaux manuels ou provoquer des construc- tions assez importantes, telles des maisons ("Carambar et les Délicieux", conte n° 7).

Une histoire de fantôme (" Lucien le fan- tôme", conte n° 11) motive les enfants pour inventer d'autres aventures de fantômes...

À quatre ans, on aime avoir peur et jouer à se faire peur.

Il faut noter les dires des enfants pour qu'ils voient que le maître y porte intérêt, et aussi pour les amener à être plus explicites lors d'une autre séance. Avec un certain en- traînement, les élèves comprennent que lors- qu'on raconte un fait, il ne faut rien omettre, il faut tout dire pour que l'interlocuteur comprenne ce que le locuteur a voulu expri- mer.

Dans le courant de l'année, lorsqu'on aura lu et relu, par exemple "Histoire de Jean-Bon" (conte n° 4), les enfants joueront assez facilement à inventer des mots signi- fiants ou/et des mots pour rire. Ce sera le moment propice de leur lire La belle lisse poire du prince de mot tordu

" Le loup qui rétrécit" (conte n° 2) peut aisément être transposé si c'est le lapin qui raconte l'histoire à sa façon dans sa 1. PEF, La belle lisse poire du prince de Motordu, Folio Benjamin, Gallimard, 1980.

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propre version. Les enfants sont amenés à changer de point de vue.

Ces histoires peuvent amener également la fabrication et l'animation de marottes, ce qui favorisera le dialogue. On peut aussi envisager la mise en place d'un jeu drama- tique. Pour cela, il faut distribuer des rôles, donner des repères dans l'espace et des accessoires très simples pour provoquer l'action et les échanges. On peut également envisager de fabriquer les éléments du cos- tume qui sont indispensables pour la bonne mise en scène des divers personnages et évi- ter les confusions. Les enfants ainsi ne chan- gent pas de rôle au cours de la séance.

Toutes ces activités favorisent l'action, la prise de parole et amorcent l'approche du récit. Insensiblement, l'enfant passe de la langue orale à la langue écrite. Il va se familiariser avec des textes d'auteurs et il apprendra à produire ses propres textes. La valorisation de l'écrit s'opèrera et, peu à peu, le respect du livre se mettra en place.

Voici donc une approche première de l'acte de lire qui peut conditionner les apprentissages ultérieurs.

Conclusion

Si les grand-mères n'ont plus le temps de raconter des contes de fées, si le dîner devant la télévision a remplacé les veillées nourries d'histoires, il appartient bien aux pédagogues de transmettre aux générations nouvelles l'histoire du groupe humain au- quel il appartient.

Pour cela, il n'y a pas de meilleure mé- thode que de raconter, répéter et inventer des histoires.

L'enfant de moyenne section est avide de contes, son imagination est fertile, et sa capacité d'attention et d'écoute s'est bien améliorée depuis la petite section.

Et n'est-ce pas le plaisir d'écouter des histoires qui engendre-l'envie de lire?...

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Résumés des histoires

Les histoires sont classées par ordre croissant de difficulté. Les cinq premières sont très simples et conviennent au début de l'année scolaire.

1 - Le petit homme vert

C'est l'histoire terrifiante d'un être minuscule et tout vert qui martyrise les petits enfants. Sa dernière victime -un cou- rageux petit garçon -réussit à le capturer et à le maintenir prisonnier dans une cage.

2 - Le loup qui rétrécit

Un loup féroce rapetisse dès qu'il s'ap- prête à dévorer sa proie. Il ne peut plus effrayer personne et devient la risée des habitants de la forêt. Un berger compré- hensif l'aide à trouver une solution.

3 - La souris et le loup

Un pauvre loup affamé réussit à convain- cre une souris naïve de garnir son estomac.

Il faudra toute la malice de la mère souris pour sauver sa fille.

4 - Histoire de Jean-Bon

Ce petit garçon n'aime et ne mange que du jambon. Il se transforme progressivement en cochon, jusqu'à l'intervention du méde-

cin. Grâce à une nourriture variée et équili- brée, il retrouve son aspect humain.

5 - Pou-Laid et Pou-Belle

Deux poux qui vivent sur la tête d'un petit garçon tombent amoureux l'un de l'autre et se marient. Ils partent en voyage de noce au bord de la mer en empruntant une autre tête et, après des aventures passion- nantes, réintègrent la première tête.

6 - Cœur de pigeon

Un petit noyau de cerise se rebelle contre son destin. Il ne veut pas être recra- ché et finir ses jours au fond d'une poubelle.

Il s'échappe donc et, après avoir surmonté une série d'épreuves, réussit à se planter dans un endroit qu'il choisit. Il devient alors un jeune cerisier.

7 - Carambar et les Délicieux

Les Délicieux sont de petits habitants d'un pays imaginaire. Ils vivent très heureux en construisant des maisons bonnes à man- ger : sucrées, salées et végétales, lorsque sur- vient un gros géant affamé et maladroit : Carambar. Ils mettent au point un piège pour le capturer et finissent par cohabiter avec lui harmonieusement.

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8 - Le petit roi

Ce petit roi est pauvre, petit et laid.

Mais il a bon cœur, et accepte de rendre ser- vice à trois personnages dotés de pouvoirs magiques qui le récompensent au centuple.

Tout finit bien pour lui.

9 - Pirouli

Un jeune garçon a deux petites sœurs jumelles qui sont parfois bien encombrantes.

Une dame ogresse s'en empare, et Pirouli aidé par un oiseau magique, sort victorieux d'une série d'épreuves terrifiantes. Rêve, ou réalité ?

10 - Au magasin du marchand de mamans

Alfred, qui a reçu une fessée, est las de sa maman. Il décide donc de s'en acheter une autre, plus gentille, dans un magasin spécia- lisé. Mais les mamans qu'on lui propose sont tellement gentilles - trop gentilles - qu'elles ne lui inspirent pas confiance. Il décide donc de rentrer chez lui...

11 - Lucien le fantôme

Un couple de fantômes occupe le châ- teau d'un jeune couple de seigneurs. Lorsque ceux-ci ont une petite fille, les fantômes décident de mettre au monde un petit fan- tôme : Lucien. Il tentera de mettre en pra- tique son éducation de fantôme pour effrayer la petite fille... en vain ! Ils deviennent donc amis et les parents fantômes se transforment en gardiens du château.

12 - Le papa géant

Un petit garçon a honte de son papa qui est géant. Il a recours à une formule magique pour le faire rapetisser. Il se trompe de for- mule. Le papa devient une souris et la souris est mangée par un chat. Heureusement, tout rentre dans l'ordre grâce à un magicien.

13 - Pim

Un garçon minuscule a une fâcheuse manie: il répond toujours: "Et pourquoi pas ? " Il est kidnappé par une sorcière qui a l'intention de le revendre. Par chance, il est sauvé par une souris, et après un petit séjour dans le ventre d'un crapaud, retrouve ses parents et rentre chez lui accompagné de la souris.

14 - Jacques et la sirène

Un petit garçon, fils de pêcheur, qui se baigne au bord de la plage est entraîné au fond de la mer par quatre poissons argentés.

Ils le conduisent au palais d'une petite sirène solitaire. Il se lie d'amitié avec elle et, après avoir bien joué, retourne chez lui. Elle lui promet de l'envoyer chercher par ses pois- sons argentés pour passer d'autres moments avec elle, au fond de l'océan.

15 - Triste-Sire et Drôlette

C'est l'histoire d'un roi qui ne sait ni rire, ni sourire. Une jeune fille très gaie vient passer quelques jours au château dans le but de lui apprendre la joie. Peine perdue.... Elle est sur le point de partir lorsqu'un événe- ment fortuit déclenche l'hilarité du souve- rain. Tout finit bien.

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VIVRE À LA MATERNELLE

Cette collection destinée essentiellement à l'école maternelle se propose d'apporter une information théorique et pratique sur les activités propres à assurer harmonieusement le développement physique, psychologique et intellectuel des jeunes enfants.

Il y est fait largement place à des comptes rendus d'expérience ayant donné lieu à une évaluation rigoureuse.

La série pratique Vivre à la Maternelle est animée par Yvette Jenger.

PAROLES ET HISTOIRES pour les 4-5 ans

Les histoires de Sylvie Ramon sont variées, originales, tour à tour humoristiques et émouvantes. Elles pourront être lues dans leur intégralité ou en partie. Les paroles viendront des enfants qui les termineront et les transformeront à leur guise.

Une mine inépuisable pour développer l'imaginaire et éduquer la sensibilité des enfants de moyenne section.

NATHAN

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Participant d’une démarche de transmission de fictions ou de savoirs rendus difficiles d’accès par le temps, cette édition numérique redonne vie à une œuvre existant jusqu’alors uniquement

sur un support imprimé, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l’exploitation des Livres Indisponibles du XXe siècle.

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

Elle peut donc reproduire, au-delà du texte lui-même, des éléments propres à l’exemplaire qui a servi à la numérisation.

Cette édition numérique a été fabriquée par la société FeniXX au format PDF.

La couverture reproduit celle du livre original conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

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La société FeniXX diffuse cette édition numérique en accord avec l’éditeur du livre original, qui dispose d’une licence exclusive confiée par la Sofia

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