Tuberculose et santé

192

Tuberculose e· t Santé

En raison d,·s nombreuses lettres que nous recevons de la part de camarades inquiets de coir la loi sur le B.C.G. mise en applica- tion et sot,cieux suriout de démarches pratiques susceptibles d'éviter /"automatisme d'un le'/

fléau, nous ren·voyons au n° suivant les. co,,.;- mentaires de la brochure du Dr Couzibou :

« La tuberculose, maladie hérédi"laire et dé- générative >>. si riche d'enseignements.

©®©

La bombe du Congrès de Rome des vaccinations à la poliomyélite

Dernièrement a eu lieu

à

- Eviter /'ablation des amygdales.

- Eviter les vaccinations contre la diphtérie et la coqueluche.

- Evi:er les piqûres intramusculaires de pro- duits irritants, tels que /" œrsenic et les métaux lourds.

-:- Eviter l'emploi d~ la globuline Gamma.

Et c'ést là l'opinion d'officiels de la Méde- cine clc.ssique. Alors, il sera ai.,S de s' abri- ter derrière leur autorité pour éviter l'une des vaccinations la plus tragique, la vaccination antidiphtérique.

©®©

ECHEC AU B.C.G.

Si nous en croyons un docteur opposi- tionnel aux vaccins imposés, plus de la moi- tié de3 médecins seraient partisans du front de la résistance aux « lois criminelles » et en particulier à l'application du B.C.G. La moitié de la Faculté, ce n'ei::t pas de trop pour faire échec aux zélateurs brigueurs de Légion d'honneur, comme ce médecin des Alpes-Maritimes rêvant de faire de sa val- lée une vallée-pilote du B.C.G. Pour tout le monde, la seringue ! Et que ça ronfle ...

Adultes, enfants, tout y passera, famille par famille et dans un temps record ! Et voilà de bonnes affaires en peri::pective pour le trust des vaccins B.C.G. le tout puissant Institut Pasteur. Car, est-il exact ? L'Ins- titut !Pasteur a un budget autonome où Je fisc ne met jamais le nez ét en reJ.ations directes avec le volume de vaccins débités.

Et tout le monde sait que l'Etat achète les vaccins pour la distribution générale et que Je B.O.G. est débité aux praticiens comme

un quelconque produit· pharmaceutique sorti

d'une maL.'\On privée ! •

Tout v-a donc pour le mieux sur le front commercial.

Sur le front médical, c'est autre chose ! Le mot d'ordre « Alerte au B.C.G. » fait son chemin. Voici que les « Syndicats locaux et régionaux de parents dl'élèves 1> sont en formation (1) « en vue de protéger les élè- ves de3 3 degrés de l'Enseignement contre tout abus de pouvoir provenant de quelque autorité adminiEtrative que ce soit, en ce qui c-oncerne l'application des lois sur Je:s vaccinations obligatoires et la pratique des réactions tuberculiniques ».

Dans le Gers le Dr Pierre Gleise·s est passé à la pratique.

Il est souhaitable que de tels syndicats sojent organisés sur Je plan communal, can-

t~:mal et départemental.

• En attendant que prennent vigueur de te1Je3 initiatives, que f;aire ? Quelle solution pratique prendre ?

1° Adhérer aux mouvements nationaux déjà créés. (Voir plus loin).

2° Connaître dans chaque département la liste des médecins oppositionnels. Et pour cela nous faisons un appel au « Syndicat National des Docteurs en Médecine » dont le DT Ch. Fouqué est le président qualifié, pour nous faciliter cette carte médicale qui permettra aux parents d'élèves éclairés de faire appel à eux, Je cas échéant. Il faut que l'on puisse faire fond sur leur titre de doc- teur en médecine et sur leur conscience d'homme. Alors, connaiss:mt les praticiens à qui on peut faire confiance, on pourra

éviter l'automatisme dangereux des vacci-

na.tions en série : Chacun a droit de choisir le docteur de son choix.

3° Aviser les parents que la cuti n'est pas obligatoire et pour cela exiger que chaque parent donne une autorisation ou une inter- diction de pratiquer la cuti sur son enfant : ils ont la liberté de choisir, et tous choisi- ront.

L'opposition va gra.ndissant et tout spé- cialement

- dans les Conseils généraux où la note à payer pour le B.C.G. se chiffre par mil- lions

dans les Syndicats de parents d'élèves sus-mentionnés ;

dans le Syndicat National des malades, 130, av. du Général-Leclerc, Paris, 14<;

dans !'Association des Victimes et Parents.

(1) Voir La libre Santé N° 42, Octobre

1953, 130, av. Général Leclerc, Paris, 14'.

L'EDUCATEUR

de victimes des vaccinations, 130, av. du Général-Leclerc, Paris, 14• ;

dans la Fédération Nationale des 'malar des malgré ses attaches gouvernementa- les. (Comité départemental de la Sarthe contre la loi du 5 janvier 1950).

Il faut protéger l'enfance ! Alerte au B.C.G. !

PETITES ANNONCES

Vends machine à écrire portative, en bon -état, avec son coffret et une machine• à écrire .de bureau, en bon état, expédierais .. - Zacon, .S, rue Changarnier, Paris (XIIe).

©®©

Sommes acheteurs cobayes, bon prix. Ecrire :

"Laboratoire Ecole de la Santé, S ter, rue .d' A~:sia, Paris.

©®©

Notre camarade CLAYETTE., de Bombon (Seine- ...,t-Marne) prépare des séries de fiches sur le :Moyen-Age et la Renaissance en partant du

=ilieu local. Les camarades intéressés peuvent ]e contacter.

©®©

Les feuilles pour BOUQUET sont à envoyer - !'Aérium du Brio] à Viane (T am) pour le

]0 décembre 1953, en 90 exemplaires.

©®©

« Roches des Baumes " ne pratiquera plus Téchange, mais

J.

©®©

DONNADIEU G., Sa/ornes (Var) prev1ent ses .anciens correspondants que par suite de chan- :gement de classe, le journal « Le Salernois » :ne paraîtra plus.

©®©

PRUDENCIO Eustache, précédemment à !'Ecole ..de Fass, à Dakar, d('mande à tous ses corres- _pondants de lui écrire désormais à !'Ecole de . Médina cc B ^>>, à Dakar.

ESPERANTO et CEL

Qui pourrait me donner l'adresse d'un col- -lègue espérantiste >étranger susceptible de bé-

·

.néficier de notre invitation au Congrès CEL ? Nou3 voudrions abandonner momentanément les pays scandinaves pour les pays d'Europe :Centrale (Tchécoslovaquie, Pologne, Hongrie.

Yougoslavie).

Conditions : Il faut que le collègue s'inté- .re·sse déjà à notre mouvement C.E.L.. et qu'il parle couramment l'espéranto. - Ecrire à LENTAIGNE. Balaruc-les-Bains (Hérault).

Collègues ! Avez-vous pensé aux immenses

·possibilités que vous offre !'ESPERANTO ? Le groupe-des Educateurs Espé<antistes a mis

au point un cours par correspo·ndance Ier d.,.:.

g11é qui vous permettra de connaître rapidement- les premiers éléments de la langue.

Ecrivez à THÉBAUD instituteur C.C. Orchies (Nord). Vous recev:ez très rapidement une documentation qui vous donnera tous rensei- gnements utiles. (joignez une enveloppe tim- brée.)

©®©

Chargé de !'Enseignement du Français (2e langue) dans un collège à Tripoli ~classes de seconde et de première), je cherche à faire- correspondre mes élèves avec des étudiants de France ou de !'Etranger .

Ecrire urgence à Chabaâne, Prof. Français Second ri Scuola, via Frascati, Tripoli.

©®©

Les Costes-Gozon à ses correspondants : La poste nous refusant le tarif préférentiel, « Aux Quatre Vents '" continuera à être imprimé régulièrement, mais plusieurs Nos pourront être groupés en un seul envoi : nous ferons de notre mieux pour satisfaire nos correspondants.

Prière à ceux qui recevront un N° taxé de nous le faire savoir. Merci.

A l'aide des écoles grecques sinistrées

De nombreux camarades nous avaient fait part de leur désir de venir en 2.ide, avec leurs élèves, aux enfants et aux écoles grecs victi- mes des récents tremblements de terre.

Naturellement, nous approuvons et encou- rageons toujours toutes les entreprises géné- reuses. Mais, en l'occurrence, comme nous l'avons fait pour la Hollande, nous avons tenu à nous assurer que les fonds recueillis par les enfants français iraient bien aux enfants grecs.

Par l'intermédiaire d'un de nos correspon- dants, directeur de la revue « Ecole Nouvelle », à Athènes, nous avons pu entrer en relations avec la fédération des instituteurs grecs, .15 a, rue Xenophon, à Athènes, qui acceptent bien volontiers de recevoir et de répartir les envois généreux de nos adhérents .

Veuillez donc écrire directement à l'adresse ci-dessus en nous informant. - C F .

©®©

Dans la brochure Techniques d'illus- trations, il est questi0'1 d'une reproduc- tion de photographie "n faisant gon- fler de la gélatine bichromatée.

]'ai voulu essayer ce proa?dé, mais im;>ossible de me procurer l'encre photo- tyr-o nécessaue, le nom meme ètant in- connu des fournisseu1:=:..

Où peut-on se la procurer ? GRANDPIERRE, Villers-s-Moselle (Moselle).

«ENFANTINES» de ce mois

Vous l'avez reçue, il s'agit de La petite mule, n° 1 84.