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Correction du contrôle n

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Correction du contrôle n

o

1

I QCM

C’est du cours !

1. La somme de deux fonctions décroissantes est décroissante.

2. La composée de deux fonctions croissantes est croissante (tout comme la composée de deux fonctions décroissantes).

3. Siu(x)=x2etv(x)= 1

x+1, alorsvu(x)=v(u(x))= 1

u(x)+1= 1 x2+1.

4. Il n’y a aucun théorème sur les variations d’un quotient connaisssant celles du numérateur et du dénomi- nateur : cela dépend.

II

On a clairementh=f +g.

f est décroissante surRdonc sur ]0 ;+∞[ (fonction affine de coefficient directeur -2 négatif).

g est la fonction inverse, donc décroissante sur ce même intervalle (résultat connu !).

La somme de deux fonctions décroissantes sur le même intervalle est décroissante, donchest décroissante.

(remarque : attention à ne pas confondre les notations f(x) et f : c’est une fonction qui est décroissante, donc f alors que f(x) est un nombre )

III

1. Pour tous nombresaetb:

g(b)[f(b)−f(a)]+f(a)[g(b)−g(a)]=g(b)f(b)−f(a)g(b)+f(a)g(b)−f(a)g(a)=f(b)g(b)−f(a)g(a).

Par conséquent : g(b)[f(b)−f(a)]+f(a)[g(b)−g(a)]=f(b)g(b)−f(a)g(a). 2. On suppose quef etg sont croissantesetpositives.

Il faut évidemment utiliser la question 1) et toutes les hypothèses !.

On prend deux nombresaetbquelconques dansRaveca<b.

On veut alors comparerf(a)g(a) et f(b)g(b). Pour cela, on calcule la différence et on en étudie le signe.

D’après 1), on a :g(b)[f(b)−f(a)]+f(a)[g(b)−g(a)]=f(b)g(b)−f(a)g(a).

Commef est croissante,f(b)−f(a)>0.

Commeg est positive, on a :g(b)Ê0.

On en déduit queg(b)[f(b)−f(a)]Ê0 (produit de nombres positifs).

De même :f(a) etg(b)−g(a) sont positifs donc leur produit aussi.

Finalement,g(b)[f(b)−f(a)]+f(a)[g(b)−g(a)]= f(b)g(b)−f(a)g(a)Ê0 comme somme de nombres positifs.

D’où :f(a)g(a)Éf(b)g(b) :la fonction f gest donc croissante.

IV

f est définie surRparf(x)= 1

x2+1etg(x) parg(x)=2x+3.

Alors, pour toutx∈R:

fg(x)=f(g(x))=f(2x+3)=f(y) (avecy=2x+3)= 1

y2+1= 1 (2x+3)2+1. gf(x)=g(f(x))=2f(x)+3=2× 1

x2+1+3= 2 x2+1+3.

Finalement : fg(x)= 1

(2x+3)2+1 et gf(x)= 2

x2+1+3 . Page 1/2

(2)

V

f(x)=(x−3)2−1.

Comment, en partant dex, arrive-t-on à (x−3)2−1 ? On a :f :x7→x−37→(x−3)27→(x−3)2−1.

On utilise successivement les fonctionsu,g ethdonc : f =hgu .

VI

g(x)=f(x)+3 donc on ajoute à toutes les ordonnées et les variations restent les mêmes.

h(x)= −1

2f(x) : on multiplie doncf(x) par -1 (les variations de f changent), puis 1 2. Les tableaux de variations sont donc :

x −1 2 4 8

6 ց

g(x) 4 5

ց ր

1

x −1 2 4 8

1

ր ց

h(x) −1

2 −1

ր

−3 2

VII

g(x)=f(x+2)−1=f(x−(−2))+1. D’après le cours,Cg s’obtient à partir deCf par la translation de vecteur

−2−→ i −→−

j . On obtient :

O →− i

j Cf

Cg

VIII

g est paire, donc pour toutx∈R:g(−x)=g(x).

Alors : pour toutx∈R, on a : fg(−x)=f(g(−x))=f(g(x))=fg(x) carg(−x)=g(x).

Par conséquent,fg(−x)=fg(x).

On en déduit que fg est paire.

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