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Les consulats suisses à Pétrangei*reçoivent le journal.

Q u a t r i è m e a n n é e . — N0 46

P r i x du n u m é r o IO c e n t i m e s

Samedi 7 juin 1890.

B u r e a u x : R u e N e u v e , 1 9

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MONTEURS DE BOITES LE CONFLIT DES BOIS On nous écrit :

Le conflit des Bois entre décidément dans une période aiguë; en effet, une nouvelle démarche, tentée auprès de M.

Ecabert par un membre de la Chambre syndicale patronale, assisté de M. J. Wyss, chef d'une fabrique de boîtes d'or, à Bienne, est demeurée sans résultat.

Pourbien apprécier la situation, il con- vient de ne pas perdre de vue que le conflit a été tout entier provoqué par le patron et que ni la Fédération des ou- vn'ers monteurs de boîtes, pas plus que le Syndicat patronal ne sauraient en assu- mer une responsabilité quelconque.

Tout allait bien à la fabrique E., quand, un beau jour, il prit au patron la curieuse fantaisie d'exiger de ses ouvriers un engagement de ne jamais le quitter, mais de sortir immédiatement de leur Fédération. La première de ces exigences est si insolite que nous avons peine à comprendre qu'elle ait pu être formulée.

Cet engagement, pris par les ouvriers, de ne pas quitter M. E., tant qu'il serait a la tète de sa fabrique, entraînait logi- quement de sa part, l'engagement corré- latif de ne congédier aucun de ses ou- vriers. Or l'expérience prouve que les rapports réciproques entre patrons et ou- vriers sont sujets à des variations qui peuvent rendre nécessaire, soit d'une part soit de l'autre, la rupture du contrat, en observant les formes légales, bien en- tendu.

Que dirait M. E. si, ayant de bonnes raisons de n'être plus satisfait du travail ou de la conduite de l'un de ses ouvriers, et voulant le congédier, celui-ci se re- tranchait derrière l'engagement récipro- que de ne jamais se quitter? Signaler ce

cas, c'est établir que l'engagement de- mandé pouvait, à un moment donné, devenir aussi préjudiciable aux intérêts du patron qu'à ceux des ouvriers.

Quant à la pression exercée sur les ouvriers, pour qu'ils sortent de leur Fé- dération, elle est absolument contraire à nos lois qui garantissent* le droit disso- ciation, et à nos mœurs qui réprouvent toute tentative d'y porter atteinte.

Voilà donc une trentaine d'ouvriers mis brutalement sur le pavé, parce qu'ils ont tenu à conserver la plus précieuse de leurs prérogatives d'hommes libres, celle de disposer de leurs personnes et de leur travail, et que, fidèles à leurs engage- ments de confraternité et de solidarité envers leurs camarades, ils se refusent à rompre le lien qui les unit à la Fédération ouvrière. Dans ces conditions, la sympa- thie générais des groupes horlogers ne peut manquer d'être acquise aux associa- tions des patrons et ouvriers monteurs de boîtes.

Vous avez déjà eu maintes fois l'oc- casion d'exprimer le regret que vous éprouvez, chaque fois que les syndicats se voient contraints de prendre, contre leurs membres infidèles ou contre des adversaires systématiques, des mesures de coercition. Mais vous avez dû aussi — et récemment encore à propos du conflit de Sl-Imier —, admettre que ces mesu- res devenaient nécessaires et constituaient un cas de légitime défense, lorsque toutes les tentatives d'entente et de conciliation ayant été épuisées, et l'existence même du syndicat étant mise en péril par les attaques des adversaires, la lutte devait être acceptée, quoique à contre-cœur.

Dans le cas qui nous occupe aujour- d'hui, il n'y avait ni conflit ni contestation et l'attaque provient d'un non-syndiqué, qui éprouve, paraît-il, une folle envie de se mesurer avec le syndicat. Il a trouvé

à qui parler, car, d'après des renseigne- ments pris à la source, tous les ou- vriers mis sur le pavé, à l'exception de 5 ou 6 que l'impossibilité de quitter la localité a contraints de passer par les conditions qui leur étaient imposées, se- raient aujourd'hui placés chez des patrons syndiqués; ceux-ci danscettecirconstance, ont fait preuve de véritable solidarité.

L'affaire a été lestement menée et les frais que les deux associations, patronale et ouvrière, supportent par le fait de cette suspension de travail provoquée par le patron en cause, en sont d'autant plus minimes.

Quant à M. E., son atelier se trouve démonté, et privé du concours d'une col- lectivité d'ouvriers honnêtes, sérieux et travailleurs; ce n'était vraiment pas la peine de se donner le luxe d'une petite guerre.

D'ailleurs, — et ce n'est pas le côté le moins singulier de toute cette affaire, — M. E. ne serait pas précisément opposé au syndical et n'aurait pas juré de n'y jamais adhérer; il aurait, parait-il, été froissé de certains procédés à son égard, qu'il a sans doule mal interprêtés et, ce qui paraît être la raison déterminante de son opposition, il aurait cédé à l'influence d'un ancien membre de la Chambre syn- dicale qui, ayant quitté le métier aurait, aujourd'hui, une altitude peu en rapport avec le zèle qu'il déployait pour soutenir le syndical, du temps qu'il en était membre; c'est du moins ce qu'on ra- conte.

Quoiqu'il en soit, il n'y a rien de bien grave dans toute celle affaire et on peut espérer que M. E., qui est un homme in- telligent, reviendra à un sentiment plus juste des devoirs que comporte le senti-

ment d'une vraie solidarité entre collègues et du respect de la liberté de ses ouvriers.

X.

(2)

218 LA FÉDÉRATION HORLOGËRË SUISSE

Tarifs de prix.

Petite guerre.

Nous avons reçu, d'un ouvrier mon- teur de boîtes que certaines circonstances personnelles ont engagé de quitter Tra- melan, pour aller s'établir dans une loca- lité et dans un atelier que nous nomme- rons à qui de droit, un lettre qui con- tient quelques renseignements intéres- sants.

On sait que depuis la dissolution du syndicat des fabricants de galonné, un certain nombre de ses anciens membres ont adhéré au syndicat des patrons mon- teurs de boîtes, en qualité de membres passifs, qu'ils paient une cotisation an- nuelle au syndicat, et, qu'en échange de cette prestation, les patrons syndiqués ont pris l'engagement moral de les favo- riser de leurs commandes.

Or, il résulte des renseignements qui nous sont communiqués par l'ouvrier au- teur de la lettre mentionnée plus haut, que les patrons monteurs de boîtes de celle localité pourraient se procurer le galonné à un prix inférieur de ya à l centime par gramme à celui auquel il est facturé aux patrons syndiqués.

En ce qui concerne les prix de façon payés aux ouvriers boîtiers de cette loca- lité, des tentatives seraient faites pour les réduire au point d'abaisser le tarif à fr. 2. 50 par douzaine au dessous du ta- rif en vigueur dans d'autres localités.

. Il serait vraiment curieux que l'on dût constater que des avantages spéciaux sont accordés, par quelques fabricants de ga- lonné, aux patrons monteurs de boîtes d'une localité où aucune organisation pa- tronale ou ouvrière n'existe, alors que les patrons syndiqués, liés par une con- vention morale à se servir chez ces mô- mes fabricants, tiendraient la chandelle.

Nous ne sommes naturellement pas en mesure de garantir l'exactitude de ces informations, mais nous croyons bien faire en les signalant au Syndicat patro- nal et à la Fédération ouvrière, et en mettant à leur disposilion la lettre qui nous les a transmises.

Une enquête sérieuse nous paraît s'im- poser et, si les faits sont vrais, il convien- drait de prendre des mesures pour faire cesser un état de choses préjudiciable aux intérêts des deux associations.

La question des apprentissages.

(Suite.)

On peut même dire, sans se laisser aller à une assertion hasardée et qui ne puisse se vérifier à la lumière des faits, que celte por- tion de notre jeunesse qui s'en va dans les carrières du travail manuel, dans les ateliers de l'industrie ou dans la vie des champs, est à peu près, et à la seule réserve d'un petit contingent qui prendra place dans les quel- ques écoles professionnelles que nous possé- dons, abandonnée à elle-même au-delà de I

l'école primaire, et cependant cette portion de notre jeunesse est la plus nombreuse, la moins favorisée du sort et celle qui devrait, semble-t-il, nous préoccuper avant»toul !

C'est à dessein que nous employons le mot d'« abandon », car il ne nous paraît pas exa- géré pour caractériser la situation qui est faite à ces jeunes gens dans les conditions sociales actuelles, avec la disparition gra- duelle des bons apprentissages, avec l'absence des soins et des protections qu'ils assuraient aux apprentis, et surtout si l'on compare leur situation à la situation privilégiée que la so- ciété fait aux jeunes gens qui peuvent pour- suivre leurs études en vue d'exercer une profession libérale.

En effet, tandis que pour ceux-ci l'instruc- tion se continue encore pendant plusieurs années dans des écoles fort bien outillées, sous la direction de savants professeurs qui surveillent et encouragent leurs progrès, sous la tutelle de l'Etat qui contrôle périodi- quement par des examens le savoir acquis, il n'y a au contraire plus rien au-delà de l'é- cole primaire pour la plupart des jeunes gens qui doivent s'engager dans les carrières ma- nuelles. Il n'y a plus rien, disons-nous, car nos écoles professionnelles existantes ne peu- vent être utilisées que par quelques-uns d'entre eux, et pour le surplus, pour le plus grand nombre, aucune protection ne les suit après l'école primaire, en dehors de celle qu'il appartient aux parents d'exercer, et l'on ne sait que trop combien elle fait défaut pour beaucoup d'enfants, ou en dehors de celle que la loi assure, au seul point de vue de leur santé physique, aux mineurs qui travail- lent dans des fabriques; aucune tutelle spé- ciale ne veille sur eux, personne n'a de par la loi mission de s'occuper de cette jeunesse laborieuse, d'intervenir, si cela devient né- cessaire, pour empêcher que l'on n'abuse de sa faiblesse, pour la défendre contre certai- nes exploitations peu scrupuleuses, pour s'assurer que son éducation professionnelle n'est pas négligée et compromise, et qu'elle est sérieusement initiée pendant son temps d'apprentissage aux connaissances profes- sionnelles dont elle a besoin pour exercer un métier avec succès et pour vivre. La société ne prend plus souci d'elle que pour s'enqué- rir à un moment donné, dans les années qui précèdent celle du service militaire, si elle a conservé les notions qu'elle a dû emporter de l'école primaire et pour la rappeler obli- gatoirement, si cela est nécessaire, à l'école complémentaire.

De ce qui précède et des constatations que nous venons de faire, faut-il tirer la conclu- sion que l'on a trop fait au point de vue sco- laire pour cette fraction de notre jeunesse dans laquelle se recrutent les professions li- bérales et que les avanlages scolaires qui ont été mis à sa disposition pour lui faciliter l'ap- prentissage de la profession et de la vie doi- vent lui être retranchés ou laissés du moins totalement à sa charge?

Loin de nous cette pensée ! La seule con- clusion que nous devions tirer de cette situa- tion, c'est qu'il faut chercher à corriger au plus vite l'inégalité qui existe dans la ré- partition des moyens d'enseignement offerts à nos jeunes gens, en faisant autant pour venir en aide à ceux qui doivent d venir des travailleurs manuels, les ouvriers de notre industrie ou de notre agriculture, que pour ceux qui se destinent aux carrières libérales.

Si la société s'impose des sacrifices pour organiser un enseignement secondaire, un enseignement classique, gratuits ou à peu près gratuits, et un enseignement supérieur destinés à préparer à certaines vocations dé- terminées, si par ces moyens d'enseignement ceux de nos jeunes gens qui veulent acquérir tout le bagage de connaissances qu'exigent

ces vocations se sentent soutenus, facilités, il est juste que la société soutienne et facilite dans la même mesure, par des moyens d'en- seignement appropriés à leurs besoins futurs ou par les mesures de tutelle et de protection nécessaires, ceux de nos enfants qui en quit- tant l'école primaire doivent bifurquer du côté des vocations manuelles ; il est juste et il est conforme aux principes d'une saine égalité sociale qu'elle fasse dans l'ordre des vocations manuelles, pour préparer à notre pays de bons artisans, des ouvriers habiles et instruits, ce qu'elle fait dans l'ordre des vocations libérales, pour préparer des méde- cins, des avocats, des ingénieurs ou des ec- clésiastiques.

Non seulement cela est juste et conforme aux principes d'une saine égalité sociale, mais cela est conforme à l'intérêt social bien entendu, car s'il est utile et nécessaire qu'il y ait dans un pays des lettrés et des savants, des médecins et des théologiens, des ingé- nieurs et des architectes,· il est encore plus utile et plus nécessaire qu'un pays, surtout dans les conditions où se trouve le nôtre au point de vue de son avenir économique, de sa production, de la lutte qu'il doit soutenir avec les concurrents, possède en aussi grand nombre que possible des ouvriers d'élite, armés d'une s >lide instruction profession- nelle. Notre intérêt économique bien com- pris n'est pas de pousser davantage nos jeu- nes gens dans le courant des professions libérales déjà très encombrées et d'augmen- ter la légion de ceux que les ambitions et les sacrifices de leurs parents, souvent bien mal inspirés, arrachent à l'agriculture, à l'indus- trie, aux métiers lucratifs de nos villes et de nos villages ; le nombre de ces jeunes gens, médecins, avocats, notaires, commis, etc., est déjà disproportionné à nos besoins, et beaucoup auront de la peine à se faire dans la vie une place qui corresponde aux sacri- fices dont ils ont été l'objet, aux désirs de leurs parents et à leurs propres aspirations, et risquent fort, d'aller grossir, désillusion- nés et découragés, les rangs des déclassés. S'il y a un reproche que nous devions nous faire, s'il y a une critique que l'on puisse adresser d'une manière généra e à nos institutions scolaires, s'il y a une tendance contre la- quelle il soit temps de réagir, c'est de solli- citer et de favoriser beaucoup plus qu'il ne faudrait chez nous l'éclosion des vo -ations dites lib érales. Si nous n'y prenons garde, nous finirons par être un peuple de manda- rins et l'image qu'employait Richelieu, lors- qu'il traçait le plan d'études d'un collège dont il voulait doter sa ville natale, pourra nous être appliquée : ot En un peuple bien

«réglé, disait-il, il faut plus de maîtres ès-

« arts mécaniqui s que de maîtres ès-arts Ii-

« béraux, et de même qu'un corps qui aurait s des yeux à toutes ses parties serait mons-

« trueux, de même le serait un Etat ou l'on

« formerait autant de savants, d'hommes de

« lettres, d'hommes d'église, de pédagogues

« et d'avocats, que d'artisans et de labou-

« reurs ! » (A suivre.)

T r a i t é d'établissement e n t r e la Suisse et l'Allemagne.

Les chambres fédérales dans leur session actuelle, et le Parlement allemand vont être appeh's à donner leur ratification au nouveau traité d'établissement, signé à Berne par les représentants des deux pays, le 31 mai écoulé.

On sait déjà sur quelles bases il a été dressé d'un commun accord entre les deux pays ; comment, tout en laissant l'Allemegne sou-

(3)

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 219

mettre à certaines conditions le droit pour ses nationaux de faire un établissement durable et reconnu par elle en pays étranger, il res- pecte entièrement le droit d'asile que la Suisse s'est toujours fait un honneur d'exer- cer vis-à-vis des réfugiés politiques, à ces trois conditions, qu'ils ne soientcoupables d'aucun délit de droit commuii, qu'ils respectent les lois de notre pays et ne fassent rien de con- traire h sa sécurité.

L'article 2 du traité de 1876 disait: « Pour prendre domicile ou former un établissement en Suisse, les Allemands doivent être munis d'un acte d'origine et d'un certificat par le- quel l'autorité compétente de la patrie du requérant atteste qu'il jouit de la plénitude do ses droits civiques et d'une réputation intacte. »

L'article 2 du nouveau traité est conçu comme suit : « Pour pouvoir invoquer le bé- néfice de l'article premier, les Allemands en Suisse devront être munis d'un certificat de leur légation, constatant qu'ils possèdent la qualité de ressortissants allemands, et jouis- sent d'nne bonne réputation. »

Cet article 2 concorde entièrement avec le sens et la raison d'être d'un t a i t é d'établis- sement : un traité d'établissement a pour but de faciliter l'établissement, de donner à des ressortissants de chacun des Etats ^ontrac- tanls le droit de s'établir sous certaines con- dit:ons sur le territoire de l'autre : c'est là un minimum que chaque E'at s'engage à ac- corder aux ressortissants de l'autre, mais il reste libre de faire mieux encore et d'ouvrir ses portes à des étrangers qui ne remplissent pas les conditions voulues.

Le droit d'asile est donc sauvegardé.

Tarif des péages.

On lit dans le Genevois :

Les tarifs de péages seront-ils mis à l'ordre du jour dans cette session 9 C'est probable.

Il est probable aussi que les adversaires des majorations excessives proposeront en pre- mière ligne l'ajournement. Rien ne presse, et il faut laisser au moins à l'opinion le temps de !s'orienter ; les manifestations, réclama- tions, protestations, commencent à arriver ; il importe de permettre à tous les intéressés de dire leur mot. Si le Conseil national dé- cide de passer immédiatement à la discus- sion, il faut que les députés résolus à résister jusqu'au bout aux tendances fiscales de M.

Hammer se groupent et s'organisent pour le débat. Il s'agit ici d'une question vitale qui touche aux intérêts les plus immédiats de la population, surtout de la population ouvrière.

Il berait fort intéressant de connaître les pro- positions du Département des affaires étran- gères, autrement dit de M. Droz, au Conseil fédéral. Ces propositions étaient inspirées par un esprit absolument contraire à celui du projet de M. Hammer, qui a prévalu. Evi- demment on se trompe ou on nous trompe au Département des péages, et si le tarif pré- senté était adopté, la Confédération aurait quatre ou cinq millions de plus qu'elle ne dit et qu'il ne lui taut. La difficulté ne sera pas de le prouver, mais de faire céder le parti- pris et l'intérêt devant les bons arguments.

Il convient au moins de l'essayer.

NOUVI LLES DIVERSES

A s s u r a n c e o b l i g a t o i r e . — Les Cham- bres fédérales sont entrées dans l'exé-

cution de leur lourd programme, et Ie Con- seil national en a tout de suite abordé la plus délicate et la plus nouvelle : il s'agit du pro- jet de loi constitutionnelle qui charge le

Conseil fédéral d'organiser, en tenant compte des caisses de secours mutuels déjà existan- tes, un système d'assurance contre les acci- dents et contre la maladie, lequel pourra être rendu obligatoire, soit pour tous les citoyens, soit pour certaines catégories d'entre eux seulement.

Telle est la nouvelle rédaction sur laquelle la majorité et la minorité de la commi3sion ont fini par se mettre d'accord entre elles et avec le Conseil fidéral, et il faut reconnaître que, cette formule restreint un peu les compétences presque illimitées que le projet primitif de la commission assignait dans ce domaine au Conseil fédéral.

W a s h i n g t o n . — DL'UX cents ι hefs des plus grandes maisons d'importation de New-York, de Philadelphie et de Boslon ont été enten- dus hier par le comité du sénat. Us ont pro- testé vivement contre les dispositions quasi prohibitives du bill Mac Linley.

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