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Academic year: 2022

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dans les espaces sémantiques familiers

Patricia Jullia

I

es sites web, actuellement, sont des espaces multimodaux, qui rendent publics des documents, tout en engageant les usagers à -J participer à des débats ou à effectuer des actions à distance. Tissées entre elles, ces entités communicationnelles forment une «

toile

» qui élargit le concept de navigation du site, en tant qu'entité informationnelle, à celui de réseau. Etudier la navigation signifie alors, soit de se focaliser sur le site en tant qu'espace conceptuel ou sur le maillage en tant que mise en relation de ces espaces documentaires.

Il nous semble qu'il y ait une troisième voie, complémentaire aux deux précédentes : la navigation à partir d'outils personnels à l'usager, les signets et les listes de diffusion. Dans ce cas, l'internaute mémorise l'adresse du site, où s'inscrit à une liste de diffusion, pour le consulter plus ou moins régulièrement. Ce type de «

navigations routinières à destination d’espaces familiers »

se présente comme l'un d'entre eux, constituant un réseau

personnel et individuel, extrait par l'usager de la mer informationnelle sur laquelle il s'aventure.

La navigation, subséquemment, ne prend plus comme point de départ l'utilisation d'un moteur de recherche; l'emploi de signets

{bookmark

ou favoris), sortes de bibliothèques d'adresses internet, ramène l'usager vers le site en fonction de rythmes liés à sa réactualisation. L'éditeur du site peut également se rappeler à l'attention de l'internaute abonné par l'envoi d'un courrier électronique ou d'une liste de diffusion qui lui indique soit les nouveautés du site, soit lui propose une sélection d'informations, au moyen

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d'un profil. Ces deux procédures inscrivent la consultation du site dans des usages normés et institutiormalisés.

Ainsi, au fil de l'appropriation du média, quand les expériences nouvelles se transforment en usages stabilisés et récurrents, fintemaute constitue des routines de navigation, selon un principe d'économie cognitive : mémoriser ce qui plaît pour y revenir aisément sans procédures expertes de recherche. Autrement dit, un usager, ayant dépassé la période d'enchantement et de découverte des potentialités du réseau, tend à se constituer un espace sémantique familier où il revient périodiquement.

La constitution de cet espace familier installe l'usager dans un monde usuel ; l'intemaute connaît le site qu'il va consulter, il a déjà évalué sa qualité éditoriale, son architecture, comme son système de navigation et les fonctionnalités qui lui sont offertes. L'interface, devenue en quelque sorte transparente, engage à des navigations de routines pour constituer un métadocument, composé de plusieurs pages web visitées et répondant à une interrogation particulière de l'intemaute, par rapport à une thématique donnée.

M éthodologie

Afin d'identifier ces pratiques récurrentes, nous avons conduit une étude qualitative de terrain auprès d'usagers du web connectés depuis plus de trois années, et ayant un usage quasi quotidien, sans motivation d'ordre professionnel. Dans ime démarche emprunte de référents théoriques issus du constructivisme, nous avons tout d'abord laissé la parole aux acteurs qui par «

des récits de pratiques

» nous ont raconté comment ils utilisaient les sites qu'ils consultaient le plus fréquemment. Dans une deuxième phase, nous avons récupéré et analysé les historiques des navigations caractéristiques de ces usages réguliers, pour les retracer en termes de séquences d'interactions.

A partir de ces matériaux composites (dires sur les usages, traces de navigation, signets), nous avons constitué des cas instrumentaux, montrant des situations caractéristiques. Parallèlement, les sites utilisés ont fait l'objet d'une analyse pour identifier les parcours que l'intemaute ne faisait pas, les fonctiormalités qu'il n'utilisait pas, afin de resituer la navigation intentionnelle de l'usager dans un cadre plus large, celui du possible proposé par l'éditeur. Chaque cas a fait l'objet d'une validation par l'acteur concerné.

Cette analyse nous conduit à identifier quatre grands types de navigations dans des espaces sémantiques familiers : la transclusion, le

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zonage, le fragment, le mode dialogique. Nous allons présenter ces différents types en les illustrant par des pratiques de terrain.

Navigation par transclusion

Il nous faut préalablement opérer un bref retour sur la courte histoire de l'hypertexte. En 1965, Ted Nelson crée le néologisme d'hypertexte pour donner un nom à l'utopie de Vannevar Bush, qu'il s'était approprié, en vue de la pousser plus avant, avec le projet Xanadu.

Pour cet « inventeur-philosophe », l'hypertexte, que nous connaissons actuellement sur le web, est une forme encore imparfaite du texte non linéaire. Seules des formes plus associatives et composites offriront le moyen de réaliser l'utopie fondatrice.

Le concept de

transclusion,

qu'il différencie de la simple consultation de pages web par liens hypertextes, conduit à la constitution de textes composés de fragments d'autres textes (au sens large). Il propose donc de définir la transculsion comme le « (...)

mécanisme qui permettra à un document d'être en plusieurs endroits simultanément. Un même paragraphe, ou une même illustration, pourra se trouver dans plusieurs contextes.

»l Le document n'est pas, dans cette optique, dupliqué, ni copié, mais indu dans des environnements, des contextes différents, pour participer à la création d'un nouveau texte, sorte de métatexte, persormel à l'internaute, qui le construit.

Nous reprenons ce néologisme pour l'adapter à certains types de navigations. Il évoque ici une forme appauvrie de ce que Ted Nelson envisageait en définissant la transclusion

Prenons le cas de la consultation de la presse en ligne, au moyen d'une liste de diffusion du type de Net2one2. Cet éditeur propose à l'internaute, qui s'abonne gratuitement à ses services, de lui faire parvenir quotidiermement un courrier électronique référençant tous les articles (ou presque) parus en ligne et provenant de différents organes de presse, sur un sujet donné. Pour ce faire, l'usager indique des mots-clés qui sélectionneront les titres d'articles qu'il recevra.

La liste de diffusion, ainsi constituée, devient le sommaire d'un journal qui n'existe que pour cet abonné. Le lecteur va choisir des titres d'articles parmi ceux qui lui sont proposés. Le quotidien ainsi composé comprend des 1. Interview de Ted Nelson, in Le Monde du 31 mars 1996. En ligne sur http://hyperm edia.univ-paris8.fr/jean/fiction/Nelson/Xanadu_nouv.htm l

2. http://www.net2one.fr

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articles de différents journaux aux opinions et orientations éditoriales diverses.

L'usager clique sur un titre, lit ou survole l'article d'un journal, puis revient à la liste, prend connaissance d'un autre article dans un nouveau quotidien, glisse sur la page d'accueil du journal éditeur pour revenir à la liste et lire un autre article, etc. Dans ce type de navigation, nous avons observé que le parcours s'articule principalement autour de la liste et que les passages sur les pages d'accueil des journaux ne donnaient pas suite à la consultation du quotidien. A l'opposé, dans le cas où un article

(Le Mondé^, Libération'^)

est accompagné d'un sommaire thématique lié à la problématique traitée, l'intemaute oublie la liste pour lire plusieurs articles cormexes, à partir des outils de navigation du site, alors que ces items sont, par ailleurs, présents sur la liste de diffusion. La navigation interne au site dévie ainsi le parcours de l'usager qui s'articule autour d'une thématique doimée, sorte de parenthèse à la consultation de la liste.

L'agencement personnel des pages, à partir des propositions de la liste et des incitations à approfondir un sujet, conduit à une forme de transclusion où un métatexte est composé sur un sujet avec des points de vue différents.

En d'autres mots, la navigation par transclusion concerne les parcours qui composent un métadocument à partir de pages extraites de supports différents, mais ayant une unité sémantique forte La constitution de l'espace familier se construit ainsi autour d'une série de sites dont sont extraits des pages, et n'ayant pas de cohérence graphique ou fonctionnelle entre elles.

Cependant, il est à noter que certains organes de presse

(Le Monde

et

Libération)

tendent à une forte similarité structurelle ; comme si les éditeurs de presse savaient que le lecteur en ligne n'est plus le lecteur d'un seul journal et que l'harmonisation navigationnelle engage l'usager à ne pas se limiter à la seule page, dont il a l'adresse, mais à aller plus avant dans le site.

Face à la profusion des informations disponibles sur le réseau, la standardisation des procédés de navigation aboutit à une normalisation des parcours qui réduisent la complexité de l'accès à l'mformation.

La transclusion revient ainsi à un «

processus collectif de constitution des métadocuments

» ; la liste de diffusion

organise

l'accès aux documents, les éditeurs de sites produisent et mettent en forme les contenus, tandis que l'usager agence les sources d'information en fonction de ces propres projets, au sein d'un possible construit collectivement. L'usager investit alors le rôle

3. http://www.lem onde.fr 4. http://www.liberation.fr

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de rédacteur en chef, qui, sur propositions de titre d'article, agence une édition personnelle qui n'aura d'existence que sur son poste informatique.

Navigation par zonage

Un site web est un espace informationnel cohérent et intentiormel.

L'éditeur et le concepteur ont défini une arborescence, un type de navigation. Dans le cas d'architectures en niveaux, alliant une mise en réseau des thématiques principales (rubriques) et une mise en réseau des contenus les constituant (sous-rubriques), l'usager peut ne consulter qu'une zone ou plusieurs, régulièrement, sans toutefois porter un intérêt à la totalité du site. Le terme zone recouvre ici une rubrique composée de plusieurs pages ou de plusieurs sous-rubriques ayant une unité sémantique forte.

Prenons le cas du site d'Allo Ciné^, dont le but est d'informer sur les films qui sortent en salle. L'usager a, entre autres, la possibilité de s'abormer à une liste de diffusion, lui annonçant les horaires des films dans ses salles de prédilection. Le mercredi matin, l'intemaute reçoit la liste et peut cliquer sur le titre du film qui l'intéresse. Il consulte alors la fiche du film qui est une page portail, sorte de sommaire, sur toutes les ressources liées au film : la fiche technique, le story bord, la distribution, la bande-annonce, les photographies du tournage, des fiches sur les acteurs, le lien vers le site officiel du film. Dans le cas où l'intemaute dispose d'autres moyens pour s'informer sur les films à l'affiche (presse, presse en ligne, télévision, bouche à oreille), son intention de recherche d'informations préexiste à la consultation du site. Ainsi, le cinéphile va utiliser les documents en ligne pour vérifier la pertinence de son choix, en ne consultant que les informations liées à ce film.

La navigation, dans ce cas, se centre sur un ou deux films à l'affiche dans la semaine. Les autres rubriques du site, les actualités, les jeux, les produits dérivés, sont ignorés et la navigation se focalise sur la zone du film recherché. Un usager, qui ne s'est pas abonné à la liste, consultera aussi le site par zones car la navigation se structure autour des objets film.

A travers les deux cas exposés précédemment, nous pouvons remarquer que l'usage des listes de diffusion n'entraîne pas forcément un type de navigation. A ce stade de notre réflexion, il apparaît que le type de navigation est liée à l'intentionnalité de recherche d'irvformations plus qu'à la structure intrinsèque du site. Le concepteur conçoit un objet clos, avec un système global de navigation, mais il n'envisage pas forcément que la 5. http://www.allocine.com

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navigation n'est pas uniquement celle proposée par le dispositif, mais résulte d'une alchimie entre les possibles offerts par la matérialité du site (page portail sur une thématique, barre de navigation sur des ressources liées) et la nature de la recherche d'informations.

Navigation par fragment

Nous venons de voir que l'usager peut agencer des pages issues de sites distincts, ou consulter une partie homogène d'un tout. Cependant, à partir des bibliothèques de signets, l'intemaute peut également accéder directement à la page d'un moteur de recherche interne à im site. Dans ce cas, l'utilisateur active la page de recherche, indique ses mots-clés, prend cormaissance du résultat et quitte le site pour entamer une autre recherche d'informations, sans lien avec la précédente ou se déconnecte.

Prenons l'exemple d'une bibliothèque municipale, dont les références des fonds sont accessibles en ligne sur un site. Ici, l'intemaute indexe la page de recherche pour pouvoir trouver les cotes qui lui faciliteront le retrait sur place. L'utilisateur ne consultera pas d'autres dormées sur le site, car seule la page de recherche et les réponses fournies motivent sa visite. L'accès à des recettes de cuisine peut, tout autant, relever des mêmes procédés. L'usager a référencé la page où est situé le moteur de recherche, le gourmet indique un ingrédient, avant d'obtenir une liste de recettes. Il en consulte plusieurs, là où il les imprime et quitte le site.

Ce procédé apparaît aussi avec l'usage des pages de démarrage.

L'intemaute, lorsqu'il se cormecte, ouvre automatiquement une page avec des informations l'intéressant (la météo, les cotations en bourse, la page d'accueil de son fournisseur d'accès...) et de manière générale, cette page sera la seule corrsultée sur le site, plus ou moins attentivement, d'ailleurs.

Avec la navigation par fragment, la ou les pages consultées forment un contenu homogène qui, à la différence de la transclusion ou du zonage, n'induira pas im enchaînement conséquent de pages formant un tout sémantique. Ici, seul le ou les fragments extraits du site apportent une réponse à l'usager.

Navigation par dyade

La navigation par dyade renvoie, quant à elle, à la dualité qu'il peut y avoir à poser une question sur un forum et à y revenir pour trouver la

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réponse attendue. Si nous prenons le cas du site CyberBricoleui^, qui est en fait un site composé de forums et de fils de discussion sur des problèmes de bricolage, nous observons que l'usager a référencé la page d'accueil dans ses signets. Sur celle-ci, il sélectionne le type de problème à résoudre (peinture, plom berie, électricité...) en choisissant une thématique. L'usager lit les contributions, déjà postées, pour vérifier si son problème a déjà été évoqué, et dans la négative, il rédige sa demande d'aide en indiquant son adresse électronique. Dès qu'un internaute a répondu à sa missive, un message, lui parvenant par courrier électronique, l'alerte de l'existence d'une réponse. Il se connecte à nouveau au site à partir de sa boîte aux lettres pour lire la réponse. Il remercie l'aimable bricoleur pour son aide, ou demande des précisions. Il ne reviendra sur le site que lorsqu'il rencontrera un nouveau problème technique dans sa vie quotidierme.

Le mode dyadique diffère du précédent par le fait que la séquence d'interactions se joue sur un mode question-réponse qui peut engendrer plusieurs séquences de navigation sur le site. De plus, l'information ne réside pas sur le site comme dans la navigation par fragment et nécessite un délai dans l'obtention de la réponse qui ne provient pas d'une base de données mais d'un autre usager. Les séquences de navigations sont disjointes et la réponse différée.

Il est à noter que les forums apparaissent, de plus en plus, comme partie intégrante des sites de par la simplification de leur usage. L'intemaute ne différencie pas le site de cette fonctionnalité conversationnelle.

L'harmonisation graphique du forum avec le site en est une des raisons.

Conclusion

La présente typologie s'attache peu aux outils de navigation interne au site, mais tend à montrer que, dans un espace ouvert comme le web, la navigation prend aussi appui sur des outils externes : signets, listes de diffusion et courrier électroniques. De plus, le parcours dans le site, ne procède pas uniquement de la mise en scène de l'architecture par des icônes ou des barres de navigation. Un usager qui connaît un site organise sa navigation dans un espace familier au moyen d'outils favorisant une certaine économie cognitive (les accès directs à la ressource qui répond à la recherche). Pour qu'un site soit intégré à un espace familier et fasse l'objet de visites fréquentes, il doit être soumis à une actualisation régulière. La consultation du site dans cette optique est certes superficielle, mais

6. http://www.cyberbricoleur.com

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récurrente. Ces éléments peuvent aider à penser la navigation interne au site sur deux points importants : imaginer les différents types de navigations familières et organiser la navigation interne au site cormne autant d'incitations à sortir de la routine pour consulter le site. Dans nos sociétés où le temps se rétracte, l'internaute tend à vouloir aller toujours plus vite, et oublie parfois de flâner. Les différents types de navigations routinières l'attestent. La navigation doit donc engager au butinage à partir de barres de navigation tant fonctiormelles que thématiques sur toutes les parties.

Chaque page doit ainsi être considéré comme une page d'accueil et mettre en avant la richesse du site.

Transculsion Zonage Fragment Dyade

Forme de la consultation au

sein du site

Plusieurs pages dans un

ordre disjoint

Consultation d'une partie homogène

Consultation d'un nombre limité de pages

La même page plusieurs fois Utilisation des

outils de navigation hors

site

Liste de diffusion

Liste de diffusion

Signets

Signets Signets

Utilisation des outils de navigation du

site

Barre de navigation thématique

Outils de navigation

du site

Outils de recherche

Fonctionnalités du forum

Importance de la périodicité d'actualisation

M ajeure Majeure M ineure M ajeure

Nature de

l'architecture Sans effets Importante Sans effets Sans effets Rech. d'info. Thématique Thématique Thématique Thématique

Tableau synthétique

Bibliographie

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