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Sur la fonction d'appui des ensembles convexes dans un espace loealement convexe

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

A R K I V F O R M A T E M A T I K B a n d 3 n r 12

Communiqu4 le 14 a v r i l 1954 p a r OTTO FROSTMA~

S u r la fonction d'appui des ensembles c o n v e x e s dans un espace l o e a l e m e n t c o n v e x e

P a r LARS H S R M A N D E R

Cette note a son origine dans ~DSTR51~I [4], O1~1 l'on dgmontre que certaines classes d'ensembles eonvexes dans un espace norm6 E, munies de la d6finition usuelle de l'addition et de la multiplication avec des sealaires et distanci~es p a r la distance de Hausdorff, sont isomorphes ~ des cSnes convexes dans un espac~

normS, N.

Si la dimension de E est time, ce th6or~me est essentiellement dfi £ Minkowski, car un tel isomorphisme est donn6 par la correspondence entre les ensembles convexes et leurs fonctions d'appui, qui sont d6finies dans l'espaee dual E ' de E et norm6es par le maximum sur la sphere unit6 dans E ' .

Nous allons d~montrer ici que les th6or~mes classiques sur la fonetion d'appui sont encore valables si la dimension de E n'est pas n6eessairement time. Les r4sultats n'offrent peut-~tre pas beaucoup de nouveau, mais a u t a n t que nous le savons, les ddmonstrations ne se t r o u v e n t nulle part. E n appliquant les rdsultats.

d6montr6s par la suite nous obtiendrons une g~n6ralisation et une pr6cision d u th6or~me cirri de R£dstrSm.

S o i t E un espace vectoriel t o p o l o g i q u e localement convexe rdel. Nous dg- signerons par E ' l'espace dual de E, et la forme lindaire y E E ' sera ~ e r i t e (x, y~ (x E E). De la thdorie des espaces localement convexes rlous eitons le lemme suivant:

L e m m e . Dans un espace loealement convexe, tout ensemble convexe /ermd K est l'intersection des demi-espaces ]ermds qui le contiennent.

Rappelons q u ' u n demi-espace ferm6 est d6fini par une indgalit6 de la forme (x, y)_< a, dans laquelle y E E ' et :¢ est r~el. - - Le lemme se trouve dans BOUR- B~LKI [1], p. 73, Corollaire 1.

D6finition. Etant donnd un ensemble convexe /erred non vide K dans E on dd/init sa /onction d'appui H (y), y E E ' , par

" (1) H (y) = sup (x, y).

x E K

H (y) est 6videmment partout > - oo. Rappelons q u ' u n ensemble A c E est faiblement born6 si (x, y ) est born6 quand x E A pour ehaque y fix4 dans E ' .

(2)

L. HORMANDER, Sur la fonction d'appui

On voit alors imm6diatement de (1) q u ' u n ensemble convexe et ferm6 K est faiblement born6 si et seulement si la fonction d ' a p p u i H (y) est finie p o u r chaque y E E ' .

T h ~ o r ~ m e t . S i les /onctions d'appui de deux ensembles convexes /ermds K 1 et K 2 sont identiques on a aussi K 1 = K~.

L'hypoth~se peut s'~crire comme il suit: Si (x, y~___ ~¢ pour x ~ K 1 on a aussi (x, y~___ ~ pour x ~K~ et r~ciproquement. Autrement dit, un demi-espace ferm~

qui contient un des deux ensembles en contient aussi l'autre. I1 s'ensuit alors du lemme que K~ et K~ sont identiques.

Th&or&me 2. S i K~ ~ K2 on a 111 <_ H~ et rdciproquement.

L a partie directe est triviale, et la r~ciproque s'ensuit du lemme en appliquant le m~me raisonnement que pr~c~demment.

On d~finit habituellement la somme de deux ensembles convexes /{1 et K~

par K ~ + K ~ = { x ~ + x ~ ; x ~ K ~ } . Ici cette d~finition n'est pas convenable puisque la somme ainsi d~finie n'est pas ndcessairement fermde si K~ et Ka sont ferm~s, m~me si la dimension de E est finie. Nous posons

(2) g~ + g~ = {x~ + x~; x~ e K,},

off le trait dfisigne l'adh6rence. La multiplication avee un scalaire non n6gatif t est dfifinie de la mani~re usuelle,

(3) t K = { t x ; x f i K } .

T h a o r ~ r n e 3. S i les /onctions d'appui de K 1 et K~ sont H x et H 2, la /onction d' a p p u i de t I K 1 + Q K~ est t 1 H 1 + t~ H~ (ta, Q >_ 0). I c i il /aut adopter la convention 0 . ~ = 0 .

Puisque les points tax 1 +t~ x~, x~ cK~, sont denses dans ta K 1 + t~ K2 = K on a en effet

s u p (Z, y ) = s u p ( t I X 1 "~- t 2 X2, y ) = t I s u p (2:1, y ) ~- ~2 SUp (X2, y~ = t 1 H 1 (y) ~- t 2 H 2 (y).

x ~ K x i ~ K i xl ~ . K l xaE K s "

L'enveloppe convexe ferm~e des ensembles convexes ferm~s K~ (e E I ) est l'ad- h~rence de l'ensemble des combinaisons lingaires ~ 2, ~,, oh x, E K~, ~, _> 0 p o u r

I

t o u t L E I (2, = 0 sauf pour un hombre fini d'indices) et ~ ~, = 1. I1 en d~coule par un raisonnement analogue ~ celui, utilisg dans la d~monstration du th~o- r~me 3, le thgor~me suivant:

T h 6 o r ~ r n e 4. L a ]onction d ' a p p u i de l'enveloppe convexe fermde de K~ (~ E ]) est sup H, (y).

Nous dd, montrerons maintenant un th~or~me plus difficile qui caract~rise en- ti~rement les fonctions d'appui.

T h 6 o r ~ m e 5. Une fonction H (y) dd[inie clans .E', - c o < H (y)<_ + co, est la /onction d ' a p p u i d ' u n ensemble convexe /erred dans E si et seulement si H (y) est

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(3)

A R I L I V F(JR MATEMATIK. B d 3 n r 12

semicontinu in/drieurement Tour la topologie /aible a (B', E) et de plus convexe et Tositivement homog$ne, ce qui s'dcrit

(4) H (yl + y~) _< H (y~) + H (y2), H (t y) = t H (y) (t _> 0).

P o u r la n o t a t i o n a(E', E) et los th6or~mes utilis4s plus loin voir DIEU- VO~N~ [2], [3].

Los conditions s e n t n6eessaires. E n effet, p o u r x fix6 dans E, <x, y> est u n e fonetion de y qui est linfaire, homog~ne et c o n t i n u p o u r la topologie faible.

D o n e H ( y ) , & a n t le s u p r 6 m u m d ' u n e famflle de fonctions de ee genre, est eonvexe, p o s i t i v e m e n t homog~ne et semieontinu inf6rienrement p o u r la t o p o - logie faible.

I1 est plus difficfle ~ 6tablir que la condition soit suffisante. N o u s allons nous servir d ' u n e m 6 t h o d e qui est bien c o n n u e dans le cas off la dimension de E est finie (voir S~DOREN [5]). N o t r e mgrite est d o n e seulement d ' a v o i r t r o u v 6 les conditions topologiques appropri6es, x

P o s o n s F = E + R, off R e s t u n espace veetoriel £ u n e dimension. Los 616- m e n t s de F s e n t de la forme X = ( x , }), oh x E E et } est u n h o m b r e r6el, et la topologie de F est la topologie produit. L ' e s p a e e d u a l F ' est 6 v i d e m m e n t r6alis6 p a r E ' + R , et nous p o u v o n s 6erire p o u r X E F et Y E F '

<x, r)=<x, y>-

u n ensemble eonvexe ferm6 K dans E nous faisons eorrespondre dans F le c6ne convexe C d6fini p a r

C={(tx, t); x ~ K , t_>O}.

L ' i n t e r p r 6 t a t i o n g4om6trique de eette d4finition est que C est le e6ne d e n t la base est {(x, 1); x E K } et le s o m m e t £ l'origine. On v o i t i m m 6 d i a t e m e n t que t o u s los points X EC s e n t do la forme (ix, t) sauf p o u r ceux qui s e n t situ6s dans le plan } = 0. D o n e on eonelut qu'il y a une correspondence b i u n i v o q u e entre les ensembles convexes ferm4s K dans E et los c6nes eonvexes ferm4s C dans F , qui o n t lenr s o m m e t ~. l'origine et qui s e n t contenus dans le demi- espace ~ > 0 mais n o n dans le plan ~ = 0.

Consid~rons dans F ' le cSne d u a l C' qui est d6fini p a r

c'={r; <x, Y}_<0 pour x e c } .

Cette d6finition p e u t s'6crire (x, y} - ~ <_ 0 p o u r x E K, c'est-£-dire ~>_ H (y). D o n e C' est ]'image g 6 o m & r i q u e de la fonction d ' a p p u i de K.

P r e n o n s m a i n t e n a n t u n e fonction H (y) qui satisfait a u x conditions de l'gnone6 d u th~or~me 5 et posons:

D = { Y; ~? >_ H (y)}.

1 Voir aussi FENCHEL: On conjugate convex functions, Canad. Journ. of Math. 1, 73-77, oh l'on pose une condition de semicontinuit6 dans l'6tudo de la transformation de Legendre g6n6ralis6e ~ un nombro fini de dimensions.

(4)

L.. IISliMANDER, Sttl" ~a

fonction d'appui

Les:conditions (4) entrai~ient que D est un cSne convexe, et le f a i r , que H est faiblement semicontinu inf~rieurement, entralne que D est ferm~ pour la topo- logie faible. Du fair que H (0)= 0 il s'ensuit que (0, ~ ) ~ D seulement si ~]_> 0.

Soit C le eSne dual de D,

C = { X ; <X, Y>_<0 pour tou~ YED}.

E t a n t l'intersection de demi-espaces ferm&, C est un cSne convexe ferm& C est situ6 dans le demi-espace ~>_0, car (0, ~/)ED si r/_>0. I1 est clair que & D D . Si nous d6montrons que C' = D il s'ensuivra d ' a b o r d que C n ' e s t paz contenu dans le plan ~ - 0, car alors le point (0, - 1), par exemple, appartiendrait ~ D c e qui est une contradiction. Done l'ensemble convexe ferm6 K dans E, qui cor- respond £ C, a la fonction d ' a p p u i H (y).

Il reste seulement ~ d~montrer que C ' c D , ou ce qui est la m~me chose, q u ' & a n t donn~ ]7o (~ D il existe X E C tel clue ( X , Yo) > 0. A u t r e m e n t dit, il f a u t d~montrer que si Yo~D il existe un ~l~ment X E F tel que <X, Y0> > 0 et

<X, Y>_<0 pour t o u t Y E D . Ceci s'ensuit facilement du lemme. E n effet, si on m u n i t F ' de la topologie faible, les fonctionnelles lindaires sur /v' p e u v e n t s'6crire ( X , Y). avec X E F (voir Dieudonn4 [2]). Donc d ' a p r & le l e m m e il existe un ~l~ment X E F et un nombre r~el :¢ tels que ( X , Y0~>c¢ et ( X , Y>_<~ pour Y E D . E t a n t donn6 que 0 E D , il s'ensuit que c¢>0, done <X, Y 0 ) > 0 . Puisque D est un c6ne on a 6 g a l e m e n t ( X , t Y>_< c¢ p o u r t o u t t > 0 , et il en d4coule que ( X , Y>_<O.

Le th~orbme s u i v a n t e s t n n compl~ment, de notre th~or~me 5.

T h 6 o r f i m e 6. La /onction d'appui de K est continue pour la topologie [aible si et seulement si K est bornd et de dimension /inic.

Les ensembles U = {y; [(xtl Y>I < l, i = 1, . . . , n}, off x~ sont des ~l~ments arbi- t r a i r e s dans E f o r m e n t un systbme fondamental de voisinages pour la topologie faible dans E ' . Appelons k l'enveloppe convexe ferm~ des points ___xi (i = 1, . . . , n) et Soit h ( y ) l a fonction d'appfli de k. E t a n t donn~ que la fonction d ' a p p u i d ' u n ensemble convexe rdduit £ un point a E E est <a, y ) on a solon le th6or~me 4 h(y)=max]<x,, y>l. Done U={y; h ( y ) < l } .

i

: Soit H (y) une fonction d ' a p p u i qui est continue p o u r la topologie faible. H (y)

& a n t continu £ l'origine, il existe un voisinage U = {y; h (y) < 1} tel que H (y) < 1 p o u r yEU. Done on a p a r t o u t H (y) <_ h (y), c'est-~-dire K ~ k . P a r consequent K est born~ e~ de dimension finie.

I n v e r s e m e n t soit K born6 et de dimension finie. P o u r un ehoix convenable des points xt on a K c k , d'ofi H (y) <_ h (y). I 1 s'ensuit de l'in4galit6 6vidente IH(y~)~H(y~)i<_h(y~-y2) que [ H ( y ~ ) - H ( y 2 ) I < e si y l - y 2 e e U et la con- tinuit6 uniforme de H (y) est d~m0ntr~e.

Nous pouv0ns ~galement d~montrer un th~or~me analogue pour la topo- logie forte :

T h 6 o r ~ m o 7. La /onction d'appui de K est continue pour la topologie /orte si et seulement si K est /ortement bornd.

L a ddmonstration est aussi analogue £ celle du th6or~me 6. On r e m a r q u e d ' a b o r d que les fonctions d ' a p p u i des ensembles convexes ferm6s et born6s dans

184

(5)

ARKIV F 6 R MATEMATIK. B d 3 n r 12 E, qui sont sym4triques autour de l'origine, forment un syst~me de seminormes qui d~finit la topologie forte dans E ' .

P a r la suite n o u s allons exclusivemen~ gtudier la classe :K des ensembles con- vexes ferm~s f o r t e m e n t borngs. Ces ensembles sont ~ fortiori feiblement b0rn4s ~ donc leurs fonctions d ' a p p u i sont finies partout. ~ sera muni de la t o p o l o g i e d'Hausdorff, c'est-k-dire pour t o u t voisinage U de l'origine dens E et e > 0 ori dgfinit un voisinage de K 0 ~ p a r les conditions

(5) K c K o + e U , K o = K + e U .

On obtient ~videmment u n syst~me fondemental de voisinages si U p a r c o u r t t o u s l e s voisinages convexes sym~triques.

Les voisinages p e u v e n t s'exprimer feeilement au m o y e n des fonctions d'appui.

E n effet, d'apr~s le th4or~me 2 les conditions (5) sont ~quivalentes a u x in~galit4s H (y) _< H 0 (y) + e V (y), H 0 (y) __ H (y) + e V (y) off V (y) est le fonction d ' a p p u i de U.

Donc les voisinages sont dgfinis p a r

(5)' sup [ H (y) - H 0 (y)[ = sup ] H (y) - H~ (y)] _ e.

V (y) v(~)-<~

Remarquons que {y; V (y)_< 1} est la polaire du voisinage U et p a r consgquent un ensemble 4quicontinu dans E' (voir DIEUDONN]~ [3]).

Consid~rons l'espace vectoriel ~ de routes les fonctions positivement homo- g~nes h (y) ddfinies dens E ' , qui sont continues pour la topologie forte, et in- troduisons dens :H la topologie de convergence uniforme sur t o u t ensemble gqui- continu. E t a n t donn6 q u ' u n ensemble ~quicontinu est fortement born6, on voit de suite que ~ est un espace vectoriel topologique localement convexe.

Les fonctions d ' a p p u i des ensembles convexes K E ~K sont duns ~ (th~or~me 7) et la convergence dens ~ gquivaut ~ la convergence des fonctions d ' a p p u i dans ~ . Donc les th~or~mes 1-3 p c u v e n t s'6noncer comme il suit,:

T h ~ o r ~ m e 8. L' application ~ 9 K-> H (y) ~ ~ est un isomorphisme des struc.

tures algdbriques et topologiques et aussi de la relation d'ordre de 3( dens ~ . Ceci est une gSn~ratisation du th~or~me de R£dstr6m. On r e m a r q u e que la dgmonstration n'utilise rien du th~or~me 5, le seul th6or~me diffieile.

Soit ~ o le sous-espace vectoriel de ~4 qui est engendr~ p a r les fonctions d ' a p p u i , a u t r e m e n t dit, les dlgments de ~0 sont de la forme H 1 - H ~ off H 1 et H~ song des fonctions d'appui.

T h ~ o r ~ m e 9. 7/0 est rdticuld, c'est-&-dire si h 1 et h 2 appartiennent ~t ~l o les /onctions sup (hi, h2) et inf (hi, h2) sont clans ~t. elles awssi. ~to sdpare deux points quelconques clans E' qui ne sont pas des multiples positi/s l'un de l'autre.

Posons h 1 = H~ - H f , h 2 = H~ - H~ off H~, . . . , H~ sont des fonctions d'appui.

On a

sup (hi, h2)= sup ( H ~ - HZ, H ~ - H~) = sup (H~ + H~, H + z + H ; ) - ( H { + H~-).

Les sommes dcrites dens cette formule sont des fonctions d ' a p p u i (th~or~me 3)

(6)

L. HORMANDER, S u r la fonction d'appui

de m~me clue le supr6mum (th60r~me 4) et p a r cons6quent sup (h 1, h2)q:H0. L a seconde partie du th~or~me est 6w'dente.

Si la dimension de E est finie on en conclut selon le th~or~me de Stone- Weierstrass, que :Ho est dense clans :H. Dans le cas d ' u n e dimension infinie ceci n ' e s t pas vrai en gfin6ral. P a r exemple si E est un espace norm6 non r6flexif on a :H0#~H.

Ajoutons enfin quelques roots sur le cas particulier off E est un espace norm6.

L a topologie de Hausdorff est alors une m6trique et la distance d (K 1, K~) est p a r d6finition la limite inf6rieure des nombres t > 0 pour lesquelles on a

K l c K 2 + t S , K~=Kx+ tS,

off S est la boule unit6, S = { x ; I1~11<1}. L a fonction d ' a p p u i de S est Ilyll, done la distance p e u t s'6crire:

d ( K 1 , g 2 ) = s u p I H 1 (Y) - H 2

(y)[

= s u p

I HI (y)

- H 2

(y) l.

:H est m a i n t e n a n t l'espace norm6 et complet des fonctions h ( y ) p o s i t i v e m e n t homog~nes qui sont continues p o u r la topologie forte, et la norme dans :H est d~finie p a r la formule

Ilhll = sup I h ( y ) l

I l y l l ~ l

Done l'ensemble ~ est isomorphe ~ un cSne convexe dans un espace norm6.

B I B L I O G R A P H I E

[1] BOURBAKI: E s p a c e s vectoriels t o p o l o g i q u e s Chap. I, I I , P a r i s 1953.

[2] DIEUDONN~: L a dualit6 d a n s les e s p a c e s v c c t o r i e l s t o p o l o g i q u e s , Ann. Sc. Ec. N o r m . Sup.

3 e s~r. 59, 1942, 107-139.

[3] - - . , R e c e n t d e v e l o p m e n t s in t h e t h e o r y of locally c o n v e x v e c t o r spaces, Bull. o f t h e A m e r . M a t h . See. 59 (1953), 495-512.

[4] R)~DSTRSM: A n e m b e d d i n g t h e o r e m for spaces of c o n v e x sets, P r e c . of t h e Amer. M a t h . Soc.

3, 1952, 165-169.

[5] SANDGR~.~r: O n c o n v e x cones. A p a r a l t r e d a n s M a t h e m a t i c a S c a n d i n a v i c a .

186

Tryckt den 6 oktober 1954

Uppsa]a 1954. Almqvist & Wiksells Boktryckeri AB

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