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Emploi des potentiels et des antipotentiels dans le schéma canonique de la théorie du champ électromagnétique

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00234428

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Emploi des potentiels et des antipotentiels dans le

schéma canonique de la théorie du champ

électromagnétique

Bernard Kwal

To cite this version:

(2)

571 de

de

de

jusqu’à

Les rayons ont été calculés à

partir

de la for-mule

(1),

qui

introduit une correction non

négli-geable (o,70.

Io-13 cm pour les noyaux

lourds)

par

rapport

aux rayons calculés par la formule,7 = 2 x R2 utilisée par les auteurs cités. Notons que les conditions de validité du modèle du

composé

[libre

parcours

du neutron dans le

noyau « R

et E

(A-I ).

8

MeV]

sont à peu

près

vérifiées dès le

Li;

mais

(1)

ne devrait pas être

appliquée

au calcul du rayon du

proton

et du deuton.

La

possibilité

de valeurs

négatives

de b est en

désaccord avec son

interprétation

comme

épaisseur

d’une couche

superficielle.

La loi

type (4)

doit être considérée comme

empirique.

Il semble donc

que la

loi

d’augmentation

de R

avec A

dépend

de la couche nucléaire dont

s’effectue

le

remplissage.

Les noyaux pour

lesquels

se

présentent

les

changements

de droites sont en effet connus comme

constitués par des couches saturées

(noyaux

à

8,

20,

-

5o

protons;

on

conçoit

que les discontinuités que l’on

attendrait pour les noyaux à couche saturée de neutrons

n’apparaissent

pas, car il

s’agit

de,7 moyennes

sur les différents

isotopes

stables d’un même

élément).

En considérant ces

couches,

suivant une

image

semi-classique

analogue

à celle des orbites

électro-niques

dans les

atomes,

comme constituant des couronnes

concentriques

se

remplissant

successi-vement,

on est amené à

suggérer

pour

chaque

couche la loi :

où r est le rayon d’une couche saturée formée de a

nucléons,

le volume de la couronne extérieure étant

proportionnel

au nombre A-a des nucléons

qui

s’y

trouvent. En toute

rigueur

les formes

(4)

et

(5)

sont

incompatibles; cependant,

le terme correctif b étant

petit,

on rend

compte également

des valeurs

expéri-mentales avec

de

de

de

au delà de Sn :

les écarts étant de l’ordre des erreurs

expérimentales;

les résultats situés au delà du Pb

(Z

=

82)

sont

cependant

mieux

représentés

par

Sauf pour la

première

couche pour

laquelle 1,5

d’ail-leurs déterminé avec une faible

précision

est inférieur

au rayon

2,3

de

l’a,

les nombres r sont les rayons des

noyaux saturés

0, Ca,

Sn et Pb. Notons que les rayons de ces noyaux semblent être

d’envi-ron 3 pour ioo au-dessous de la droite

correspondant

à la couche

qui s’y

achève,

et que le

premier

noyau

de

chaque

couche

(Li, F)

semble au-dessus des

droites,

le

premier

nucléon

ajouté

après

une couche saturée étant

particulièrement

libre. On doit de

plus

s’attendre à certaines

irrégularités,

une couche pouvant com-mencer à se

remplir,

alors que la

précédente présente

encore des

places

vides.

Manuscrit reçu le 27 février I 951 .

[1] FESHBACH H. eL WEISSKOPF V. F. 2014

Phys. Rev.,

I949,

76, I550.

[2] AMALDI E, BOCCIARELLI D., CACCIAPUOTI B. N. et

TRA-BACCHI G. C.2014 Nuovo Cimento, I945, 3, 203.

[3] AGENO F.. AMALDI E., BOCCIARELLI D. et TRABACCHI G. C.2014 Phys. Rev.,

I947, 71,

20.

[4] HILDEBRAND R. M. et LEITH C. E. -

Phys. Rev., I950, 80, 843.

[5] COOK L. J., MAC MILLAN E., PETERSON J. M. et SEWELL D. C. - Phys. Rev., I949, 75, 7.

[6] FERNBACH S., SERBER R. et TAYLOR T. B. 2014

Phys. Rev.,

I949, 75, I352.

EMPLOI DES POTENTIELS ET DES ANTIPOTENTIELS DANS LE

SCHÉMA

CANONIQUE

DE LA

THÉORIE

DU CHAMP

ÉLECTROMAGNÉTIQUE

Par BERNARD KWAL. Institut Henri

Poincaré,

Paris.

Sommaire. 2014 La

seule manière rationnelle de construire le schéma canonique du champ

électromagnétique

semble

consister à envisager à la fois le potentiel et l’antipotentiel. Le nombre des variables canoniques indépendantes et celui des variables conjuguées peuvent, dans ce cas, être

égaux,

tandis que les deux groupes

d’équations

de

Maxwell-Lorentz se déduisent simultanément du principe de l’action stationnaire.

Il est bien connu

qu’on

peut

introduire en théorie des

équations

de

Maxwell-Lorentz,

outre le

potentiel

habituel,

le

quadrivecteur

Aj,

un

antipotentiel

(tenseur

à trois indices

Bijkl, complètement

anti-symétrique).

En

présence

d’une source

quadri-vectorielle

(densité

de courant et de

charge

Ci)

l’introduction du

quadrivecteur Aj

est nécessaire,

mais nous pensons

qu’elle

n’est pas suffisante. Dans

le

vide,

en

effet,

il n’existe aucune raison a

priori

pour considérer

Aj plutôt

que

Bijklo

Force nous est donc

d’envisager

ces deux

potentiels

à la

fois,

et ce

faisant on

imprime

à la théorie une forme

symé-trique

et l’on évite les difficultés que fait naître la méthode

dissymétrique

dont on se sert habituellement

dans la construction du schéma

canonique

de la théorie de Maxwell-Lorentz.

(3)

572

Nous allons donc poser

et considérer les

Aj

et

B[jkl]

comme variables

cano-niques indépendantes

dans le schéma de

Lagrange-Hamilton,

en

partant

de l’Action stationnaire

où la fonction de

Lagrange

L est donnée par

l’expres-sion suivante :

Les

équations d’Euler-Lagrange,

relatives aux

variables

Aj,

nous fournissent alors le

premier

groupe

d’équations

de Maxwell-Lorentz

tandis que les

équations

d’Euler-Lagrange,

relatives

aux variables

B[jkl],

nous fournissent le second

groupe

selon une méthode que nous avons

développée

récem-ment

[1],

à la fonction de

Lagrange L,

nous associons

une fonction de Hamilton H

qui

conduit au schéma

canonique

local suivant :

définissant des «

caractéristiques

» de

l’équation

géné-ralisée de Hamilton-Jacobi dans

l’espace

fonctionnel des

potentiels

(Aj, B[jklh Xj) :

[1]

J. de Physique, I95I, 12, Avril.

ManuscriL L rcçu le 2 mars I 951.

SUR UNE

MÉTHODE

COVARIANTE

DE

QUANTIFICATION

LOCALE

EN

THÉORIE

GÉNÉRALE

DES CHAMPS Par BERNARD KWAL. Institut Henri

Poincaré,

Paris.

Sommaire. - La nouvelle méthode

s’applique au schéma

canonique covariant, dérivé de l’hamiltonien scalaire H,

fonction de

potentiels

qj. La

quantification

fait

apparaître

une fonctionnelle d’état

03C8j(qk;

xh),

à

quatre composantes

et

l’opérateur-quadrivecteur 03B5j

agissant sur les indices de la fonctionnelle

03C8j.

A l’hamiltonien H correspond alors

l’opérateur (0127/i)03B5j~j.

Dans une étude récente nous avons examiné

l’emploi

des méthodes covariantes de la

Mécanique

analytique,

en théorie

générale

des

champs.

Cette étude doit être amendée pour tenir

compte

d’une manière

plus précise

de la distinction entre la notion des

champs

et celle des

potentiels,

distinction que

nous croyons essentielle pour établir d’une manière

rationnelle et correcte le schéma

canonique

de toute théorie des

champs

physiques.

Considérons la fonction de

Lagrange L, qui dépend

de

potentiels

qj et de leurs dérivées

et la fonction scalaire

grâce

à

laquelle

les

équations

de

Lagrange-Euler

relatives au

principe

variationnel

se ramènent aux

équations canoniques

locales

Ces dernières

peuvent

aussi être considérées comme

définissant les «

caractéristiques

» de

l’équation

de

Hamilton-Jacobi,

de

l’espace

fonctionnel des

poten-tiels

(qj, xj) :

B vzK /

Pour

quantifier

ce schéma

canonique,

on doit effectuer le passage de la

Mécanique

ponctuelle

de

l’espace

fonctionnel des

potentiels,

à la

Mécanique

ondulatoire de cet espace. A cette fin nous devons introduire une

fonctionnelle

d’onde ou d’état

tf j (qk, Xk)

à

quatre composantes,

et un

opérateur

êi, de même

variance,

agissant

sur des indices de la fonctionnelle d’état.

L’équation

de l’onde fonctionnelle s’écrira alors

et le schéma

canonique

local de la théorie

quantifiée

prendra

la forme suivante :

En

posant v

= {

exp

i

Eisj

A,

on voit aisément

que les

équations (4) représentent l’approximation

d’optique

géométrique

des

équations

(5).

Manuscrit reçu le 2 mars ig5i.

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