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Sur une méthode covariante de quantification locale en théorie générale des champs

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Sur une méthode covariante de quantification locale en

théorie générale des champs

Bernard Kwal

To cite this version:

(2)

572

Nous allons donc poser

et considérer les

Aj

et

B[jkl]

comme variables

cano-niques indépendantes

dans le schéma de

Lagrange-Hamilton,

en

partant

de l’Action stationnaire

où la fonction de

Lagrange

L est donnée par

l’expres-sion suivante :

Les

équations d’Euler-Lagrange,

relatives aux

variables

Aj,

nous fournissent alors le

premier

groupe

d’équations

de Maxwell-Lorentz

tandis que les

équations

d’Euler-Lagrange,

relatives

aux variables

B[jkl],

nous fournissent le second groupe

selon une méthode que nous avons

développée

récem-ment

[1],

à la fonction de

Lagrange L,

nous associons

une fonction de Hamilton H

qui

conduit au schéma

canonique

local suivant :

définissant des «

caractéristiques

» de

l’équation

géné-ralisée de Hamilton-Jacobi dans

l’espace

fonctionnel des

potentiels

(Aj, B[jklh Xj) :

[1]

J. de Physique, I95I, 12, Avril.

ManuscriL L rcçu le 2 mars I 951.

SUR UNE

MÉTHODE

COVARIANTE DE

QUANTIFICATION

LOCALE EN

THÉORIE

GÉNÉRALE

DES CHAMPS

Par BERNARD KWAL. Institut Henri

Poincaré,

Paris. Sommaire. - La nouvelle méthode

s’applique au schéma

canonique covariant, dérivé de l’hamiltonien scalaire H, fonction de

potentiels

qj. La

quantification

fait

apparaître

une fonctionnelle d’état

03C8j(qk;

xh),

à

quatre composantes

et

l’opérateur-quadrivecteur 03B5j

agissant sur les indices de la fonctionnelle

03C8j.

A l’hamiltonien H correspond alors

l’opérateur (0127/i)03B5j~j.

Dans une étude récente nous avons examiné

l’emploi

des méthodes covariantes de la

Mécanique

analytique,

en théorie

générale

des

champs.

Cette étude doit être amendée pour tenir

compte

d’une manière

plus précise

de la distinction entre la notion des

champs

et celle des

potentiels,

distinction que

nous croyons essentielle pour établir d’une manière

rationnelle et correcte le schéma

canonique

de toute théorie des

champs

physiques.

Considérons la fonction de

Lagrange L, qui dépend

de

potentiels

qj et de leurs dérivées

et la fonction scalaire

grâce

à

laquelle

les

équations

de

Lagrange-Euler

relatives au

principe

variationnel

se ramènent aux

équations canoniques

locales

Ces dernières

peuvent

aussi être considérées comme

définissant les «

caractéristiques

» de

l’équation

de

Hamilton-Jacobi,

de

l’espace

fonctionnel des

poten-tiels

(qj, xj) :

B vzK /

Pour

quantifier

ce schéma

canonique,

on doit effectuer le passage de la

Mécanique

ponctuelle

de

l’espace

fonctionnel des

potentiels,

à la

Mécanique

ondulatoire de cet espace. A cette fin nous devons introduire une

fonctionnelle

d’onde ou d’état

tf j (qk, Xk)

à

quatre composantes,

et un

opérateur

êi, de même

variance,

agissant

sur des indices de la fonctionnelle d’état.

L’équation

de l’onde fonctionnelle s’écrira alors

et le schéma

canonique

local de la théorie

quantifiée

prendra

la forme suivante :

En

posant v

= {

exp

i

Eisj

A,

on voit aisément

que les

équations (4) représentent l’approximation

d’optique

géométrique

des

équations

(5).

Manuscrit reçu le 2 mars ig5i.

Le Gérant : MAURICE BLONDIN. 138063 IMP. GAUTHIER-VILLARS, 55,

quai

des Grands-Augustins, Paris. - 1951.

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