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L hylésine du Pin (Tomicus piniperda L.) en forêt d Orléans. Répartition - dégâts - lutte

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L’hylésine du Pin (Tomicus piniperda L.) en forêt d’Orléans. Répartition - dégâts - lutte

D. Sauvard, François Lieutier, J. Lévieux

To cite this version:

D. Sauvard, François Lieutier, J. Lévieux. L’hylésine du Pin (Tomicus piniperda L.) en forêt d’Orléans.

Répartition - dégâts - lutte. Revue forestière française, AgroParisTech, 1988, 40 (1), pp.13-19.

�10.4267/2042/25858�. �hal-03424719�

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biologie

et forêt

L'HYLÉSINE DU PIN

(TOMICUS PINIPERDA L.) EN FORÊT D'ORLÉANS

RÉPARTITION - DÉGÂTS - LUTTE

D .

SAUVARD -

E .

LIEUTIER -

J .

LÉVIEUX

Les insectes Scolytides (parfois improprement appelés Bostryches) sont les plus redoutables ennemis des forêts de conifères dans toutes les régions du monde . On se souvient par exemple, pour la France, des dégâts causés par le Sténographe ou Sexdenté (Ips sexdentatus) dans les Landes en 1945-1946 et par le Typographe (Ips typographus) dans les Vosges en 1945-1950 (Pesson et Chararas, 1969) . Depuis 1974, on assiste à une recrudescence des attaques de ces ravageurs dans la plupart des forêts résineuses françaises (CTGREF, 1978) ; dans la région Centre de gros dégâts ont été observés, essentiellement sur Pin sylvestre . Deux gradations se sont succédées : de 1974 à 1977 dans l'Orléanais et la Sologne avec trois espèces : l'Acuminé (Ips acuminatus), le Sténographe et l'Hylésine du Pin (Tomicus piniperda) (Perrot, 1977 ; Jamin, 1977 ; Vallet, 1981), puis à partir de 1983 dans la partie orientale de la forêt d'Orléans (Massif de Lorris), avec l'Hylésine et le Sténographe (Lieutier et al, 1984) . Cette dernière pullulation a déjà provoqué des pertes très importantes, entraînant l'abattage d'urgence sur trois ans (1983- 1986) dans le seul massif de Lorris de plus de 300 000 m 3 de pin, dont 80 000 m 3 de bois dépérissants, alors que la récolte moyenne annuelle prévue était de 35 000 m 3 l ' ) .

La compréhension du mécanisme des gradations et la mise au point d'une méthode de lutte nécessitent la connaissance des niveaux de population et de la répartition des insectes en forêt.

C ' est dans cette optique que s'inscrit le présent travail, réalisé à l'Institut national de la Recherche agronomique (INRA) avec un important appui technique de l'Office national des

(1) Ces chiffres concernent les seules ventes par adjudications et appel d'offres.

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D . SAUVARD - F . LIEUTIER - J . LÉVIEUX

Forêts (ONF) . Les aspects proprement scientifiques, visant à caractériser la répartition spatiale et la densité de population de Tomicus piniperda à l'échelle de la parcelle forestière, sont ici réduits à l'essentiel (ils sont développés dans Sauvard et al, 1987) ; on rapporte les résultats d'un essai de traitement chimique et les conclusions pratiques de ces études sur les possibilités de lutte contre ce ravageur.

La biologie de l'Hylésine du pin a été décrite précédemment (Lévieux et al ., 1985) . Nous rappellerons simplement que son cycle annuel comprend trois phases principales :

— hivernation dans l'écorce de la base des arbres ;

- reproduction et développement larvaire dans le füt au printemps ;

— maturation des jeunes adultes pendant l'été et l'automne dans les pousses . Ce sont les pousses de l'année ou d'un an qui sont concernées . Les insectes y creusent des galeries axiales . Minées intérieurement, les pousses cassent plus ou moins rapidement sous l'action du vent et des intempéries et tombent sur le sol . Chaque adulte peut attaquer plusieurs pousses avant de gagner son site d'hivernation.

Chez les scolytes cette phase de nutrition sur pousse est un caractère certes particulier au genre Tomicus mais extrêmement intéressant pour aborder un problème d'échantillonnage . En effet, le nombre des pousses tombées au sol peut constituer un indice simple de la densité de population du ravageur . Par ailleurs, l'importance économique de l'Hylésine justifie l'intérêt qui lui est porté.

DISPOSITIF EXPÉRIMENTAL

Six parcelles expérimentales de 15 à 20 hectares, réparties en deux ensembles, ont été choisies dans le massif de Lorris (figure 1) . Elles portent, sur des sols hydromorphes, des peuplements de Pin sylvestre d'une quarantaine d'années, localement mélangés de feuillus . Deux d'entre elles (parcelles 538 et 548) avaient été éclaircies pendant l'hiver 1983-1984 et d'abondants rémanents y étaient dispersés ; en outre 800 stères de bois d'industrie sont restés stockés le long de la parcelle 548 jusqu'à l'été 1984.

Sur chaque parcelle, trois transects de 1 m de large ont été matérialisés par l'ONF, un de 200 m de long et deux de 100 m (figure 1) ; ils ont été subdivisés en éléments de 20 m . On en a retiré la litière courant juin 1984 de façon à faciliter la récolte des pousses tombées au sol . Celles-ci ont été ramassées par les agents de l'ONF tous les quinze jours du 1 e' août au 5 novembre 1984 puis les 3 décembre 1984 et 6 février 1985 . Après récolte, les pousses ont été ramenées au laboratoire pour déterminer si elles présentaient des traces d'attaques d'Hylésine, et comptées par transects . Parallèlement aux études sur les pousses, les sites de reproduction potentiels ont été inspectés et on a estimé le nombre de jeunes adultes qui en étaient sortis au début de l'été 1984.

RÉPARTITION SPATIALE DE TOMICUS PINIPERDA

Répartition à l'intérieur d'une parcelle pendant la phase de maturation

Les récoltes montrent une variabilité importante de la densité de pousses au niveau de l'élément de transect . Celle-ci s'atténue lorsqu'on considère les transects de 100 m ; on obtient alors une distribution relativement homogène à l'échelle de la parcelle, d'où émergent quelques zones à forte densité, les foyers (tableau I) .

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Biologie et forêt

Figure 1

SITUATION GÉNÉRALE ET DISPOSITIF EXPÉRIMENTAL (Les parcelles hachurées portent des peuplements de feuillus)

Nombres totaux de pousses attaquées récoltées pendant l'année 1984 Les chiffres soulignés correspondent aux foyers

TRANSECT

PARCELLE A B C D

434 47 58 67 56

435 87 30 72 71

538 140 74 135 74

540 77 72 80 73

546 48 42 200

548 782 101 191 301

Ces foyers correspondent à l'existence de bois dépérissant (parcelle 546) ou de bois stocké (parcelle 548) ayant permis la multiplication des insectes . Il en a résulté tout autour une forte densité d'insectes dans la canopée des arbres sains . Cette densité décroît de manière exponen- tielle lorsqu'on s'éloigne des sites de reproduction, puis se stabilise à un niveau palier, à peu près constant sur toute la parcelle (figure 2, page 16).

La répartition spatiale de l ' Hylésine pendant sa phase de maturation est donc très dépendante de la distribution des sites potentiels de reproduction.

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Tableau I

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D . SAUVARD - F. LIEUTIER - J. LÉVIEUX Figure 2

NOMBRE TOTAL DE POUSSES ATTAQUÉES RÉCOLTÉES SUR LE TRANSECT AB DE LA PARCELLE 543 400

200

200 rn Route

Répartition dans l'ensemble du groupe Ouest

A partir du nombre de pousses attaquées récoltées sur les transects et en utilisant les résultats d'une étude suédoise de la nutrition de maturation (Làngstrbm, 1983), on est parvenu à établir une carte de la densité d'hylésines dans le groupe Ouest au moment de l'émergence (figure 3).

La comparaison de ce résultat avec ceux de l'étude des sites de reproduction met en évidence une grande distorsion entre les deux approches (tableau Il) . Au niveau des foyers, on a un excès d'émergents à partir des sites de multiplication, parfois très important (foyer de la parcelle 548), par rapport au nombre d'insectes en phase de nutrition dans les pousses ; en revanche les zones hors foyer sont déficitaires en émergents de 40 à 80 % . Il semble donc qu'une partie des hylésines issus des foyers se dispersent sur de grandes surfaces, formant ainsi une fraction importante de la population de l'insecte dans les zones périphériques . Cette hypothèse est en accord avec la diminution générale de la densité lorsqu'on s ' éloigne des foyers de la par- celle 548 (figure 3) . La distance moyenne atteinte par les insectes serait ainsi de l'ordre du kilomètre.

Tableau II Comparaison des nombres d'hylésines (en milliers) au début de la phase de nutrition et à l'émergence

PARCELLE 546 548

NOMBRE D'HYLÉSINES

GROUPE

EST 538 540

FOYER HORS

FOYER FOYER HORS FOYER A l'émergence (d'après l'étude

des sites de reproduction) 66 42 16 6,4 12 700 13

En phase de nutrition (d'après les

ramassages de pousses) 140 70 64 5 21 180 49

L'analyse de la répartition spatiale de Tomicus piniperda confirme donc la grande importance de l'existence de chablis, arbres dépérissants, rémanents de coupe et surtout de stocks de bois frais pour la multiplication de cet insecte, et des scolytes en général, en condition endémique.

C'est également la conclusion d'études hollandaises et scandinaves (Doom et Luitjes, 1971 ; Nilsson, 1976 ; Làngstrbm, 1979) . L'influence de ces foyers n'est pas uniquement locale ; elle

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Biologie et forêt

peut aussi se faire sentir sur des surfaces très importantes ; par exemple dans le cas de nos parcelles, un seul foyer est non seulement à l'origine des plus fortes attaques constatées au cours de l'étude, mais il semble avoir également fourni près des deux tiers des insectes présents sur plus de 300 hectares de pins.

TRAITEMENT CHIMIQUE

Le dispositif expérimental a également été utilisé pour tester la possibilité d'un traitement chimique contre l'Hylésine . Les parcelles 435, 538 et 548 ont ainsi été traitées par avion à la deltaméthrine (K'othrine en ULV ; 7,5 g/ha) le 6 juillet 1984 en vue de détruire les adultes immatures qui volent vers les pousses approximativement à cette date . Les trois autres parcelles servaient de témoins et l'efficacité du traitement était appréciée par les densités de pousses observées en dehors des foyers sur les parcelles traitées et non traitées.

Paradoxalement, on a observé des densités légèrement plus fortes dans les zones traitées par rapport aux zones témoins (15 pousses/ m 2 contre 12).

On peut avancer plusieurs hypothèses pour expliquer ce résultat . Un traitement trop tardif par rapport au vol de la majorité des insectes a pu s'avérer incapable d'atteindre les hylésines déjà installés dans les pousses ; le lessivage et la croissance des pousses ont pu dégager des zones indemnes de produit, laissant de larges possibilités de nutrition pour les insectes tardifs . À côté

Figure 3

DENSITÉ D'HYLÉSINE DANS LE GROUPE OUEST EN DÉBUT DE PHASE DE NUTRITION

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D. SAUVARD - F . LIEUTIER - J . LÉVIEUX

de ces facteurs qui ont dû réduire l'effet du traitement chimique sur l'Hylésine, on a pu avoir une mortalité importante des ennemis naturels de cet insecte, mais l'impact de ceux-ci à ce stade ne semble pas déterminant ; l'explication la plus plausible de l'inversion des résultats par rapport aux prévisions reste les différences de densité de l'insecte avant le traitement (en particulier, les trois foyers observés se trouvaient sur des parcelles traitées).

L'efficacité du traitement semble donc avoir été très faible, insuffisante en tout cas pour modifier significativement les irrégularités originelles de la distribution des insectes.

CONCLUSIONS PRATIQUES

L'Hylésine occasionne des dégâts variés et d'importances inégales selon la saison.

L'hivernation dans l'écorce ne provoque aucun préjudice sensible . En revanche, la reproduction de l'insecte sur un pin entraîne la destruction du liber, suivie irrémédiablement de la mort de l'arbre . En forêt d'Orléans, ce type de dégâts est actuellement limité à des arbres très affaiblis (ou abattus), d'où une importance économique réduite . Cependant, une augmentation du niveau de la population du ravageur pourrait entraîner l'attaque en masse des arbres sains, avec des conséquences catastrophiques, telles que celles observées en Basse-Saxe (RFA) en 1974-1975 (Führer et Kerck, 1978).

L'essentiel des dégâts de l'Hylésine observés à ce jour en forêt d'Orléans provient de la nutrition estivale dans les pousses . On a récolté par exemple jusqu'à 20 pousses attaquées par mètre carré au niveau du foyer de la parcelle 548, ce qui, compte tenu des attaques sur les pousses de un an ou plus, correspond à une trentaine de rameaux de l'année . Ces attaques étant concentrées presqu'exclusivement sur les tiges de diamètre supérieur à 3 mm, c'est près du tiers des rameaux bien-venants qui a ainsi été détruit, y compris parfois le bourgeon terminal des jeunes pins . Il ne faut pas s'étonner dans ces conditions des pertes de production ligneuse citées dans la littérature suite à des attaques de T. piniperda : 10 à 50 % selon Anderson (1973), Nilsson (1974) et Fagerstrom et al . (1978) . Ainsi l'augmentation de la chute spontanée de pousses non attaquées qu'on observe dans les zones de forte densité d'Hylésine pourrait être un indice de l'affaiblissement important des arbres, lequel les rend plus vulnérables à différents ravageurs (Champignons, Sténographe, Hylésine en phase de reproduction . . .).

Face aux dégâts de l'Hylésine, différentes méthodes de lutte sont a priori envisageables . La lutte chimique à grande échelle ne semble cependant guère prometteuse, surtout dans un écosystème aussi complexe que la forêt.

Dans les circonstances actuelles, la seule possibilité semble être l'adaptation des pratiques sylvicoles à une limitation des populations de T. piniperda . Ces méthodes, connues depuis longtemps, sont aujourd'hui fréquemment délaissées par les gestionnaires ; elles restent néan- moins indispensables . Il s'agit d'abord de mesures préventives destinées à limiter au maximum les sites propices à la multiplication de l'Hylésine . La présente étude a montré à ce point de vue la très grande importance des chablis, des rémanents et surtout des stocks de bois frais . Il convient donc d'écorcer les grumes ou de les évacuer dans un délai très bref après la coupe . Le traitement chimique, ou l'enlèvement rapide des stocks de rondins, est aussi indispensable ; ce traitement doit être effectué dés le stockage, car c'est lors de leur pénétration que les insectes entrent en contact avec le produit ; l'enlèvement peut attendre fin mai à condition que les rondins ne soient pas à nouveau stockés près d'autres peuplements de pins . On peut également envisager d'utiliser les stocks de bois comme rondins-pièges ; laissés sur place au printemps, ils concentrent une grande quantité de scolytes qui peuvent être ensuite facilement détruits par écorçage ; une telle stratégie nécessite cependant beaucoup de prudence et un suivi régulier des insectes si on ne veut pas créer de nouveaux foyers.

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Biologie et forêt

Des mesures de cet ordre, associées à un brûlage (ou à défaut un traitement chimique) des rémanents, ont été mises en place par l'ONF en région Centre . Bien qu'elles se heurtent à diverses contraintes techniques et économiques, elles devraient permettre de réduire l'impor- tance des dégâts de l'Hylésine, ainsi que ceux des autres Scolytides.

D . SAUVARD F . LIEUTIER J . LÉVIEUX Station de Zoologie forestière CENTRE DE RECHERCHES D'ORLÉANS (INRA)

Ardon Les auteurs remercient le personnel de l'Office na-

45160 OLIVET tional des Forêts, en particulier M . Lafouge, direc-

teur régional, MM . Bonnaire et Berne, chefs de Centre, M . Raoul, chef de Subdivision, MM . Soulé

et Carré, chefs de Secteur, pour la compréhension qu'ils leur ont montrée et l'aide qu'ils leur ont apportée, sans laquelle cette étude n'aurait pu être menée à bien.

Ils remercient également le Centre national du Machinisme agricole du Génie rural, des Eaux et des Forêts pour sa participation à l'élaboration du projet de traitement chimique et à l'exploitation des premières récoltes.

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— 143 pages .

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