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(1)

Informatique Générale

X08- 24

Lionel Lecocq 2014 -2015 – Version 1

(2)
(3)

Table des matières

I. Eléments constitutifs d’un ordinateur... 11

I.1 Hardware ... 12

I.2 Software ... 12

I.2.1 Version ... 13

I.2.2 Mise à jour ... 13

I.2.3 Téléchargement ... 13

I.2.4 Licence ... 14

I.2.5 Open Source ... 14

I.2.6 Logiciels de bureautique ... 15

I.2.7 Logiciels de comptabilité ... 15

I.2.8 Logiciels de création ... 15

I.2.9 Navigateurs ... 16

I.2.10 Logiciels de sécurité ... 17

I.2.11 Logiciels utilitaires ... 17

I.2.12 Installation/ désinstallation ... 18

I.2.13 Pilotes ... 18

I.3 Systèmes d’exploitation... 19

I.3.1 Windows ... 19

I.3.2 Linux ... 19

I.4 Unités de mesure ... 20

I.4.1 Bit ... 20

I.4.2 Octet ... 20

I.4.3 Megabits/s ... 21

I.4.4 Pixel ... 21

I.5 Interface graphique ... 21

I.5.1 Les barres ... 21

I.5.2 Personnaliser la barre d’outils d’accès rapide ... 22

I.5.3 Manipulations de base ... 22

I.5.4 Sélection générale ... 22

I.5.5 Sélection dans Word ... 23

(4)

I.5.7 Rechercher ... 23

I.6 Explorateur de fichiers et de dossiers ... 24

I.6.1 Dossier ... 24

I.6.2 Arborescence ... 24

I.6.3 Répertoires - Bibliothèques ... 24

I.6.4 Fichier... 25

I.6.5 Comment nommer correctement ses fichiers ? ... 25

I.6.6 Enregistrer sous ... 25

I.6.7 Formats de fichier ... 26

I.6.8 Sauvegarde automatique ... 27

II. Bureautique... 28

II.1 Clavier ... 28

II.2 Raccourcis clavier ... 28

II.3 Traitement de texte ... 29

II.3.1 Méthode de travail ... 29

II.3.2 Frappe et rédaction ... 30

II.3.3 Règles d’espacements ... 30

II.3.4 Texte brut ... 31

II.3.5 Mise en forme de police ... 31

II.3.6 Mise en forme de paragraphes ... 32

II.3.7 Utilisation des styles ... 32

II.3.8 Saut de section ... 35

II.3.9 Insertion de texte rapidement ... 35

II.3.10 Suivi des modifications ... 35

II.4 Traitement d’image ... 36

II.4.1 Formats image ... 36

II.4.2 Gestion de couleurs ... 37

II.4.3 Connaître le code RVB d’une couleur ... 38

II.4.4 « Enregistrer une image sous » depuis le web... 38

II.4.5 Réduire la taille d’un fichier image ... 39

II.4.6 Importer une image dans Word ... 39

II.4.7 Capture d’écran ... 39

(5)

II.5.1 Champ / Enregistrement ... 40

II.5.2 Base de données dans le tableur Excel ... 41

II.5.3 Edition de tableau dans Word ... 41

II.6 Utilisation des modèles... 41

II.6.1 Création de modèle ... 41

II.6.2 Modification de modèle ... 42

II.6.3 Nouveau à partir du modèle ... 42

II.6.4 Avantages des modèles ... 42

II.6.5 Constitution de formulaire ... 42

II.6.6 Via MS Office, Macro, VBA ... 42

II.6.7 Via Google drive ... 43

II.7 Macro ... 43

II.7.1 Dans un logiciel Office ... 43

II.7.2 Enregistrement d’une Macro simple dans Excel ... 43

II.8 Exportation et impression ... 43

II.8.1 Publipostage ... 43

II.8.2 Exporter au format PDF en bureautique... 44

II.8.3 Aperçu avant impression ... 45

II.8.4 Paramètres d’impression ... 45

III. Réseaux ... 46

III.1 Définitions ... 46

III.1 Hardware réseaux ... 47

III.1.1 Modem ... 47

III.1.2 Routeur ... 47

III.1.3 Serveur ... 47

III.1.4 Types de serveur ... 47

III.1.5 Serveur FTP ... 48

III.1.6 Cartes réseaux ... 48

III.1.7 Bande passante ... 48

III.1.8 Adresses MAC ... 49

III.1.9 USB ... 49

III.1.10 Câbles / Ondes ... 49

(6)

III.1.12 Hub et switch ... 49

III.1.13 Pare-feu ... 50

III.1.14 Port ... 50

III.1.15 Wi-Fi ... 51

III.1.16 CPL ... 51

III.1.17 Bluetooth, Wimax, 4G/UMTS/EDGE/GPRS ... 51

III.2 Protocole TCP/IP ... 52

III.3 Adresses IP (IPv4) ... 52

III.3.1 Migration du IPV4 à IPV6 ... 53

III.3.2 Adresse IP du routeur ... 53

III.3.3 Tor ... 54

III.3.4 Serveur DNS ... 54

III.3.5 Adresses publiques / privées ... 54

III.3.6 IANA ... 55

III.3.7 NAT ... 55

III.3.8 Gérer automatiquement les adresses IP ... 55

III.4 Intranet ... 55

III.5 Réseau Privé Virtuel ... 55

III.6 Virtualisation ... 56

III.7 Cloud Computing ... 56

IV. Sécurité ... 57

IV.1 Histoire du Hacking ... 57

IV.2 Malware... 59

IV.2.1 Virus ... 59

IV.2.2 Vers ... 59

IV.2.3 Cheval de Troie ... 59

IV.2.4 Notions proches ... 60

IV.3 Autres menaces ... 61

IV.3.1 Exploit ... 61

IV.3.2 Attaque par déni de service ... 61

IV.3.3 Logiciel espion ... 62

IV.3.4 Keylogger ... 62

(7)

IV.3.6 Rogue ... 62

IV.4 Sécurisation des réseaux ... 63

IV.4.1 Règles de sécurité élémentaires WI-FI ... 63

IV.4.2 WEP ... 63

IV.4.3 Protocole WPA (Wi-Fi Protected Access) ... 63

IV.4.4 Cryptage... 63

IV.4.5 Mot de passe ... 64

IV.4.6 Authentification et Autorisation ... 65

IV.4.7 Signature numérique... 65

IV.4.8 Certificat numérique ... 65

IV.4.9 Applications professionnelles de la signature numérique... 65

IV.5 Logiciels de sécurité ... 66

IV.5.1 Anti-trojans ... 66

IV.5.2 Antispywares... 66

IV.5.3 Anti Rootkits ... 66

IV.5.4 Desktop Hijack (Détournement de bureau) ... 66

IV.5.5 Nettoyage des fichiers Internet, Temp, Cookies... 66

IV.5.6 Scanner un seul fichier ... 67

IV.5.7 Mises à jour ... 67

IV.6 Les bons réflexes Web... 67

IV.6.1 WOT (Web Of Trust) ... 68

IV.6.2 HTTPS ... 68

IV.6.3 Cookies ... 68

IV.6.4 Forum ... 68

IV.7 Les bons réflexes SE ... 68

IV.8 Les bons réflexes logiciels ... 69

V. Transmission des données ... 70

V.1 Menaces par e-mail... 70

V.1.1 Hoax ... 70

V.1.2 Scam... 70

V.1.3 Phishing... 70

V.2 Utilisation d’Outlook ... 71

(8)

V.2.2 Contacts et Comptes professionnels ... 71

V.2.3 Créer une base de contacts professionnels ... 71

V.2.4 Trouver facilement un contact professionnel ... 72

V.2.5 Assurer un suivi ... 73

V.2.6 Optimiser son travail quotidien ... 73

V.2.7 S'organiser avec des collaborateurs ... 74

V.2.8 Configurer ses comptes de messagerie... 74

V.2.9 Bien choisir son adresse mail ... 74

V.2.10 Rédaction et édition d’e-mails ... 74

V.2.11 Classer automatiquement les spam ... 75

V.2.12 Archivage ... 75

V.2.13 Soigner la forme des messages ... 75

V.3 Transmission de fichiers / dossiers volumineux ... 78

V.4 Campagne d’E-mailing ... 78

VI. Internet ... 79

VI.1 Lien hypertexte ... 79

VI.2 Adresse IP ... 79

VI.3 World Wide Web ... 79

VI.4 Navigateur ... 79

VI.4.1 Principaux outils d’un navigateur ... 80

VI.4.2 Plugins ... 80

VI.4.3 Raccourcis navigateur ... 80

VI.5 Adresse de site Internet ou URL ... 80

VI.5.1 Trois parties de l’URL ... 81

VI.5.2 Nom de domaine ... 81

VI.5.3 Site Web ... 82

VI.5.4 Recherche sur Internet ... 82

VI.5.5 Systèmes ... 82

VI.5.6 Annuaires web... 82

VI.5.7 Avantages et inconvénients des différents systèmes ... 82

VI.6 La recherche ... 83

VI.6.1 Recherche par « catégories » ... 83

(9)

VI.6.3 Opérateurs de recherche ... 83

VI.6.4 Métamoteurs ... 85

VI.6.5 Web 2.0... 85

VI.6.6 Blog ... 85

VI.7 Flux RSS ... 86

VI.8 Notions de Webmastering ... 86

VI.8.1 Eléments nécessaires au site web ... 86

VI.8.2 Création de site web ... 87

VI.8.3 Gestion de contenu web ... 87

VI.8.4 Comment bien choisir son webmaster ? ... 87

VI.8.5 Référencement ... 88

VI.8.6 Eléments favorisant le référencement ... 88

VI.8.7 Identité numérique ... 89

(10)

Objectifs du cours d’Informatique Générale

 Différencier le système informatique des éléments qui le constitue ;

 Mettre en relation les différentes fonctions de traitement des données avec les règles de bases de sécurité ;

 Mener une démarche technique sur des problèmes de maintenance courants ;

 Mettre en œuvre des procédures courantes d’organisation et d’accès aux données ;

 Utiliser les fonctionnalités de base courantes du système d’exploitation.

Nous aborderons donc une approche utilisateur, front-end par opposition à une approche back-end. Le Front end est le point d'entrée du système d'information. La partie visible de l'iceberg. Par exemple, l'interface graphique d'un poste de travail constitue un point d'entrée pour les données. back-end = étage de sortie d'un logiciel devant produire un résultat.

Le back-end est l’endroit où s'effectuent les gros traitements informatiques, typiquement un gros ordinateur équipé d'un système de gestion de base de données et de périphériques de stockage. Par exemple, la machinerie ronronnant derrière le rideau de l'interface utilisateur.

Ce cours propose d’une part des concepts théoriques constituant la base du jargon informatique et d’autre part des procédures pratiques de bureautique. Les sources utilisées sont pour la plupart disponibles en ligne. Le reste de la matière est issu de mon expérience de professeur de bureautique et de l’exploitation des outils informatiques à des fins professionnelles.

(11)

I.

Eléments constitutifs d’un ordinateur

Un ordinateur est une machine qui sert à traiter des informations. C’est un outil pour communiquer, calculer, gérer, transmettre des données. Il permet aux utilisateurs d’accéder aux sources de données, de les transmettre, de produire et de les modifier. Les informations sont manipulées sous diverses formes comme du texte, des images, du son, de la vidéo, des sites web ou des interfaces graphiques interactives

L’informatique est une technique qui fait partie des Technologies de l’Information et de la Communication, un ensemble plus large, avec celles de l’audiovisuel, des télécommunications, des multimédias et d’Internet,

Un PC ou Personal Computer se présente souvent sous la forme d’une tour avec un moniteur, un clavier et une souris. L’expression laptop désigne un ordinateur portable.

Généralement, on distingue 2 catégories d’éléments constitutifs :

 Hardware.

 Software

 Logiciels et programmes

 Système d’exploitation ou operating system

Tous les éléments matériels constituent le hardware. En tant que matériel, un ordinateur est composé d’une unité centrale (unité de commande) et de périphériques.

L’Unité centrale comprend l’ensemble des matériels vitaux d’un ordinateur. Les Périphériques incluent tous les composants pouvant être connectés à l’unité centrale, tels que périphériques d’entrées et de sorties.

Comment connaître la configuration système sur ordinateur équipé Windows

 via tous les programmes  accessoires  outils système  informations système

(12)

I.1

Hardware

Carte mère

C’est le cœur, le cerveau et le système nerveux de l'ordinateur, pièce maîtresse à laquelle sont reliées toutes les autres.

CPU ou Microprocesseur

Le microprocesseur, CPU Central Processing Unit ou unité de traitement. Ensemble des circuits intégrés permettant de traiter des informations. Il lit les programmes, les décode et les exécute.

ROM (Read Only Memory), disque dur (hard disk) ou mémoire morte

La mémoire morte est le composant principal de sauvegarde de masse et de stockage des informations de manière durable. Elle conserve les données même hors tension. Elle est dite non-volatile par comparaison avec la RAM.

RAM (Random Access Memory) ou mémoire vive

La mémoire vive est dite volatile. C’est un des composants qui sert à stocker des informations de manière temporaire. Le contenu de cette mémoire est perdu

lorsqu’on redémarre (reboot) son ordinateur. Le rôle de la mémoire principale est de contenir à tout instant, d'une part les instructions du programme à exécuter, d'autre part les informations de départ (données) et les informations élaborées (résultats).

 Carte graphique 3D ou carte vidéo

 Carte son

 Carte réseau Modem Routeur Serveur

 Alimentation, ventilateur

 Graveur/lecteur CD/DVD,

 Moniteur (résolution= nb de lignes x le nb de points par ligne)

 Clavier, Souris

 Imprimante, Scanner, Webcam

 Clef USB, disque dur externe

I.2

Software

Ce sont les programmes, les logiciels, les applications. Sans logiciel, l'ordinateur ne fait rien parce qu'il n'a pas reçu les instructions lui indiquant ce qu'il doit faire. Les logiciels sont composés de programmes, qui indiquent à l'ordinateur comment effectuer les tâches. Le logiciel détermine les tâches qu'un appareil informatique peut effectuer.

Un logiciel est un ensemble typiquement composé de plusieurs programmes, ainsi que tout le nécessaire pour les rendre opérationnels : fichiers de configuration, images bitmaps, procédures automatiques.

(13)

Un programme informatique est une séquence d'instructions qui spécifie étape par étape les opérations à effectuer pour obtenir un résultat. Il est exprimé sous une forme qui permet de l'utiliser avec une machine comme un ordinateur pour exécuter les instructions.

Un programme est la forme électronique et numérique d'un algorithme exprimé dans un langage de programmation. Les programmes sont sous forme de code binaire ainsi que parfois sous forme de code source.

Un langage de programmation est une notation utilisée pour exprimer des algorithmes et les faire exécuter par un ordinateur. Un algorithme est un procédé pour obtenir un résultat par une succession de calculs, décrits sous forme de pictogrammes et de termes simples dans une langue naturelle.

On peut classer les logiciels en deux catégories : D’une part, les logiciels applicatifs qui permettent à l’utilisateur d’effectuer des tâches et d’autre part, les logiciels de système qui permettent d’effectuer une opération en rapport avec l’appareil informatique.

Chaque programme a sa fonction, son rôle (tableur, traitement de texte, émulateur, édition web, édition multimédia).

I.2.1 Version

Au fur et à mesure que les éditeurs de logiciels et les programmeurs perfectionnent la version, corrigent les bogues et comblent les failles, ils proposent des nouvelles versions. Chaque logiciel est caractérisé par sa version (V 2.0, 2.1.5).

Une version beta est une version test (avec des bogues possibles) mise à la disposition des utilisateurs.

I.2.2 Mise à jour

Update ou mise à jour permet de mettre à jour le programme (une base de données pour un antivirus, une correction de faille pour un navigateur ou un web player).

Une upgrade ou mise à niveau permet généralement de passer à nouvelle une version considérée comme majeure.

I.2.3 Téléchargement

Pour télécharger des programmes, choisissez de préférence le site officiel du constructeur. Il existe aussi des sites Web1 répertoire pour télécharger des programmes.

(14)

Il est préférable de télécharger le fichier exécutable (.exe) et de lancer l’installation soi-même.

Lorsqu’on télécharge des programmes sur le Web, il faut, notamment, prêter attention à la compatibilité de la version avec la configuration système, à la langue ou à la licence du programme.

I.2.4 Licence

Démo = Seule une partie du logiciel est disponible, version incomplète. On ne peut par exemple pas enregistrer sous ou il s’agit d’une version limitée dans le temps.

Shareware = partagiciel, soumis à un droit d’auteur. Il peut être utilisé gratuitement généralement durant une certaine période ou avec des fonctionnalités limitées. Après cette période de gratuité, l'utilisateur peut rétribuer l'auteur s'il veut continuer à utiliser le logiciel ou avoir accès à la version complète.

Freeware = Gratuit. Certains programmes peuvent être gratuits sans pour autant être libres de droits

Libre = libre de droits. Il est permis de l’exécuter, accéder au code source pour l'étudier ou l'adapter à ses besoins, redistribuer des copies, modifier et redistribuer le logiciel.

I.2.5 Open Source

La désignation open source, ou « code source ouvert », s'applique aux logiciels dont la licence respecte des critères précisément établis par l'Open Source Initiative2,

c'est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés.

« Open source » désigne un logiciel dans lequel le code source est à la disposition du grand public, et c'est généralement un effort de collaboration où les programmeurs améliorent ensemble le code source et partagent les changements au sein de la communauté ainsi que d'autres membres peuvent contribuer.

Le plan marketing des sociétés Open source table sur le fait que les utilisateurs même s’ils ont un libre accès aux codes sources des programmes auront toujours besoin des services de spécialistes pour les améliorer, les adapter, les dépanner, des services que ces sociétés peuvent vendre.

(15)

La licence publique générale GNU, ou GNU General Public License (son seul nom officiel en anglais, communément abrégé GNU GPL, voire simplement « GPL »), est une licence qui fixe les conditions légales de distribution des logiciels libres du projet GNU3.

I.2.6 Logiciels de bureautique

Word : éditer du texte, documents Excel : éditer des tableurs, classeurs PowerPoint : présentation assistée par ordinateur

Outlook : e-mail, contacts professionnels OneNote : édition de bloc-notes numérique Access : créer et gérer des bases de données

Publisher : logiciel PAO

Microsoft Office est la suite Bureautique de Microsoft contenant une série de logiciels de bureautique : Word, Excel, Access, PowerPoint, Outlook. Il possède aussi une partie Outils Microsoft Office comportant, notamment, un gestionnaire de paramètres linguistiques. Il existe des versions basiques et professionnelles.

Open Office est la version alternative open source et compatible avec Office Windows.

I.2.7 Logiciels de comptabilité

 Bob  Excel  Ciel  EBP  Sage  ASS  Win books

I.2.8 Logiciels de création

Creative suite CSS de Adobe

(16)

Cette suite créative 4 comprend une série de programmes de référence en création

graphique et édition web.

I.2.9 Navigateurs  Internet Explorer  Mozilla Firefox  Google Chrome,  Torch browser  Safari  Opéra (Mac) 4http://www.adobe.com/mena_fr/creativecloud/catalog/desktop.html

(17)

Selon StatCounter5, le navigateur le plus utilisé mondialement est aujourd’hui Chrome

qui a détrôné Internet Explorer depuis déjà quelques années.

I.2.10 Logiciels de sécurité

 Anti malware : adwcleaner

 Pare-feu : Zonealarm

 Antispyware (programme espion) : Spybot

 Antivirus : Avast, Mc Afee, Kapersky

 Videur de fichier temporaire

I.2.11 Logiciels utilitaires

 Lire des documents PDF : Adobe Reader, Viewer (Mac) :

 Compresse et décompresse les fichiers : 7-Zip, WinRAR

 Optimise et nettoie le système : Daemon Tools CCleaner :

 Logiciels de gravure Nero : Gravure et sauvegarde de données

 Logiciels émulateurs : Programme6 permettant d'exécuter un logiciel sur une

plate-forme auquel il n'est pas destiné, comme par exemple faire fonctionner un programme de Windows sous Linux.

5 http://gs.statcounter.com/

6 http://www.cygwin.com ou pour les nostalgiques des Commodore 64 ou autres Amiga.

(18)

I.2.12 Installation/ désinstallation

Pour installer un programme, il faut ouvrir le fichier .exe (exécutable) qui lancera l’assistant d’installation. Il installera les fichiers en arborescence et les ressources nécéssaires à l’exécution du logiciel. L’installation requiert généralement une authentification (numéro de série) et la signature de l’accord sur les droits d’utilisation.

Aujourd’hui, de plus en plus de programmes s’exécutent directement depuis l’interface d’un navigateur, sans avoir à recourir à l’installation de tous les composants sur l’ordinateur. C’est une des influences du Cloud computing et des possibilités d’utilisation sur demande ou on demand des programmes. (cf. Office365, Outlook.com, Google Drive, Picasa, applications mobiles).

Le logiciel en tant que service ou Software as a Service (SaaS) est un modèle d'exploitation commerciale des logiciels dans lequel ceux-ci sont installés sur des serveurs distants plutôt que sur la machine de l'utilisateur. Les clients ne paient pas de licence d'utilisation pour une version, mais utilisent généralement gratuitement le service en ligne ou payent un abonnement récurrent.

 Comment installer ou supprimer un programme ?

 Via le panneau de configuration, installer/désinstaller programmes. Ou via tous les programmes du menu démarrer, dans le répertoire du programme. Généralement cette procédure lance un assistant de désinstallation qu’il suffit de suivre. Ça n’efface pas complètement toutes traces d’un programme ou de l’un de ses composants.

 Pour désinstaller un programme de manière plus complète, nous pouvons utiliser un utilitaire comme Windows Installer cleanup.

 Raccourci vers un programme, épingler à la barre de barre de tâche

I.2.13 Pilotes

Un pilote ou driver est un logiciel qui fait le lien entre le Système d’exploitation qui gère l’unité centrale et un périphérique (carte réseau, imprimante, modem, moniteur, scanner). Ils sont donc propres à chaque matériel. Les pilotes se trouvent en téléchargement sur le site du constructeur.

(19)

I.3

Systèmes d’exploitation

La plus importante pièce de logiciel est le système d'exploitation. Il sert à manipuler le matériel informatique, diriger le logiciel, organiser les fichiers, et faire l'interface avec l'utilisateur. Le Système d’exploitation établi le lien entre le software et le hardware.

Le système d’exploitation désigne l’ensemble des opérations basiques qui rendent possible le fonctionnement d’une machine. Il existe plusieurs systèmes d’exploitation comme Windows (PC) ou Linux (PC) ou MacOs (issus d’un Linux) pour les ordinateurs Apple.

Nous pouvons distinguer deux logiques qui cohabitent et parfois s’affrontent sur le marché de l’informatique. L’une est « commerciale », l’autre est « libre » ou « ouverte ».

Critère Commerciale Alternative

Prix Payant, parfois gratuit Souvent gratuit, parfois payant Source Cachée, secrète Ouverte, modifiable et distribuable Système d’exploitation Windows, MacOs Linux et distributions

Navigateur Internet Explorer, Chrome Mozilla Firefox

Bureautique Microsoft Office Open Office

I.3.1 Windows

Windows est au départ une interface graphique unifiée produite par Microsoft, qui est devenue ensuite une gamme de systèmes d’exploitation à part entière, principalement destinés aux ordinateurs compatibles PC.

Utilisez les utilitaires de Windows via le panneau de configuration ou via tous les programmes / accessoires.

 CRTL + Alt + Del = ouvre le gestionnaire de tâches.

 Libérer de l’espace sur votre disque dur.

 Défragmentation du disque : Réorganise les fichiers pour que les programmes s’exécutent plus rapidement.

 Récupération du système : Retrouver le système tel qu’il était à une date antérieure. Comme par exemple après l’installation d’un programme qui est entré en conflit avec un autre programme.

I.3.2 Linux

Le système Linux est une invention de l’informaticien américano-finlandais Linus Torvalds en 1991. On a l'habitude de dire que Linux est un système d'exploitation. En réalité,

(20)

Linux, c'est uniquement le cœur (on dit le « noyau ») du système d'exploitation GNU/Linux.

GNU est un projet qui a apporté des tas d'utilitaires au noyau Linux, tel que le fameux compilateur gcc, et les milliers d'utilitaires (tar, tail, man, bash...). Ces utilitaires GNU, associés au noyau Linux, constituent le système d'exploitation.

Linux est donc un noyau. GNU est un ensemble de programmes utilitaires. GNU/Linux est le système d'exploitation. Le noyau s'occupe des basses besognes: la gestion de la mémoire, l'accès aux périphériques (disque dur, lecteur de cd-rom, clavier, souris, carte graphique...), la gestion du réseau, le partage du temps microprocesseur entre les programmes (multi-tâches), etc.

Contrairement à Windows dont l'interface graphique vous est imposée, il existe différentes interfaces graphiques sous Linux, les principales étant Gnome, KDE et XFCE. Il est même possible de faire fonctionner Linux sans interface graphique.

Les distributions GNU/Linux étant gratuites, différentes sociétés l'ont repris et complété afin de distribuer un système d'exploitation à leur goût. C'est ce qu'on appelle les distributions. Parmi les plus connues, citons Ubuntu, RedHat, Fedora, Mandriva, Debian, Suse, Slackware, Gentoo, Xandros, Lycoris...

I.4

Unités de mesure

I.4.1 Bit

Bit = information représentée par un symbole à deux valeurs notées 0 et 1 associées aux deux états d’un dispositif. C’est la base du langage binaire.

I.4.2 Octet

Octet = Ensemble ordonné de huit éléments binaires traités comme un tout. Mb= MegaBytes = Mo = Mégaoctets

Byte veut dire octet en anglais. Donc byte ne signifie pas bit.

 Par convention

 1 Kilooctet (Ko) = 1 000 octets  1 Mégaoctet (Mo) = 1 000 ko  1 Gigaoctet (Go) = 1 000 Mo  1 Téraoctet (To) = 1 000 Go  1 Pétaoctet (Po) = 1 000 To

(21)

 CD = de 600 à 800 Mo, DVD = de 4 à 6 Go  Une image sur un site web = max 100 Ko

 Clef USB (2, 4, 8, 16 ,32, 64 Go), disque dur ( 500 Mo, 1 To, 2 To)  Ram (64 bits, 128 bits, 256 bits, 1028 bits)

I.4.3 Megabits/s

Les mégabits par seconde sont utilisés pour exprimer la vitesse de transmission ou la capacité de la bande passante lors d’une connexion réseau.

 Mbit/s Kbits/s

 Mo/sec

I.4.4 Pixel

La résolution d'une image s'exprime en ppp, pixel per point (affichage numérique) ou dpi, deep per inch (impression et périphériques de sortie). Il faut une image au minimum de 300 dpi pour une impression professionnelle et 72 dpi pour un affichage web

I.5

Interface graphique

I.5.1 Les barres

Dans Windows ou dans un logiciel, distinguez les éléments suivants :

 Barre de titre  Barre de menu  Barre d’adresse  Barre d’outils  Barre de défilement  Barre de tâches  Barre de recherche  Barre d’état

 Barre de formule (Excel)

 Ruban (MS Office)

(22)

I.5.2 Personnaliser la barre d’outils d’accès rapide

I.5.3 Manipulations de base

 Les fenêtres : réduire, restaurer, fermer

 Bureau : icônes essentielles (poste de travail, mes documents, corbeille)

 Barre de tâches : (menu démarrer, lancement rapide, centrale, droite)

 Menu démarrer = porte d’entrée

 Modes d’affichage des fenêtres

- Par icône : permet de visualiser, pratique pour les images. - Par détails : permet de trier.

Lorsqu’on veut par exemple chercher le dernier fichier modifié ou tous les fichiers d’un même format. Il suffit alors de cliquer sur le titre de la colonne. Remarquez que vous pouvez personnaliser les détails et leur ordre ainsi que la largeur des colonnes.

I.5.4 Sélection générale

Sélectionner ou faire un bloc consiste à délimiter le « champ opératoire » avant d’accomplir une action. Remarquez que ces techniques valent pour les explorateurs de fichiers, les navigateurs web et la plupart des programmes.

(23)

 CTRL + A = sélectionner tout

 Shift enfoncée et flèches directionnelles

 Sélection discontinue avec la touche CTRL permet de sélectionner des éléments non contigus, séparés.

 Sélection continue avec la touche SHIFT, permet de sélectionner d’un point d’entrée jusqu’à un point de sortie.

Sélectionner le premier élément, déplacer votre souris sur le dernier élément, puis maintenir la touche SHIFT enfoncée et cliquer sur le dernier élément.

Dans l’explorateurs de fichier et dossier Windows, il est aussi possible de combiner les touches Shift et Ctrl pour faire une sélection multiple de paquets d’éléments.

I.5.5 Sélection dans Word

 Sélection un mot : 2x clics

 Sélection un paragraphe : 3x clics

 Sélection une ligne : clique dans la marge de gauche

 Sélectionner le texte ayant une mise en forme semblable

I.5.6 Sélection dans Excel

 Sélectionner un tableau : se placer dans le tableau et CTRL+*

 Sélection continue et discontinue de lignes et colonnes

 Sélection d’un champ

Exemple se placer en D5 puis maintenir CTRL et SHIFT enfoncées et flèche du bas, la sélection s’arrêtera à la dernière cellule avec du contenu (cf. capture ci-dessous).

I.5.7 Rechercher

Dans le système, on peut retrouver ses fichiers via les navigateurs intégrés, les outils de recherche. D’où l’importance de nommer correctement ses fichiers et de bien organiser

(24)

son arborescence. Référez-vous à la charte et aux usages en vigueurs au sein de l’entreprise ou établissez une logique propre. Ce classement est essentiel lors de partage du travail en réseau.

Avec le raccourci Ctrl+F (F comme Find, trouver), il est toujours possible de rechercher des mots clefs au sein d’une page web, d’un document, d’une feuille Excel, d’un PDF, ou d’un simple fichier texte. Pour connaitre l’emplacement exact d’un fichier lorsqu’il apparait dans les résultats de recherche  Clic droit sur le fichier  ouvrir l’emplacement du fichier.

I.6

Explorateur de fichiers et de dossiers

I.6.1 Dossier

DOSSIER = enveloppe, contenant nom + icône jaune

 Créer un nouveau dossier : click droit + nouveau + dossier.

Par défaut un nouveau dossier est toujours nommé « nouveau dossier ».

 Renommer : changer de nom, 2 clics ou clic droit + renommer.

 Explorateurs de fichiers et de dossiers :

On peut copier/ coller, couper/ coller, glisser/déposer (drag & drop) des dossiers dans leur entièreté.

I.6.2 Arborescence

À l'image d'une poupée russe, on peut créer autant de sous dossiers qu'on veut. À vous de créer votre classement, votre arborescence, votre répartition de dossiers et de fichiers.

Un chemin ou path est une chaîne de caractères ou une chaîne d'octets décrivant la position de ce fichier ou répertoire dans le système de fichiers.

Par exemple voici le chemin ou l’adresse du sous-dossier budget 2015 : C:/mes documents/projet en cours/festival/budget 2015

I.6.3 Répertoires - Bibliothèques

Les dossiers créés par défaut par Windows ou répertoires proposent quelques dossiers prédéfinis : mes documents, mes images, mes vidéos, mes téléchargements…

À l'installation, Windows crée lui-même ses propres dossiers, notamment le dossier WINDOWS (caché par défaut, aller dans options d’affichage des dossiers via outils / options) et des sous-dossiers comme FONT (polices de caractères) et PROGRAMS (là où sont installés les programmes).

(25)

I.6.4 Fichier

FICHIER = contenu nom.ext

Une icône apparaîtra en fonction du programme qui ouvre le fichier. L'extension est la carte d'identité du fichier Si vous la supprimez, Windows ne reconnait pas le format et vous demandes avec quel programme il doit ouvrir le fichier.

 Options de dossiers  décochez l’option « masquer l‘extension dont le type fichier est connu ».

 Par exemple .doc (ou docx pour les versions post 2007) est l'extension d’un fichier créé sous Word.

 Par défaut chaque fichier s'ouvre avec un programme défini. Vous pouvez choisir avec quel programme ouvrir un fichier (click droit, ouvrir avec, choisir le programme dans la liste).

 Pour modifier le programme par défaut (click droit, propriétés, modifiez le programme dans s'ouvrir avec).

I.6.5 Comment nommer correctement ses fichiers ?

Il existe des règles à respecter, notamment afin de faciliter l'encodage et les transferts, téléchargements et télé-déversements des fichiers. Créez votre propre manière de nommer vos fichiers ou appliquez celle en vigueur dans votre entreprise ou milieu professionnel. Une logique simple et efficace s'avérera utile en cas de recherche.

Lorsqu'on renomme un fichier, on garde son extension et on respecte certaines règles : pas d'accent, de majuscule, de ponctuation, d'espace Pour les espaces, on utilisera underscore _ (shift + -).

I.6.6 Enregistrer sous

Enregistrer un fichier dans un programme consiste à créer le fichier. Trois questions essentielles se posent lors de cette procédure :

 Où ? Sous quel dossier, répertoire vais-je sauvegarder mon fichier ?

 Comment ? Sous quel nom ?

(26)

I.6.7 Formats de fichier

Il est fortement conseillé d’enregistrer-sous (F12) dès le départ. A chaque étape du travail, il suffira d’enregistrer (Ctrl+S). Généralement on enregistre un fichier de travail, un master et ensuite on enregistre sous les diverses versions d’exportation, on parlera alors d’exporter le fichier dans d’autres formats.

Extensions .jpg .gif .tif .bmp .raw, eps .doc .odt .rtf .txt .xls .ods .pdf .mp3 .mp4 .wav .cda .mpg .avi .divx .rar .zip .exe .dot .xlt .oft .htm .html .css .url

 Formats de fichiers d’échange, standards Pdf, Portable Document Format.

rtf (Rich Text Format).

 Outils Options générales

Permet d’ériger une protection avec un mot de passe à la lecture (ouverture du fichier) et une protection à la modification.

 Microsoft Office 2003 et version ultérieures Exporter en .doc ou .docx – .xls ou .xlsx ?

Pour une plus grande universalité et afin d’être certain que peu importe la version de Word ou Excel votre destinataire soit toujours en mesure modifier votre document. Lorsque vous enregistrer en version 2003 certains outils ne seront pas accessibles (Smartart, Graphique). Dans la barre de titre apparaîtra [mode de compatibilité].

(27)

 Format images : matriciel ou vectoriel7 (voir plus loin)

 Format web : html, htm, doc, xls, ppt, pdf

Format de template ou modèle : .dot, . xlt

 Format d’impression : pdf, psd, eps, tif

I.6.8 Sauvegarde automatique

Il est possible de configurer une sauvegarde automatique dans les options d’un programme Microsoft Office (via Options  Enregistrement)

(28)

II.

Bureautique

La bureautique est l'ensemble des techniques et des moyens tendant à automatiser les activités de bureau et, principalement, le traitement et la communication de la parole, de l'écrit et de l'image. La saisie des données, l’affichage et l’exécution des commandes par l’utilisateur passent généralement par l’interface du clavier et de la souris.

II.1

Clavier

 Azerty ou Qwerty Configuration langue (français Belgique)  Pavé numérique (num lock !)

 Touches spéciales : Shift (maj.), Crtl, Alt Gr (Alternate Graphic)  Touche insert : insérer du texte, efface ce qui suit.

 Touche print screen : capturer une image du moniteur touche  Touche ESC : sortir plein écran

 Touche Alt Gr = Alernate Graphic  Touches de fonctions (F1, F2,...)  Touche shift/caps lock

 Touche Num Lock

 Touche delete = supprime ce qui suit

 Touche retour en arrière ou back space = efface ce qui précède  Touches flèches

 Touche Tab  Touche Windows

 Touche menu contextuel (clic droit)

II.2

Raccourcis clavier

Les raccourcis clavier8 sont exécutés avec des combinaisons de touches. Vous pouvez

configurer vos propres raccourcis clavier.

 CTRL + C = copier

 CTRL + V = coller

 CTRL + Z, CTRL + Y = annuler, refaire

 Alt +F4 = quitter

 Drapeau Windows + E, ouvre l’explorateur de fichiers

 Alt + Tab = passer d’une fenêtre à l’autre

8 Win https://support.microsoft.com/fr-fr/kb/126449/fr

(29)

Vous pouvez aussi activer les touches rapides en appuyant une fois sur la touche alt pour ouvrir les menus et boites de dialogues dans MS Office (cf. capture ci-dessous).

II.3

Traitement de texte

Il est possible d’éditer du texte via les logiciels suivants : Word, Open Office Document, carnet de notes.

II.3.1 Méthode de travail

1. Préparer le matériel (photos à importer, liens à importer, police spéciales) ; 2. Dessiner un brouillon, un layout, plan, scénario ;

3. Ouvrir un nouveau document ; définir les propriétés 4. Enregistrer sous,

5. Enregistrer à chaque étape ;

6. Choisir les paramètres de mise en page du document (orientation, format) ; 7. Taper le texte brut ;

8. Tabulation, retrait

9. Mise en forme, création/modification des styles (normal, titre1, titre2) 10. Hiérarchisation, liste à plusieurs niveaux

11. Création de sections, saut de page

12. Insertion en-tête et pied-de-page, numéro de page ; 13. Insertion de champ quick part (auteur, titre, refstyle, 14. Page de garde ;

15. Rédaction conclusion et introduction ;

16. Insertion de références, table des matières ; 17. Corrections, orthographe, suivi des modifications ; 18. Aperçu avant impression ; impression brouillon 19. Corrections, modifications ;

20. Document final ;

(30)

II.3.2 Frappe et rédaction

Il est impératif de taper du texte et de respecter les espacements, les abréviations et la ponctuation. « La frappe au kilomètre », c’est le fait que dans Word, les lignes et les pages sont crées automatiquement au fur et à mesure de la frappes.

 Rédiger en développant une idée par paragraphe.

 Former des entités homogènes (paragraphes de même nombre de lignes).

 Utiliser la touche Enter pour créer un nouveau paragraphe.

 Utiliser la touche shift + Enter pour créer un retour à la ligne.

 Utiliser le pied de mouche ¶ (raccourci CtrL+8).

C’est un outil indispensable pour le secrétariat de rédaction (correction du fond et de la forme).puisqu’il affiche les caractères invisibles.

 Utilisation de la touche enter = nouveau paragraphe

 Touche Shift enfoncée + Enter = retour à la ligne

 Touche Ctrl enfoncée + Enter, crée un saut de page

 Sélection + Touche Ctrl enfoncée et déplacer, simple copier/ coller

 Utilisation de la touche Tab et taquet (gauche, centré, droite, décimal, barré)

Drag and drop, glisser déposer

 Copier Ctrl C / Coller Ctrl V

 Accents : maïs, en-tête

 Comparateurs < >=

 Slash / et contre slash \

 Monétaires $ € %£

 Caractères spéciaux, symboles ® © £ § ¼

 Vérifiez vos abréviations M. = Monsieur, Mme = Madame

II.3.3 Règles d’espacements

Word gère très bien les espacements.

(Le signe «_ » représente une espace, une fois la barre d’espacement).

 mot._Il  mot,_il  mot_:_ Il  mot_;_ il  mot_?_Il  mot_!_ mot_  (mot).  mot_«_mot_».  mot_:_il mot..._

(31)

 etc.

 L’apostrophe s’écrit sans espace  mot,_mot,_et_mot.

II.3.4 Texte brut

Avant de mettre en forme votre texte, veuillez à lui hotter toute mise en forme et à ne pas laisser de lignes vides entre les paragraphes. Lorsque vous compilez du texte provenant de divers sources (doc, web, pdf) par copier/coller, il se peut que les mises en forme importées (html) entrent en conflits entre-elles.

De même, c’est le paramètre espace entre les paragraphes (avant et après) qui gère l’espacement entre les différents niveaux de texte, titres, sous-titres et paragraphes.

Diverses solutions pour transformer en texte brut :

 Copier/coller votre texte dans un bloc note, puis copier-le du bloc notes vers le doc.

 Enregistrer sous le format texte dans Word (txt).

 Utiliser l’outil gomme qui sert à supprimer la mise en forme.

 Utiliser les options de collage lors d’un copier/coller (cf. capture ci-dessous).

II.3.5 Mise en forme de police

Il existe des polices universelles (Comic sans, Times New Roman, Courrier, Arial, Verdana, etc.) déchiffrables par tous les systèmes et reconnues sur tous les ordinateurs et utilisées sur le Web. Notez que Google travaille actuellement sur un projet de police web universelle appelé Noto qui serait compatible pour toutes les langues.

 Utilisez au maximum deux polices, 2 ou 3 couleurs

 Taille entre 8pt et 12pt pour le corps du texte

Trop d’effets tuent l’effet ! pas de gras italique et souligné

 Veillez à ne pas abuser des effets (gras + souligné + italique = trop !).

gras, italique, souligné, couleur, barré, exposant , i

ndice, oommbbrre e

 Le rouge est généralement réservé à la correction où aux chiffres négatifs

(32)

 Comment installer des polices sur son ordinateur ?

 HAUT et bas de casse (majuscule - minuscule)

 CtrL + Shift + K = PETITE CAPITALE

 Ctrl + shift + A = GRANDE CAPITALE

 Évitez les singletons et les orphelins (mot seul sur une page ou seul en fin de paragraphe)

 Guillemets à la française « » ou à l’anglaise " "

via options  corrections automatique  lors de la frappe

II.3.6 Mise en forme de paragraphes

 Alignement à gauche, centré, droite, justifié

 Espacement entre les paragraphes (avant et après)

 Interligne = espace entre les lignes

 Supprimer l’espace avant ou après le paragraphe

II.3.7 Utilisation des styles

Pour réaliser une mise en forme harmonieuse et cohérente, mais aussi facile à gérer, il est fortement recommandé d’utiliser les styles.

Les styles sont des mises en forme déjà configurées qui s’appliquent (parfois automatiquement par défaut) à chaque niveau hiérarchique de texte. Pour chaque niveau de texte correspond un style comme normal, titre1, titre 2, hyperlien, pied-de-page, TM1, liste à puces, etc.

(33)

Les styles contiennent tous les paramètres de mise en forme de police et de paragraphes (et aussi de tabulations, langues, bordures, cadre, numérotation, touche de raccourci). Il suffit donc de modifier le style pour que la mise en forme s’applique automatiquement au niveau de texte correspondant.

Il n’est donc préférable de ne plus utiliser la mise en forme « artisanale » via les boites de dialogues classiques police et paragraphe du menu Accueil une fois qu’on utilise les styles pour gérer la mise en forme d’un document.

II.3.7.1 Mise en forme optimisée

Pas besoin de sélectionner le texte pour changer la mise en forme.

La plupart des styles sont déjà appliqués par défaut. Ainsi un texte brut sera déjà en style normal, une table des matières en TM1, TM2, TM3, un numéro de page, en-tête, liens hypertexte, etc.

Si vous devez appliquer un style à une partie de texte, sachez qu’un style s’applique à tout un paragraphe. Donc pas besoin de sélectionner, il suffit de placer son point d’insertion dans le paragraphe et de cliquer sur le style à appliquer.

(34)

L’outil pinceaux permet de reproduire la mise en forme du style. Placez-vous dans le paragraphe mis en forme et cliquez sur le pinceau (double clic reste permanant), puis appliquez le pinceau sur les paragraphes à mettre en forme.

II.3.7.2 Hiérarchisation

Si vous devez produire une hiérarchisation entre les titres, il est impératif d’utiliser les styles. Pour cela appliquez les styles aux titres en suivant le principe de leur niveau hiérarchique. Le style Titre1 s’applique au premier niveau, le style titre2 au 2ème niveau,

le style titre3 s’applique au troisième niveau.

Le style TITRE est réservé au titre général du document comme « Informatique Générale ». Dans l’exemple ci-dessous, les conclusions sont situées au niveau 1 donc style de titre 1. La thèse est située en niveau 2 donc style titre2.

Pour afficher la numérotation, choisissez une liste à plusieurs niveaux où les styles sont associés à chaque niveau dans la bibliothèque de liste à plusieurs niveaux du menu Paragraphe du ruban.

Il convient de distinguer ce qui appartient aux styles, à savoir la mise en forme et ce qui appartient à la liste à plusieurs niveaux, à savoir les retraits et le type de numérotation (I, II, III, IV ou A, B, C, D).

(35)

II.3.7.3 Table des matières

Pour créer une table des matières rien de plus simple lorsqu’on utilise les styles de titre1, titre2, titre3 et que l’on a définit la liste à plusieurs niveaux. Via menu Références insérer table de matières.

Une table des matières fonctionne sous forme de lien hypertexte et permet d’accéder rapidement à un titre précis dans le document.

Notez, qu’il est recommandé d’insérer la table des matières lorsque vous finalisez votre document, ou de veillez à la mettre à jour si vous ajoutez du texte ou modifiez la pagination (num. de page).

II.3.7.4 Mode plan

L’affichage en mode plan prévue dans Word permet de visualiser le texte par niveaux et ainsi de restructurer et de modifier le niveau hiérarchique sans devoir se lancer dans des opérations de couper/coller hasardeuses. Via menu Affichage  mode plan

II.3.8 Saut de section

Les sauts de section permettent de diviser en sections indépendantes un document. Cette autonomie permettra de modifier une section sans affecter une autre au niveau de :

 L’orientation (portrait ou paysage) ;

 Les en-têtes et pieds-de-page, à condition de délier ceux-ci dans chaque section ;

 La numérotation des pages, par ex. sauter la pagination de 10 pages (via Format numéro de page).

II.3.9 Insertion de texte rapidement

Il est possible d’insérer rapidement des pans de texte entier ou de les insérer à l’aide d’une commande qui insérera le texte. Ex : un article de loi, une clause de contrat, une formule de politesse, une formule récurrente, etc.

II.3.9.1 Insertion automatique

Via quick part  ajouter la sélection à la galerie Quick PART.

II.3.9.2 Correction automatique

 via options  Vérification Options de correction automatique, créer un raccourci pour le texte à insérer.

II.3.10 Suivi des modifications

Le suivi des modifications est un mode de correction à plusieurs qui convient très bien pour le travail en équipe et la transmission des corrections et commentaires.

(36)

II.3.10.1 Correction

Une fois activé, les corrections et modifications de mise en forme apparaîtront en rouge dans des bulles situées dans la marge. Affichage final avec marques / original avec marques

II.3.10.2 Accepter refuser les corrections

Désactivez le mode suivi et ouvrez Volet Vérifications. Passez en revue toutes les corrections en les acceptant ou en les refusant.

II.4

Traitement d’image

Il existe différents formats de fichiers images qui sont généralement produits par des logiciels éditeurs d’image tels que Photoshop, Lightroom ou The Gimp.

II.4.1 Formats image

RAW Image numérique brute

Format produit par un appareil photo numérique. Chaque fabriquant (Canon, Nikon, Leika, Fujifilm, etc.) a créé sa norme spécifique.

.JPG, .JPEG (Joint Photographic Experts Group) Format de compression et d’échange d’images fixes.

JPEG (File Interchange Format, abrégé JFIF) est une norme créée en vue de faciliter l'échange de fichiers contenant des images enregistrées avec la compression JPEG. Il est couramment utilisé sur le web dans les échanges de fichiers images.

.PNG (Portable Network Graphics) format ouvert d’images numériques. Format non destructeur spécialement adapté pour publier des images simples

(37)

comprenant des aplats de couleurs. Comme il gère très bien les transparences, c’est le format idéal pour un logo à insérer sur un fond de couleur.

. TIFF .TIF (Tag(ged) Image File Format)

Format de fichier pour image numérique. Adobe en est le dépositaire. Il s'agit d'un format de conteneur (ou encapsulation) souvent utilisé pour les images à destination d’impression professionnelle en quadrichromie.

.GIF (Graphics Interchange Format littéralement « format d'échange d'images ») Format d'image numérique couramment utilisé sur le web. Possibilité de créer des images animées (animated gif).

.PSD Format de fichiers de travail créé sous Photoshop.

.BMP (Bitmap) format d’image matricielle ouvert, simple à programmer.

.EPS Format Image vectorielle, Une image vectorielle (ou image en mode trait)est composées d'objets géométriques individuels, des primitives géométriques (segments de droite, arcs de cercle, courbes de Bézier, etc.) auxquels on peut appliquer différentes transformations (rotations, écrasement, mise à l'échelle, extrusion, effet miroir, dégradé de formes, morphage, etc.). Elle se différencie en cela des images matricielles (ou images bitmap), qui elles sont constituées de pixels. C’est le type de format idéal pour conserver un logo au format HD puisque les traits peuvent être agrandis sans perte de qualité.

.PDF Portable Document Format

Format de document multiplateforme créé par Adobe Systems.

Notez qu’il est possible d’ouvrir un PDF avec un navigateur (drag and drop) et qu’il est possible d’un récupérer les images avec un éditeur d’images type Gimp ou Photoshop. Utilisé en imprimerie (voir plus loin).

II.4.2 Gestion de couleurs

II.4.2.1 RVB

Le RVB (rouge vert bleu) correspond au RGB anglais (red green blue). Créé en 1931 par la commission internationale de l’éclairage, ce standard regroupe les trois couleurs primaires monochromatiques soit : le rouge, le vert et bleu.

Le code couleur de ce standard s’exprime ainsi : R : 0 V : 0 B : 0 (le 0 correspondant au noir) cette couleur donnera un noir. Remarque : la valeur du RVB peut soit s’écrire en pourcentage de 0 à 100% soit en numéraire de 0 à 255.

(38)

Le RVB est utilisé pour l’affichage de vos écrans. Vous pourrez donc constater aisément qu’un même code couleur RVB aura un rendu différent sur deux écrans si bien que leur configuration diffère. Vous n’aurez pas vraiment de soucis si votre création reste affichée sur un écran d’ordinateur.

Cependant, le problème va se poser lorsque vous aurez l’ambition de vouloir imprimer une de vos créations : en effet une couleur RVB affichée sur un écran ne sera pas forcément la couleur imprimée, c’est-à-dire que le rendu sera différent entre un Print (papier) et un Screen (écran).

II.4.2.2 CMJN ou quadrichromie

Cyan, Magenta, Jaune, Noir ou en anglais CMYK : Cyan, Magenta, Yellow, Black.

Le CMJN appelé plus techniquement quadrichromie est un standard colorimétrique pour l’imprimerie permettant de reproduire un large spectre de couleurs. Ces couleurs sont créées en mélangeant trois encres de bases : le cyan, le magenta et le jaune auxquelles on ajoute le noir. On peut considérer le CMJN comme un standard physique, il ne peut être exprimé qu’en pourcentage : C 86 : M 85 : J 79 : N : 100.

Sur un écran, une couleur CMJN pourra être affichée de façons différentes, mais ce ne sera pas le cas pour une impression, ainsi, une couleur CMJN sera rigoureusement identique sur chaque impression et sur chaque imprimante et c’est là son point fort.

II.4.3 Connaître le code RVB d’une couleur

Sélectionner une couleur ne se fait pas au hasard. Un graphiste choisira de préférence une ou plusieurs teintes déjà présentes dans une image. Par exemple, pour connaitre les codes de couleurs utilisés dans un logo, il suffit d’ouvrir le fichier logo sous Photoshop, The Gimp ou simplement Paint (gratuit).

Ensuite sélectionnez l’outil pipette et pointez la couleur désirée. Dans la palette de couleurs apparaitra la quantité de rouge, de vert et de bleu. Notez les références et utilisez les mêmes proportions lors de la personnalisation des couleurs dans d’autres programmes.

II.4.4 « Enregistrer une image sous » depuis le web

Lorsque vous désirer une image pour illustrer votre présentation ou pour figurer sur votre site web, gardez à l’esprit que les images sont soumises à des droits d’auteurs. Il existe des sites de stock d’images payants, mais aussi libre de droits.

Depuis un navigateur  click droit / enregistrer image sous, choisir le dossier et nommer avec extension.

(39)

II.4.5 Réduire la taille d’un fichier image

Lorsqu’on redimensionne une image, il faut respecter les proportions et ne pas aller au-delà de la résolution de l’image. Pour faire perdre du poids à votre image vous pouvez réaliser cette opération avec Photoshop , The Gimp ou encore Irfanview.

 Diminuer sa taille ou sa résolution 72 dpi (imagetaille) tout en gardant les proportions du format (4000:3000 pixels ou 3000:2000).

 Choisir un format de compression JPG et compresser le fichier par exemple à 89% lors de l’exportation.

II.4.6 Importer une image dans Word

Pour déplacer librement une image dans Word, il faut modifier l’habillage dans le menu image (aligné, carré, etc.).

II.4.7 Capture d’écran

Il existe deux moyens d’effectuer de très pratique capture d’écran :

Touche Prt Sc Print Screen du clavier, puis coller dans un logiciel Office ou un navigateur. Notez que, Alt + Prt Sc ne capture que la commande ouverte;

 En utilisant l’outil capture disponible dans les accessoires de Windows. (Sur Mac : command + alt + 4)

(40)

II.5

Tableur et Base de données

Il est important de créer une base de données avec des champs pertinents. Ces champs seront remplis soit par saisie et encodage direct, soit par des formules qui renverront des données. Ces données peuvent être recueilles avec les techniques associées de formulaires et de macros.

Il est impératif de créer une base de données simple, complète et exploitable dans un logiciel tel que Excel. Une base de données incomplète ou avec des valeurs inutilisables est une perte de temps.

II.5.1 Champ / Enregistrement

Il existe divers logiciel de création et de gestion de base de données. SAP, Access, Excel, Outlook pro. Il est important de distinguer le jargon concernant les bases de données.

 Organisation d’un tableau verticalement (champs en colonne) ou horizontalement (champs en ligne).

Le terme champ désigne l’ensemble des données en dessous du titre de champ (à distinguer d’une colonne entière).

Le titre de champ ou en-tête de colonne désigne les attributs ou caractéristiques. Exemple 1.

NOM PRENOM TITRE FONCTION

EXEMPLE 2

DESCRIPTION CATEGORIE QUANTITE PRIX UNITAIRE MONTANT HTVA MONTANT TTC

Les valeurs de champs sont les données d’un enregistrement correspondant à un attribut (Steve, Pdg Apple).

Un enregistrement est l’ensemble des valeurs de champs concernant un individu ou une entrée(en gris ci-dessous). A distinguer d’une simple ligne.

NOM PRENOM TITRE FONCTION

Mitnick Kevin Monsieur Hacker

Job Steve Monsieur Pdg Apple

(41)

II.5.2 Base de données dans le tableur Excel

Dans Excel, réservez la ligne 1 à vos titres, mettez les titres de champs en gras. Si votre table est bien encodée, il suffira de simplement vous placez dans le tableau (et non pas le sélectionner) pour trier (changer l’ordre d’affichage sur plusieurs critères) ou pour insérer un tableau croisé dynamique.

Le but d’une base de données est de pouvoir effectuer des requêtes en fonction de critères précis (filtres). Ces requêtes permettent de créer de nouveaux tableaux : des extractions. Pour obtenir une extraction, c.-à-d. un nouveau tableau issus du résultat des critères de requêtes, on peut utiliser :

 Le tableau croisé dynamique (double clic dans le TCD) ;

 Les filtres automatiques, puis copier/coller à partir du résultat de la requête, puis copier la feuille vers un nouveau classeur ;

 Les filtres avancés ou personnalisés.

II.5.3 Edition de tableau dans Word

 Insérer un tableau

 Ajouter, supprimer une ligne/colonne

 Ajuster par rapport au contenu ou largeur de la fenêtre

 Alignement des cellules horizontal et vertical

 Redimensionner le tableau, rendre les bordures invisibles.

 Détourner la fonction tableau pour créer un canevas de mise page

 Convertir texte en tableau et tableau en texte

 Insérer un fichier Excel dans Word via insertion  objet à partir du fichier

II.6

Utilisation des modèles

Pour créer un nouveau fichier sur base d’un ancien, la plupart des utilisateurs se bornent à ouvrir un ancien fichier et à en changer les variables, puis de l’enregistrer sous un nouveau nom. Cette procédure fonctionne, mais contient cependant des limites à l’optimisation et devient carrément obsolète lors du travail en réseau.

II.6.1 Création de modèle

Pour créer un modèle, tapez votre document avec les champs variables vierges et enregistrez-le sous le format modèle ou Template en anglais. Cela donne xlt, xltx sous Excel ou dot, dotx (Word). Remarquez l’utilisation du T de Template.

Le fichier template sera automatiquement sauvegardé dans un dossier modèle ou Template de Windows. Vous pouvez modifier cet emplacement par défaut, généralement

(42)

en l’enregistrant sous un emplacement du réseau. Les employés utilisant un même modèle de base l’ouvriront à partir du fichier template hébergé sur le réseau.

II.6.2 Modification de modèle

Pour modifier un modèle ouvrez-le via le programme (CTRL + O) et non pas en faisant double clics via l’explorateur de fichiers, modifiez-le et enregistrez-le sous le même nom.

II.6.3 Nouveau à partir du modèle

Pour créer un nouveau fichier à partir d’un modèle : double cliquer sur celui-ci dans l’explorateur de fichier Windows (sinon vous allez modifier le modèle !). Vérifiez qu’il s’agit bien d’un nouveau fichier en jetant un coup d’œil à votre barre de titre où s’affichera le nom de fichier par défaut document1.docx ou classeur1.xlsx.

Votre première tâche professionnelle consistera souvent à créer une bibliothèque de modèles. En effet, les documents produits contiennent toujours les mêmes constantes, seules quelques variables changent : date, nom, adresse, destinataire, montant, etc. Il est impératif de pouvoir créer rapidement de nouveau document tout en veillant à ne pas écraser les archives.

II.6.4 Avantages des modèles

 Ne pas risquer d’écraser le fichier mère ou les archives.

 Permet le travail en réseau et le partage de fichier source.

 Notion très largement utilisée par Microsoft qui propose des modèles très inspirants. via fichier nouveau modèles

 Conserve les styles : en limitant la mise en forme à une série de styles

Dans Word via Révision  Protéger le document - restreindre la mise en forme et la modification  cochez Limiter la mise en forme à une série de style -sélectionner les styles dans paramètres (normal, titre1, titre2).

II.6.5 Constitution de formulaire II.6.6 Via MS Office, Macro, VBA

Utilisez la barre d’outils formulaire de l’onglet développeur et composez vos champs. (liste, case à cocher, texte) en mode création. Click droit pour modifier les options des champs (format, limitations, validation).

À la fin, protégez en autorisant la modification des champs de formulaire et enregistrez le comme un modèle. On utilisera généralement une macro pour extraire les données. Par exemple une fiche d’inscription, fiche clients, (voir de base de données).

(43)

II.6.7 Via Google drive

Google offre une solution conviviale et rapide pour créer des formulaires web partageables et intégrables où les données se déversent automatiquement dans des tableurs.

II.7

Macro

II.7.1 Dans un logiciel Office

Une macro ou script est une séquence d’action exécutable en une fois, en un clic, une commande.

Les macros sont enregistrées dans un dossier macros personnelles ou dans ce classeur (le classeur devra être ouvert pour que la macro soit utilisable dans le programme).

Niveaux de sécurité. Attention les fichiers équipés de macro seront susceptibles d’infections virales. VBA = Visual Basic est un éditeur de script. Vous trouverez quantité de macro sur le Web.

II.7.2 Enregistrement d’une Macro simple dans Excel

 Création d’une macro de mise en forme via l’onglet Développeur

 Exécution de la macro via - Alt+F8

- bouton dans la barre d’outils d’accès rapide - affecter une macro à une forme

- raccourci clavier.

 Modification de la macro dans VBA

II.8

Exportation et impression

II.8.1 Publipostage

Un publipostage ou fusion de courrier (mail merge) permet l’envoi massif de courrier postal. Il s’agit dans cette acception-ci uniquement d’une application print (enveloppes, étiquettes, lettres). On peut utiliser cette technique pour :

 Simplement encoder un document rapidement. Il suffira de rechercher le destinataire et de fusionner pour un seul enregistrement ;

 Envoi massif de lettres avec des champs personnalisés ;

 Lettres de rappel, de relance, facture ;

Payroll ou paiement des salaires ;

(44)

Pour réaliser un publipostage, on a besoin d’un programme de base de données type Access, Excel, contacts Outlook et d’un programme d’édition de publipostage type Word ou Publisher, Access.

Si vous débutez en publipostage, il est conseillé de suivre l’assistant qui vous guidera au travers du ruban Publipostage de la sélection des destinataires, à la fusion des documents en passant par l’insertion de champs de fusion, de champ d’adresse ou d’édition de règles (si alors sinon).

II.8.2 Exporter au format PDF en bureautique

Le format .PDF (Portable Document Format) est un format d’échange de document. Le programme Adobe Reader (gratuit) vous permet généralement de lire son contenu. Vous pouvez aussi l’ouvrir avec un navigateur par drag & drop.

L'avantage du format PDF est qu'il préserve les polices de caractères, les images, les objets graphiques et la mise en forme de tout document source, quelles que soient l'application et la plate-forme utilisées pour le lire.

Le format PDF peut aussi être interactif. Il est possible (grâce à des logiciels tels Adobe Acrobat Pro, LibreOffice ou Scribus) d'incorporer des champs de textes, des notes, des corrections, des menus déroulants, des choix, des calculs, etc. On parle alors de formulaire PDF.

C'est pourquoi ce format est utilisé dans un ensemble large et varié de logiciels, de l'exportation dans les suites bureautiques grand public, aux manipulations par des programmes spécialisés de l'industrie artistique, en passant par la génération de factures électroniques via Internet.

Plus techniquement, les fichiers PDF peuvent être créés avec des options personnalisées, tant aux niveaux de la compression des images et des textes, de la qualité d'impression du fichier, que du verrouillage (interdiction d'impression, de modification…).

Le PDF s'est imposé comme format d'échange (consultation d'écran, impression, etc.) et d'archivage de documents électroniques, il est devenu un « standard international ».

La spécificité du PDF est de préserver la mise en forme d’un fichier – polices d'écritures, images, objets graphiques, etc. – telle qu'elle a été définie par son auteur, et cela quels que soient le logiciel, le système d'exploitation et l'ordinateur utilisés pour l’imprimer ou le visualiser.

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II.8.3 Aperçu avant impression

Simple aperçu en amont de l’affichage des pages de documents ou de la feuille d’un classeur.

II.8.4 Paramètres d’impression

Les paramètres d’impression dépendent des options offertes par l’imprimante. On peut généralement configurer :

 Le niveau d’impression : en noir et blanc, nuance de gris ou couleur ;

 La qualité HD, moyenne, brouillon ;

 Le format : A3, A4, A5, lettre ;

 L’orientation paysage, portrait ;

Références

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