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Economic repercussion of BST on the dairy industry in France

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Economic repercussion of BST on the dairy industry in

France

Christian Mouchet, . University of Ghent

To cite this version:

Christian Mouchet, . University of Ghent. Economic repercussion of BST on the dairy industry in France. International Conference Mastitits : physiology or pathology ?, Ghent University [Belgium] (UGENT). BEL., Sep 1990, Gand, Belgique. non paginé. �hal-02403503�

(2)

il.;'; I ^ïffirtg5:-,69;1; j

6FIvresi

i I ,.',,..'uiËffiîâil,J

INTE RNATIONAL CONFE RENCE

MASTITIS : PHYSIOLOGV OR PATHOLOGV ?

NATIONAL

SATELLITE BST SVMPOSIUM

SCIENTIFIC PROGRAMME

Monday 17 - Saturday 22 September, 1990

Aula of the University of Ghent

(3)

r

I

ECONOMIC REPERCUSSION OF BST

ON TEE DAIRT INDUSTRY

IN

FRA}ICE

Cb. MOUCHET

Maître

de

Conférences

ENSAR-INRA Rennes (F)

Sumnary

within

certain

conditions, especially

as

concerns feeding,

Bovine somatotropine (BsT)

alrows

an

increase

in

the

yield

ôf

dairy

covrs. Budget

studies

(Lst,

part)

of

represéntative

situat,ions

have shown

that

the

use

of this

producC may

further

intensification

in

dairy

farms,

in

spite ôr

the

resùraint

of

quotas, provided

that

substitution

activities

be

introduced,

and

production

diversified.

Being

flexible

in

use,

BST

can

be

employed

either

systemat,ically

or

in

particular

inst,ances. Thus

it

is

an

useful

management

tool

without

addit,ionnal

investment. The economical consequences

of

BST use on

the

organization

of

dairy

production must arso be estimat,ed (2d

part).

À demographic

projection

of

the

number

of

producers,

âs

welr

as

trypôthésis about

the evolution

of milk

yierd

and

quotas,

arrow uJ

to

buird

scenarios, with

or

without Bsr

use.

without

BST

use,

the

restructuring

of

dairy

industry

will

continue

:

reduced number

of

producers and

dairy

cows, and an

increasing yie1d.

The, use

of

BST

will

only

accentuate

this

trend.

However,-

with

BST use,

the

rereased

land

area

witr

be a

bit

more extended, because

of

(4)

rl

INTRODUCTION

La

question

se pose de

savoir

si

re

gain

de

productivité

phy-sique

entrainé pàr ra

BST

peut

se traduire

par

une hausse de

la

productivité

économique,

d,autant

que

Ie contexte

de

ra

produc-tion

de

lait

en Europè

eit

marqué

puT1" saturation

des marchés. La mesure des

effets

économiques-à

court

terme et, à moyen terme

d"

1'emploi

d'une nouvelle teàhnologie

comme

Ia

g.s.rl

pose un

problème de

délimitation

du champ

d,étude.

En

effet,

ces

consé-quencesr-êu

delà,de

ra rentabilité

immédiate

pouj

l,éleveur,

peuvent

être multiples,

directes

ou indirectes

:

erles

concer-nent

non seurement,

le

domaine

de

la

product,ion

agricole,

mais

aussi

la

transformation,

ra

consommàtion,

les

o'rganismes de

développement,

etc...

D'une manière

généraIe,

ra

plupart

des

études menées

sur

ce

9!j9t

en France (Lossouarn

et

Àr,

1gg7

-

Mouchet

,

Lggj

-

corciier, 1988

-

cordonnier

et

Bonnafous, L9g9

-

Melet

et

Mouchet,

19g9)

procèdent

selon

Ie

schéma

suivânt

:

dans un

premier

temps,

des

simulations

budgétaires

font

apparaitre

Ies

modifications

induites

sur

re

ôompte de

résultal'oel,.*proii"tîo"-iEricole.

Ensuite,

êt

selon-

res

auteurs,

1,

anaryse

port,e

sur

res

conséquences appréhendées

de

raçôn

prus giouafe

:

structures

laitières,

marèhé,

secteur

agricïIer'

.t....

.No-us reprenons

ici

le

même c[eminement en nous

limitant

au cas

de Ia

production

de

lait

dans

Ies

élevagesr en France

exclusi-vement. Les incidences de 1'emproi de ra Bsr sur 1'amont

et

lraval

de

1'exploitation

raitière

ne

rentrent

donc

pas

dans

notre

propos..

suR r.'

Eco*oMr'ri*tirii^Ë

J

tiriirRs

EN FRilùrcE

Ch. MOUCHET

Maitre

de Conférences

ENSAR-INRA Rennes (F)

INTERET ECONOMIQUE DE

B.S.T.

POUR I'EIEVEUR :

ETUDE MICRoECoNOMTQUE

Hypothèses technigues

et

néthode

res

hypgthèses

portent sur

les

conditions

zootechniques d,

em-ploi

de

la

BST.,

êt

prusieurs crit,ères

onf

aïà

p"ri*Ëire,

:

-

la

période de

traitement

débute au

plus

toi

oo, ou 90 jours

(5)

ll I I I I I

11

peu!

débuter

et

cesser

à

n'importe

quel

moment au cours

de cette période.

-

Une dose est, administrée

par

injection

tous

les

L4

jours.

Au maximum,

le

traitement

peut

comporter L7 doses,

soit

une durée

totale

de

240

jours

de

lactation.

En

moyenne

sur

le

troupeau,

Le

traitement

amène un

supplément de production

journalière variant

de 3 à 5

litres

de

lait ;

lorsque

ce

traitement

est

appliqué

au

tiers

du

troupeau

constitué

par

les

animaux ayant

Ia

neilleure

réponse,

le

supplément

peut

atteindre

I

litres

par

jour.

-

La

production

supplémentaire

est

couverte par un

accrois-sement de

Ia

ration,

selon

les

normes de

1'Institut

National

de

Ia

recherche Agronomique

(I.N.R.A.)

français.

Les

calculs

écononiques

ont

été

menés en

effectuant

des

simu-lations

budgétaires

sur

des

cas-types

d'exploitation.

Ceux

ci

se

différencient

en

particulier par

:

Ia

situation

géographique,

la

dimension,

Ie

degré d'

intensification,

Ie

degré

de

spécialisation.

Dans chaque

cas,

les

calculs ont été

effectués

pour

tout

le

t.roupeau,

et

lorsque

les

animaux à

meilleure

réponse sont seuls

traités.

Enfin

I'alimentation

supplémentaire

a

fait

1'objet

d'un

para-métrage

selon,

sa

nature,

son

origine

et

la

saison

:

achetêe ou

prooduite

sur

I'exploitation,

aliment

concentré

ou

fourrage,

ration d'été

ou

d'hiver.

Rêsultats

et

discussion

La question de

la rentabilité

de

t'utilisation

de

Ia

B.S.T.

en

production

laitière

en

France

doit

être

abordée

en

terme

de

substitutions

d'activités sur

les

surfaces

qui

ne sont

plus

consaÇrées aux

fourrages

du

fait

de 1'accroissement de

la

pro-duction par

vache.

La marge avec

B.S.T,,

par

vache ou

par

litre

produit,

est

su-périeure

à

la

situation

de

base

(sans

B.S.T.)

malgré des coûts

alinentaires

accrus.

La marge

par

hectare connait

la

même

ten-dance

lorsqu'on

raisonne

à-chârgement const,ant. Au

niveau

de

1'exploitation,

Ia rentabilité

de

1'opération

est

soumise

à

la

possibilité

agronomique de

faire

des

substitutions,

et

à

I'exis-tence

d'activités

de

substitution

à la

narge

suffisannent

(6)

Les

calculs

montrent qu'un

rêsultat

positif

peut

être

atteint

dans de nombreux

cas,

i

condition

de

ôisposer

de

terres

effec-tivement

labourables.

Le

gain

sera

d'autant plus

éIevé que.Ie

prix

de

Ia

dose de

B.S.T.

sera

plus

faible et

que

1'9n

traite

ie

tiers

du troupeau

constitué

des animaux

les plus

réceptifs.

En

outre,

iI

semble que

les exploitations plus

extensive.s

puis-sent

en généra1

ret,irer

plus d'avantages

de

cette

technique'

ceci

étanl

Iié

à 1'hypothèie de rendement en

lait

supplémentaire

constant quel que

sôit

le

niveau de

production

noyen des vaches

avant

traitement.

Enfin, Ia

gest,ion tecbnico-économique de 1'é-ler11qe soumis à

la

contrainte

ïu

quota

peut

êt,re

sensiblement

facilitée

;

en cas

de

reprise d'unsupport foncier

auquel

est

attaché

Ie quota,

Ie

gain àe

productivffé

procuré

par

B.S.T.

peut

être valorisé,

ée

qui

iamène au

point

précèdent

;

en

cas

de .quota

fixe,

Ia

souplesse procurée

par

Ia

B.S.T.

dans

1'obtention

d'une

quan-tité

précile es!

un: gage

de

sécurité pour

1'éIeveur.

Toujours en

raison

de

cette souplesse,

la

technique

peut

per-mettie

de

produire

davantage de

lait

en saison

hivernale

où les

prix

de

veïte

sont

favorabies,

avec

toutefois

des conséquences

iur

Ia

conduite de

I'élevage

(affouragement en

particulier).

Cependant,

iI

faut insister

sur

les

Linites

inbérentes

à

une

tel,ie

étude,

et

en

tenir

compte

pour

f

interprétation

:

Ila

prenière

liniLe

est

d'ordre

méthodologique. En

e,ffet,

19t nypot,trèses

retenues,

tant techniques

qu'écônômiques (en

parti-"uiier

sur

les

prix

àe vente du

lalt

et

les

pril

d'achat

des

a1i-nents concentrês)

constituent

un cadre conÈraignant

et

restric-tif.

De

plus,

1'application

du calcu1 économique à quelgues cas

types

cËoisis à

i''avance

ne permet, pas

d'envisager

J'éventail

eiiraustif

de

toutes

les

situàtions

possibles.

II

faut

donc se

garder de transposer ou de

gênéraliser les

conclusions que. nous âuonq obtenues-à

d'autres

iituations

ou

d'autres

hypothèses.

ta

seconde

linite

est d'ordre

sociol.ogiqre

:

iI

nous semble en

effet

que conme

toute

innovation,

la

ieCtrnologie.qui

consiste

à employer

Ia 8.S.1.

risque

de

rencontrer

des,résistances

lors

des

tentatives

de

diffusiôn.

En

effet,

malgré ses atouts que sont

la

souplesse

d'emploi

et

surtout

les résultats

économiques que

1'on

p-eut raisonnablement

espérer,

une

telle

pratique

risque

d'amener un bouleversement dâns

les

habitudes

de

travail

des él-eveurs

et

même dans

leurs mentalités

;

L'hypothèse d'emploi

<<spontané> que nous avons

faite

n'est

peut-être

pas

toujours

(7)

INCIDENCE ECoNOMIQUES DE L'EMPLoI DE

IÀ B.S.T.

SUR LES

STRUC-TURES DE PRODUCTION IÀITIERE EN FRA}ICE

Hypothèses

et

néthode

L'évorution

future

des

structures

de

production

laitière

en France dépend de plusieurs

facteurs

et

notamment :

de

1'état

actuel

de ces

structures,

de

la

démographie des

éIeveurs,

-

des

progrès

de

productivité,

-

du quota

laitier

attribué à

la

France.

Dans un premier temps, nous avons

construit

un nodèle

d'évo-lution

de ces

structures

à

partir

d'un

projection

dêmographique du nombre des

éleveurs,

combinée à une

prôjection

du nombre-de

vaches

laitières

résurtant

d'hypothèses

ôur

I'évorution

des

rendements

et

des quotas.

Ensuite,

I'effet

éventuel

de

Ia B.s.T.

a

été

analysé en

modi-fiant

les résurtats

du

calcut

précédent en

particutier

par

aug-mentation

des rendements.

.sans

revenir sur

Le

détai],

nous ret,iendrons que

Ueffet,

con-joint

de

ra

rimitation

quantit,ative

de

productiôn,

de

l'augmen-tat,ion

des

rendement,s due

à

la

sélecÈion génétique

et

oe

Ia

pyramide des âges de

producteurs

laitiers

âmène

à

une

diminu-tion

inéluctable

et

rapide

du nombre de ceux-ci,

ainsi

que du

nombre de vaches

laitières.

(tableau

ci

dessous)

:.

Résultats

et

discussion

PREVISION D'EVOIUTION DES STRUCTURES TAITIERES SANS B.S.T.

France 1985/95

:

'

19B5

1990

1995 Nombre d'exproitations

laitières

3r2

ALr

LgA

zls

143 393

Livraisons (1

000hI)

248

000

224

000

224 A00

Nombre de V.L. (1

000)

6

366

5

105

4 4Bg

Moyenne/v.l.

3g95

439s

s000

Nombre de V.L. par

éIevage

20,4

2Gt3

3Lr3

Livraisons/Elevage

(1.)

?9

500

115

600

155 500

Source: MOUCHET (1987)

Dans

cette

situation, la

diffusion

prus

ou moins

rapide

de ra

(8)

.1

I

de

structures,

de façon de

produire,

de

facteurs

de production.

Cette

diffùsion pourrait

concerner, selon

les estimationsr

ên-t,re 15

et

254 des

éleveurs à

I'horizon

1995.

L'augnentation

de

rendement

entraînerait

une réduction

du

cheptel

national.

En

France,

cette

rêduction

serait

modérée :

3 à 68 en moins selon

les

hypothèses (Mouchet, 198?) de même que dans

plusieurs

états

membres

de

la

Communauté.

11

n'est,

pas

possible

de

savoir

dès maintenant

si

cette diminution

du

chep-ter

se

traduirait

par

une

réduction

du nombre des

éleveurs

ou

par

celIe

du

cheptel

moyen.

Quoiqu'iI

en

soit,

dans

Ies

condi-tions françaises,

Ies

tendances <<naturelles> ne

seraient

que peu

modifiées

par

1'ut,ilisation

de

la

B.S.T..

Mais

la

situation

de

tension

fait

qu'une

variation,

même

faible,

peut

avoir

un

effet

important.

aussi,

nous ne pouvons

conclure

sans

rappeler

les

limites

de 1'analyse que nous avons menée. Les hypothèses retenues pour

construire

les

scenarios de

diffusion

de

Ia

B.S.T.

méritent

d'être

discutées.

L'avenir

de

certains

paramètres importants

est mal

connu, en

particulier

pour

les

quotas.

De

ce

fait,

la

prospective

est

d'autant

moins

fiable

que

1'on s'éIoigne

dans

Ie

temps,

car

des évènements nouveaux peuvent

venir

infléchir

les

tendances prévues.

coNctusIoN

Financièrement

intéressant

pour

I'éleveur

dans

certains

cas,

I'emploi

de

Ia

B.S,T.

accentue,

quelquefois

de façon

sensible,

les

tendances de fonds de

1'élevage

laitier.

Au regard des as-pect,s

positifs,

comme 1'augmenta[ion

de

Ia

productivité,

les

perspectives

de

meilleure

maitrise de

1'éIevage,

I'absence

de

besoin

d'investissement,

iI

existe

égatement des aspects

néga-tifs : f

incertitude

en matière, de

concentration

accrue de

la

prodqction,

non prouvée

et

de

toute

façon

jugée

positive

ou

négatÏve

selon

les

points

de

vue,

mais aussi

-et

peut-être

sur-tout

Ia

rêduction

importante du besoin en surfaces fourragères.

En

effet

si

Ie

système des quotas

n'est

pas

appliqué à

toutes

les

productions

agricoles,

Ia

sat,uration de

nombreux marchés européens

est

un

fait

désormais acquis

La

B.S.T.

est

une

technique

d'intensification

d'emploi

d'un

facteur

de production

particulier

qu'est

I'animal,

et

qu'iI

faut

utiliser

dans un contexte générar

d'extensification

de

I'emploi

des

terres

;

compte

tenu

de

son

intérêt

microéconomique dans

certains

cas des soluLions devront

être

trouvées gui permett,ront

de

concilier

ces deux

impératifs.

(9)

REFERENCES

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Références

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