• Aucun résultat trouvé

Par Merouane. Publié sur Fanfictions.fr. Voir les autres chapitres.

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Par Merouane. Publié sur Fanfictions.fr. Voir les autres chapitres."

Copied!
12
0
0

Texte intégral

(1)

Chapitre 10 : Un amour en rêve, une affaire de crédits en réalité

Par Merouane

Publié sur Fanfictions.fr.

Voir les autres chapitres.

Charéos était si en colère qu’il avait envie de tuer un Wookie à main nue. Il jeta un regarda a Slade et l’aperçu entrain de endormir. Yara continuait de soigner ses blessures et lui injectait du Bacta rouge pour accélérer la guérison des blessures graves. L’Arkanienne était douée malgré son jeune âge, elle était de sang pure à en juger par ses yeux blancs comme neige.

Charéos s’assit devant l’entrée de la grotte ou ils s’étaient réfugiés et observa le vide. Les paroles de Hewla le hantaient.

« Depuis quand tu as renoncé à l’honneur ? »

Charéos secoua la tête et serra les dents de rage. L’honneur ? Quel honneur ? Il n’y en avait pas, il avait vu trop d’horreur, bien des injustices. De la part des Sith comme des Jedi. Ces deux sectes maudites qui plongeaient la galaxie dans le chaos depuis des millénaires.

L’honneur, la bonté, l’altruisme. Le maître d’arme n’y croyait plus, pour lui les bonnes actions constituaient un acte égoïste, puisque les gens qui les accomplissaient se sentaient mieux après. Par conséquent, ils n’étaient pas généreux, agissant ainsi que pour se faire plaisir. Mais Slade lui… était ce qu’il était.

— Maudit soit-il ! Il va gâcher sa vie. A-t-il au moins une idée de la puissance des Sith ?

Maintenant ils dirigent la galaxie et il veut les combattre comme ça ! Tout seul, comment espère- t-il réussir ? Quel idiot

— Ce n’est pas un idiot. Répliqua Yara avec énergie. Il le sait mais il est Slade – Il n’est pas comme vous ou moi. Pour nous autre esclaves c’est un héros a l’ancienne, on n’en voit plus beaucoup des comme lui ces temps-ci.

— Hmmm. Eh bien, ton héros à l’ancienne a autant de force qu’un agneau de trois jours. Il est dans un profond état de mélancolie, et tant qu’il n’en sera pas sorti, je ne pense pas qu’il se remette entièrement. Fais-lui manger de la viande rouge et des légumes verts. Il en a besoin pour son sang.

(2)

Yara opina du chef et Charéos observa le vide, il baissa la tête et réfléchit quelque minutes, il a pris sa décision, il aidera son ami a guérir pour libérer les esclaves, mais il ne le fera pas par altruisme. Une partie de lui a envie de croire qu’il pouvait réussir. Quelque chose l’incitait à éprouver l’espoir de voir le bien revenir sur cette galaxie chaotique. Il aidera son amie et si ils doivent mourir alors autant mourir en paix car ils ont essayer de faire quelque chose. Charéos se leva et sortit de la grotte, puis revint une heure plus tard, il examina Slade et le trouva brillant de fièvre, le Bacta avait guérie quelques blessures, mais celle qu’il avait aux cotes s’est

infectée. Yara avait beau la nettoyer mais rien n’y fait. Le maître d’arme souleva le bras de Slade pour mieux voir la blessure.

— Très mauvais, commente-t-il en posant une main sur le front de Slade. Pire que ce que j’imaginais.

Il sortit un petit sac et l’ouvrit, puis posa a ses coté un petit flacon couvert. En l’ouvrant, Yara le vit appliquer sur la blessure une crème blanche. Puis elle regarda de plus prés, la crème se tortillait.

— Mais qu’est-ce que vous faîtes ? Demande-t-elle effrayée.

— Fais-moi confiance.

— Des asticots ? S’écria-t-elle avec horreur.

— Des asticots oui, ils sont sa seule chance de survivre, comme nous avons utilisé tout le Bacta, et que le temps nous manque pour aller en chercher, autant le soigner a l’ancienne.

— Les asticots sont des créatures sales.

— Oui, fit Charéos en déposant les minuscules vers blancs sur la blessure, puis il la recouvrit d’un morceau de gaze. Les asticots vont manger la chair pourrissante et dévorer la maladie qui est en lui. Tu as raison, ce sont des créatures de la saleté – et elles se régaleront de la saleté qui est en train de le tuer.

— Combien de temps ils vont… se nourrir de sa plaie ?

(3)

— Trois jours. Les asticots vont grossir jusqu’à dix fois leur taille actuelle. Je les enlèverai, et j’en mettrai peut être d’autres. Il faut qu’on reste en permanence à côté de lui. Quand il se réveillera, on le fera boire le plus possible, de l’eau avec du miel.

— Maître Charéos… je voulais vous dire…

— Ne me remercie pas, dit-il froidement. Je ferais tout pour l’aider mais ne vous fais pas trop d’idées sur moi, je me fiche des esclaves, tout comme je me fiche des Sith. Je vis dans ce monde depuis longtemps, et j’ai vu la gloire, et aussi des horreurs. J’ai vu de la compassion dans le coeur d’hommes mauvais, et l’obscurité tapie au fond du coeur des hommes bons.

Mais Slade est différend et c’est aussi mon ami.

— Je le sais, mais merci quand même. Dit Yara avec un sourire.

Charéos grogna et se retira. Yara se pencha sur le Koruun et murmura d’une voix douce.

— Accrochez-vous maître Slade. Vous devez vivre.

Le troisième jour. Slade avait un teint moins blafard, mais il avait toujours de la fièvre. Yara regarda le maître d’arme retirer la gaze. Elle eut un haut-le-coeur quand elle le vit sortir un par un les asticots, maintenant gras, et les laisser tomber dans un récipient vide. Ils étaient

énormes, enflés. Mais la blessure, bien qu’ouverte et à vif, avait l’air plus propre et moins enflammée.

— Vous aller en placer d’autres ?

Charéos se baissa et renifla la blessure.

— Elle est encore sale. Encore trois jours.

(4)

Il saisit un autre récipient et plaça des asticots minuscules dans la blessure avant de la recouvrir de gaze.

Les jours passèrent lentement. Slade avait davantage de moments de lucidité, et il parvint même à manger un bol de bouillon de viande et un peu de pain. Les nuits restaient difficiles. Il criait pendant les rêves induits par la fièvre, appelant sa mère ou Saraï.

Après trois autres jours, Charéos examina la blessure qui était presque refermée, et le maître d’arme, après l’avoir nettoyée, déclara que le moment était venu de la recoudre. Il prit une aiguille incurvée et du fil sombre et commença à fermer la blessure.

— Il délire de plus en plus, fit Yara inquiète.

— Il donne l’air d’être solide, mais a l’intérieur il souffre encore de la mort de Saraï, il est dans le coma maintenant. Il doit lutter contre ses peurs, et ses démons. Mais nous devons l’aider à se réveiller.

— Comment ?

— Il faut amener une jeune femme a lui, il faut qu’elle s’allonge a ses cotés, nue, et le caresse.

— Pourquoi ?

— Pour lui rappeler les plaisirs de la vie.

— Je peux le faire. Dit Yara en levant fièrement la tête.

(5)

— Tu n’es encore qu’une gamine, dit Charéos froidement. Je peux deviner sans peine que tu n’as couché avec personne. Je vais me rendre au statioport et trouver quelqu’un, il y a des cargos de contrebandiers qui atterrissent pour commercer avec les Sith, avec de l’argent et un peu de persuasion je réussirais.

— Je vous dis que je peux le faire. Insiste Yara avec énergie.

— Non c’est non, je ne veux plus en entendre d’avantage. Restes avec lui, je reviendrais dans quelques jours, et surtout ne fais pas l’idiote.

Charéos tourna les talons et se retira, et Yara en colère se retint de crier qu’elle seule pouvait lui donner de l’amour, et pas une fille de mauvaise vie aussi experte. Elle entendit Slade murmurer le nom de Saraï et Yara accourut vers lui pour lui donner à boire.

Le statioport de Dreshdae était encombré de cargos. Et Charéos marchait en gardant ses sens à l’affût. Examinant chaque détail qui pourrait le convaincre de choisir la personne adéquate.

Mais il n’y avait personne, seulement le personnel de la douane et quelques Togoriens qui déchargeaient une marchandise. De l’épice de Kessel a n’en pas douter. Charéos se dirigea vers la Cantina, seulement fréquentée par les visiteurs et rarement par les Sith du temple. Et pourtant il trouva du monde, il y avait des individus de différentes races, des Wookies, des Rodiens, et même des Twi leks. Le maître d’arme examina ces derniers, il y avait une femelle parmi eux, elle buvait beaucoup et riait avec ses comparses, assez belle, mais pas la bonne candidate, une ivrogne que l’alcool finirait par délier la langue. Il voulait trouver une personne assez discrète pour aider Slade, mais autant chercher une aiguille dans une meule de foin.

Charéos s’assit sur une banquette de l’autre côté de la table et appela une serveuse d’un geste discret. Elle vint prendre leur commande et s’éclipsa aussitôt. Il était fréquent que les marchands concluent des affaires au fond d’un bar ou d’un club, et le personnel était habitué à respecter la discrétion de ces clients. La serveuse revint, déposa les rafraîchissements et s’éclipsa. Charéos continuait d’observer, son regard atterrit sur un groupe étrange.

Assis a l’écart et buvant leurs bières Corellienne. Il y avait un Wookie, une femelle Dévaronienne avec des lunettes de soudage sur la tête, petite de taille, mais totalement minuscule aux cotés du Wookie.

(6)

L’homme en revanche était noir comme Slade mais pas aussi musclé que lui. Il portait la marque des os sanglants, les pirates les plus redoutés de la bordure extérieure.

Charéos repéra deux Blaster dissimulés ainsi que des Scarabées Vong qu’on utilise comme projectile, des armes interdites, mais efficace. La troisième personne était une femelle Zeltron d’une beauté magnifique.

Elle avait un corps de rêve, une poitrine généreuse, des jambes musclées et un visage très beau. L’espèce Zeltron utilisait des phéromones pour séduire, mais sans cela elle était d’une demeurait une belle femme. Elle se leva et partit au bar avec les coupes vides de ses

camarades, sans perdre une seconde. Charéos se leva et se dirigea tout doucement vers elle, la Zeltron le remarqua aussitôt. « Bons réflexes ! » pensa Charéos. Elle le regarda un moment puis lui offrit son plus beau sourire.

— Salut mon beau, moi c’est Deliah Blue.

— J’aimerais discuter d’une affaire avec vous seule.

Charéos paya les verres de Deliah et l’invita à la rejoindre à sa table.

Deliah toujours souriante le suivit docilement, mais Charéos n’était pas dupe, le noir aux cheveux tressés les surveillait discrètement, de même que le Wookie et la Dévaronienne.

— Que puis-je pour toi ? Dit-elle en le regardant avec des yeux limpides.

— Sans faire de cérémonie ; je vais vous donner de l’argent pour aider un ami dans le besoin.

— De quel aide on parle ? Dit-elle méfiante.

(7)

— Rien de spécial, je veux que vous couchiez avec lui, tout simplement.

— Doucement mon beau ! Murmura-t-elle d’une voix menaçante. Premièrement je ne fais pas ce boulot, si vous cherchez de la distraction je vous recommande une Twi lek dorée, il y en a une ici et se donne pas chère.

— Peut être bien, mais vous serez parfaite. De plus je suis prêt à vous payer une grosse somme. Dites moi votre prix !

— Je suis trop chère, mon chéri, répliqua-t-elle froidement

— Combien vous voulez ? Répéta Charéos froidement.

Deliah se tut et réfléchit un moment, puis haussa les épaules.

— C’est un humain ?

— Oui et il est très malade et…

— Je refuse de coucher avec un malade. Lâcha-t-elle.

— Il n’est pas malade et tu n’as aucune raison de t’inquiéter.

En quelques mots il lui raconta tout, il le devait bien a ce cette femme. Les Sith, le sacrifice, et la mort de Saraï. Après cela elle garda le silence un moment puis :

(8)

— Qu’attends-tu de moi ?

— Je veux que tu joues le rôle de Saraï, elle seule peut le ramener a la réalité, il est perdu dans le vide.

— Il t’en coûtera cinq mille crédits.

— Je t’en donne dix mille, cinq maintenant et le reste une fois le travail terminé, et sans en parler a personne, pas même a tes camarades. Marché conclu ?

— Dix mille maintenant, plus cinq une fois le travail terminé. Avec la promesse de ne jamais me contacter pour un autre… patient malade. Ajouta-elle avec mépris.

Il déposa les crédits et Deliah les compta puis opina du chef. Charéos poussa un soupir soulagé.

— Viens avec moi !

Une heure plus tard, alors que la lune était haute dans le ciel, ils entrèrent dans la grotte. Yara était au chevet de Slade puis jeta un regard glacial à Deliah qui l’ignora totalement. Elle aperçu le Koruun allongé sur un matelas de fortune. Il était maigre mais avait une robuste constitution physique. Ses épaules étaient énormes. Une large poitrine, des muscles pectoraux bien

développés, et de gros biceps. Son cou était épais et bien protégé par ses trapèzes gonflés. Un Beau brin d’homme que Deliah trouva aussitôt a son goût. Elle regarda le maître d’arme et l’Arkanienne et leur fit signe de sortir.

Mais Charéos lui toucha le bras.

« Fais de ton mieux, l’enjoignit-il, car il est cher à mon coeur.

(9)

Deliah ne répondit pas mais hocha la tête. Yara se leva a contre cœur et passa devant la

Zeltron sans la regarder. Charéos jeta un dernier coup d’œil à son ami puis sortit aussi. Une fois seule, Deliah avança jusqu'à à lui. Puis commença à enlever son débardeur, puis arracha son soutien gorge d’un geste sec et fit jaillir ses seins. Elle enleva ensuite ses bottes, puis fit descendre son pantalon en tortillant des hanches, puis enleva son string et s’allongea toute nue à côté du malade. Il était glacé. Elle lui prit le pouls au niveau du cou, et constata que son cœur battait toujours, même si ce n’était que faiblement. Elle se serra contre lui, enroula sa jambe droite autour des cuisses musclées, et caressa la poitrine de Slade. Elle sentait que le corps de l’homme se nourrissait de sa chaleur, mais il restait désespérément immobile. Elle lui frôla la joue du bout des lèvres tandis que sa main descendait le long de son abdomen. Elle l’embrassa doucement sur les lèvres, les effleurant de la langue.

Elle ne pouvait pas faire grand-chose d’autre. La journée avait été longue et, épuisée, elle se demanda s’il ne valait pas mieux qu’elle se rhabille et qu’elle réclame les cinq milles crédits qui lui étaient dues. Mais son regard se porta de nouveau sur le visage aux traits creusés et aux yeux enfoncés dans leurs orbites. Qu’est-ce que le maître d’arme avait dit, déjà ? Que Slade avait perdu la femme de sa vie et qu’il était incapable de l’oublier ? Espèce d’idiot, fit-elle par- devers elle. Cela nous arrive à tous. Mais il faut apprendre à oublier, à ignorer la douleur.

Que pouvait-elle faire d’autre ? Elle se rapprocha de lui.

« Je t’aime », chuchota-t-elle à son oreille.

L’espace d’un instant, il resta sans réaction, puis il laissa échapper un soupir presque inaudible. Deliah se frotta contre lui, caressant son bas-ventre et l’intérieur de ses cuisses.

« Je t’aime », répéta-t-elle à voix haute.

Une nouvelle fois, il grogna, et elle le sentit bouger

(10)

« Viens à moi, l’appela-t-elle. Viens… à Saraï. »

Le corps de Slade fut prit d’un spasme.

— Saraï ? Murmure-t-il d’une voix faible.

— Je suis là, le rassura-t-elle.

Il roula sur le côté, l’attira à lui et l’embrassa avec une passion que Deliah n’avait pas connue depuis longtemps. Elle se sentit presque excitée. Il se mit à la caresser, à la frôler de ses doigts. Il avait les yeux grands ouverts mais le regard perdu dans le vide, et ses joues étaient baignées de larmes.

— Tu es vivante, gémit-t-il.

Deliah l’attira sur elle et le guida en nouant ses mollets autour de ses cuisses. Il la pénétra et cessa tout mouvement. Il l’embrassa délicatement, agaçant ses lèvres à coups de langue. Puis il se mit à bouger, lentement, selon un rythme millénaire. Deliah perdit tout sens du temps et, malgré elle, elle sentit naître une excitation qu’elle croyait disparue à tout jamais.

Ils étaient baignés de sueur et elle sentit qu’il allait jouir, mais il se retira d’elle. Il l’embrassa sur les seins, descendit sur son ventre plat. Elle ferma les yeux et gémit en se cabrant violemment. Son orgasme prit la forme d’une série de spasmes presque douloureux. Quand elle retomba enfin sur le matelas, elle sentit qu’il la couvrait de nouveau.

Leurs lèvres fusionnèrent et, contre toute attente, Deliah sentit le plaisir renaître, jamais elle n’a connu cela avec ses amants, cet homme lui faisait l’amour avec passion et lui donnait du plaisir sans demander rien en retour, Deliah aussi se donnait a lui avec fougue. Elle le serra contre elle, sentant la tension qui l’habitait alors qu’il se laissait emporter par la passion. Le plaisir fut plus fort encore que la première fois et elle ne put retenir un cri qu’elle n’entendit même pas.

Puis elle le sentit jouir à son tour et il s’effondra sur elle.

(11)

Elle resta immobile un moment, puis le repoussa doucement. Il roula sur le dos et elle vit qu’il avait les yeux fermés. Elle se demanda s’il était mort, mais constata que sa respiration était revenue régulière. Son pouls était fort.

Plusieurs minutes elle resta allongée aux cotés du dormeur, elle l’observait en silence puis se leva et s’habilla. Dehors elle trouva Charéos et Yara assis autour d’un feu de camps, elle prit place sans rien dire.

— Tu veux boire un peu d’eau ? Lui propose-t-il sans lever les yeux.

— Oui.

Elle but une grande gorgée, puis rendit la gourde au maître d’arme.

— Je crois qu’il vivra. Déclare-t-elle avec un sourire crispé.

— Je m’en suis douté, à cause du bruit.

— Il a cru que j’étais Saraï. Dit-elle tristement, si seulement c’était vrai.

— Ça ne l’est pas, explose Yara de colère. Prenez votre argent et partez.

Deliah regarda la fillette avec froideur.

(12)

— C’est quoi ton problème ? J’ai fais ce que vous m’avez demandé de faire.

— Oui ! Eh bien merci, et au revoir.

Celle fois Deliah se leva d’un bond et s’apprêta à gifler l’Arkanienne mais Charéos s’interposa à temps pour calmer les deux furies.

— Il suffit maintenant ! Deliah a raison, elle a fait ce qu’on lui y a demandé de faire. Tu n’as pas à lui manquer de respect.

Puis il regarda la Zeltron avec sévérité.

— Je vais te raccompagner à Dreshdae et te donner le reste de ton argent. Ça vaut ce que ça vaut mais… merci pour ton aide.

— Remerciez-moi en me payant ce que vous me devez. Dit-elle froidement.

Charéos lui montra le chemin jusqu’au speeder et Deliah après avoir jeté un dernier coup d’œil a la grotte. Suivit le maître d’arme, son cœur battait la chamade et le visage de Slade ne cessait de lui revenir en tête.

Publié sur Fanfictions.fr.

Voir les autres chapitres.

Les univers et personnages des différentes oeuvres sont la propriété de leurs créateurset producteurs respectifs.

Ils sont utilisés ici uniquement à des fins de divertissement etles auteurs des fanfictions n'en retirent aucun profit.

2022 © Fanfiction.fr - Tous droits réservés

Références

Documents relatifs

Le vendredi 25 août 1944, à 15h 30, le général Philippe Leclerc de Hauteclocque (43 ans) reçoit à Paris, devant la gare Montparnasse, la capitulation des troupes d’occupation de la

La houle me fait rouler comme un pantin, je viens encore m’écraser avec fracas contre la paroi rocheuse puis elle m’emporte à nouveau vers le fond et je ne sais absolument pas dans

Je sentais bien qu'elle était contrariée de laisser Nastu et Lisana ensemble, mais bon, j'ai pas besoin d'elle pour longtemps.. Puis, de toute façon Natsu ne pense qu'à elle, donc

Grâce à la générosité de donateurs comme vous, Centraide a amassé et investi plus de 700 000 $ par moyen de l’initiative Après la tempête afin de répondre aux

Cersei pouvait même affirmer que ce Jaime lui avait fait été tout simplement indigne de l’amour qu’elle ressentait pour lui et que lui éprouvait pour elle?. « Tu m’as tourné

La croissance a été un peu plus faible qu’en 2002, l’excédent des nais- sances sur les décès ayant légèrement diminué (les naissances sont restées au même niveau, mais

Depuis 1993, les agents de santé, le personnel infi rmier et les superviseurs villageois ont bénéfi cié d’une formation en matière d’éducation et de conseil relatifs au

• Moi aussi votre grâce, j’ai ouïe dire que vous être une jeune femme de bien tout comme notre bien aimé roi, que vous vous êtes battue pour nous à Lordearon.. Vous