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Glossaire des pictogrammes utilisés

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

ß

Panneau AUTOROUTE

Repère les résumés de chapitres, de paragraphes, …

Panneau ATTENTION

Indique les procédures présentant un risque (en cours d'installation, de manipula- tion ou de modification, …)

Panneau INDICATEUR "Exemple"

Repère les exemples pratiques (techniques de saisie, …)

Panneau INTERDICTION

Repère les démarches ou actions STRICTEMENT INTERDITES

Panneau STOP

Signale les remarques importantes, le lecteur doit lire attentivement le texte avant de continuer

MAIN

Signale les remarques d'ordre général, les notas, …

!

i

x

m

à

(2)
(3)

A

B

C

D

E

F

G

H

1. Présentation 3

2. Mise en œuvre 5

2.1. Préparation du PC 5

2.2. Installation sur le PC support d'ORPHEE 5

2.3. Support d'échange des fichiers 7

3. Exploitation 9

3.1. Lancement du logiciel 9

3.1.1. Mode interactif (indépendant d'ORPHEE) 9

3.1.2. Lancement à partir de l'atelier ORPHEE 9

3.2. Présentation de l'écran 9

3.3. Exporter 11

3.3.1. Procédures 11

3.3.2. Gestion des erreurs 12

3.4. Importer 13

3.4.1. Mode "Fichier prioritaire" 13

3.4.2. Mode "Application prioritaire" 13

3.4.3. Données importées 15

3.4.4. Procédures 16

3.4.5. Gestion des erreurs 18

3.5. Les différents menus 18

3.5.1. Menu Fichiers 20

3.5.1.1. Supprimer un fichier 20

3.5.1.2. Copier un fichier 20

3.5.1.3. Visualiser un fichier 20

3.5.2. Menu Environnement 21

3.5.2.1. Sous-menu Enregistrer répertoires par défaut 21 3.5.2.2. Sous-menu Rappeler répertoires par défaut 21

3.5.3. Menu Services 21

3.5.3.1. Visualisation du dernier fichier d'erreurs 21

4. Problème en cas de mise hors tension du PC

lors d'une session E.D.I.2100 23

ANNEXE A : Equivalence clavier Ann-A.1

ANNEXE B : Format Standard Gamme Ann-B.1

(4)
(5)

A

B

C

D

E

F

G

H

Dans la gamme ORPHEE-E.D.I. (Echange de Données Industrielles) le logiciel de référence commerciale E.D.I.2100 permet :

- d'automatiser le transfert des déclarations (import / export) entre ORPHEE et d'autres logiciels de votre atelier de développement logiciel,

- de stocker, sous forme ASCII, des déclarations,

- de transférer les déclarations d'une application ORPHEE vers une autre.

E.D.I.2100 vous permet de réaliser des gains de productivité (en évitant une double saisie de ces informations) et vous permet d'améliorer la cohérence des données utilisées dans les différents logiciels.

Le fichier intermédiaire est un fichier de type ASCII, conforme au format FSG© (Format Standard Gamme) défini et déposé par Schneider Automation.

Ce fichier peut être ensuite exploité par un autre logiciel acceptant le format, ou réutilisé pour une autre application ORPHEE.

D

G

Définition de la partie commande Conception programme

Déclaration des variables

Export de déclarations

de variables

F i c h i e r F S G

ORPHEE Outil externe X

Import de déclarations

de variables

Import de déclarations

de variables Export de déclarations

de variables

(6)

Le logiciel de référence commerciale E.D.I.2100 s'utilise avec WINDOWS.

Il s'installe sur le PC, sur le même répertoire qu'ORPHEE. Il se lance indépendam- ment d'ORPHEE ou à partir du menu OUTILS accessible sous la fenêtre "PRESEN- TATIONS DES APPLICATIONS" d'ORPHEE.

E.D.I.2100 V7.2 est compatible avec ORPHEE V7.2.

E.D.I.2100 V7.2 est conforme au format FSG© V.1.1.

(7)

A

B

C

D

E

F

G

H

2.1. Préparation du PC

Avant d'installer le logiciel EDI2100, vous devez avoir installé l'environnement Windows, puis le logiciel ORPHEE.

(Suite à une réinstallation du logiciel ORPHEE, vous devrez impérativement réinstaller le logiciel EDI2100.)

2.2.Installation sur le PC support d'ORPHEE

Se placer sur le répertoire où est installé le logiciel ORPHEE:

Exemple C:\>CD\ORPHEE r

Installer le contenu de la disquette sur ce répertoire en tapant la commande

"A:INSTALL" : soit sous DOS, soit en ouvrant la fenêtre "Exécuter" du menu "Fichier"

du Gestionnaire de programmes de Windows.

Exemple C:\ORPHEE\>A:INSTALL r

(8)

En cliquant sur Continuer, les écrans d'installation inter-actifs se succèdent jusqu'à ce que celle-ci soit terminée.

En cas de problème lors de l'installation, renouveler celle-ci.

Le logiciel crée par défaut un répertoire ROOT2100 dans le répertoire ORPHEE.

Ce répertoire est utilisé par EDI2100 pour stocker les fichiers créés.

Une fois le logiciel correctement installé, une icône EDI2100 apparait dans le groupe

"Modicon Télémécanique" du Gestionnaire de programmes de Windows.

Cette icône prend place à côté des autres produits TELEMECANIQUE installés précédemment (ORPHEE, ...).

(9)

A

B

C

D

E

F

G

H

2.3. Support d'échange des fichiers

Les échanges de fichiers auront lieu entre deux matériels de type différent ou de même type.

Le logiciel E.D.I.2100 n'inclut pas de fonctionnalité "réseau" de manière intégrée.

La connexion entre le poste de travail support de l'outil externe et le PC ORPHEE peut se faire sur tout type de réseau.

Exemple 1 : Liaison série

En l'absence de toute liaison entre matériels, il sera naturellement possible de transporter le fichier intermédiaire d'une machine à une autre par support magnéti- que, en tenant compte des types de support de chaque machine.

Exemple 2 : Liaison ETHERNET Station de

travail

liaison série

liaison série

PC ORPHEE

PC ORPHEE PC / PS

Exemple 2 : Liaison ETHERNET

ETHERNET

SUN VAX

PC / PS PC

ORPHEE

(10)
(11)

A

B

C

D

E

F

G

H

3.1. Lancement du logiciel

Il existe 2 modes de lancement

3.1.1. Mode interactif (indépendant d'ORPHEE)

1 - E.D.I.2100 étant installé, WINDOWS actif.

2 - Choisir l'icône EDI2100, dans le groupe "TELEMECANIQUE", et taper r ou effectuer un double clic sur cette icône.

3.1.2. Lancement à partir de l'atelier ORPHEE

1 - Lancer ORPHEE

2 - Se mettre dans l'écran "PRESENTATION DES APPLICATIONS".

3 - Sélectionner le menu "Outils" puis dans ce menu, la fonction E.D.I.2100.

3.2. Présentation de l'écran

L'écran principal du logiciel est alors affiché. A partir de cet écran, il est possible : - soit d'échanger des données (import ou export),

- soit d'accéder aux utilitaires par les menus de Fichiers, Environnement et Services.

EXPORTER >

EDI2100

Fichiers Environnement Services Mode d'import Mode d'export

< IMPORTER

Fichiers a2000.err a2000.out axe.err axe.sat cat2000.fsg cat5000.fsg couplon1.err couplon1.fsg

f:\essai\fsg Répertoires

[• •]

[a2000]

[cat2000]

[cat5000]

[couplon1]

[appli1]

[appli2]

Répertoires [• •]

[-a-]

[-b-]

[-c-]

[-d-]

[-e-]

[-f-]

1

2

3 3

Liste des applications sous le répertoire sélectionné

(ex : depor) Applications

a2000 a5000 cat5000 couplon1 appliI1 appli2 appli3 appli4

f:\depor

Répertoire courant pour les applications

Répertoire courant pour les fichiers intermédiaires Liste des répertoires existants

sur le PC à partir du répertoire courant des applications

Liste des fichiers du répertoire courant

Listes des répertoires existants sur le PC à partir du répertoire courant des fichiers intermédiaires

(12)

Cet écran présente :

Dans sa partie gauche en haut, la liste des applications présentes dans le répertoire courant des applications spécifié en dessous de la liste des applica- tions; dans l'exemple f:\depor.

Ce répertoire sera désigné par la suite par "Répertoire des applications ORPHEE".

L'application sélectionnée est visualisée en inverse video.

Pour une installation ORPHEE Standard, le répertoire des applications ORPHEE est "SERVROOT".

Dans sa partie droite en haut, la liste des fichiers déjà présents dans le réper- toire courant défini à cet instant. Le fichier sélectionné est visualisé en inverse vidéo. Son nom est repris dans la fenêtre située au-dessous de la liste.

Remarque :

Il est impossible d'importer des données dans une application nouvelle ( non créée préalablement sous ORPHEE). C'est pourquoi il n'est pas possible de saisir directement un nom d'application dans la fenêtre de gauche, mais unique- ment de sélectionner dans la liste des applications existantes.

En revanche, il est normal d'exporter des données dans un nouveau fichier. Il est donc possible de selectionner la zone de saisie en dessous de la fenêtre des fichiers et de saisir un nom.

Si, au contraire, on sélectionne pour exporter des données un fichier existant, son ancien contenu est écrasé.

En bas de l'écran, à gauche et à droite, la liste des disques (A, B, C ,...) et des répertoires accessibles à partir du répertoire courant.

Les répertoires sont de la forme [nom du répertoire] , les disques sont de la forme [-nom du disque-]

Procédure de sélection d'un répertoire :

Pour sélectionner un répertoire, faire un double "clic" dans la liste des répertoi- res à sélectionner.

Pour remonter dans l'arborescence des répertoires cliquer sur [..] jusqu'à l'obtention du répertoire désiré.

Remarques :

Si le "Répertoire des applications ORPHEE" pointe sur un répertoire contenant effectivement des applications ORPHEE, la liste des applications dans la liste en haut et à gauche de l'écran principal est mise à jour.

Si le "Répertoire des applications ORPHEE" est déporté sur un répertoire extérieur au répertoire d'installation ORPHEE, son nom ne doit pas avoir plus de 8 caractères au total.

Exemple: f:\depor (soit 5 caractères en plus de la description de partition).

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m

2

3

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A

B

C

D

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F

G

H

3.3. Exporter

L'export de données consiste à générer un fichier ASCII intermédaire au Format Standard Gamme contenant les déclarations des variables d'une application ORPHEE.

La description du Format Standard Gamme (FSG) est fournie en Annexe.

Le fichier FSG contient les 3 sections suivantes : - début échange,

- déclarations, - fin échange.

3.3.1. Procédures

Il est possible d'effectuer un export complet ou partiel des variables.

A l'installation et en début de session d'utilisation du logiciel, le choix effectué par défaut est l'export complet.

Pour modifier ce choix, vous pouvez utiliser le menu "Mode d'export" qui vous permet de demander l'export des variables suivant la valeur de leur paramètre de partage. Cette valeur peut prendre 3 significations :

• la variable est dans la Table des Symboles (TDS)

• la variable est surveillée par ORPHEE-DIAG

• La variable est supervisée par un outil de supervision (exemple : Regard 1000) Lorsque aucun des critères n'est sélectionné, le logiciel exporte toutes les variables de l'application.

Lorsqu'au moins un critère est sélectionné, seules les variables répondant à ce ou ces critères sont exportées.

Sélectionner l'application dont on souhaite exporter les déclarations.

Exemple : a5000

Saisir le nom du fichier destinataire soit en cliquant dans la liste, soit en tapant directement son nom dans la fenêtre de saisie. L'extension .ERR est interdite.

Exemple : CAT5000.FSG

Rappel : Si on sélectionne un fichier déjà existant pour exporter des données, son ancien contenu sera écrasé après confirmation.

Le logiciel interdit la création de fichier résultant d'un export sous le répertoire des applications.

Il vous faut donc sélectionner un autre répertoire. Vous pouvez ensuite enregis- trer cette sélection par la fonction "Enregistrer répertoires par défaut" du menu

"Environnement".

L'export de données est alors activé par action sur le bouton "EXPORTER" de la fenêtre principale.

Cas de l'exemple : le contenu du fichier CAT5000.FSG est alors remplacé par la représentation FSG des déclarations de l'application A5000.

1

2

3

ß

(14)

EXPORTER >

EDI2100

Fichiers Environnement Services Mode d'import Mode d'export

< IMPORTER

Répertoires [• •]

[a2000]

[cat2000]

[cat5000]

[couplon1]

[appli1]

[appli2]

Répertoires [• •]

[-a-]

[-b-]

[-c-]

[-d-]

[-e-]

[-f-]

Applications a2000 a5000 cat5000 couplon1 appli1 appli2 appli3 appli4

f:\depor 1

2 2

Fichiers a2000.err a2000.out axe.err axe.sat cat2000.fsg cat5000.fsg couplon1.err couplon1.fsg

f:\essais\fsg 3

3.3.2. Gestion des erreurs

En cas d'erreur fatale (problème mémoire, problème d'écriture fichier, ... ) l'échange est interrompu et la fenêtre "erreur fatale" s'affiche.

Le fichier FSG n'est créé que si l'opération s'est complétement déroulée.

(15)

A

B

C

D

E

F

G

H

3.4. Importer

L'import de données consiste à récupérer les informations d'un fichier FSG pour les implanter dans une application ORPHEE existante.

Précisions :

En début d'import avec une application définie avec un mot de passe, celui ci est demandé à l'utilisateur par Message-Box identique à celle d'ORPHEE (sortie de la boite possible par un bouton "Annuler") .

Lors d'un échange avec modification de la base, l'application est rendue non transférable.

Il existe 2 modes d'import des variables : - le mode "fichier prioritaire",

- le mode "application cible prioritaire".

3.4.1. Mode "Fichier prioritaire"

Dans ce cas, les contenus (nom et paramètres) des variables du fichier écrasent ceux définis dans l'application.

Lorsqu'il y a conflit lié aux noms (constructeur et appellations) ou lié aux associations entre bits d'entrée (%IX) et bits monostables (%MX), l'E.D.I.2100 tente d'importer les définitions du fichier avec émission de WARNING.

Le conflit non résolu par le logiciel et entraînant la non prise en compte de la variable concernée est le suivant :

- d'une part, le nom constructeur courant existe dans la base avec une appellation différente,

- d'autre part, l'appellation qui lui est associée dans le fichier existe aussi dans la base avec un autre nom constructeur. Il s'agit d'une double définition.

Pour supprimer le conflit, vous devez effacer sous l'éditeur déclaration d'ORPHEE, la définition qui ne convient pas.

L'odre de définition des variables dans le fichier peut entraîner des résultats diffé- rents, en cas de définition multiple.

3.4.2. Mode "Application prioritaire"

L'import est traité systématiquement comme un ajout de nouvelles variables à une application. En cas de conflit, c'est l'application qui est la référence.

Dans ce mode les contenus des variables existantes dans la base sont systématiquement conservés, même si ceux du fichier sont différents.

m

(16)

Détection et résolution des conflits :

L'outil d'échange de données, dans ce mode, visualise les conflits en cas de double définition entre l'application ORPHEE et le fichier en entrée, et permet à l'utilisateur de les repérer (dans ORPHEE et dans le fichier en entrée).

Toute tentative d'import d'une variable dont l'appellation ou le nom constructeur sont déjà utilisés par d'autres variables provoque une erreur.

Exemples :

Dans la base : %IX100 CAPTHAUT Dans le fichier : %IX100 CAPTBAS

provoque une erreur de redéfinition d'appellation pour un nom constructeur donné.

La base n'est pas modifiée.

Dans la base : %IX100 CAPTHAUT Dans le fichier : %IX200 CAPTHAUT

provoque une erreur de redéfinition d'appellation pour un autre nom constructeur. La base n'est pas modifiée.

Dans la base : %IX100 CAPTHAUT Dans le fichier : %IX100 CAPTHAUT

%IX200 CAPTBAS

ne provoque pas de conflit, ni de message, la base est modifiée par l'ajout de

%IX200 CAPTBAS.

DOUBLE CONFLIT : une adresse et une appellation de la même voie du fichier sont déjà utilisées dans la base

Dans la base : %IX100 CAPTHAUT

%IX200 CAPTBAS Dans le fichier : %IX100 CAPTBAS.

L'outil travaille d'abord sur le nom constructeur, et détecte le conflit.

Une erreur de redéfinition d'appellation est émise, la base n'est pas modifiée.

Tout conflit sera enregistré dans le fichier des erreurs. Le message d'erreur précise la ligne du fichier contenant la source du conflit, ainsi que la variable en conflit.

Si, après consultation du fichier des erreurs, l'utilisateur décide de prendre en compte la déclaration du fichier déclenchant le conflit, il devra au préalable détruire la déclaration dans l'application ORPHEE.

x

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A

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C

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E

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G

H

3.4.3. Données importées

Toutes les informations contenues dans les variables ORPHEE peuvent être initialisées par l'outil d'échanges, ce sont : les champs adresse issus du nom constructeur, l'appellation, le libellé, la valeur initiale, minimale et maximale. Le nom constructeur et l'appellation sont automatiquement convertis en majuscules comme dans l'éditeur déclaration.

Les variables déclarées via cet outil devront bien sûr respecter les contraintes des variables ORPHEE. Le logiciel effectue donc les mêmes contrôles que l'éditeur déclaration d'ORPHEE.

Par exemple :

- Conformément à la méthodologie ORPHEE, si les premiers chiffres de l'adresse d'une variable sont des zéros, il n'est pas nécessaire de le préciser (%IX00131 = %IX131).

- Unicité du nom de variable et de l'appellation.

- Longueur des champs appellation et libellé :

. APPELLATION ou NOM SYMBOLIQUE limité à 8 caractères alphanumériques. (si le nom est plus long, cela provoquera un message et la variable ne sera pas importée),

. LIBELLE limité à 40 caractères alphanumériques. Si le champ libellé en entrée est plus long, il sera tronqué, et un warning le signalera dans le fichier des erreurs. La variable sera cependant importée.

- Validité de l'adresse du nom constructeur pour les variables d'entrées/sorties :

✦ en racks

n° de canal :

de 0 à 9 pour un APRIL7000, 0 pour un APRIL5000,

0 pour un APRIL3000 ou APRIL2000.

n° de rack :

de 0 à 6 pour un APRIL5000 ou APRIL7000, de 0 à 1 pour un APRIL3000,

0 pour un APRIL2000.

n° d'emplacement de la carte dans le rack : de 0 à 9 pour un APRIL5000/7000, de 0 à 8 pour un APRIL2000/3000.

n° de voie sur la carte : de 00 à 31.

✦ sur le bus FIPIO (pour un APRIL 5000 possédant cette liaison) n° de canal : 2,

n° de point de connexion : de 01 à 62, n° de voie de l'équipement : de 00 à 31.

Les variables internes à l'automate doivent respecter la définition d'intervalle de la MAP mémoire.

En outre, le logiciel contrôle le type d'automate déclaré dans la base avec celui déclaré dans le fichier. En cas de divergence il émet un warning.

- d'autres règles sémantiques sont définies avec le format FSG en Annexe.

(18)

3.4.4. Procédures

Sélectionner le fichier d'où l'on souhaite importer des données.

Exemple : CAT5000.FSG

Sélectionner l'application dans laquelle on souhaite importer les données.

Exemple : a5000

L'import de données est alors déclenché par action sur le bouton "IMPORTER"

de la fenêtre principale.

EXPORTER >

EDI2100

Fichiers Environnement Services

< IMPORTER

Répertoires [• •]

[a2000]

[cat2000]

[cat5000]

[couplon1]

[appli1]

[appli2]

Répertoires [• •]

[-a-]

[-b-]

[-c-]

[-d-]

[-e-]

[-f-]

Applications a2000 a5000 cat5000 couplon1 appliI1 appli2 appli3 appli4

f:\depor 2

1

Fichiers a2000.err a2000.out axe.err axe.sat cat2000.fsg cat5000.fsg couplon1.err couplon1.fsg

f:\essais\fsg 3

Un fichier d'erreurs, du nom du fichier, avec l'extension •ERR, est alors créé, parallèlement au déroulement de l'import.

Cas de l'exemple : cat5000.err

Il est nécessaire de créer l'application sous ORPHEE avant de pouvoir impor- ter des données.

L'E.D.I.2100 n'effectue pas de destruction de variable. Cette action reste à la charge de l'utilisateur. Il est rappelé qu'avec l'éditeur DECLARATION d'ORPHEE :

- On peut détruire une variable si elle n'est pas utilisée dans le code.

- Pour détruire une variable utilisée dans le code, il faut d'abord détruire toutes les citations de cette variable dans le code de l'application (la fonction "rechercher"

permet de les localiser). L'E.D.I.2100 n'exécute pas ces actions.

ß

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2

3

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A

B

C

D

E

F

G

H

Lorsque l'import se termine, l'E.D.I.2100 affiche une "Dialog Box" synthétisant le résultat de l'opération. Vous pouvez alors effectuer l'une des trois opérations suivan- tes :

1 - ABANDONNER les modifications

C'est l'équivalent d'une sortie sans sauvegarde d'un éditeur ORPHEE, c'est-à- dire, l'application cible est ramenée à son état d'avant l'import (toutes les modifi- cations sont abandonnées).

2 - VISUALISER le fichier détaillé du résultat

Cette opération vous permet, outre l'affichage des différents messages, d'imprimer le fichier complet si vous avez une imprimante connectée à votre ordinateur.

3 - ENREGISTRER les modifications.

Cette opération valide le résultat de l'import entraînant le passage de l'application cible en état "NON TRANSFERABLE".

(20)

3.4.5. Gestion des erreurs

Cohérence des données :

Les variables importées via l'E.D.I.2100 doivent respecter les normes ORPHEE au niveau de la syntaxe et de la taille (8 caractères pour l'appellation, 40 caractères pour le libellé).

Les noms constructeur et appellations sont convertis en majuscules.

Cohérence de l'application :

Pour garder à l'application toute sa cohérence et afin d'éviter les erreurs de manipu- lation, l'E.D.I.2100 demande systématiquement à la fin de l'import la validation des modifications apportées à l'application ORPHEE. On a donc la possibilité d'annu- ler l'échange, si le nombre d'erreurs est trop important par exemple.

Il sera, de toutes manières, impossible de casser la cohérence de l'application par le biais de l'utilisation de l'E.D.I.2100.

En cas d'interruption du processus d'import de données soit sur une erreur fatale soit sur un évènement extérieur (coupure secteur, reinitialisation ... ) les modifications de l'application sont ignorées. Le retour à l'état "avant échange" de l'application s'effec- tue dans ce cas automatiquement au début de la session suivante.

3.5. Les différents menus

Les différents menus permettent à l'utilisateur d'accéder aux "utilitaires" associés au logiciel.

Les menus disponibles sont : Dans le menu Fichiers : - Supprimer un fichier.

- Copie d'un fichier sur une autre partition ou une disquette, - Visualiser un fichier quelconque préalablement sélectionné.

Dans le menu Environnement :

- Enregistrer les valeurs courantes des répertoires comme valeurs par défaut de l'environnement.

- Rappel des répertoires par défaut précédemment définis.

Dans le Menu Services :

- Visualiser/Imprimer le dernier fichier d'erreurs.

!

(21)

A

B

C

D

E

F

G

H

Dans le Menu Mode d'import :

- Définir le fichier comme référence c'est-à-dire prioritaire par rapport à la base de l'application.

- Définir l'application comme référence c'est-à-dire prioritaire par rapport aux don- nées du fichier (valeur par défaut).

Dans le Menu Mode d'export :

- Sélectionner toutes les variables de l'application (valeur par défaut).

- Sélectionner une partie des variables suivant leurs paramètres de partage.

Nota :

Ces sélections sont valides pendant une même session.

Pour chaque nouvelle session, l'E.D.I.2100 prend les valeurs par défaut.

m

(22)

3.5.1. Menu Fichiers

3.5.1.1. Supprimer un fichier

Sélectionner le fichier à supprimer dans la fenêtre "fichiers" ou saisir son nom.

Sélectionner le sous-menu "Supprimer" dans le menu Fichiers, la fenêtre suivante apparaît :

ATTENTION :

Les fichiers intermédiaires n'ont pas d'extension particulière permettant de les identifier. En conséquence la commande de suppression peut aussi détruire tout autre fichier.

On évite la suppression en cliquant sur le bouton annuler.

3.5.1.2. Copier un fichier

Sélectionner le fichier à copier dans la fenêtre "fichiers" ou saisir son nom.

Sélectionner le sous-menu "Copier" dans le menu Fichiers, la fenêtre suivante apparaît, indiquer le nom du fichier destinataire :

On peut définir un fichier cible situé hors du répertoire courant en spécifiant son chemin d'accès complet dans le cadre de saisie.

Si la fenêtre "Vers" n'est pas renseignée, aucune copie n'est possible. Les autres erreurs possibles sont celles du système d'exploitation.

3.5.1.3. Visualiser un fichier

Sélectionner un fichier dans la fenêtre "fichiers" ou saisir son nom.

Le même service peut être obtenu en "double cliquant" sur le fichier.

!

SUPPRIMER Suppression du fichier : axe.err Confirmez-vous ?

ANNULER OK

COPIER

Copier : axe.err Vers : a:\axe.bis

ANNULER OK

(23)

A

B

C

D

E

F

G

H

3.5.2. Menu Environnement

Le menu Environnement permet à l'utilisateur d'accéder aux sous-menus suivants:

3.5.2.1. Sous-menu Enregistrer répertoires par défaut

Cette commande permet d'enregistrer les répertoires "Répertoire des applications ORPHEE" et "Répertoire des fichiers" obtenus selon la procédure décrite précédem- ment.

Ce sont ces répertoires qui seront affichés lors d'une nouvelle session "E.D.I.2100"

ou lors de l'utilisation du sous menu "Rappeler répertoires par défaut".

Nota : L'utilisation de cette commande écrase les valeurs par défaut précédentes.

Une confirmation est demandée à l'utilisateur.

3.5.2.2. Sous-menu Rappeler répertoires par défaut

Cette commande permet de rappeler le "Répertoire des applications ORPHEE" et

"Répertoire des fichiers", enregistrés via le sous menu "Enregistrer répertoires par défaut".

3.5.3. Menu Services

3.5.3.1. Visualisation du dernier fichier d'erreurs

En activant cette fonction du menu "Services", l'utilisateur visualise la liste des erreurs du dernier échange.

On peut alors imprimer le fichier (bouton "Imprimer"), ou retourner sur l'écran princi- pal (bouton "Annuler").

Nota : Le paramétrage de l'imprimante (format de papier ...) se fait à partir du menu

"Personnalisation d'ORPHEE" dans l'écran d'accueil.

Vous pouvez aussi avoir le même service en "double cliquant" sur le fichier d'erreur.

m

(24)
(25)

A

B

C

D

E

F

G

H

Si le PC est mis hors tension pendant une session IMPORT de l'E.D.I.2100 la base de données peut se trouver dans un état incohérent.

Lors du lancement d'ORPHEE ou de l'E.D.I. en mode interactif, la base est remise automatiquement dans son état d'avant la session.

Le SERVROOT déporté pris en compte sera celui utilisé par E.D.I.2100 avant la mise hors tension.

(26)
(27)

A

B

C

D

E

F

G

H

Annexe A : Equivalences clavier

(28)
(29)

A

B

C

D

E

F

G

H

1. Activation d'un menu

Il faut appuyer sur la touche a puis sur la lettre soulignée dans l'intitulé du menu.

2 - Activation d'un sous-menu

Se placer dans le menu choisi via la procédure précédente puis appuyer sur la lettre soulignée dans l'intitulé du sous-menu.

3 - Sélection dans la liste

Se positionner dans la liste par la touche † se déplacer de ligne à ligne par les touches = /.

Faire la sélection avec la touche s.

4 - Saisie du nom d'un fichier

Se positionner dans le champ texte concerné en utilisant la touche † pour se déplacer.

Saisir le nom.

5 - Lancer l'export ou l'import

Se positionner sur le bouton en utilisant la touche † pour se déplacer.

Appuyer sur la touche s.

L'export et l'import peuvent aussi être lancés par la touche a E ou a I.

6 - Terminer la session E.D.I.2100

Appuyer simultanément sur a et ’

(30)
(31)

A

B

C

D

E

F

G

H Annexe B : Format Standard

Gamme

(32)
(33)

A

B

C

D

E

F

G

H

1. Introduction Ann-B.5

2. Formalisme de représentation : BNF (Backus Naur Form) Ann-B.7

2.1. Conventions de la BNF Ann-B.7

2.2. Conventions du format standard Gamme Ann-B.7

2.2.1. Les caractères réservés Ann-B.7

2.2.2. Les caractères ignorés Ann-B.7

2.2.3. Les caractères séparateurs Ann-B.8

2.2.4. Le jeu de caractères Ann-B.8

2.2.5. Les mots clés Ann-B.8

2.2.6. Les mots réservés ORPHEE Ann-B.9

2.2.7. La factorisation des règles Ann-B.9

2.2.7.1.Les définitions lexicales Ann-B.9

2.2.7.2. Les règles syntaxiques Ann-B.9

2.2.7.3. Les règles semantiques Ann-B.9

2.3. Règles d'écriture et d'analyse générale Ann-B.10

3. Structuration de l'information échangée Ann-B.13

3.1. Les blocs Ann-B.13

3.2. Les sous-blocs Ann-B.13

4. Structure générale d'un échange Ann-B.15

4.1. Les blocs de début et de fin d’échange Ann-B.15

4.2. Les blocs entités application Ann-B.15

4.3. Les sous-blocs Ann-B.16

4.4. Synoptique de la structure générale Ann-B.17

5. Définitions lexicales des éléments de base ORPHEE Ann-B.19

5.1. Introduction Ann-B.19

5.2. Conventions pour les expressions régulières, par des exemples Ann-B.19

5.3. Définitions lexicales Ann-B.20

6. Bloc début et fin d'échange Ann-B.21

6.1. Liste des mots clés Ann-B.21

6.2. BNF du "bloc début échange" Ann-B.22

6.3. BNF du "bloc fin échange" Ann-B.24

7. Blocs et sous-blocs entité Déclaration Ann-B.25

7.1. Conventions Ann-B.25

7.2. Répartition en sous-blocs des différents type de variables Ann-B.26

7.2.1. Sous-bloc Déclaration 1 : SBD1 Ann-B.26

7.2.2. Sous-bloc Déclaration 2 : SBD2 Ann-B.26

7.2.3. Sous-bloc Déclaration 3 : SBD3 Ann-B.27

7.2.4. Sous-bloc Déclaration 4 : SBD4 Ann-B.27

7.2.5. Sous-bloc Déclaration 5 : SBD5 Ann-B.27

7.2.6. Sous-bloc Déclaration 6 : SBD6 Ann-B.27

7.2.7. Sous-bloc Déclaration 7 : SBD7 Ann-B.28

7.3. Définitions des sous-blocs déclarations et leurs types Ann-B.29

7.4. Liste des mots clés Ann-B.30

7.5. BNF du bloc entité Déclaration Ann-B.31

8. Le jeu de caractères rangé par code de caractère Ann-B.37

(34)
(35)

A

B

C

D

E

F

G

H

E.D.I.2100 :

- Garantit que les données échangées puissent être ordonnées et transmises indépendamment de leur type et de leur rang dans le type.

- S’assure que l’application construite dans le cas d’un import dans ORPHEE est cohérente au sens ORPHEE.

- Respecte, autant que possible, les recommandations du CCGA concernant les échanges Logiciel - Logiciel. (Rapport d’Activités période Janvier 1989 Mars 1990, Fascicule 4 : Standard d’échange Logiciel-Logiciel Document Provisoire).

- Respecte, autant que possible, les recommandations de la norme CEI 65A Part 3.

(36)
(37)

A

B

C

D

E

F

G

H

La représentation BNF est retenue pour décrire la syntaxe des informations échan- gées.

2.1. Conventions de la BNF

::= est défini comme :

| ou,

[ ] répétition 0 ou 1 fois, {} répétition 0 ou plusieurs,

<> délimitent un élément non terminal.

2.2. Conventions du format standard Gamme

Les caractères spéciaux utilisés dans la grammaire comme séparateurs, comme début de bloc, de sous-bloc ou de champs sont des caractères ASCII imprimables.

Ils peuvent de ce fait apparaître dans les libellés, commentaires et valeurs initiales des chaînes de caractères.

On définit trois types de caractères spéciaux : - les caractères réservés

- les caractères ignorés, - les caractères séparateurs.

2.2.1. Les caractères réservés

Le seul caractère réservé utilisé dans la définition de la grammaire est le

" guillemet (code ASCII 22H).

Il permet de mettre des caractères spéciaux, y compris des guillemets, dans une donnée.

2.2.2. Les caractères ignorés

Ce sont des caractères neutres et inopérants dans la syntaxe du format Standard Gamme. Ils permettent de structurer le texte suivant le besoin afin de faciliter sa compréhension.

Il s’agit des caractères :

- blanc ou espace (SP) (code ASCII "20H") - retour chariot (RC) (code ASCII "0DH") - nouvelle ligne (LF) (code ASCII "0AH") - tabulation (TAB) (code ASCII "09H")

(38)

Ces caractères peuvent aussi apparaître dans : - les libellés,

- les commentaires,

- tous les textes libres de la grammaire.

Ils doivent alors être protégés (encadrés) par des guillemets.

2.2.3. Les caractères séparateurs

Les séparateurs permettent d’assurer une séparation lexicale dans la syntaxe des blocs, sous-blocs et champs.

@ a enroulé (code ASCII "40H")

# dièze (code ASCII "23H") , virgule (code ASCII "2CH")

; point virgule (code ASCII "3BH") [ crochet gauche (code ASCII "5BH") ] crochet droit (code ASCII "5DH") Ces caractères peuvent aussi apparaître dans : - les libellés,

- les commentaires,

- tous les textes libres de la grammaire,

- les valeurs initiales des chaînes de caractères.

Ils doivent alors être protégés par des guillemets.

Le caractère # est aussi utilisé dans les constantes hexadécimales 16# qui doivent donc aussi être protégées par des guillemets.

2.2.4. Le jeu de caractères

Le jeu de caractères utilisé dans le format Standard Gamme est celui illustré en fin du présent document.

2.2.5. Les mots clés

Les mots clés du format Standard Gamme commencent par :

@ pour le niveau bloc,

# pour le niveau sous-bloc,

: dans un sous-bloc ( pour la réprésentation graphique).

(39)

A

B

C

D

E

F

G

H

2.2.6. Les mots réservés ORPHEE

Il s’agit des Identificateurs prédéfinis dans ORPHEE et réservés pour ORPHEE.

Les mots réservés d’ORPHEE n’interviennent pas dans la définition du Format Standard Gamme puisque ce sont des données.

Cependant, pour faciliter l’analyse (surtout semantique), on fournit dans la descrip- tion du Format un formalisme permettant de les distinguer des autres identificateurs ORPHEE (appellations client).

Le formalisme retenu est de faire préceder chaque mot clé par le caractère ! (point d’exclamation) dans le fichier généré.

2.2.7. Factorisation des règles

2.2.7.1. Les définitions lexicales

Une définition lexicale permet de décrire un terminal, ou élément lexical, qui n’est pas un mot clé.

Un tel terminal est référencé dans la BNF sous la forme <TERMINAL> (en MAJUS- CULE et en Italique).

Ces définitions sont applicables quelque soit la section d’ORPHEE considérée et sont donc complémentaires aux spécifications des différentes sections.

2.2.7.2. Les règles syntaxiques

Elles sont constituées par les BNF des différentes sections d’ORPHEE

2.2.7.3. Les règles sémantiques

Elles correspondent essentiellement aux contrôles à effectuer pour respecter les caractéristiques ORPHEE. Elles sont placées à côté des règles syntaxiques.

(40)

2.3. Règles d'écriture et d'analyse générale

Règle sur les éléments terminaux entre guillemets :

Lorsqu’un texte apparaît entre " " comme élément terminal de la BNF, il sera repro- duit sans les " ".

Règle n°1 sur les guillemets :

Tous les caractères situés entre le " (guillemet) de début et le " (guillemet) de fin sont pris tels quels et aucune signification lexicale ne leur est affectée.

Par exemple, seront encadrés entre " (guillemets) les éléments suivants, qui présen- tent des risques pour la syntaxe Format Standard Gamme :

- les libellés, - les commentaires,

- tous les textes libres de la syntaxe Format Standard Gamme, - les valeurs initiales des chaînes de caractères,

- les constantes hexadécimales 16#

Règle n°2 sur les guillemets (généralisation de la règle n°1) :

Tout champ dans un fichier au format standard gamme peut être protégé (encadré) par des guillemets.

Règle n°3 sur les guillemets :

Pour qu’un caractère " (guillemet) soit considéré comme une donnée, celui-ci doit être doublé.

Ces deux caractères identiques sont accollés.

Règle n°4 sur les guillemets :

Pour qu’un caractère ignoré ou un caractère séparateur soit considéré comme une donnée, il doit être inclus dans une chaîne de caractères protégée par des guille- mets.

Règle n°5 sur les guillemets :

Une chaîne de caractères entourée de guillemets peut être coupée en plusieurs lignes (pour la lisibilité à l’écran et sur papier). Le passage à la ligne (LF + CR) doit être précédé et suivi d’un guillemet pour ne pas être considéré comme une donnée.

Dans ce cas, la définition lexicale donnée pour une chaîne <TEXTE_LIBRE> est insuffisante puisque qu’elle ne récupérerait que la première ligne (arrêt au 1er guil- lemet non doublé). Il incombe à l’analyseur de récuperer toutes les lignes, d’enlever les guillemets délimiteurs et de concaténer les lignes.

(41)

A

B

C

D

E

F

G

H

Règle sur les mots clés :

Un mot clé ne peut comporter le caractère Espace. Si besoin, on utilisera le carac- tère Underscore.

Ex : "#OPTION_TDS"

Règle sur les champs facultatifs :

Lorsqu’une information facultative n’est pas renseignée, le champ correspondant est vide, mais les séparateurs doivent être mis. (respect de la BNF).

Exemple d’une Entrée TOR sans bit associé.

#SBD2, TOTO, %IX100,,,0, "Bits Entrée TOR sans bit associé".

(42)
(43)

A

B

C

D

E

F

G

H

Les moyens pour structurer l’information échangée sont les suivants :

3.1. Les blocs

Il faut différencier :

• D’une part les Blocs de Début et de Fin d’Echange Ils permettent de distinguer le début et la fin de l’échange.

• D’autre part les Blocs Entité relatifs à l’application proprement dite.

Ils permettent :

- de connaître le type de chaque entité de manière explicite, - de délimiter les informations relatives à chaque entité.

Cas particulier :

La solution retenue pour l'entité Déclarations tient compte de sa nature particulière : - diversité des éléments déclarables,

- volume important de l’information correspondante aux éléments déclarés dans une application,

- intêret de décrire l’ensemble des éléments déclarables d’une application de ma- nière modulaire et flexible.

La fin d’un bloc est atteinte lorsqu’on rencontre : - soit un délimiteur de bloc @,

- soit la fin de fichier.

3.2. Les sous-blocs

Ils sont destinés à identifier et à délimiter toute information élémentaire significative d’une entité dans un bloc.

La fin d’un sous-bloc est atteinte lorsqu’on rencontre : - soit un délimiteur de bloc @,

- soit un délimiteur de sous-bloc #, - soit la fin de fichier.

m

(44)
(45)

A

B

C

D

E

F

G

H

Cette structure comprend les trois parties suivantes dans cet ordre : 1 - le Bloc de Début d’Echange ,

2 - le ou les Blocs Entités Application, 3 - le Bloc de Fin d’Echange.

4.1. Les blocs de début et de fin d’échange

Lors d'un échange, on ne peut rencontrer qu'un seul bloc de début d’échange et un seul bloc de fin d’échange.

Ce sont des blocs obligatoires.

4.2. Les blocs entités application

Il y a un bloc entité par type d’entité. Ce sont des blocs entités typés.

L’ordonnancement des différents blocs entités dans un échange est libre.

Aucune contrainte d’ordre n’est imposée.

Aucun bloc entité n’est obligatoire dans un échange.

(46)

D’une manière plus détaillée, la partie 2 peut comprendre elle-même les informations suivantes :

- 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités Déclarations - 0, 1 Bloc Historique de l’application

- 0, 1 Bloc Identité de l’application - 0, 1 Bloc Configuration RACK - 0, 1 Bloc Implantation des E/S Rack

- 0, 1 ou plusieurs Blocs Configuration CARTE - 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités GM

- 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités GE - 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités XE - 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités TT - 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités TG - 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités TR - 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités ES - 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités EI - 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités EP - 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités CC - 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités CF

- 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités Régulation

- 0, 1 ou plusieurs Blocs Entités Trajectoires d’Axes - 0, 1 ou plusieurs Blocs Entites BFU Relais

- 0, 1 ou plusieurs Blocs Entites BFU LTS

- 0, 1 ou plusieurs Blocs Tables de Visualisation dynamique de variables - 0, 1 ou plusieurs Blocs Tables de Forçage de variables

BNF : voir document spécifique à chaque type d’entité.

4.3. Les sous-blocs

Les sous-blocs sont tous de même niveau, c'est-à-dire qu’il n’y a pas d’imbrication de sous-blocs.

(47)

A

B

C

D

E

F

G

H

4.4. Synoptique de la structure générale

Bloc Entité de type i Sous-Bloc Entité il

Sous-Bloc Entité in Bloc de début d'échange

• •

Bloc Entité de type j Sous-Bloc Entité jl

Sous-Bloc Entité jm

• •

• •

Bloc de fin d'échange

(48)
(49)

A

B

C

D

E

F

G

H

5.1. Introduction

Par souci de compacité, on utilise les expressions régulières (enrichies par des notations LEX & YACC) pour définir les éléments lexicaux. Cela permet aussi de donner des définitions qui peuvent être saisies simplement pour des outils automati- ques comme LEX & YACC.

Une définition comporte trois parties : - l’élément lexical mis entre chevrons < >

- la définition formelle de l’élément lexical - la description informelle de la définition

Une définition lexicale permet de décrire un terminal qui n'est pas un mot clé.

Les définitions lexicales correspondent aux spécifications des éléments de base d'ORPHEE et sont donc valables quelque soit la section considérée.

Un tel terminal est utilisé dans la BNF sous la forme <TERMINAL> (en MAJUSCULE et en italique).

Les règles syntaxiques peuvent faire référence à des définitions lexicales d'éléments de base d'ORPHEE. Ces dernières sont déjà définies dans les chapitres précédents.

Dans ce cas, la référence se présente en MAJUSCULE et en italique.

Exemple : <NOMBRE>.

Par Convention, les <TEXTE_LIBRE> doivent être protégés par des guillemets (ceux-ci ne sont plus mis dans les BNF).

5.2. Conventions pour les expressions régulières, par des exemples :

\n : Newline

\r : Carriage Return

\t : Tab

\" : Guillemet (le \ permet de distinguer un caractère de l’expression régulière d’un caractère réservé)

"16#0D" : chaîne de caractères

[^0-9] : tout caractère qui n’est pas un digit (emprunté de LEX&YACC) [ 0123456789]

ou [0-9] : expression régulière désignant un digit quelconque (de 0 à 9) [a-zA-Z] + : répétition d’une lettre quelconque 1 ou plusieurs fois

[a-zA-Z] * : répétition d’une lettre quelconque 0 ou plusieurs fois

([a-z] | [A-Z] ) : lettre minuscule OU lettre majuscule : regroupement de deux expressions régulières pour donner une seule définition {DIGIT} : référence à l’expression régulière nommée DIGIT -? : 0 ou 1 fois le caractère - (emprunté de LEX& YACC)

(50)

5.3. Définitions lexicales

Elément lexical Définition Formelle Description

<SPACE> [ \t] Espace ou Tab

<NL> [\n\r] LF ou CR

<LOWERCASE> [a-z]

<UPPERCASE> [A-Z] Lettre minuscule quelconque

Lettre majuscule quelconque

<ALPHA> ({LOWERCASE} | {UPPERCASE}) Lettre alphabétique quelconque

<DIGIT> [0-9] Digit décimal quelconque

<DIGITHEXA> [0-9a-fA-F] Digit hexadécimal quelconque

<ALPHANUM> ({ALPHA} | {DIGIT}) Caractère alphanumérique quelconque

<ALPHANUMSCORE> ({ALPHANUM} | _) Caractère alphanumérique quelconque ou Underscore

<GUILLEMET> ("\") Caractère réservé

<SIGNE> [+-] Signe PLUS ou MOINS

<IGNORE> ({SPACE} | {NL}) Caractère ignoré

<CONTROLE> [,\[\];#@] Caractère délimiteur

<VARIABLE_CEI> ("%"{ALPHA}[A-Za-z0-9.():]*) Nom CEId’entité ou de variable, y compris les éléments de table

<IDENTIFICATEUR> ({ALPHA}[A-Za-z0-9_]*) Tout identificateur accepté par Orphée autre qu’un nom CEI

<REEL> ({SIGNE}?{DIGIT}+"."{DIGIT}+

"E"{SIGNE}{DIGIT}+) Un Réel sous ORPHEE

<NOMBRE> ({SIGNE}?{DIGIT}+) Un nombre sous ORPHEE

<CONSTHEXA> ("16#"{DIGITHEXA}+) Une constante HEXA sous ORPHEE

<TEXTE_LIBRE> ({GUILLEMET}([^"] |"\"\")* toute séquence de caractères

{GUILLEMET}) (sauf le guillemet non doublé)

mis entre guillemets.

<DIESE> ("#")

<A_ROND> ("@")

<MR_ORPHEE> ("!") Le point d’exclamation en début de mot

permet de reconnaître les mots réservés ORPHEE

<IDENTIFICATEUR_ES> ([A-Za-z0-9_/>]*) Pour reconnaître le mnémonique d’un %ES

(51)

A

B

C

D

E

F

G

H

6.1. Liste des mots clés

REFERENCE DEFINITION

<Mot_Clé Bloc DEBUT ECHANGE > ::= "@DEBUT_ECHANGE"

<Mot_Clé Bloc FIN ECHANGE > ::= "@FIN_ECHANGE"

<Mot_Clé DATE> ::= "#DATE"

<Mot_Clé IDENTIFICATION> ::= "#IDENTIFICATION"

<Mot_Clé APPLICATION> ::= "#APPLICATION"

<Mot_Clé AUTOMATE> ::= "#AUTOMATE"

<Mot_Clé EXTENSION MEMOIRE> ::= "#EXTENSION_MEMOIRE"

<Mot_Clé MEMOIRE HAUTE CAPACITE>::= "#MEMOIRE_HAUTE_CAPACITE"

<Mot_Clé REGULATEUR> ::= "#REGULATEUR"

<Mot_Clé COMMENTAIRE > ::= "#COMMENTAIRE"

(52)

REGLES SYNTAXIQUES REGLES SEMANTIQUES

<Bloc Début Echange>::=

<Sous Bloc Début "Bloc Début Echange >

[<Sous Bloc Date>]

<Sous Bloc Identification>

<Sous Bloc Renseignements Application>

<Sous Bloc Automate>

[<Sous Bloc Extension Memoire>]

[<Sous Bloc Regulation>]

[<Sous Bloc Commentaire Echange>]

<Sous Bloc Début "Bloc Début Echange">::=

<Mot_Clé DEBUT ECHANGE>','

<N° Séquence>

<Sous Bloc Date>::=

<Mot_Clé DATE>','

<Date>'-'<Time>

<Sous Bloc Identification>::=

<Mot_Clé IDENTIFICATION>','

<Sigle Standard d’Echange Niveau Applicatif Série 1000>','

<Nom Produit Emetteur>'-'

<N° Version Emetteur>','

<Nom Produit Destinat.>'-'

<N° Version Minimale Destinat.>

<Sous Bloc Renseignements Application>::=

<Mot_Clé APPLICATION>','

<Nom Application>

<Sous Bloc Automate>::=

<Mot_Clé AUTOMATE>','

<Nom Automate>

<Sous Bloc Extension Memoire>::=

<Mot_Clé EXTENSION MEMOIRE>

|<Mot_Clé MEM HAUTE CAPACITE>

<Sous Bloc Régulation>::=

<Mot_Clé REGULATEUR>','

<Nombre de régulateur>

<Sous Bloc Commentaire Echange>::=

<Mot_Clé COMMENTAIRE>','

<TEXTE_LIBRE>

6.2. BNF du "bloc début échange"

Le sous-bloc "#COMMENTAIRE" du "bloc DEBUT ECHANGE" est l’équivalent du

"bloc-note" d’une application ORPHEE.

(53)

A

B

C

D

E

F

G

H

<Date> ::= <année>'-'<mois>'-'<jour>

<Time> ::= <heure>':'<minute>':'<seconde>

<N° Séquence> ::= <NOMBRE>

<jour> ::= <NOMBRE> en 2 chiffres

<mois>::=<NOMBRE> en 2 chiffres

<année>::=<NOMBRE> en 4 chiffres

<heure>::=<NOMBRE> en 2 chiffres

<minute>::=<NOMBRE> en 2 chiffres

<seconde>::=<NOMBRE> en 2 chiffres

<Sigle Standard d’Echange Niveau Applicatif Série 1000 > ::= SENA_SERIE_1000

<Nom Produit Emetteur> ::= <TEXTE_LIBRE>

<N° Version Emetteur> ::= <TEXTE_LIBRE>

<Nom Produit Destinat.> ::= <TEXTE_LIBRE>

<N° Version Minimale Destinat.> ::=

<TEXTE_LIBRE>

<Nom Application.> ::= <TEXTE_LIBRE>

<Nom Automate> ::= APRIL7000 |

APRIL5000 | Attention: Pas d’espace ni de Underscore

APRIL2000

<Nombre de régulateur>::= <NOMBRE>

(54)

6.3. BNF du "bloc fin échange"

REGLES SYNTAXIQUES REGLES SEMANTIQUES

<Bloc Fin Echange>::=

<Mot_Clé FIN ECHANGE>',' <Nombre Total Blocs Echangés>

<Nombre Total Blocs Echangés>::= <NOMBRE>

(55)

7.1. Conventions

- Bloc Entité Déclaration et BED sont des écritures équivalentes.

- Sous Bloc Déclaration de type i et SBDi sont des écritures équivalentes.

L’entité Déclarations d’une application ORPHEE peut-être décrite à l’aide de plu- sieurs BED.

L’ensemble des éléments déclarables d’une application doivent être décrits dans des BED.

Tout BED peut contenir des éléments d’application de natures différentes.

Tout élément d’application est décrit par un sous bloc déclaration typé.

Un SBDi déclare un élément d’application de type i en présentant les différentes informations qui le caractérisent dans un ordre préalablement défini et cohérent avec les possibilités d’ORPHEE.

Il y a autant de sous blocs déclarations typés qu’il existe de natures différentes d’éléments d’application déclarables disponibles sous ORPHEE.

L’ordre des sous blocs déclaration est libre.

Les caractéristiques (syntaxiques, sémantiques, fonctionnelles, opérationnelles,...) des différents éléments d’application énumérés ci-après, dans le cadre des Sous Bloc Déclaration, doivent être conformes à celles en vigueur dans le produit OR- PHEE.

m

(56)

7.2. Répartition en sous-blocs des différents types de variables

7.2.1. Sous-bloc Déclaration 1 : SBD1

Les élèments d’application concernés sont :

• entrées numériques : %IWn

%IDn

• bits d’étape : %GMn:Xi

%GEn:Xi

%XEn:Xi

• bits d’etats graphes : %GMn:ACT

%GMn:INA

%GMn:GIN

%GMn:GAC

%GEn:ACT

%GEn:INA

%GEn:GIN

%GEn:GAC

• bits débordements étapes : %GMn:MIN

%GMn:MAX

%GEn:MIN

%GEn:MAX

%XEn:MIN

%XEn:MAX

• bits mémoire simple : %MWn:Xi

%MDn:Xi

• mots débordement étapes : %GMn:NUM

%GEn:NUM

%XEn:NUM

7.2.2. Sous-bloc Déclaration 2 : SBD2

Les éléments d’application concernés sont :

• entrées TOR : %IXn

(57)

7.2.3. Sous-bloc Déclaration 3 : SBD3

Les éléments d’application concernés sont :

• bits mémoire simples : %MXn

%RXn

• sorties TOR : %QXn

• sorties numériques : %QWn

%QDn

• constantes numériques : %KMWn

%KHWn

%KMDn

%KHDn

%KFDn

7.2.4. Sous-bloc Déclaration 4 : SBD4

Les éléments d’application concernés sont :

• mots mémoire simples : %MWm

• mots mémoire doubles : %MDn

• flottants : %FDp

7.2.5. Sous-bloc Déclaration 5 : SBD5

Les éléments d’application concernés sont :

• chaînes de caractères : %CHq(0..c)

• constantes chaines de caractères : %KCHn(0..m)

7.2.6. Sous-bloc Déclaration 6 : SBD6

Les éléments d’application concernés sont :

• tables de bits : %MXn(0..k)

%RXn(0..l)

(58)

7.2.7. Sous-bloc Déclaration 7 : SBD7

Les éléments d’application concernés sont :

• tables de mots : %MWn(0..N)

%MDp(0..M)

%FDr(0..L)

(59)

Sous Blocs Déclarations

Champs 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

ELEMENTS SIMPLES

Appellation x x x x

Variable x x x x

Libellé x x x x

Valeur Initiale x x

Valeur Minimale x

Valeur Maximale x

Modifiable sans mot de passe x x

Bit Associé x

Appellation Bit Associé x

Paramètre de Partage x x x x

ELEMENTS CHAINES

Appellation x

Variable Chaîne x

Valeur Chaîne x

Paramètre de Partage x

Libellé x

Modifiable sans mot de passe x

ELEMENTS TABLES

Appellation x x

Variable Table x x

Valeur Initiale Globale x x

Valeurs Initiales Elt/Elt x x

Valeur Minimale Globale x

Valeur Maximale Globale x

Valeurs Initiales Partielles x x

Paramètre de Partage x x

Libellé x x

Modifiable sans mot de passe x x

7.3. Définitions des sous-blocs déclarations et leurs types

Le tableau ci-après liste les différents champs participant à la déclaration des élé- ments d’application et définit les sous blocs déclarations typés.

(60)

7.4. Liste des mots clés

REFERENCE DEFINITION COMMENTAIRE

<Mot_Cle DECLARATIONS> ::= “@DECLARATIONS”

<Mot_Cle OPTION TDS> ::= “#OPTION_TDS”

<Mot_Cle SBD1> ::= “#SBD1”

<Mot_Cle SBD2> ::= “#SBD2”

<Mot_Cle SBD3> ::= “#SBD3”

<Mot_Cle SBD4> ::= “#SBD4”

<Mot_Cle SBD5> ::= “#SBD5”

<Mot_Cle SBD6> ::= “#SBD6”

<Mot_Cle SBD7> ::= “#SBD7”

(61)

REGLES SYNTAXIQUES REGLES SEMANTIQUES

<Bloc Entité Déclaration>::=

<Sous Bloc Début Bloc Entité Déclaration>

{<Sous Bloc Declaration>}

<Sous Bloc Déclaration>::=

<Sous Bloc Option TDS> | <Sous Bloc Déclaration 1> | <Sous Bloc Déclaration 2> | <Sous Bloc Déclaration 3> | <Sous Bloc Déclaration 4> | <Sous Bloc Déclaration 5> | <Sous Bloc Déclaration 6> | <Sous Bloc Déclaration 7>

<Sous Bloc Début Bloc Entité Déclaration> ::=

<Mot_Cle DECLARATIONS> “,”

<N° Séquence>

<Sous Bloc Option TDS>::=

<Mot_Cle OPTION_TDS> “,” <Option>

<Sous Bloc Déclaration 1>::=

<Mot_Cle SBD1> “,”

[<Appellation>]’,’

<Variable SBD1>’,’

[<Paramètre de partage>]’,’

[<Libellé>]

<Sous Bloc Déclaration 2>::=

<Mot_Cle SBD2> “,”

[<Appellation>]’,’

<Variable SBD2>’,’

[<Appellation Bit Associé>]’,’

[<Variable Bit Associé>]’,’

[<Paramètre de partage>]’,’

[<Libellé>]

<Sous Bloc Déclaration 3>::=

<Mot_Cle SBD3> “,”

[<Appellation>]’,’

<Variable SBD3>’,’

[<Valeur Initiale>]’,’

[<Modifiable Sans Mot De Passe>]’,’

[<Paramètre de partage>]’,’

[<Libellé>]

7.5. BNF du bloc entité Déclaration

Le mot clé OPTION_TDS définit une valeur numérique comprise entre 0 et 3 indiquant le mode de gestion de la Table Des Symboles sélectionnée dans l'éditeur déclaration (menu TDS).Lors de la validation de l'application, la TDS comportera pour OPTION- TDS:

0: toutes les variables marquées sans leurs paramètres 1: toutes les variables marquées avec leurs paramètres 2: toutes les variables marquées sans leurs paramètres 3: toutes les variables marquées avecleurs paramètres

(62)

<Sous Bloc Déclaration 4>::=

<Mot_Cle SBD4> “,”

[<Appellation>]’,’

<Variable SBD4>’,’

[<Valeur Initiale>]’,’

[<Valeur Minimale>]’,’

[<Valeur Maximale>]’,’

[<Modifiable Sans Mot De Passe>]’,’

[<Paramètre de partage>]’,’

[<Libellé>]

<Sous Bloc Déclaration 5>::=

<Mot_Cle SBD5> “,”

[<Appellation >]’,’

<Variable Chaîne>’,’

[<Valeur Chaîne>]’,’

[<Modifiable Sans Mot de Passe>]’,’

[<Paramètre de partage>]’,’

[<Libellé>]

<Sous Bloc Déclaration 6>::=

<Mot_Cle SBD6> “,”

[<Appellation >]’,’

<Variable Table SBD6>’,’

[<Valeur Initiale Table >]’,’

[<Modifiable Sans Mot De Passe>]’,’

[<Paramètre de partage>]’,’

[<Libellé>]

<Sous Bloc Déclaration 7>::=

<Mot_Cle SBD7> “,”

[<Appellation >]’,’

<Variable Table SBD7 >’,’

[<Valeur Initiale Table>]’,’

[<Valeur Minimale Globale>]’,’

[<Valeur Maximale Globale>]’,’

[<Modifiable Sans Mot De Passe>]’,’

[<Paramètre de partage>]’,’

[<Libellé>]

<Option>::= <DIGIT>

<Appellation>::= <IDENTIFICATEUR> L’appellation ne doit pas dépasser 8 caractères

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